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EAN : 9791031205687
Editions Ateliers Henry Dougier (04/05/2023)
4.36/5   7 notes
Résumé :
Collection " Le roman d'un chef-d'œuvre "

Mêlant récit romanesque et enquête historique, l'auteur raconte l'histoire d'un tableau célèbre.

La Naissance de Vénus

La Naissance de Vénus, est avec le Printemps, une des œuvres majeures de Sandro Botticelli. Elle symbolise à elle seule l'esprit de la Renaissance. Au cours des cinq siècles qui ont suivi sa création, l'image iconique de " Vénus sortant des eaux " est devenue la r... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
A la recherche de la femme parfaite !

Dans cette merveilleuse collection "Le roman d'un chef-d'oeuvre (je ne le répéterai jamais assez !) j'ai terminé hier celui consacré au peintre de la Renaissance Sandro Botticelli.

Très original, ce roman est déployé en une enquête. L'auteur retrouve dans sa maison un dessein qui semble être de Botticelli. Sur ce croquis est écrit "sans par".

Partant de cette énigme, notre héros parcourt l'Europe afin de regarder les différents tableaux de Botticelli et retrouver le vrai visage de cette "sans par", la magnifique SImonetta Cattaneo Vespucci, à laquelle les Florentins avaient donné le surnom de "Sans pareille".

Cette jeune femme, noble de la Renaissance Italienne est célèbre la cour de Laurent le magnifique pour sa beauté et son charme ; elle a peut-être posé pour le peintre et a été son amour secret (Botticelli a voulu être enterré près d'elle).

On voyage donc à Paris, à Londres, à Frankfort, à Florence afin d'admirer les différents tableaux exposés dans ces différentes capitales.

On les admire, on les détaille ainsi très bien.

L'auteur, Jean Lovera, est un architecte, commissaire d'expositions, collectionneur d'art contemporain, et aussi un tennisman de haut niveau dans les années 1970 !
Donc l'art il connaît et cela se ressent dans ce roman, ainsi que sa passion, son amour pour les tableaux, qu'il nous transmet !

Par un style bien imagé, technique sans être pesant, l'auteur nous immerge totalement dans son voyage, les tableaux et l'époque de la Renaissance italienne.
L'auteur nous compte cette période historique très riche en talents, et en grands hommes mais aussi en évènements rétrogrades comme "Le bûcher des Vanités" durant lesquels les disciples du moine Jérôme Savonarole rassemblent des milliers d'objets d'art pour les brûler le 7 février 1497; Botticelli a sûrement déposé certaines de ses oeuvres pour les consumer…

J'avoue que lors de mon voyage à Florence, je ne me suis pas attardée devant "La Naissance de Vénus" dans la Galerie des Offices (trop de monde, trop connu…) Après la lecture de ce livre…Je regrette…
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Quelque part en France
Lettre à SB

Un livre

Cher Maître, je viens de refermer la dernière page d'un livre qui parle de vous.
Un livre qui vous rend un hommage très inspiré et inspirant, mais aussi à celle qui fut votre muse : Simonetta qui repose pour l'éternité à quelques mètres de vous en l'église Chiesa di San Salvatore in Ognissanti à Florence.
Florence cette ville où l'auteur finit sa quête, dans la loggia dei lanzi, à deux pas du Musée des Offices, où s'offrent à la vue des amateurs d'art du monde entier deux de vos chefs-d'oeuvre "La Naissance de Vénus" et "Le Printemps".
Où plutôt de nos jours, à des milliers d'yeux numériques, ce serait trop long à vous expliquer, mais nous avons perdu ce réflexe à regarder la réalité sans le filtre d'un écran...

