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En terminant sa conférence (sur zoom) traitant de la véritable histoire des révoltés du Bounty, Olivier Mignon, le conférencier, nous conseille la lecture de l'Ile de Robert Merle. Ce livre paru en 1962 a obtenu le prix de la Fraternité.

Robert Merle ne m'était pas inconnu. de mémoire j'ai déjà lu de cet auteur "la Mort est mon Métier" ainsi que toute la série "Fortune de France" .

L'île est l'histoire romancée des révoltés du Bounty. C'est un excellent roman d'aventure avec quelques longueurs. (698 pages, édition Folio)

A la suite d'une révolte pour mauvais traitements des mutins s'emparent du bateau. Ils sont neuf à rester à bord. Lors d' une escale à Tahiti ayant besoin d'aide pour manoeuvrer le bateau ils embarquent six tahitiens et 12 tahitiennes. Après plusieurs jour de navigation ils aperçoivent une île quasi inaccessible "c'est un rocher et fort peu hospitalier".

A terre s'organise une société inégalitaire, d'un coté les anglais "les péritani", de l'autre les tahitiens. Chaque anglais se choisit une femme, ne laissant que 3 femmes aux tahitiens. Très vite une tension suivie de violence s'installent entre les deux groupes.

La majeur partie du livre traite des difficultés de la vie en société mais aussi et surtout l'intolérance, du racisme, de la violence. Au dernier chapitre perce une lueur d'espoir et d'amitié.

Les tahitiennes sont avec le lieutenant Purcell les personnages les plus intéressants.


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Lire ou relire Robert Merle et puis mourir…
Le faire comme on réaliserait un souhait ultime, poser la dernière pierre d'un édifice, ou faire le dernier pas qui mène à destination. Et comme à chaque fois que je repose l'un de ses romans, il me vient cette sensation qu'il sera difficile de trouver grâce à la prochaine lecture. Voici donc le génie de cet oiseau moqueur, malin, beau et fort tourmenteur.

Nous embarquons avec lui à bord d'une frégate anglaise sillonnant les eaux polynésiennes à la fin du dix-huitième siècle. Et ce voyage devient - comme tous les voyages auxquels nous convie l'auteur - une passionnante découverte des tréfonds pitoyables de l'âme humaine et de ses tourments.
Quel plaisir ressenti lors de cette lecture, et quelle démonstration magistrale à chaque page !
Ce livre est déconcertant par l'habileté de l'auteur à peler l'âme humaine tel un oignon ; et vas-y que j'te découvre cette fureur cachée sous ce bel uniforme, et celle-ci à peine dissimulée sous un tricot rayé. N'avions nous pas vu cette jolie noirceur bien cachée sous cet air impassible et naïf ou encore cette force brutale et ces dents carnassières derrière ce joli minois ? Et quant à celui-là qui se croyait valeureux, humaniste et pur, n'a-t-il pas habilement dissimulé – quasiment à son insu - sous de bonnes couches d'humanité et de piété un autre défaut ?

Le sujet est connu : Sous les tropiques, au beau milieu du vaste océan Pacifique – qui n'a de pacifique que le nom - un équipage se rend coupable de mutinerie après avoir liquidé son odieux capitaine.
Officiers et matelots aborderont à Tahiti et décideront de tenter leur chance afin de gagner une petite île, présumée, absente des cartes et, selon les dires, peu hospitalière.
La chance sourira aux 9 audacieux marins accompagnés dans leur aventure par 6 Tahitiens et 12 vahinés, mais alors qu'ils tentent de reconstruire une société ce petit monde va se déchirer et s'affronter sous les tirs croisés de l'intolérance et du racisme, mais aussi ceux de la discrimination, de l'exclusion et des violences verbales ou physiques.

Comme à chaque fois avec Merle, les humanités sont dévoyées, le doute sourd entre chaque ligne, la réflexion est partout et sur tout. Et à la fin, on a droit à une extra ball comme lorsque la partie dure et qu'on l'a bien mérité !

