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C'est drôle comme les écrivains français contemporains aiment parler directement d'eux. On sait tous que les auteurs mettent toujours un peu de vécu dans leurs romans (enfin, cela dépend des genres, en SF et polar c'est différent) mais là cela devient un genre à part entière. Autobiographie d'un non engagé politique, d'un non aventurier . . . J'ai compris après coup que cela s'articulait autour de la littérature, une espèce d'hommage à sa bibliothèque et aux objets livres aussi. Autobiographie d'une lectrice donc.
Pourquoi pas après tout, certains y chercheront avec bonheur certainement les petits plaisirs de l'identification. Car retrouver les années 1980-2000, la bande son, Tolkien et tout un tas de trucs du genre, c'est sûr que cela fait sourire et que les « boomers » et les « X » se sentent chez eux. OK, c'est peut-être un peu facile et au sortir de ce livre, objectivement, on peut de demander ce qu'il en restera. Rien sans doute à part la sensation d'un moment agréable passé avec une auteure drôle, légère. Je crois que j'aimerais rencontrer Mme Mélois au cours d'une soirée entre amis, avec une bonne bouteille (influence de la foire aux vins ?). Cela serait moins long que la lire tout en profitant de sa faconde et de son humour.
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Une flânerie ce samedi 7 mars dans une de mes librairies de prédilection [Librairie Tschann,Bd du Montparnasse ] m'a fait dénicher 3 textes fort sympathiques dont celui-ci...

Vagabondages, digressions sur l'amour des livres, de la lecture, qui va de l'odeur des bouquins aux livres de chevet en passant par la passion de l'auteure pour la poésie. Après la fascination et l'émerveillement total pour "Le Seigneur des anneaux" de Tolkien, Clémentine Mélois avait décidé de ne plus lire de fictions... Elle s'est immergée dans la lecture de la poésie.... Elle nous fait partager son goût immodéré pour l'océan, les récits maritimes et d'aventures... le ton général est facétieux, plein de malice, et de clins d'oeil au lecteur !! Moult anecdotes d'une écrivaine, amoureuse des mots et des
listes-inventaires, qui nous narre ses manies de lectrice....

L'auteure parle de ses lectures préférées, dont le journal de Samuel Pepys.... le ton est allègre, joyeux, primesautier, plein de fantaisie....
"" Il semble que Pepys n'ait eu d'autre désir que de se montrer respectable et qu'il ait tenu un journal pour montrer qu'il ne l'était pas", disait Stevenson. A chaque relecture, je referme ce livre avec le sentiment chagrin de quitter un ami, mort depuis trois cent cinquante ans." (p. 134)

Une lecture plaisante, distrayante... pour tous les "accrocs de la lecture" et des livres....Quelques noms contemporains des Lettres m'étant inconnus qui ont éveillé ma curiosité: Victor Pouchet, Francis Tabouret, Jacques Jouet, Emmanuel Venet, etc.

"Lire les notes de la Pleïade avec ma loupe me donne le sentiment flatteur d'être un vieil intellectuel absorbé dans des recherches de première importance. "(p. 75)
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Incipit :

"Au commencement de chaque nouvelle lecture, il me faut un temps d'imprégnation. C'est comme de se baigner dans l'océan Atlantique : il paraît qu'il faut d'abord se mouiller la nuque. Les premières lignes y sont pour beaucoup. C'est une façon de prendre la température de l'eau du bout du pied ou parfois une vague entière en pleine figure (de cet océan qui monte, nous dit-on, à la vitesse d'une cheval au galop).(p11)3

Cela commençait bien .... C'était tout moi et alors comment résister à la lecture d'un récit-témoignage d'une lectrice (écrivaine) qui évoque ses plaisirs au contact des livres mais également de ses lectures. Nous avons parfois l'impression d'être atteint(e)s d'une forme de trouble du comportement à l'approche d'un ouvrage, d'une librairie, des sentiments divers et variés qui nous traversent au fil des pages et cherchons à savoir de temps en temps si tout cela est grave, Docteur, si nous devons nous soigner ou si nous ne sommes pas seul(e)s à les avoir.

L'odeur du livre, les frénésies d'achats, les piles qui s'entassent et qui rassurent, le besoin d'avoir des réserves, les habitudes des endroits choisis pour lire tout cela Clémentine Mélois l'évoque dans ce petit "livre rouge". C'est tout cela mais également bien d'autres choses car le sujet est l'occasion de disgressions nombreuses vers d'autres univers : l'écriture, les voyages en train, la musique (en incorporant bon nombre de paroles de chansons amenées par les pensées ....) etc.....

