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EAN : 9791033908449
256 pages
Harper Collins (25/08/2021)
2.66/5   19 notes
Résumé :
Bienvenue à Carsonville : ses brasseries, ses montagnes, son lac, son tournoi de tennis annuel. Dans cet écrin que personne n’imaginerait quitter, les ambitieux font la course à la réussite et aux faux-semblants.

Jeff Cannon n’est pas de cette écurie gagnante. Ancienne gloire du hockey reconvertie en plombier dilettante, il semble s’intéresser plus à la vie de ses copains qu’à la sienne. Pour oublier la femme qu’il aime, il dessine, de son balcon, le... >Voir plus
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Avec un titre aussi "punchy"je m'attendais à ce que Jeff, le héros de ce roman se décarcasse pour avoir une vie plus adaptée à ses envies, que nenni!
Il a eu son quart d'heure de gloire sur une surface assez limitée alors qu'il était hockeyeur, avait les moyens requis pour sortir diplômé de son université américaine, mais il est atteint de dilettantisme viscéral, alors il observe son entourage qui se démène, foire également ses histoires d'amour. Bref c'est un perdant mais pas malheureux car il se remet en question régulièrement, sans suivi bien sur.
Humour noir et comédie dans ce substitut de roman américain des grands espaces.
Un peu déçue quand même, avec un titre pareil, extrait d'un livre "comme un lego"je m'attendais à une lecture moins monotone en fait.
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J'ai gagné ce livre lors de la masse critique Babelio de septembre.
Je ne l'attendais plus et il est arrivé.
Le livre en lui-même est très beau. Mais voilà, l'histoire entre nous s'arrête là.
Le personnage principal, prénommé Jeff, est un gars plutôt sympathique. C'est un ancien champion de hockey sur glace. Il est diplômé mais flemmard et vit de petits boulots, de la charité de ses copains et de quelques arnaques mal ficelées. Il cherche le grand amour et s'insurge contre les grandes injustices de ce monde.
Le récit est écrit à la première personne du singulier. Nous partageons donc les sentiments et les pensées de notre anti-héros. Ce procédé est agréable si tant est qu'il y ait quelque chose à partager.
J'ai essayé de trouver de l'intérêt à ma lecture, de m'attacher aux différents personnages, en vain.
Ce n'est pas mal écrit mais l'histoire est monotone.
Je suis déçue.
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Carsonville est peut-être « le plus bel endroit du monde », il est surtout, pour les deux personnages principaux de ce roman, le lieu de leurs échecs respectifs, témoin de leurs petites vies sans envergure.
Jeff Cannon, le narrateur, aurait pu être un grand joueur de hockey, un dessinateur de talent ou même un géologue érudit mais il s'est contenté d'être un plombier occasionnel, le bon bricoleur bien utile à tout le monde.
Norbert Morshwiller, journaliste peu respecté, rêve de devenir un lanceur d'alerte reconnu mais les brimades qu'il subit depuis son enfance entravent ses ambitions.
Si Cannon « a tendance à regarder la vie plutôt qu'à s'en mêler », Morsh rêverait d'y prendre une part plus importante. Et aucun des deux ne sent vraiment à sa place au milieu de la bande de leurs amis d'enfance aux nombreuses histoires d'argent, de coeur et de réussite. Autant l'un est sensuel et drôle, autant l'autre est refoulé et sombre mais c'est dans leur marginalité que ces deux caractères opposés se rejoignent.
Au rythme du tournoi de tennis local, ce roman nous dévoile les affres d'une micro-société où deux grandes familles se partagent le pouvoir et les affaires de cette petite ville (américaine ?) fictive.
Même si la couverture pouvait laisser présager un roman d'aventure et de grands espaces, c'est en fait l'histoire presqu'intime d'une bande de copains liés depuis l'enfance. Mais je n'ai pas été déçue par cette peinture d'une vie provinciale que l'on ne quitte pas et même séduite par ces deux anti-héros qui partagent un destin raté. Deux « perdants » à qui l'on voudrait voir pousser des ailes, tant ils sont attachants et vulnérables.
Un bon roman plein d'humour, de sensualité et d'insouciance mais au final un sombre constat sur la fatalité des origines sociales.
Merci à Babelio et aux Editions Harper Collins pour ce livre reçu dans le cadre d'une Masse Critique
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SORTIE LE 25.08.2021...


RÉSUMÉ


Bienvenue à Carsonville : ses brasseries, ses montagnes, son lac, son tournoi de tennis annuel. Dans cet écrin que personne n'imaginerait quitter, les ambitieux font la course à la réussite et aux faux-semblants. Jeff Cannon n'est pas de cette écurie gagnante. Ancienne gloire du hockey reconvertie en plombier dilettante, il semble s'intéresser plus à la vie de ses copains qu'à la sienne. Pour oublier la femme qu'il aime, il dessine, de son balcon, le tableau parfait de sa ville, jusqu'au plus infime détail. Nuisible parmi les prédateurs, et bientôt remercié par ses patrons, Jeff compte les trains qu'il n'a pas osé prendre. Mais il se pourrait que cet animal sans pedigree, qui s'est toujours défié des voies rectilignes, se décide à trouver un second souffle.

CE QUE J EN PENSE

Le résumé a directement piquer ma curiosité. Albertine des éditions Harper Collins a encore une fois visée juste avec ce roman au style comédie noire. Dès les premières pages, nous pénétrons dans une drôle d'atmosphère que l'auteur nous transmet par ses tournures de phrases. Au début de ma lecture, j'avoue avoir eu un peu de mal, essayant de comprendre où voulait en venir Nicolas Maleski. Mais ensuite, l'originalité du texte m'a sauté aux yeux et je me suis laissée prendre par la plume parfois tendre, sarcastique et d'un humour noir à souhait. Ce roman de la collection "Traversée" d'Harper Collins est un roman d'aventure, d'introspection, de remise en question. Un style littéraire particulier qui attire, qui questionne... le tout dans un décor fictif envoûtant qui relève parfaitement le récit et qui nous emmène auprès d'un personnage attendrissant qui prêtera à sourire à plusieurs reprises !
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Je suis désolée  pour l'auteur   mais j'ai  essayé  de m'intéresser  à  ce roman  avec un titre accrocheur,  le style américain  , dans la ville de  Carsonville et... je n'aime  pas!!! Ni les protagonistes  ni la trame de l'histoire.  Je m'ennuie,  c'est  trop plat, trop terne. Je me suis accrochée  jusqu'à  la moitié  du roman  et je ne vois  aucun intérêt  de le continuer ni de connaitre  la fin.

Il manque du suspense,  de la vitalité,  du corps  à  l'histoire  et non pas un résumé  si banal du personnage  principal  Jeff , qui a la base  était plombier, se fait virer,qui se balade  à  droite, à  gauche  en rencontrant  des amis ou connaissances  qui leur racontent  leurs vies plus ou moins intimes et leurs réussites et lui ses échecs ., les dialogues sont sans intérêts.. Jeff dessine pour oublier la femme qu'il  aime,  se remet en question sur son avenir,  quoi de plus banal et le but  final dans tout ça.. je  ne suis pas  motivée  à  connaitre  la fin... 

Audrey,  Myriam,  Fred, Jerzy, Thérèse, Cypress, Des prénoms  qui défilent et leurs relations  entre eux que je ne retiens  pas. le tout est trop monotone...


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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
La honte, ça ne s'apprend jamais, c'est toujours foudroyant. L'injustice, le sentiment d'infériorité, le manque d'estime de soi : ça se travaille, on peut bâtir dessus. Mais la honte, ça n'apporte rien. C'est une leçon sans morale.
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