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3,71

sur 799 notes
Kurt Wallander n'est plus , poussé à la retraite par son créateur . Gorgll , snif suédois .
Ce Chinois allait-il , malgré tout , le supplanter avantageusement ou nous faire rire jaune ?

L'erreur à ne pas commettre , c'était d'emblée vouloir effectuer un parallèle entre ce nouveau roman et la franchise Wallander . Difficile , mais faisable .
Mankell sort la grosse artillerie en déterrant non pas un mais dix-neuf cadavres , tous originaires d'un petit village paumé du Nord de la Suède et exterminés à l'arme blanche . La piste d'un laborieux tueur en série ne serait toujours pas écartée...

La police locale semble sur les dents de l'amer . C'était sans compter sur Birgitta Roslin , juge émérite d' Helsingborg alors amenée par un malheureux concours de circonstance à investiguer sur le sujet .
Et c'est là que Mankell Airways se met en branle . Préparez les passeports , attachez vos ceintures , ça va crapahuter . Au programme et dans le désordre sur pas moins de 550 pages , Suède , USA , Chine et Afrique . Un périple mondial sur plusieurs décennies pour finalement trouver le fin mot à cette périlleuse saga sur fond de géopolitique .

Passionnant , ça l'était . Cohérent , pas toujours .
Prendre comme héroine une juge laissée au repos pour grosse fatigue et en délicatesse avec son mari mais pourtant capable de faire la nique à la police de Hudiksvall dont le savoir-faire digne d'un Derrick et d'une Lescaut réunis n'est plus à démontrer , m'ouais . le gros point noir de ce roman , c'est la multiplicité des sujets traités qui donne finalement une impression de surenchère et ce malgré tout l'intérêt qu'ils suscitent .
L'auteur passe de la traite de travailleurs chinois alors déportés en Amérique , fin XIXe , pour y construire le chemin de fer dans les pires conditions qui soient à une Chine contemporaine avide de domination mondiale tout en évoquant le Mozambique comme possible terre de colonisation . Autant de sujets passionnants que l'auteur survole donnant au final un méchant manque de liant à son récit . Dommage...
Comme toujours , Mankell s'est évertué à donner une réelle consistance à tous ses personnages et en cela , il est inattaquable...

Le Chinois : pas le meilleur Mankell mais un Mankell quand même...
http://www.youtube.com/watch?v=1hQqZDCpTxM
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Quelle claque ce roman! Un bon petit pavé de 550 pages qui m'en a littéralement mis plein la figure.

A la base je ne connaissais pas Henning Mankell. C'est un ami, fou de la série 'Kurt Wallander', qui a éclairé ma lanterne sur cet auteur. Ainsi, lorsqu'un beau matin je l'ai vu, là, dans son chariot des nouveautés à la bibliothèque, je n'ai pas hésité une seconde. La lecture du résumé n'a fait qu'accroître mon intérêt pour ce livre qui s'est avéré par la suite être une véritable tuerie. Dans tous les sens du terme et sans vouloir faire de mauvais jeu de mot.

Je ne vais pas m'attarder sur le résumé de l'histoire en tant que tel car où est l'intérêt pour celui qui ne l'a pas encore lu que de lire un résumé complet (comme je le vois trop souvent malheureusement) qui révèle les phases fatidiques de l'histoire? En passant, je déconseille à toute personne souhaitant lire ce roman de lire le résumé façon 'liste de course' sous la rubrique 'résumé éditeur' concernant ce livre qui tue toute perspective de suspense et gâche l'effet que l'auteur s'efforce de créer... Mieux vaut s'en tenir au résumé de la quatrième de couverture qui ici se trouve sous la rubrique 'résumé membres'.

Trève de blablaterie et venons-en à l'essentiel, à savoir mon avis!

Alors là, voilà un polar comme je les aime. Haletant, vibrant, mystérieux. D'entrée de jeu l'auteur nous plonge dans un univers froid, sinistre et isolé. Il nous glisse vers ces meurtres à 'pas de loup' si je puis dire. Des pas de loup qui fermeront par ailleurs la boucle de toute cette histoire.
L'auteur joue dès le départ avec son lecteur en multipliant les personnages. Il trie les informations, sélectionne les actions. Il mène le lecteur d'une main de maître tout au long de cette histoire qui au delà de ses allures policières requiert des facettes inattendues (politique, culturel, historique, touristique...) mais d'une importance, et d'un intérêt, inégalables.