Ce que j'ai le plus aimé c'est tout ce qui est lié directement à la lecture, aux sensations ressenties, les voyages immobiles qu'elle procure, l'influence des références lues et retrouvées ensuite et qui parfois ressortent dans notre quotidien, le sentiment de découvrir des univers qui nous semblent tellement loin de nous et que l'on aurait jamais explorés ou visités.

Clémentine Mélois le fait avec ironie, fraîcheur, de façon malicieuse, laissant vagabonder son esprit autour du thème : voyages, références, ses auteurs fétiches qui m'étaient totalement inconnus pour certains n'hésitant pas parfois à régler certains comptes avec auteurs et personnages de romans et j'ai visité sous sa houlette sa chambre et ses piles de livres, son lieu à elle pour écrire et c'est finalement une sorte d'inventaire à la Georges Perec des tics, manies, réflexes de lectrice s'appuyant sur Maigret et ses sandwiches pour mener son enquête, nous offrant une foule de références littéraires qui vont s'ajouter à notre liste déjà longue. Alors là je ne sais pas si je lui dis Merci.... 

J'ai aimé parce qu'il parlait d'elle, auteure, mais également de moi, de vous, sur un ton léger mais pertinent et puis parce que cela fait du bien de lire que l'on est pas fada mais simplement des lect(rices)eurs passionné(e)s ayant le même trouble la lecturemania... Une petite parenthèse enchantée sur un univers qui peuple nos jours et parfois nos nuits pour notre plus grand bonheur.
Lien : https://mumudanslebocage.wor..
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Clémentine Mélois plasticienne formée aux Beaux arts est également une romancière biberonnée à l'Oulipo l'école de Raymond Queneau et de Georges Perec

Dans "Dehors la tempete", son vibrant hommage à la littérature qui vient de paraitre chez Grasset, elle revient longuement sur les littératures de son enfance, cite sa Bretagne natale et son amour pour Moby Dick-(« le capitaine Achab arpente le pont, j'entends au-dessus de ma tête les grincements du bois au passage de sa jambe d'ivoire. » )

Clémentine Mélois nous fait partager cette expérience intime et en même temps universelle qu'est le plaisir de la lecture. Mêlant souvenirs autobiographiques et récit de personnages de fiction son Dehors la tempête ( titre ô combien prémonitoire) séduira à coup sur les nombreux amoureux de littérature.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Cela fait plusieurs semaines que je picore ce livre délicieux, inclassable. Je l'embarque avec moi pour un café, un voyage en train, une étape au soleil sur un banc. Je lis, je relis. Il me semble qu'on peut n'avoir jamais fini de le lire car c'est un recueil à tiroirs que l'on peut ouvrir sans y trouver à chaque fois la même chose. Ceux qui vivent dans les livres ne peuvent que s'y sentir dans leur élément. Clémentine Mélois mélange les genres, désaxe la réalité et donne à la fiction des accents de vérité. Elle crée un tourbillon au gré duquel on se laisse emporter, stimulé par l'écho que ses réflexions de lectrice vient créer dans notre esprit. L'expression "vivre avec les personnages" d'un livre vient soudain prendre corps dès lors que le lecteur devient acteur et contribue autant que l'auteur à les faire exister. le voyage est intrigant, émouvant, drôle, stimulant. Qui n'a pas rêvé d'ailleurs au cours d'une réunion interminable ? Qui n'a pas cherché dans les bibliothèques des autres des indices sur leur personnalité ? Et ces personnages des lectures d'enfance qui remontent soudain à la surface ? Tous ces allers-retours entre les livres et les lecteurs offrent une atmosphère envoûtante en rassemblant en un même lieu personnages de papier et réels. Ce qui provoque parfois des carambolages incongrus comme lorsqu'il s'agit de compter le nombre de verres bus par Maigret en une journée, et ce que cela implique financièrement. Comble de la mise en abyme, le chapitre "Grand Voyageur plus" à lire absolument dans un train rien que pour le plaisir de savourer ce moment "Dans le train, je suis tout entière à ma lecture. Parfois je pense aux vaches dont on dit qu'elles regardent passer les trains. Je me dis qu'elles regardent aussi passer des lecteurs. Des tas de petits lecteurs qui filent à travers champs sans rien savoir du dehors. Les volumes des bibliothèques de la Pléiade sont reliés en cuir d'agneau de Nouvelle-Zélande. Y a-t-il des trains en Nouvelle-Zélande ? Les agneaux de la Pléiade, depuis leurs prairies sans barbelés, regardent-ils aussi passer des lecteurs qui, comme moi, liraient les notes à l'aide d'une grosse loupe...". Je connais des publicitaires qui se contenteraient d'une formule toute faite du style "bien plus qu'un livre", là où Clémentine Mélois nous donne à ressentir toute la puissance de l'empreinte des livres en chacun de nous. Plonger dans un texte et laisser son esprit s'en emparer au point qu'il devient pour toujours un compagnon. Oublier les bruits du monde et préférer ces abris de papier. "Je lis pour faire diversion. Détourner ma propre attention et essayer d'oublier un instant l'absurdité du monde". Quoi d'autre ?
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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Un livre délicieux, drôle, tendre, bourré de souvenirs et de pensées autour des livres. Une petite merveille d'humour et de poésie qui trouvera sa place sur toutes les bibliothèques

