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Pierre Leyris (Éditeur scientifique)Sylvère Monod (Autre)Francis Ledoux (Autre)
EAN : 9782070101696
1488 pages
Gallimard (13/10/1958)
4.02/5   29 notes
Résumé :
Les Papiers posthumes du Pickwick-Club - Les Aventures d'Oliver Twist
Que lire après Les Papiers posthumes du Pickwick-Club - Les Aventures d'Oliver TwistVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Au lecteur qui ne se serait jamais plongé dans "Les Papiers Posthumes du Pickwick Club", que certaines éditions retranscrivent aussi sous le titre "Les Aventures de Mr Pickwick", on ne saurait trop conseiller de le faire sans plus attendre.
A deux conditions toutefois.
Tout d'abord, sachez que, à l'exception de quelques petits récits qui furent réunis dans les "Sketches et Esquisses de Boz" ("Boz" étant le premier pseudonyme adopté par Dickens), le romancier britannique n'avait jamais rien écrit avant ce petit chef-d'oeuvre comique qui devait, d'ailleurs, lancer sa fabuleuse carrière. Les "Pickwics Papers" peuvent donc être tenus pour un premier roman, avec tous les défauts inhérents à ce genre d'ouvrage.
Ensuite, Dickens publiait en feuilleton et était tributaire de la sensibilité du XIXème siècle qui faisait volontiers pleurer Margot dans les chaumières et les grandes dames dans leurs salons mais qui ne regardait qu'avec des oeillères la misère, réelle et monstrueuse, qui régnait alors dans nombre de quartiers populaires. Chez Dickens, cette sensibilité est également liée à la pudibonderie de l'ère victorienne. Tiré à hue et à dia par ces deux facteurs dont il était étroitement prisonnier, Charles Dickens a dressé, sous le couvert d'une étude sociale qui aurait fait faire la grimace à un Emile Zola, un portrait de son époque qui n'en demeure pas moins saisissant. Et puis, il a laissé affleurer çà et là - surtout dans ses romans plus tardifs d'ailleurs - une sexualité qui ne dit pas son nom mais qui, de Steerforth jusqu'à Edwin Drood, pèse sans vergogne sur nombre de personnages.
Dans les "Pickwick Papers", nous n'en sommes pas encore là même si l'on peut s'étonner que l'auteur trouve parfaitement normal le comportement que Mr Tupman affiche face aux soubrettes qu'il rencontre.
Autre point, très important également : lorsqu'il commença ce feuilleton, Dickens ne savait absolument pas où il allait. le but premier était en fait d'illustrer des scènes comiques de chasse ou de sport. le personnage de Nathanael Winkle, le jeune sportsman qui ne sait pas armer un fusil et se fait systématiquement jeter à bas par le cheval qu'il enfourche (du mauvais côté, d'ailleurs), est le survivant de cette idée initiale qui, peu à peu, va diminuer, puis disparaître au bénéfice d'un roman dont les péripéties soigneusement huilées s'enchaînent de façon impeccable.
Les hésitations de Dickens sont largement perceptibles dans le premier chapitre. Mais, dès l'apparition de Mr Jingle dans la diligence du second chapitre, le ton commence à se modifier. Cependant, il faudra attendre l'apparition de Sam Weller, cirant les paires de bottes dans la cour de l'auberge du Cheval Blanc, au chapitre X, pour que les "Pickwick Papers" soient définitivement lancés. A partir de là en effet, le succès des livraisons ne se démentira plus et Dickens deviendra un auteur reconnu et véritablement encensé par le public.
Son oeuvre, et les "Pickwick Papers" en premier, déborde de personnages truculents, émouvants ou particulièrement répugnants - comme le Uriah Heep de "David Copperfield" - qui, en dépit du style souvent mélodramatique et des conventions en usage dans le feuilleton de l'époque, nous deviennent bien vite aussi réels et aussi proches que peut l'être notre voisin de palier.