Alors certes vous me direz voilà un livre de plus vous concernant. Depuis Vasari, qui dans "Le Vite de' più eccellenti architetti, pittori et scultori Italiani" - qui au passage à revu son analyse vous concernant entre la première édition de 1550 et la  seconde de 1568 - il y en a eu des livres traitant de votre vie, de vos oeuvres, de vos vicissitudes, de vos aléas avec la "politique".
Paul Veyne dont vous avez rejoins le musee imaginaire dira de vous : "Pour nous, Botticelli est le symbole de la Renaissance italienne, ce n'est plus Raphaël (et peut-être n'avons-nous pas tort). La Naissance de Vénus et le Printemps sont le "clou" de la Galerie des Offices à Florence. Et pourtant cet enchanteur n'eut aucune complaisance démagogique, aucun égocentrisme non plus ; ce fut un idéaliste, un rêveur, ses déesses nues sont pures comme des saintes."
Des romans ont été également écrits pour le meilleur et parfois pour le pire...

Mais cette fois vous rejoignez une collection d'un éditeur qui a eu la bonne idée de nous démontrer que certains tableaux ont cette étonnante capacité de nous réenchanter, corps et âme, de mobiliser notre mémoire, notre imaginaire, nos émotions. Mais comment sont-ils nés ? Dans quelles circonstances et à quel moment de la vie de l'artiste ? Chaque auteur de cette collection raconte la véritable saga d'un tableau en le mettant en scène à l'époque et dans le lieu où il a vu le jour. Ces fragments de notre patrimoine universel sont une source inépuisable d'émerveillement et d'empathie. Dans cette collection vous côtoyez Michel-Ange, Uccello que vous connaissez, et d'autres qui vous ont succédé : Caravage, Monet, Fragonard ou Klimt
Le postulat de l'éditeur de cette collection : « Face aux violences du monde, à nos peurs, à nos tentations de repli sur soi, la voix des artistes réconcilie, réveille et rassemble. Résonne alors en nous cette quête éperdue du beau. La beauté. Simplement. »

Et ce livre rend hommage à cette beauté, celle de vos toiles. Beauté changeante car votre oeuvre a évolué au fil du temps pour finir par ce dernier tableau : "la derelitta", la beauté mélancolique ou la mélancolie en beauté ?

À la beauté de Simonetta Vespucci dont sachez-le Laurent de Médicis dans son Comento écrira  "Il était incroyable que tant d'hommes dépourvus de convoitise l'aimassent et que tant de femmes sans jalousie la complimentassent..."

Au fil de ses voyages en quêtes de vos Vénus éparpillées de par le monde, l'auteur de ce livre vous surnomme le Maitre des Vénus tant vous avez mis en scène votre muse : "Fallait-il que vous en fussiez éperdument amourait pour la peindre aussi sublimement ! Il semble qu'aucune autre femme que la « Divina Simonetta » n'ait existé à vos yeux, comme dans votre coeur. Est-ce que je me trompe ? Au Fil du pinceau, sur une période de quinze ans, elle est passée du statut de modèle à celui de muse, et, avec La Naissance de Vénus, à celui de femme idéale. Personne d'autre que vous n'a mieux rendu hommage à sa beauté"

Moi qui ai lu Homère, comment n'ai-je pas fait le rapprochement entre ce texte et votre tableau :
"Je chanterai la belle Aphrodite à la couronne d'or, la déesse vénérée qui a pour apanage tous les hauts lieux de Chypre, l'île marine où le souffle puissant de l'humide Zéphyr la porta, sur les vagues de la mer mugissante, dans la molle écume : les Heures au diadème d'or l'accueillirent avec joie, et lui donnèrent des vêtements immortels. Sur sa tête divine elles placèrent une belle couronne d'or finement ciselée ; elles mirent à ses oreilles, dans les trous de leurs lobes, des fleurs d'orichalque et d'or précieux ; elles ornèrent son tendre col et sa gorge éclatante de ces colliers d'or dont se paraient elles-mêmes les Heures au diadème d'or, quand elles allaient se joindre au choeur charmant des dieux, dans la demeure de leur père. Après avoir revêtu son corps de toutes ces parures, elles la menèrent chez les Immortels. Ils l'accueillirent avec joie et tendirent les mains vers elle : chacun d'eux désirait faire d'elle sa légitime épouse et l'emmener en sa maison, tant ils admiraient la beauté de Cythérée couronnée de violettes.
Salut, déesse aux vifs regards, au doux sourire ! Accorde-moi de remporter la victoire en ce concours, et donne tes faveurs à mon chant ; pour moi, je penserai encore à toi dans un autre chant."
(À Aphrodite (II) - Hymnes homériques - Tout Homère - Éditions Les Belles Lettres)