Un livre à emporter sur une île déserte, assurément.
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Inspiré de la mutinerie du Bounty, le roman de Rober Merle, L'île, s'en éloigne tout à fait quant au volet historique, l'auteur prenant soin de le préciser dans sa préface.
Après une mutinerie meurtrière, sept matelots (Baker, MacLeod, Jones, Johnson, Smudge, Hunt, White), un lieutenant (Purcell) et un capitaine (Mason) prennent le contrôle du Blossom, navire battant pavillon britannique . Leur forfait accompli, ils abordent à Tahiti à la faveur d'une amitié entre Purcell et le grand chef des Tahitiens. Un groupe d'hommes et de femmes de la grande île acceptent de les suivre sur le bateau afin de trouver refuge sur la première terre abandonnée qu'ils trouveraient dans le vaste océan Pacifique.
C'est sur ce séjour que se concentre le récit : sur un îlot montagneux isolé, vingt-sept humains aux moeurs différentes tentent de créer une micro-société. Les relations ne tardent pas à s'envenimer, plombées par le racisme latent, la promiscuité, les jalousie et les écarts sociaux.
J'ai dévoré ce roman hautement édifiant sur la nature humaine en mode survie. le style épuré de la narration contribue grandement à une lecture facile et je le recommande, tout comme l'avait fait La librairie de la place aux herbes, à tous ceux et celles que l'aventure sauvage intéresse. Découvert avec ce roman, Robert Merle est un écrivain que je continuerai à fréquenter.
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Je poursuis avec un grand intérêt mon approfondissement de l'oeuvre de Robert Merle. Et je pense que ce roman est fort instructif. Pour la trame historique de cet ouvrage, l'auteur choisit le thème bien connu de la littérature et du cinéma des Révoltés du Bounty. Il change le nom du bateau, des protagonistes, mais l'idée est là : tout commence sur le Blossom où le capitaine Burt se montre quelque peu tyrannique et cruel envers l'équipage. Après le meurtre volontaire d'un jeune matelot, des marins se rebiffent et provoquent une mutinerie qui réussit. Au cours de celle-ci Burt sera tué par l'un de ses officiers…



Le récit raconte ce qui a ou, plus exactement, ce qui aurait pu se passer après cette tragédie. Eh oui, le fait qu'un homme soit injustement tué reste à nos yeux une tragédie. La mort du matelot excuse-t-elle la mutinerie ? En tous les cas, elle l'explique aisément. le lieutenant Mason tue le capitaine car il n'a pas supporté cette mort et cette énième injustice envers les hommes d'équipage. Cependant, est-il légitime de rendre la justice soi-même ? Il existe parfois des cas de force majeure et des contextes défavorables qui peuvent décider un homme à franchir la ligne rouge - d'autant qu'un officier supérieur aura presque toujours gain de cause dans le cadre d'une cour martiale…



Le récit s'ouvre par une description du navire Blossom, pages vibrantes qui nous permettent de découvrir les principaux protagonistes de l'histoire : grâce au talent de conteur de Merle, nous vivons réellement l'ambiance si particulière qui règne à bord. Nous ne sommes guère surpris par les conditions de vie difficiles auxquelles sont soumis les marins, officiers compris. Toutefois, ces derniers bénéficient de différents avantages, comme par exemple une nourriture de meilleure qualité.



Les révoltés en viennent à prendre possession du bateau. Il convient alors de définir un plan. le leur se révèle fort simple : après avoir engagé des Tahitiens, ils décident - sous l'influence de Mason - de se rendre sur une île inconnue de l'Amirauté. Effectivement, les mutins désirent ne pas être retrouvés. A l'époque, les mutineries sont très sévèrement punies, plus lourdement encore si des officiers subissent des outrages ou la mort. Une île qui ne figure pas sur les cartes maritimes d'alors permet aux révoltés du Blossom d'éviter un jugement et la potence …



Une fois l'équipage au grand complet, après avoir débarqué les marins qui n'ont pas participé à la mutinerie, le Blossom finit par retrouver cette fameuse île qui doit leur permettre de finir leurs jours paisiblement. Les premiers problèmes surgissent rapidement : l'île parait trop petite, pour cette… toute petite colonie. de plus, elle semble beaucoup moins accueillante que d'autres îles du Pacifique. Enfin, et c'est peut-être le plus grand problème qui se manifeste : les matelots ne désirent plus appeler les deux officiers présents par les salutations d'usage. Ils ne veulent pas de cette hiérarchie, car ils estiment qu'elle ne repose sur plus rien de factuel, étant donné que leur vie militaire maritime est définitivement terminée.



Bien évidemment, Mason refuse cet esprit contestataire car il exige de maintenir, même dans les conditions si particulières dans lesquelles ils doivent tous désormais vivre, les codes de la civilisation. Pour simplifier, il veut dominer tous les autres membres du groupe en souvenir des conventions sociales du passé…



Par conséquent, Mason ne veut pas entendre parler de ce parlement démocratique institué par de simples marins. Il dédaigne se soumettre aux désirs de cette assemblée républicaine, lui l'officier de sa Gracieuse Majesté. Son adjoint, Purcell semble quant à lui moins catégorique. Il consent à siéger, mais pour établir une vraie démocratie.