Dans "Pickwick", outre l'escroc Jingle et son valet, Job Trotter, la vedette revient incontestablement à Samuel Weller avant même que Mr Pickwick ne l'engage comme valet de chambre. Personnification du cockney, Sam est débrouillard et bagarreur mais ne perd jamais le sens de l'humour. le succès du personnage fut tel que, dans la foulée, Dickens lui créa un père, Mr Samuel Weller Senior, cocher de diligence qui, devenu veuf de la mère de Sam, a eu l'idée baroque de se remarier avec une veuve qui possédait un débit de boissons. Las ! Ne voilà-t-il pas que la nouvelle Mrs Weller tombe sous la coupe d'un "berger" et de son serviteur - i.e. un prêcheur wesleyen et son espèce d'acolyte - et leur permet d'organiser chez elle des réunions de prières largement arrosées de grogs à l'eau de vie !!! :saloon: La malheureuse finira d'ailleurs par se charger tellement d'alcool qu'elle en décèdera, léguant son relais à son époux, lequel s'empressera d'en expulser le "berger" manu militari.
Ne ratez pas non plus les ineffables Hodgson et Fogg, avoués de leur état, qui convainquent Mrs Bardell, la logeuse de l'excellent Mr Pickwick, d'attaquer celui-ci en justice pour "rupture de promesse de mariage." Condamné à 750 livres de dommages et intérêts et aux dépens, Mr Pickwick préfère se voir incarcéré à La Fleet, la célèbre prison pour dettes de Londres où le père de Dickens fut lui aussi emprisonné, plutôt que de payer. Et l'écrivain de dépeindre ce milieu qu'il connaît bien pour y avoir vécu enfant et qu'il replantera, sur une note plus triste, dans "La Petite Dorritt."
Il y a aussi les deux étudiants en médecine qui ont nom Benjamin Allen et Bob Sawyer : deux carabins qui atteignent au summum de la joie quand ils peuvent placer à table une histoire de dissection.
En bref, il y a beaucoup de monde car Dickens aimait les fresques. Il aimait aussi ces longs chapitres auxquels nos mentalités modernes ne sont plus habituées. Pour les besoins du tirage, il prit parfois la liberté d'insérer dans l'intrigue de son roman des récits qui n'ont pas grand chose à voir avec ses personnages et que je vous conseille de laisser courir car ils sont en général trop misérabilistes. (Lisez cependant celle de Tom Smart et du vieux fauteuil : celle-là est d'un autre ton.)
C'est dans ce roman que Dickens étrenne cette incroyable sens du détail, souvent comique, ainsi que ce génie des intrigues bien charpentées qui feront sa gloire. Par le style, la longueur et la mentalité, l'ensemble a certes pas mal vieilli. Mais le souffle du créateur demeure, aussi puissant que celui d'un Hugo ou d'un Balzac même si l'on en parlera avec plus de facilité à propos d'un ouvrage comme "David Copperfield", le plus autobiographique des romans de Dickens.
En outre, et on peut lui en être reconnaissant, Dickens n'a jamais raté une seule occasion de dénoncer les excès de la magistrature, de la misère et de la religion toutes les fois qu'il en trouvait l'occasion. Dans les "Pickwick Papers", lisez à ce propos le discours du vieux Mr Weller sur les mouchoirs et autres babioles que le "berger" et sa congrégation veulent envoyer en Afrique avec des Bibles pour servir les indigènes. D'accord, c'est comique mais il ne faut pas gratter beaucoup pour que, sous le rire, se découvre le vitriol de la satire. ;o)
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J'avais récupéré ces deux tomes lors d'une braderie d'une médiathèque, au cours d'un de mes stages en 2011. Autant dire que cela date un peu…je m'étais dit qu'on ne devait jamais hésiter devant des classiques. Mon édition date donc de 1958, celle-ci non plus ne date donc pas d'hier…

