J'ai jamais été une adepte des Simpson ou de South Park ou du théâtre absurde. Ce n'est pas un humour auquel j'adhère.Certes tourner en dérision les dérives sectaires d'une communauté de paumés peut prêter à sourire, mais tous ces treizièmes degrés risquent d'être supplanté par le premier degré primaire du “pipi caca et bistouquette” de certaines répliques. D'où mon désintérêt pour cet ouvrage. Lisez ou relisez plutôt” L'arche part à huit heures” désopilant et sur la religion également et oubliez celui-là.
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Avec les aventures de Kurt, un père de famille qui semble au départ un peu naïf et farfelu, Erlend Loe ne cesse de dénoncer les travers de notre société et les démons qui la hantent. En cela, il fait œuvre politique. Dans les quatre tomes précédents, il s’est intéressé au pouvoir de l’argent et de ses dérives, puis au culte de la célébrité, au racisme, à la xénophobie. Ici, il dénonce de belle manière, avec un humour léger mais efficace, le fondamentalisme religieux et l’emprise des sectes.
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