Clémentine Mélois parle de sa relation aux livres et aux auteurs qui ont nourri sa vie

Je le redis : une merveille !
Lien : https://www.noid.ch/dehors-l..
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Un livre sur... les livres.

Ce livre de Clémentine Mélois - trouvé tout à fait par hasard en librairie - est une découverte réjouissante !
L'autrice y parle de sa passion pour les livres et la lecture.
D'un concours d'écriture pour enfants organisé par Gallimard qu'elle remporte à l'age de 9 ans (et pour lequel elle reçoit pas moins de 365 livres !!), à sa passion d'adolescente pour l'oeuvre de Tolkien, en passant par sa découverte de la poésie, puis son amour pour Simenon et Perec - Clémentine Mélois égraine souvenirs et anecdotes autour de la lecture et de l'écriture.
Avec pas mal d'humour, elle décortique les manies des écrivains et de leurs personnages, partage avec nous sa passion pour les listes, nous raconte l'invasion de sa maison par les livres et les aléas de la vie de ses bibliothèques...
Ses références sont ancrées dans une « époque » à laquelle j'appartiens moi aussi (à quelques années près), ce qui a provoqué chez moi une certaine identification, permis de partager encore davantage son parcours et de sourire à de nombreuses évocations !

À lire au coin du feu lorsque dehors la tempête fait fait rage...
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Voici le préliminaires dans son intégralité
« D'abord, j'ouvre le livre en grand et je colle mon nez au milieu des pages pour les respirer. Chaque édition a son identité olfactive très singulière faite d'encre grasse, de papier et de moisissures. Mes souvenirs de lecture sont indissociables de l'odeur des livres. L'île au trésor a son odeur de foin rance, le Seigneur des Anneaux a son odeur de grenier chaud…. Et, lorsqu'il m'est arrivé de les relire dans une autre édition, c'est comme si quelque chose clochait, comme s'il manquait un truc. Comme un café servi dans un verre à eau ou du vin dans une tasse à thé. (Ayant toutefois conscience de la bizarrerie de cette manie, je fais en sorte de personne n'en soit témoin). »

Et bien, voyez-vous, chère Clémentine Mélois, je vous ressemble sur ce point. Il m'est très difficile d'acheter la version poche lorsque j'ai dû rendre un livre, à la bibliothèque du village voisin. Il faut que je le recherche en sa première version, (bouquinistes, Emmaüs et recyclelivre que je viens de découvrir). Par contre, je peux, sans aucun problème acheter un livre de poche non encore lu. Bizarre, vous avez dit bizarre ?
Le livre est avant tout un objet qui peut m'amener au plaisir, un objet que je renifle, feuillette chez le libraire (qui doit rire dans son coin), mais bon, des fêlés mordus, il doit y en avoir des centaines !
Oui, il faut le temps de s'imprégner et la première page, toute attirante ou repoussante quelle soit, est la porte d'entrée dans le palais des délices… Ou pas. Votre inventivité marche à fond… Jusqu'à imaginer l'auteur à sa table de travail avec tous les déguisements idoines.
Chez vous, on ne fait pas bibliothèque commune, comme nous, où chacun à ses étagères, moi plus que Lui
Vous vous et nous posez des questions « Qu'en est-il du merveilleux ? Peut-être en est-il de cela comme du soleil, pour lequel nous disposons paraît-il d'un capital. Où en suis-je de mon capital émerveillement ? »
Le vôtre ? Il est intact, pour preuve, votre joie en découvrant, dans la bibliothèque de jean Giono, que vous aviez souligné les mêmes paragraphes dans le Journal de Samuel Pepys.
Une bibliothèque est comme un portrait. Dans le choix des livres et dans leur classement se révèle, il me semble, la vraie nature des gens. » Oui, une bibliothèque est quelque chose de très intime.
L'Océan est très présent, même si vous n'appréciez la mer que vue de la terre et j'ai aimé l'image de la vague qui vous submerge à la lecture d'un livre. Et puis, les livres furent là pour vous emmener sur l'Océan déchaîné (Moby Dick…).
En ces temps où je suis peu ou prou cloîtrées, les livres m'embarquent. Ainsi, je reviens du Vietnam (Kim Thuy) et de Palestine (Karim Kattan), après un passage en Islande (Arlanldur Indridason), en Ecosse , sans oublier la France (Dimitri Rouchon-Borie). En ce moment, je suis en Russie (Sergueï Lebedev)...Même pas peur des distances et des décalages horaires.