Parfois, l'auteur s'emporte contre vous : "Vous n'avez laissé aucune indication, note ou recette concernant la fabrication de la Naissance", alors cela serait trop long à vous expliquer mais combien de scientifiques, de radiographies, d'experts, d'analystes se sont penchés sur vos oeuvres pour tenter d'en percer les mystères. Combien d'heures ont été passées à disserter sur vos techniques, méthodes ou recettes...
Mais comme le dit si bien Jean Lovera : "Il me reste à l'imaginer, La tâche est douce. "
"Grâce à cette Peinture, vous êtes devenu le Peintre de la lumière. Votre technique est votre secret. Il reste que la luminosité du fond traverse les couleurs et nous éblouit la lumière va de pair avec la légèreté voulue dans les détails qui suggèrent le mouvement : l'air Soufflé par les Vents traverse la toile, les roses volettent, les vagues s'agitent, les cheveux s'enroulent et flottent au vent, la robe de la Grâce qui s'avance se gonfle et le drap qu'elle lend vers Vénus ondoie. Maître, je lis dans votre tableau, avant Ioule chose, la légèreté de l'instant comme une métaphore de la beauté. En créant le mouvement, vous nous avez invités à participer à la scène, au milieu d'un tableau vivant.[...] C'est un travail d'orfèvre ou de graveur. Je comprends que seul l'effet vous intéresse, non la technique académique. Maître, vous êtes le premier « moderne » !"

Alors certes il pose également plus de questions, dix huit pour être précis,
qu'il n'apporte de réponses mais comme le dit si bien Jean Lovera :
"J'aime, pour ma part, les belles histoires réelles ou imaginaires qui se nouent autour des peintures. Elles agissent comme les cadres virtuels des tableaux ; elles en sont les prolongements oniriques.
Une fois libérés des exégèses, nous pouvons jouir des images, avec un plaisir d'enfant. Tout juste accepter quelques didascalies qui éclairent les zones par trop obscures."

"Botticelli nous a donné à imaginer. Sans le vouloir, la matière à doutes qu'il a créée s'est muée en matière a rêves."
Et nous continuerons à rêver devant vos oeuvres, pour peu que l'on prenne le temps, que l'on se donne le temps de les voir au lieu de les regarder....
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Contrairement aux autres titres de cette collection que j'ai lu (qui nous mettaient dans la peau de l'artiste et racontaient comment l'oeuvre à l'honneur avait été créée), le Mystère Simonetta se déroule à notre époque et prend des allures de roman-enquête : on découvre aux côtés du narrateur (qui n'est autre que l'auteur lui-même) qui était Simonetta Vespucci et pourquoi elle était surnommée "la Sans Pareille", comment Botticelli est devenu "le maître des Vénus" (comme l'appelle l'auteur), on partage ses joies et ses doutes au fur et à mesure de ses recherches, on lit les différentes théories sur Botticelli et ses oeuvres... C'est un procédé qui m'a énormément plu car, d'une part j'adore ce type de romans et d'autre part, il existe si peu de sources sur Botticelli et la genèse de ses oeuvres (alors que paradoxalement elles sont mondialement connues) que c'est très intéressant d'en découvrir plus à ce sujet en lisant ce livre : j'ai notamment appris que Botticelli n'avait pas été le seul à peindre la jeune femme, mais qu'on la retrouve aussi dans quelques tableaux de Piero di Cosimo, et surtout que La Naissance de Vénus et le Printemps seraient liés et racontent tous deux la même histoire. Par ailleurs, j'ai apprécié que l'auteur confronte les sources et les points de vue sur la datation de certains tableaux, car cela permet à chacun de se faire sa propre idée sur ces questions.