Je dois avouer que je suis assez fière de moi : j'ai réussi à lire ces deux tomes dans les temps et avec plaisir en plus!
Il s'agissait de ma lecture de la Book-Jar de juillet. Je dois dire que je pensais abandonner en cours de route, vers la moitié du tome 1, histoire de dire que j'avais essayé et voilà.

Mais finalement, j'ai lu le premier tome, mais j'ai même enchaîné immédiatement avec le deuxième, dont je voulais mettre la lecture à plus tard, si jamais j'arrivais à finir le premier tome…

Alors pourquoi autant d'a-priori? La couverture ne donnait pas forcément envie…le nombre de pages (1000 quand même), ainsi que le résumé ne m'enchantait pas des masses…
Il s'agit de ma deuxième lecture de Charles Dickens, la première étant de grandes Espérances, que j'avais bien aimé.

Et finalement, je suis bien contente de lui avoir laissé une chance, parce que ma lecture fut plutôt fort agréable!

Cette lecture m'a occupé un peu plus de la première moitié de juillet…il faut dire que j'avais pris la décision de ne lire que 50 pages obligatoirement par jour…le reste étant bonus. Une bonne manière de venir à bout des classiques! Et si j'ai eu une petite baisse de régime au début du deuxième tome, j'ai vite repris le plis pour la suite et finalement, je lisais environ 70 à 90 pages par jour.

Ce roman (coupé ici en deux tomes par souci de place je pense) est en fait le recueil d'un feuilleton de Charles Dickens publié de 1836 à 1837. Il s'agit de la première oeuvre écrite de l'auteur, donc ce n'est pas n'importe quoi non plus! C'est à ce feuilleton qu'il doit le début de son succès et sa renommée. En effet, le Club de Pickwick a tout de suite été un grand succès.

On voit une grande différence entre le début du récit et la fin d'ailleurs : on sent au début du feuilleton que Charles Dickens n'a pas encore réellement dans l'idée de faire un fil conducteur avec l'histoire, il s'agit plutôt de petits récits mettant en scène les mêmes protagonistes, mais sans réel lien entre eux.
Puis petit à petit se dessine l'intrigue, les personnages gagnent en profondeur et le feuilleton tend vers un but.
On les suit donc dans leurs voyages, vie quotidienne, visites aux amis…

Alors qu'au début, ces histoires avaient une vocation avant tout comique, elles finissent par avoir un véritable effet de « roman d'apprentissage », ou Monsieur Pickwick apprend à mieux juger les gens et les faits et à se remettre en question.

C'est un récit assez drôle, mais si on est honnête, j'ai trouvé que c'était un humour assez attendu, limite potache, surtout au début. On ne peut pas dire qu'il y a un grand suspense, Charles Dickens traite de situation assez ordinaire par le rire, quitte à bien bien forcer le trait.
C'est ainsi qu'il met en avant des thèmes comme la corruption de la justice, la misère, les magouilles et la malhonnêteté en les traitant par le rire, avec des personnages comme l'avocat malhonnête, le bourgeois naïf et arnaqué, la plaignante menteuse, l'acteur séducteur…

Bref, il dénonce les excès et les injustices en ridiculisant finalement les « mauvais personnages », même si le pauvre Pickwick s'en prend plein la figure. C'est donc aussi bien un roman satirique qu'un roman d'apprentissage.

Ce que j'ai préféré, cela a été le duo Sam / Monsieur Pickwick. Ils avaient une excellente dynamique, leurs scènes et répliques étaient un vrai plaisir à suivre. le dévouement de Sam pour son patron est assez émouvant.

Très clairement Sam est mon personnage préféré d'ailleurs. Ses réflexions toujours à propos, même si parfois elles sont très insolentes, sont souvent très drôle, c'est un personnage très touchant et agréable à suivre, plein d'entrain, d'enthousiasme : il a vraiment amené de la fraîcheur dans le récit. C'est avec lui que je suis vraiment rentré dans l'histoire.