J'ai aimé votre gourmandise, votre humour (compter tous les verres que s'enfile Maigret dans la journée, j'avoue ne jamais y avoir pensé!), le ton léger, les phrases légères et bien tournées, les réflexions induites par vos lectures. J'ai aimé que vous vous dévoiliez à travers vos livres. J'ai aimé votre vu livresque.
Rien ne remplace et ne remplacera l'odeur des livres, les pages cornées, soulignées. Ne parlons pas des piles !! une liseuse ne peut m'apporter cette jouissance. Une bibliothèque virtuelle, cela n'a pas de sens ! Comment caresser les livres lorsque je passe devant une bibliothèque, le plaisir de les épousseter (oh, rassurez-vous pas souvent!). le plaisir de l'évasion que me donne les pages lues va de pair avec l'ancrage terrestre de MES bibliothèques.
Clémentine Mélois, dehors peut souffler la tempête, un livre nous trouvera toujours et nous emportera dans ses lignes.
Vous faites appel à Pérec dont je viens de terminer « Tentative d'épuisement d'un leu parisien » où, quotidiennement, il dresse la liste de tout ce qui passe devant sa table de bistrot. C'est cela aussi les livres, des ponts entre plusieurs lectures successives.
Merci pour ce livre qui est parle avec légèreté, mâtiné d'une tendre ironie avec la malice idoine, d'un sujet très sérieux, le livre, la lecture.
Lien : https://zazymut.over-blog.co..
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Je continue ma quête du regard sur soi, et de la contemplation, avec ce livre de Clémentine Mélois qui explore d'une manière toute personnelle l'activité de lecture, mais dans laquelle je me suis complètement retrouvée… Elle commence d'emblée par expliquer comment mettre son nez dans un livre. A chaque lecture, un souvenir olfactif. Puis, viennent les premières pages qui décideront de tout. Arriverons nous à nous laisser embarquer ? Ensuite, elle raconte comment elle a essayé de retrouver dans la vraie vie les saveurs croisées dans des romans, le goût des sandwichs de Maigret par exemple, la fameuse madeleine de Proust et des recettes décrites. Mais il y a aussi l'océan, l'aventure, comme dans les lectures d'enfance.

« A cause de Marie-Pierre Planchon, de Houat et de Moby Dick, j'ai vécu sur une île.«

Jusqu'à ce qu'un drame dans son entourage la ramène sur terre, loin des romans, vers la poésie d'abord, puis vers le seigneur des anneaux, auquel elle va vouer un véritable culte, jusqu'à décorer sa chambre comme si c'était un des éléments du Pays du milieu... Clémentine Mélois a dans cet essai sans queue ni tête, une langue pleine de fraîcheur, que je découvre. J'y ai retrouvé mes enthousiasmes de lectures enfantines, mes bizarreries et obsessions de lectrice. Ce livre parlera à tous ceux qui ont les mêmes, le goût des mots et des phrases, du détail.

« Je lis pour faire diversion. Détourner ma propre attention et essayer d'oublier l'absurdité du monde. Tromper l'ennui. »

C'est un livre qui fait du bien, à sa manière, qui réveille l'intellect et donne envie de contempler un moment son propre rapport aux livres.
Lien : https://leslecturesdantigone..
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Clémentine Mélois nous ouvre sa bibliothèque intérieure. Elle nous raconte, sans autres détours, sa relation privilégiée, olfactive et passionnelle avec les livres, les ouvrages qui sentent la mer et le large, comme ceux qui s'ancrent sur sa table de chevet, ceux qui ont compté et ceux qui s'accrochent. Elle raconte comment elle aime les listes et les inventaires. Elle nous emporte dans son délire et sa verve humoristique pour aborder des anecdotes ainsi que des questions qu'on ne se posait pas à propos de ses auteurs préférés, autour des textes qu'elle préfère et des extraits qui la font vibrer. On ne peut que vibrer aussi et toute cette frénésie nous amène à porter un regard sur notre propre relation aux livres, à la lecture et à tout cet univers conceptuel qui tourne autour de la création littéraire. Dehors la tempête aura engendré de beaux moments de lecture en compagnie de cette artiste plasticienne et récente membre de l'Ouvroir de littérature potentielle qu'est Clémentine Mélois.
Lien : https://rivesderives.blogspo..
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