La première partie de ce livre, strictement autobiographique, ne dit pas Je mais Tu, s'adressant à l'ami disparu. Ce texte dit la douleur, la stupeur devant l'inacceptable, la révolte devant la maladie jamais nommée, sida. Mais il dit aussi le plaisir, l'amour, et l'amour de la vie, car, pour celui qui va mourir, chaque instant est une offrande. Dans les détails du modeste quotidien, du pire naît le meilleur. «Ta misère. Ce que j'appelle ainsi ne t'entame en rien à ... >Voir plus
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.