Je me suis réellement extasiée devant cette écriture 'Mankellienne' qui ne manque pas d'apports politico-culturels notamment concernant la Chine (mon pays de prédilection) et l'Afrique. La Suède également avec son système juridique et ses paysages forestiers à n'en plus finir. J'ai bu chaque page de son roman comme une mamie lirait le tout nouveau Françoise Bourdin ou Danielle Steel. Tout dans ce livre a été pensé, réfléchi, organisé. Rien n'a été écrit au hasard. Chaque page a son importance, d'où mon incompréhension lorsque je lis sur certaines critiques que certains passages sont trop longs...

En revanche, je suis d'accord avec certains compatriotes critiques pour dire que la fin est à mon grand regret... un peu décevante. Après une telle claque on s'attend à ce que la joue nous brûle pendant encore un bon moment, mais avec cette fin c'est comme si l'auteur s'était mis des gants bien molletonnés avant de nous en mettre une, amortissant inévitablement la chute. Dommage.

Quoi qu'il en soit, je pense garder de ce roman un excellent souvenir. Il m'a enrichie, m'a subjuguée et bien plus encore...


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Dans un petit village suédois isolé, dix-neuf personnes sont sauvagement assassinées en l'espace d'une nuit, et le seul indice est un ruban rouge trouvé sur les lieux.

Henning Mankell nous présente dans ce nouveau roman des personnages originaux, dont une juge d'instruction qui, comme Kurt Wallander, son précédent héros, est surmenée et en mauvaise santé.
Elle se trouve liée à cette affaire un peu par hasard, sa mère ayant été élevée par une des familles assassinées.

Cette histoire nous entraîne en Chine, aux Etats-Unis et en Afrique et pose pas mal de questions sur l'exploitation des humains à travers le monde et sur les politiques actuelles.
Un très bon roman politique et social et des personnages attachants.


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Vous arrivez dans un petit village perdu dans le nord de la Suède et vous voyez du sang, puis une jambe et ensuite pas moins de dix-neuf cadavres, des personnes sauvagement tuées à l'arme blanche ! Donc, tout naturellement la piste se tourne vers un tueur en série ou un dangereux psychopathe.

La police locale est chargée de mener l'enquête et le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle ne va pas chômer avec tous ces macchabées sur les bras ! Seul indice retrouvé sur place, un ruban rouge chinois, c'est lui qui va servir de fil rouge à la juge Birgitta Roslin parachutée sur place pour mener des investigations et nous embarquer avec elle jusqu'en Chine en passant par les États-Unis, l'Afrique et bien sûr la Suède!

L'histoire est sympa, parfois un peu décousue, parfois pas facile à suivre et parfois peu crédible ; mais ça reste une bonne enquête quand même.

Le seul bémol restera les sujets politiques traités, tels que la traite des travailleurs chinois qui ont été déportés en Amérique afin d'y construire le chemin de fer dans des conditions inhumaines puis la puissance chinoise de nos jours qui se rêve en dominateur du monde, puis le Mozambique à coloniser… Et ça fait un peu beaucoup, on finit parfois par s'y perdre…

Henning MENKELL aurait peut être bien fait en faisant deux romans pour ne pas évoquer trop de sujets sur un seul.

Bref, un roman policier qui reste captivant malgré tout si vous passez quelques faits assez bizarres concernant la juge ; mais après tout c'est un roman, on peut lui passer quelques faiblesses.

À lire assis(e) sur une natte, bien confortablement, avec un plateau de nems poulet, porc, ou végétariens, avec une carafe d'eau et un verre de Baijiu (prenez des forces, vous avez 576 pages qui vous attendent ! Bonne lecture…