En effet, et c'est probablement l'ironie coutumière de l'histoire démocratique : ce parlement ne prend pas en considération le vote des Tahitiens. L'ancien officier Purcell accepte la proposition plébéienne mais avec une idée en tête, plus précisément une stratégie purement politicienne : intégrer le parlement pour faire admettre aux parlementaires le projet d'intégrer les Tahitiens. En cas de réponse favorable, Purcell pourrait diriger librement le parlement parce qu'il aurait la majorité…



D'une manière générale, et pour simplifier encore, ce manque d'ouverture démocratique choque l'officier Purcell qui malgré tout renvoie dos à dos, les rigueurs compassées et dépassées de Mason et les manquements démocratiques des hommes d'équipage, ainsi que leur incapacité à se projeter dans le futur.



En fin de compte, le récit démontre parfaitement que, même à l'échelle microscopique d'une vingtaine de personnes, la démocratie n'apporte pas les résultats escomptés. Il y a toujours une personne qui domine l'assemblée, notamment par la force, la peur, la coercition, ou l'astuce. Ainsi, dans l'ouvrage, plusieurs scènes cocasses décryptent parfaitement ce mécanisme démocratique fonctionnant sur les non-dits et la crainte d'être exclu du groupe. Ce système provoque des répercussions dramatiques, d'autant plus vives que les gentils hésitent à avoir recours à la force.



Nous suivons donc pas à pas leurs découvertes, leur installation, leur volonté de profiter un maximum de la vie… Mais les relations entre les Européens et les Tahitiens finissent par se gâter. C'était prévisible, car les us et coutumes des deux groupes diffèrent totalement sur de nombreux points. L'équilibre se rompra quand il s'agira de distribuer des terres cultivables. Effectivement, les Tahitiens ne pratiquent pas l'agriculture, ayant pour habitude de se servir allègrement dans la nature. Cette dernière leur a toujours apporté tout ce dont ils ont besoin pour vivre, et bien plus. Pour être clair, ils ne connaissent pas le rationnement méthodique. Cette attitude pose problème dans un lieu où la production naturelle finira par rencontrer des limites pour nourrir tout ce beau monde. Les Blancs décident de s'attribuer plus de terrain au détriment des Noirs. Purcell trouve cela injuste et ce sera le début de la grande querelle…



De plus, les questions religieuses trouvent un écho encore plus important dans ce huis clos au coeur d'une nature magnifique. Entre le monothéisme des uns et le polythéisme voire le panthéisme des autres, il n'y avait guère d'entente possible, surtout si les détenteurs de l'ordre, ceux qui possèdent les fusils, n'incarnent pas la défense du Bien Commun…



L'oeuvre dépeint souvent des situations drôles, les dialogues expriment toute la complexité des rapports entre les êtres humains, et les descriptions nous plongent littéralement dans le contexte de cette île du Pacifique où tentent de vivre des gens forts différents. En définitive, la question demeure : comment organiser la vie en société, que ce soit sur une île ou sur un continent ?







Franck ABED
Lien : http://franckabed.unblog.fr/..
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J'ai lu « L'Île » avec délectation l'été dernier durant mes vacances à la mer ; mais emportée par l'indolence contagieuse de la plage, j'ai manqué à mon devoir de vous le présenter. Pourtant ce roman mérite d'être lu et partagé. Alors, même si je ne l'ai pas entre les mains du fait du confinement, je profite de notre huis clos forcé pour vous le suggérer. Inspiré par l'histoire vraie des mutinés du Bounty, l'auteur imagine une suite romanesque pour palier l'incertitude historique. Peut-être cette histoire contribuera-t-elle à votre évasion ; elle a été pour moi un vrai coup de coeur.


Robert Merle nous raconte, avec son talent particulier, une mutinerie en pleine mer, sur un bateau de sa majesté. Pour éviter la pendaison (du fait des meurtres), le reste de l'équipage se met d'accord pour ne pas retourner au pays. Il sera plutôt décidé de chercher une île inoccupée afin de s'y installer. Mais d'une part, il manque désormais du personnel pour bien manoeuvrer le bateau ; et d'autre part, l'équipage est fortement désorganisé, la hiérarchie est mise à mal, et les décisions sont difficiles à prendre. Nos nouveaux amis vont donc faire une brève escale à Tahiti : le lieutenant Purcell y connaît les habitants. Parmi eux, se trouvent des hommes qui voudront bien tenter l'aventure avec les anglais pour s'établir sur un nouveau territoire et y fonder leur famille ; et des femmes, qui acceptent de les suivre pour peupler l'île et aider oeuvrer pour survivre.