Mais les autres personnages sont très sympathiques à suivre également.
Monsieur Pickwick est un personnage qui change énormément au fil des chapitres. Il devient plus humble, plus intelligent et bien plus touchant à suivre. Alors qu'il est assez ridicule et qu'on rit de lui au début, à la fin, on rit avec lui de ses ennemis.

Ses compagnons aussi sont drôles et touchants, surtout Monsieur Winckle, qui a force de ne jamais dire non, se forge une réputation incroyable de chasseur-duelliste-homme fort complètement fausse…Il se retrouve parfois dans des situations le pauvre…

Il y avait également régulièrement des histoires intercalées dans le récit lui-même : des contes racontés par d'autres personnages ou juste des expériences de vie…cela changeait un peu et mettait en avant des histoires plus sombres par rapport au récit.

J'ai aimé découvrir les prisons de dette avec les chapitres à la prison de la Fleet. C'était vraiment très intéressant, cela me donne d'ailleurs envie de lire Miss Dorrit, dont une grande partie de l'intrigue se passe dans un tel endroit.
J'ai beaucoup aimé en apprendre plus, la manière dont c'était organisé, comment les prisonniers vivaient, les différents points de vue…bref, un monde assez passionnant qu'on découvre en même temps que Pickwick.

La fin a des vraies allures de conclusion : les méchants se repentent quand c'est possible, tout le monde se réconcilie d'une manière ou d'une autre, il y a un petit happy-end pour tout le monde.

Il y a évidemment, encore énormément de choses à dire sur ce roman, dont je n'ai pas parlé…comme souvent avec les classiques, il y a énormément de choses à comprendre en lien avec l'époque, à expliquer…il manque toujours quelques heures d'étude avec un professeurs dans ces cas-là hélas…

——————————————-

Une belle surprise donc, j'ai été ravie de lui avoir laissé une chance. Si ce n'est pas la lecture du mois, j'ai passé des moments agréables avec ce feuilleton, j'ai souvent souri, voir même ri. Je peux tout à fait comprendre le succès qu'il a eu à l'époque.

Et cela me donne envie de lire d'autres romans de Charles Dickens dans un avenir proche.
Lien : https://writeifyouplease.wor..
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Critique de Iolane :
Tout d'abord Oliver Twist n'est vraiment pas le genre de livre que j'aime et que je lis mais malgré ça, il n'était pas si décevant que je me l'était imaginé, car c'est simple à lire et j'ai tout de même apprécier le contexte de l'histoire qui nous apprend la vie en Angleterre au 19e siècle et c'est vraiment plein d'émotions. Pour ma part je l'ai quand même trouvé un peu ennuyant, j'ai eu un peu de mal à arriver à la fin parce que j'ai eu beaucoup de mal à m'accrocher à l'histoire, il me manquait quelque chose qui fasse que j'ai envie de continuer ce livre et en plus c'est vraiment triste. En effet je pense qu'il y a aussi le fait que j'aime quand il y a de l'action, ect, que c'était la première fois que je lisais se type de livre et qu'il me manquait quelques petites choses pour que j'arrive à suivre. Mais ce livre reste correct, émouvant et pour le contexte très intéressant. C'est pourquoi je recommanderais ce livre aux lecteurs qui déjà aime se type de livre et sinon il n'y a pas de catégorie d'age pour Oliver Twist parce qu'il existe en édition complète et en édition abrégé pour les plus jeunes.
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Nous suivons les aventures comiques de Mr Pickwick et de ses amis, en voyage en Grande-Bretagne. C'est enlevé, souvent très drôle, sans oublier une touche d'émotion ou de sérieux parfois. C'est sûr que c'est un peu long, et qu'il s'agit d'une suite d'histoires, même si on retrouve les mêmes personnages, et quelques mésaventures à long court. C'est sans doute dû à la publication en feuilleton, avec beaucoup de succès.Un peu comme une série en somme.

