Le château des fantômes, tome 8 : La colère de François 1er

Merci à Babelio et aux éditions Adabam pour nous avoir permis de découvrir la collection le château des fantômes au travers de la colère de François Ier.
Cette histoire de fantômes ne fait pas peur et permet de voyager dans le temps en découvrant une époque : La Renaissance et des événements historiques.
J'ai appris le fonctionnement de la machine à imprimer et je ne savais pas que cette dernière existait à cette époque. J'ai bien aimé les ruses utilisées par les personnages comme les déguisements mais j'aurais préféré plus de dessins.
(Maël 8 ans)

Pour ma part, j'ai apprécié l'approche historique avec l'étayage fait par une professionnelle de ce secteur. L'histoire est bien adaptée aux enfants et reste basée sur des évènements réels. Cette dernière me parait un peu courte. Mon enfant lait déjà des ouvrages plus longs et pourtant, le contenu du texte me paraîtrait inadapté pour des enfants beaucoup plus jeunes.
J'ai bien aimé l'approche des auteurs mais j'aurais aimé également un peu plus d'illustrations. Cet ouvrage est à mon goût un ton en dessous de la série Théo et Léonie dont un des albums aborde aussi cette époque et qui il est vrai a une ligne éditoriale différente.
(Guillaume 46 ans)

C'est mon tout premier livre pour cette collection que je découvre grâce à masse critique organisée par Babelio.
Je trouve que cette collection est intéressante. Les lecteurs suivent trois personnages, Cléo, Bathazar et Grodof (un chien). Ces derniers remontent le temps après avoir touché un livre très ancien et explore une époque. Dans ce tome, nous découvrons la Renaissance de François 1er et les débuts de l'imprimerie. Celle-ci y est très bien décrite. C'est un petit livre très bien documenté et instructif. C'est à la fois distrayant, car nos personnages vivent des aventures et n'oublions pas la part fantastique (avec le fait de remonter le temps. de même, la couverture est attrayante, le livre est ponctué de petites illustrations en lien avec les chapitres.
Toutefois, je ne suis pas une habituée des livres pour la primaire, je suis plutôt habituée aux livres pour les adolescents et jeunes adultes, de par mon métier, mais je me suis étonnée par la brièveté de l'histoire.
J'adresse mes remerciements aux Editions Adabam et à Babelio pour cette découverte.