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Le premier Mankell de l'après Wallander !
Dans ce nouveau roman, Henning Mankell est plus que jamais dans la dénonciation politique, avec le risque d'en faire cette fois un peu trop. L'ennemi mortel est tout désigné, et il vient bien sûr de Chine.
Tout commence pourtant à la manière d'un policier classique, bon, à l'exception peut-être de la dimension du carnage : un dix-neuf-uple meurtre a été commis dans un petit village isolé, coincé entre un lac et une forêt du nord de la Suède. Un loup facétieux a semé la pagaille dans l'agencement des cadavres, à la grande consternation des enquêteurs qui n'en reviennent pas d'une telle sauvagerie. Il y a néanmoins quelques survivants, mais ceux-ci n'ont rien vu ni rien entendu, le mystère reste total. La première partie – la découverte de la scène de crime et le démarrage de l'enquête – est époustouflante. La suite malheureusement parvient moins bien à convaincre.
La construction du roman, en plusieurs parties un peu étanches, impose le grand écart entre la Suède de 2006 et la Chine de 1863, on devine que le flot d'hémoglobine prend sa source dans de très lointaines contrées et à une époque très reculée. Mais là n'est pas le problème. Une juge de Helsinborg, Birgitta Roslin, mène une enquête parallèle à titre privé, plutôt couronnée de succès comparée au piétinement des investigations officielles. Or les ficelles utilisées par Henning Mankell sont plutôt grosses. La ficelle la plus énorme prend la forme d'un mystérieux ruban rouge, retrouvé sur les lieux du drame et montré à la télé. Il n'en faut pas plus à notre enquêtrice amateur pour retrouver la trace de l'assassin dans le restaurant chinois où il a déjeuné, dans l'hôtel où il a passé la nuit, et miracle, cet hôtel pourtant miteux est pourvu d'un matériel high-tech de vidéosurveillance dernier cri, et l'assassin oublie malencontreusement dans sa corbeille à papier des documents, curieusement mis de côté par l'hôtelier. Comme si cela ne suffisait pas, Birgitta découvre pilepoil une lettre de 1896 et des carnets anciens en ouvrant par hasard un tiroir chez l'une des dix-neuf victimes, et ce journal lui est gracieusement prêté par les enquêteurs, bien qu'elle l'ait dans un premier temps subtilisé sur la scène de crime !
Un voyage à Pékin sert de prétexte pour dénoncer les excès du capitalisme à la chinoise et de la mondialisation en marche. En fait, la plupart des personnages du roman sont des allégories : Birgitta Roslin est la digne représentante du vieillissant modèle social suédois ; Hong Qiu représente la Chine communiste idéalisée, faisant la promotion de la solidarité et de l'entraide entre les peuples ; son frère Ya Ru symbolise au contraire la Chine cynique et ultralibérale, sans scrupules et prête à tout pour conquérir le monde.
Or Mankell nous met en garde : la colonisation du monde par la Chine a déjà commencé, à partir de l'Afrique, et l'Europe va suivre. Plusieurs allusions évoquent les restrictions budgétaires et le service public suédois mis à mal (le manque d'effectifs dans la police et dans la justice suédoise, etc.) Et si Ya Ru symbolise la Chine provocante, agressive, et même, selon Mankell, animée par un certain esprit de vengeance, l'anéantissement de Hesjövallen, petit village tranquille aux dix-neuf cadavres, symbolise évidemment la destruction des emplois en Suède, sous les coups de sabre d'une économie chinoise envahissante, mondialisée et revancharde.
Un roman assez démonstratif, sacrifiant parfois la crédibilité de l'enquête policière à la théorie du complot. On aurait aimé un final renouant avec la maestria mankellienne à l'oeuvre dans la première partie.
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C'est un roman à la forme très originale. Ou plutôt trois romans imbriqués les uns dans les autres mais évidemment liés par un fil invisible.
Un roman policier qui débute par le meurtre sauvage des habitants d'un petit village du nord de la Suède. Enquête à laquelle la juge Brigita Roslin va se trouver mélée malgré elle et qui va l'emmener jusqu'en Chine...
Un roman social sur les dures conditions de travail de paysans chinois envoyés aux Etats-Unis au XIXème siècle pour construire des chemins de fer au péril de leurs vies. Des vies à peine meilleures que celles d'esclaves...
Récit captivant.
Un roman politique enfin sur la Chine contemporaine, à peine sortie de la dictature maoïste et tentée par l'impérialisme d'un capitalisme sans limites. Qui nous offre un détour par l'Afrique où certains dirigeants, ne voulant plus aucune relation avec les pays occidentaux, se tournent vers la Chine dont les intentions ne sont pas forcément meilleures.
Avec un retour en Suède puis dans le quartier Chinatown de Londres, la boucle est bouclée, la Chine a pris sa revanche et étend son pouvoir sur le monde entier. Et règle ses comptes.
Nous avons parcouru quatre continents, trois siècles, été confrontés à une série de crimes horribles, sans compter les problèmes conjugaux de notre juge quinquagénaire...Un tableau de notre époque plutôt sombre mais intéressant. L'histoire policière par contre manque de cohérence et me laisse un peu nostalgique de la série des Wallander...Affaire à suivre.
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Le Chinois, c'est l'histoire d'une tuerie sanglante d'un petit village suédois, anéanti de manière barbare. La policière Vivi Sundberg mène l'enquête, sans pour autant trouver d'explication rationnelle au massacre des dix-neufs personnes, essentiellement toutes âgées, d'Hesjovallen. A plusieurs centaines de kilomètres de là, à Helsingborg, une juge suédoise prénommée Birgitta Roslin, s'intéresse à l'enquête, suite au décès de ses parents adoptifs, natifs du village. Après quelques recherches, elle découvre une piste intéressante : un ruban de soie rouge, trouvé sur les lieux du crime, serait relié à un restaurant chinois, où aurait mangé un homme seul. Elle se lance seule, téméraire, dans une enquête parallèle, qui la mènera sur un autre continent : jusqu'à Pékin.