Sans doute pas le meilleur de Dickens, pour les raisons données plus haut, mais quand même un très très bon moment. Une vraie lecture plaisir....
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Publié entre 1837 et 1839, Les aventures d'Oliver Twist narrent la vie d'un jeune orphelin au sein de l'Angleterre victorienne et industrielle qui, souhaitant échapper à sa condition, nouera des relations plus ou moins recommandables dans un Londres décrit admirablement. Roman de formation, Oliver Twist nous offre un héros certes fragile mais intelligent, qui se déniaise vite mais dont l'âme ne se perd pas au contact des voleurs qu'il croise.
Avec Dickens, c'est une ambiance noire qui se met au service d'une description de la société plutôt caricaturale, où les riches sont plein de bonté et de clairvoyance et les pauvres n'ont le choix que de la misère ou du crime ; seul Oliver Twist montre une âme noble qui se lit physiquement sur son visage.
La lecture demeure agréable et l'on se surprend même à être pris par une lecture dont on devine le sens général et, même, l'objectif final.
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
- Qui que c'est, l'autre ?
- Un nouveau copain, répondit Jack Dawkins, en tirant Oliver en avant.
- D'où qu'il vient ?
- De Naïveterre. Il est là-haut, Fagin ?
- Oui, il trie les tire-jus. Grimpez !
La bougie se retira, et le visage disparut. Oliver, cherchant son chemin à tâtons d'une main, et l'autre restant fermement étreinte par son compagnon, eut beaucoup de peine à gravir les marches obscures et délabrées, tandis que son conducteur en faisait l'ascension avec une aisance et une promptitude montrant qu'il les connaissait bien. Il ouvrit brusquement la porte d'une pièce sur cour, et y fit entrer Oliver avec lui.
Les murs et le plafond de cette pièce étaient absolument noircis par l'âge et la saleté. Il y avait une table en bois blanc devant le feu, sur laquelle étaient posés une bougie, fichée dans une bouteille de bière de gingembre, deux ou trois pots d'étain, un pain avec du beurre, et une assiette. Dans une poêle, installée au-dessus du feu, et attachée par une ficelle à la cheminée, des saucisses cuisaient ; debout à côté de ce plat, une fourchette à rôties à la main, se tenait un vieux Juif tout ratatiné, dont la figure repoussante et l'air de scélératesse se cachait derrière une masse de cheveux roux emmêlés. Il était vêtu d'une robe de chambre de flanelle graisseuse, qui lui découvrait la gorge ; et il semblait partager son attention entre la poêle à frire et un séchoir à linge auquel étaient accrochés de très nombreux mouchoirs de soie. Plusieurs lits grossiers, faits dans de vieux sacs à pomme de terre, étaient posés par terre vaille que vaille, les uns à côté des autres. Trois ou quatre garçons, tous aussi jeunes que le Finaud, étaient assis autour d'une table, et fumaient de longues pipes en terre, et buvaient de l'alcool avec des attitudes d'hommes murs. Ils se pressèrent tous autour de leur camarade quand celui-ci glissa quelques mots à l'oreille du Juif, puis ils se retournèrent vers Oliver avec un large sourire. C'est ce que fit aussi le Juif en personne, fourchette en main.
- C'est lui, Fagin, dit Jack Dawkins ; c'est mon ami Oliver Twist.

LES AVENTURES D'OLIVER TWIST, Chapitre VIII.
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"Une des plus grandes auteures américaine actuelle qui revient avec un chef d'oeuvre ! Une transposition de David Copperfield dans les Appalaches digne de Charles Dickens ! " - Jean-Edgar Casel.
Demon Copperhead réimagine le roman de Dickens dans une Amérique rurale moderne confrontée à la pauvreté et à la crise des opioïdes ... le roman de Kingsolver vous emporte avec autant de force que l'original.
À retrouver en librairie et sur lagriffenoire.com https://lagriffenoire.com/on-m-appelle-demon-copperhead.html
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