Le roman a enfin des allures de récits de voyage car, au fil de son enquête, l'auteur décide de parcourir Florence sur les traces de Simonetta et de Botticelli (ce qui m'a de nouveau donné une furieuse envie de visiter cette ville !) mais aussi d'aller examiner de plus près les oeuvres où "la Sans Pareille" apparaît en visitant les différents musées européens qui les exposent.

On ressort de cette passionnante lecture avec l'envie de marcher sur les traces de l'auteur et de voir nous aussi de nos propres yeux les tableaux de Botticelli (ou de ses contemporains) pour y déceler la présence de Simonetta. Et on pourrait presque dire que Jean Lovera nous y incite car il glisse en fin d'ouvrage la liste des oeuvres mentionnées dans son roman et les lieux où on peut les retrouver.

Bref, je pense sans trop d'hésitations que ce Mystère Simonetta est mon titre préféré paru à ce jour dans la collection "Le roman d'un chef-d'oeuvre" (avec le Fantôme d'une vie, consacré au Cauchemar de Füssli) et je vous le recommande donc chaudement !
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Maître, j’ai fait ce matin une extraordinaire découverte.

Depuis trois mois, je suis propriétaire d’une maison dans les collines de Lucques. C’est une maison de votre siècle, du Quattrocento, simple et massive, dont la loggia à colonnes ouvre sur un champ d’oliviers. Avant d’avoir la chance de l’acheter, j’ai rôdé autour d’elle durant des années. Je l’ai dessinée, peinte et longtemps caressée en rêve. L’ancien propriétaire est décédé. Sa fille me l’a vendue en insistant sur le fait que les meubles et objets ne pouvaient être débarrassés. C’était à prendre ou à laisser. J’ai pris le tout, passionnément.

Ce matin, donc, j’entreprends l’exploration de l’entresol rempli comme l’entrepôt d’un brocanteur. Dans un angle : une armoire ; dans l’armoire : des étagères poussiéreuses ; sur une étagère remplie : de vieux livres et un carton à dessin. Je saisis le carton et l’expose dans la lumière du jardin.

Sous la couche de poussière, je lis sur le plat l’inscription manuscrite « sans par », curieuse formulation en français dans un lieu si éloigné du pays de Montaigne ! Je trouve à l’intérieur une dizaine de photographies en couleurs, toutes de peintures montrant un visage de femme. Ce sont des détails agrandis, un peu flous, et qui semblent être des portraits de la même personne, une très jolie jeune femme. Je reconnais immédiatement celui de votre Vénus, si connue et tellement galvaudée. L’agrandissement n’est cependant pas celui du tableau des Offices – c’est là qu’il est installé depuis plus de deux siècles – : le visage au regard perdu et triste est bien le même mais il est peint sur un fond noir. Il s’agit d’une copie, plutôt fidèle ; sans doute d’un de vos admirateurs ou d’un de vos assistants.

Ma curiosité monte d’un cran quand je découvre, au milieu des photographies, un dessin enveloppé dans du papier de soie. Il mesure environ vingt-cinq centimètres sur vingt ; il est de fort grammage, de couleur crème-bistre et présente quelques taches de moisissure. Le dessin est exécuté à la plume et à l’encre brune. Il comporte des rehauts de craie blanche et il est carroyé, signe qu’il était destiné à un agrandissement, en vue d’une peinture. La figure féminine est représentée en pied, en contrapposto, déhanchée mais légèrement, le bras droit ouvert semblant porter une couronne, le gauche en appui le long du corps et deux doigts tenant les plis du voilage de la robe. L’habit est si fin qu’il révèle parfaitement le corps de la belle. Les seins sont soutenus par un fin laçage tel qu’il se pratiquait de votre temps – nous l’appelons aujourd’hui Renaissance. Le visage est flouté car l’artiste l’a esquissé dans deux inclinaisons différentes. On voit bien cependant que c’est celui d’une belle jeune femme élégante, à la chevelure ondoyante.