Outre les parties strictement délimitées par Henning Mankell, j'ai trouvé que le récit se découpait en deux parties. Une première partie parfaitement addictive, qui raconte avec précision le massacre du village. C'est sans doute la partie que j'ai préféré, pleine d'une tension croissante, dotée d'un rythme effréné, de beaucoup de mystères. Ce n'est pas la partie la plus facile à lire, puisque certaines descriptions peuvent choquer les esprits les moins avertis. J'ai néanmoins beaucoup apprécié l'atmosphère lugubre, le cadre atypique des événements, qui se déroulent dans une Suède profonde, reculée, désertée par ses habitants.

La deuxième partie est quant à elle tout autre. Nous suivons la juge Birgitta Roslin dans son enquête parallèle, éloignée du lieu du crime originel. Une enquête qui nous emmène sur un autre continent, en Chine, puis en Afrique, bien loin de la Suède originelle et bien éloignée des éléments principaux de l'intrigue. Cet éloignement forcé nous fait perdre le fil du récit ; j'avais l'impression d'avoir commencé une nouvelle histoire, totalement différente du massacre narré au début.

De fait, mises bout à bout, les deux parties manquent clairement de cohérence et de liant. Séparément, elles peuvent rendre quelque chose de bien, mais ensemble, cela ne fonctionne pas. Les sujets sont trop multiples – mondialisation, vengeance, secrets familiaux, corruption, capitalisme… -, le lecteur s'y perd. La construction globale est clairement à revoir ; l'intention est présente, mais l'ennui l'était aussi parfois.

Un roman policier qui a du potentiel, mais la multiplicité des sujets abordés le font manquer de cohérence. le socle du récit est solide, mais le développement est trop chancelant : dommage !
Lien : https://analire.wordpress.co..
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Le livre débute avec la découverte d'un massacre dans un petit village isolé de la Suède. Dix-neuf personnes ont été tuées à l'arme blanche. Vivi Sundberg est chargée de l'enquête, et la juge Roslin s'y intéresse également car les parents adoptifs de sa mère font partie des victimes. A partir d'un ruban rouge retrouvé sur les lieux, elle piste un Chinois filmé par une caméra de surveillance. Commence alors une histoire à ramifications multiples, entraînant la juge et les lecteurs du côté de Pékin, à l'approche des jeux Olympiques. La recherche remonte également à l'époque (1867) où des Cantonais étaient envoyés aux Etats-Unis comme esclaves sur les chantiers. Puis l'essentiel du propos se déplace vers l'Afrique d'aujourd'hui où les Chinois deviennent les nouveaux colonisateurs, transplantant leurs paysans et leurs ouvriers pour cultiver les terres, exporter les matières premières et s'installer durablement. 
Le roman policier devient alors une complexe leçon de géopolitique qui n'a plus grand-chose à voir avec une fiction. Certes, on ne cesse de répéter, à juste titre, que ce genre est ancré dans le réel, qu'il livre comme un miroir de la société contemporaine, mais la fiction doit rester le point d'appui. Si Mankell retombe sur ses pieds pour boucler une conclusion plus "policière", le Chinois reste un livre bancal en dépit de son savoir-faire et de ses louables principes. 
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Ayant lu 3 ou 4 titres de Hening Mankell que j'avais beaucoup aimé, je me suis jetée avec bonheur sur ce nouveau titre.
L'histoire de vengeance à travers le temps et l'espace a peinée à me convaincre.
Le périple Suède, Chine, USA, Zimbabwe, Londres, alourdi de clichés et de caricatures donne le mal de mer...

Malgré des recherches définitivement très bien documentées, l'histoire est peu crédible.
Mankell passe au tamis les péripéties familiales et psychologiques de personnages pas vraiment attachants, le récit devient lourd, dense...

La construction de l'histoire étonne car la découverte du noeud même de l'intrigue est dévoilé au milieu du roman ....
L'auteur s'est sûrement échiné à sortir de ses sentiers battus, malheureusement je n'ai pas mordu à l'hameçon!!
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Difficile pour moi de faire une critique objective de ce roman,car je suis une fan absolue de l'auteur.
Celui-ci nous entraîne dans deux époques et dans deux pays(la Suède et la Chine).Une juge s'intéresse à l'enquête sur un massacre ,car elle n'est pas convaincue que la police a arrêté le vrai coupable.Elle va se retrouver menacée,et la police ne la prendra pas au sérieux,contrairement à ceux que ses découvertes menacent.Une machination qu'on a plaisir à découvrir,car l'histoire n'est pas simple et cela change de celles où l'on sait tout trop vite.
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