Je

Je n'ai pas mis de note!
Non ce n'est pas un oubli. Je suis incapable d'en donner une.
On pourrait y mettre 5 étoiles, coup de coeur ou 0 signifiant : nul!

L'histoire, complexe, que je ne vais pas, outre mesure, raconter ici, est au début le récit d'un jeune garçon dominé et malmené par une mère marâtre qui, une fois n'est pas coutume, l'emmène en vacances au même titre que son bagage, ni plus, ni moins. Ce jeune, qui, apparemment, en a marre d'une mère absente, même quand elle est présente, qui ne s'inquiète point de lui, profite d'une baignade pour l'étrangler...

Le récit, comme dit plus haut est à considérer soit , comme un chef d'oeuvre ou soit comme nul. Cependant j'avoue ne pas avoir les compétences pour juger! Certes le lecteur ressent quelque chose à une lecture, forcément, sinon à quoi bon lire? Ici, j'ai lu, quelquefois avec ennui, d'autres avec intérêt mais, globalement sans passion.
Oh, c'est bien écrit, on peut juger ainsi ou c'est écrit comme on parle, il y a des absences de négation, le "ne" oublié ou fait exprès(?), des répétitions mais c'est aussi un style, etc.
Finalement en regardant derrière moi et en considérant le temps passé à la lecture, je dirais que je n'ai pas (trop) perdu mon temps.
Je laisse les futurs lecteurs se faire leur propre jugement.

Merci à Babelio pour cette masse critique et aux éditions Red'Active/ pour l'envoi du livre.


Lien : https://www.babelio.com/livr..

Un livre qui m'a été envoyé par l'éditeur Red'activ lors d'une opération masse critique
Un livre qui intrigue dès la couverture, et c'est ce que cherche l'auteur peut être un peu trop à mon goût, mais il faut bien le dire, c'est fait avec talent... Une présentation simple efficace, pour refléter le roman, il ne s'agit pas d'en faire des tonnes... il faut être simple... car oui.. le roman en fait contient un discours... surtout un discours qui se perd dans les méandres de la pensée, et vue le sujet c'est asse bien vue... ce n'est pas une histoire, c'est de la pensée amorale, sans manipulation réelle.... juste des constats... Alors oui, sur la couverture un Je rouge, une présentation par l'auteur qui d'habitude constitue une quatrième de couverture mais se trouve à l'avant ! Et à l'arrière une photographie de pieds chaussés de noir dans la neige encadré d'un cadre rouge sang... sobriété! et à la fois cette sobriété inquiète et intrigue... alors on ouvre le livre... et une mère comme il y en a beaucoup, qui s'achète peu mais sans compter, pour elle de la qualité, et qui est pingre dès qu'il s'agit de son enfant... une mère au curieux instinct maternel, mais pourtant il y en a beaucoup, mais vraiment à condamner mais qui coup sûr ridiculise son enfant à force de pingrerie... d'chat bon marché... et là l pulsion.... l'acte dérangeant... avec la société qui ne comprend pas que non il n'y a pas eut accident, il y a eut crime... la complaisance des enseignants des psychiatres... qui n'ont rien compris... bref le livre dont on ne peut pas faire un film correctement.... car il ne peut pas y avoir les mêmes explications en image, les images trop choquantes tueraient le discours... Loin de Manon Lescaut qui, amorale se trouve petit à petit une morale par la force des choses quand elle est déportée et que dont, et bien elle ne peut pas manipulé son monde.... juste mentir un petit peu et se tenir à carreau... parce qu'elle manque d'éducation mais se rend bien compte finalement de sa situation, là c'est un narrateur face à lui-même qui n'a aucune intention, juste une pulsion... que la société finalement ne comprend pas... car il n'y a rien, finalement à comprendre, et pas de personne à sauver... puisque cette personne est sans conscience... Comment savoir si un tel personnage existe vraiment ? On ne sait pas.... on ne peut que l'envisager sans vraiment en être sûr car c'est vraiment le problème, la réalité que refusent bien des psychiatres, on ne peut jamais entrer totalement dans la tête des gens et savoir réellement à quel point ils sont conscients de leurs actes, si vraiment un drame les as touchés et à quel point.... car on ne sait jamais complètement à quel point la personne comprend ce qui se passe d'un point de vue morale... peut être qu'elle ne fait que dire ce que l'on veut entendre... juste pour continuer à vivre parmi nous... le personnage ici ne manipule pas il dit les choses telles qu'il les perçoit, et dit la part qu'on veut entendre... où est la vérité ? Un livre que je vais prendre le temps de finir... mais il est clair que 'est pour un publique qui est conscient du sujet.... Une démarche intéressante... il me faudra le lire au moins une fois en entier... curieux que je le reçoive alors qu'il y a peu, on a relâché un tueur, suivi par des psychiatres, qui a tuer à coup de couteau à nouveau...

....... Où veut en venir l'auteur(e) ? Pourtant par la présentation et la narration on nous avait prévenu... attendre le moment charnière du livre!.
Une excellente découverte à côté de laquelle je serai passée sans l'opération Masse Critique.. et l'éditeur qui me l'a envoyé... oui je serai passé à côté... un grand merci donc....

Évalué 3,5 étoiles : entre 2 et 5 étoiles, la moyenne fait 3,5… Une note qui ne m'engage pas vraiment !

Je de V. Maroah, Éditions Red Active, 2023 (roman).

Un livre intrigant en tant qu'objet avec une couverture inversée : la quatrième en position de première, en quelque sorte…
Un livre déroutant, stylistique, qui met en avant la narration, le discours, éléments fondamentaux du récit dans un roman.
Une polyphonie déstructurée.

Le récit commence à la première personne : un enfant raconte sa difficile relation avec sa mère, une jeune femme peu concernée par sa maternité, maltraitante par indifférence. Quand elle décide, sur un coup de tête, de l'emmener en vacances, il va tout simplement l'étrangler lors d'une baignade dans l'eau froide d'une cascade. Devenu serial killer, prisonnier de son enfance, il tuera des mères et passera presque toute sa vie en prison.
Ce parcours de vie et de meurtres est interrompu par un autre narrateur, celui, omniscient, qui ne devrait pas s'exprimer en son nom personnel. Ses incursions dans le déroulement du récit apportent confusion et originalité à la fois.
Après un entracte, une deuxième partie est consacrée à l'histoire de Maud et Milla, à un autre crime et une autre maternité non assumée avec les prises de parole d'un autre narrateur, un « nouvel avatar » qui vient encore compliquer l'écheveau narratif, interrompant l'écriture d'une autre JE, qui avait tout pour elle, mais elle, elle n'est pas…
Certains personnages, certains narrateurs ne sont pas ce qu'ils paraissent…
Ce livre est présenté comme une quête de l'autre, au détriment de soi. Comprenne qui pourra !

J'avoue que Je m'a un peu perdue en route : soit sa construction circulaire à la manière d'un anneau de Möbius est géniale, soit l'ensemble de ce discours est vraiment trop incohérent…
J'ai apprécié les univers référentiels, certains traits d'humour et quelques péripéties percutantes mais le côté trivial des préoccupations des narrateurs m'a particulièrement agacée…

Vraiment déroutée, j'ai cherché des clés de lecture dans la biographie de l'autrice : V.Maroah est créditée d'une prédilection avouée pour les questionnements identitaires, le JE et les JE des hommes, les jeux des hommes, l'enjeu des hommes, avec une délectation particulière pour les explorations du langage et un incontrôlable goût pour l'absurde.
Me voilà guère avancée !

D'autres avis pour éclairer mon ressenti ?

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