(INCIPIT)
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Autre chose, maître. La ligne. Cette ligne omniprésente qui cerne toutes vos figures. « Nullus dies sine linea», pas un jour sans une ligne, bien sûr ! Cet aphorisme, prêté au peintre Apelle de Cos et rapporté par Pline, pourrait être le vôtre. On vous compare à Apelle, on dit de vous « le nouvel Apelle», celui qui maîtrise la ligne et la couleur, à l'égal des Antiques, Et, comme lui, bien que l'on ne connaisse aucune peinture de lui autrement que par des récits, vous avez peint la Vénus Anadyomène et la Calomnie. Voici donc votre source directe d'inspiration. Apelle avait Alexandre le Grand comme mécène ; vous avez eu Lorenzo il Magnifico. Un continuum ? Une Renaissance ?
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Les Offices, le même jour.
La Naissance de Vénus.

J'ai devant moi cette peinture immense de 2,03 mètres par 3,14 mètres, installée depuis 1815 aux Offices, probablement sa dernière demeure. C'est un "rectangle d'or", d'un rapport de 7 par 11. Le cadre est d'importance, doré à la feuille ; il apporte une lumière précieuse au sujet.

Je vois la déesse Vénus nue, au centre du tableau, debout sur une grande coquille qui flotte sur la mer aux abords du rivage. Sur la gauche, dans le ciel, sont représentés les Vents : un homme et une femme ailés qui soufflent une pluie de roses. A droite, sur la terre ferme composée d'une rive enherbée et d'un petit bois ombreux, une jeune femme en robe fleurie - j'ai appris qu'il s'agissait d'une Heure ou d'une Grâce - s'avance vers la déesse, pour l'accueillir et la vêtir, en déployant un ample manteau constellé de petits bouquets.
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Ce retour aux sources de l'Antiquité, de ses textes, de son art et de son architecture était bien davantage qu'une mode, La recherche d'une beauté idéale - ou bien était-ce un idéal de beauté ? - représentait un nouvel art de vivre. Je pressens qu'il était aussi une manière d'échapper au quotidien, à l'incertitude du lendemain que répète à l'envi le Magnifique quand il écrit : « Tout est éphémère et fugace, tant la Fortune en ce monde est inconstante : seule demeure et dure toujours la Mort, » Plus loin, le même a fait de l'adage « le temps revient » sa devise, inscrite sur sa bannière.
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J'attends l'heure d'ouverture des galeries sur la place de Santa Maria Novella devant un capuccino, en égrenant mentalement la liste de tous les artistes qui, comme moi, ont admiré la façade de marbres vert et blanc dessinée par Leon Battista Alberti : Uccello, Masaccio, Masolino, Brunelleschi, Botticelli, Leonardo, Michelangelo… c'est un vertige.
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Video de Jean Lovera (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jean Lovera
Les ateliers henry dougier présentent... le roman d'un chef-d'oeuvre. Mêlant récit romanesque et enquête historique, chaque auteur raconte la véritable saga d'un tableau en le mettant en scène à l'époque et dans le lieu où il a vu le jour.
A 26 ans, Michel-Ange se lance avec passion dans la sculpture du David, que ses contemporains célèbreront plus tard comme le géant de Florence. A l'époque, en 1501, il paraissait impossible de sculpter ce bloc, ce monstre de pierre haut de 5 mètres, refusé par tous les sculpteurs qui s'en étaient approchés.
Dans cet épisode, les ateliers henry dougier vous proposent la lecture d'un extrait du "Géant des Florentins selon Michel-Ange", le récit par l'artiste lui-même de la naissance tumultueuse de cette oeuvre hors normes, suivie d'un entretien avec l'auteur, Jean Lovera.
Un podcast conçu et réalisé par Margot Grellier et Gaëlle Bidan.
Plus d'informations sur le livre : http://ateliershenrydougier.com/geant_florentins.html Lire un extrait : https://fr.calameo.com/read/0055539601ff7edacf411 À commander en ligne : https://www.interforum.fr/Affiliations/accueil.do?refLivre=9791031202709&refEditeur=155&type=P
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Website : http://ateliershenrydougier.com/ Facebook : https://www.facebook.com/ateliershenrydougier/ Instagram : https://www.instagram.com/ Twitter : https://twitter.com/AteliersHD
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