Tout ce petit monde embarque et trouve l'île idéale (quel beau moment du livre !). L'aventure peut alors commencer : Nous faisons connaissance avec ce peuple merveilleusement ouvert et tolérant que sont les tahitiens, et notamment les femmes : fortes, indépendantes, autonomes, et menant la danse de la séduction et de l'amour, tout le contraire de ce à quoi sont habitués nos marins. Nous visualisons déjà le rêve insulaire… Mais très vite, des nuages arrivent à l'horizon ; la communauté doit régler des problèmes pratiques pour vivre ensemble : la hiérarchie qui vaut sur le bateau ne valant plus une fois à terre, qui doit diriger ? Doit-on se fier à la loi du plus fort, comme le prônent certains, ou installer un système de décision démocratique comme le soutiennent les autres ? A cela s'ajoute évidemment la question de « la race » et des cultures différentes qui doivent cohabiter : Certains anglais voudraient traiter les tahitiens, nommés « les noirs », comme leurs inférieurs. Mais malgré leur tolérance infinie, ceux-ci finissent par se révolter en bonne et due forme.


Et puis en filigrane, toutes les questions de société apparaissent. Notamment, la religion est totalement différente entre les deux cultures : cette différence crée de magnifiques moments de philosophie pour le lecteur, et des moments assez drôles d'incompréhension mutuel de leurs mondes respectifs, toujours dans le respect. Enfin au départ. Car l'incompréhension crée des tensions ; les différences, au lieu de s'estomper, s'exacerbent. Et d'autres questions enveniment le débat, jusqu'à ce qu'une guerre civile éclate et divise l'île en deux clans, où chacun devra prendre parti. Car cette île a beau être vierge, les hommes ne le sont pas… Alors dans cette île sauvage, ou l'entraide devrait primer pour la survie de tous, il devient vite tentant pour certains blancs de reprendre les travers individualistes et manipulateurs de nos sociétés occidentales. Mais attention, car en matière de vengeance, lorsque la guerre est déclarée, les tahitiens pourraient bien vous surprendre…!


L'idéaliste lieutenant Purcell tentera de résoudre en douceur les questions de justice, de répartition des richesses, des valeurs à partager, etc… Mais y parviendra-t-il ? Doit-on combattre la violence par la violence, est-ce lâche de ne pas le faire ? Comment finira cette aventure, qui a commencé par une mutinerie ? Les hommes, unis par un même secret et surtout des intérêts communs, seront-ils capables de vivre ensemble, ou leur obstination et leurs mesquineries les détruiront-ils ? C'est tout l'enjeu de ce magnifique roman, dans un décor paradisiaque et dépaysant à souhait, propice à l'évasion, où vous trouverez également action, amour et suspense... Pour toutes ces raisons et bien d'autres, il s'agit de mon coup de coeur de l'année dernière, en grande partie grâce aux tahitiens et tahitiennes (des héroïnes très modernes) qui nous vendent du rêve, de la douceur, de la tolérance - mais aussi beaucoup de force et de détermination. A lire !
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Une violente robinsonnade qui interroge chacun sur son propre camp...
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Ma maison c'est Adamo !

Et voici la perle de Robert Merle, cet infatigable conteur.
Une espèce de version des RÉVOLTÉS DU BOUNTY" mais qui décortique principalement les relations humaines. C'est sur cette analyse que ce roman indémodable présente tout son intérêt.
Capté dès le début, le lecteur participe aux émotions parfaitement orchestrées.
Un conseil cependant : évitez de lire le préfaces des différentes ré-éditions, elles ont la vilaine tendance de dévoiler une partie de l'intrigue.

La grande question que pose cette grande aventure c'est de savoir pourquoi une poignée d'hommes va empoisonner ce qui pourrait être un paradis terrestre ? Pourquoi Caïn a t'il tué Abel ? Quel était le but, le vrai. le mobile universel.
D'aucun diront que l'homme est foncièrement mauvais, l'auteur abonde dans ce sens mais semble donner une lueur d'espoir.
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Une véritable aventure qui me fit rêver du début à la fin.
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Un grand roman sur le thème des révoltés du Bounty, classique et efficace
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Un livre lu au collège, à une époque où je n'étais pas un grand lecteur, et pour une fois les prescriptions professorales avaient fait mouche. J'avais dévoré à belles dents ce bouquin pourtant épais.
Des occidentaux débarquent en Polynésie. Attrait pour la nouveauté, curiosité pour l'étranger. Et puis, les premières amours passées, on se rend compte que ces gens ne sont pas mieux que les autres, et même qu'ils sont pires, car après tout, ils ne sont pas comme nous, ce sont des étrangers.
Le roman dramatique et si vrai d'hommes et de femmes qui s'aiment puis se déchirent, vu dans l'histoire avec Christophe Colomb et ses successeurs, mais vu aussi dans la vie de tous les jours, dans les couples et les familles.
Heureusement, cela finit rarement de manière aussi sanglante que dans l'Ile : du paradis à la descente aux enfers.
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Roman historique lauréat du prix Goncourt publié en 1949 racontant la retraite d'un groupe de soldats français lors de la défaite franco-britannique lors de la seconde guerre mondiale. Mon titre est "week-end

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