Sur la couverture était noté "Un thriller pontifical", ce qui m'a bien entendu incitée à acheter le bouquin.
"L'ouvrage entremêle l'actualité et le passé, personnages réels et héros de fiction, tout en respectant la vérité historique, et invite le lecteur à mener l'enquête". Trop tentant, le quatrième de couverture était comme les promesses électorales : coquille vide !
Rebaptisé par mes soins "Somnifère pontifical", il a rejoint cette étagère particulière où se trouve concentré tous les livres que je n'ai pas aimé et que je revends ou donne à des associations caritatives.
Là, j'ai des scrupules à l'avoir donné parce que je pense au pauvre gars qui va commencer à le lire et va sentir son nez piquer vers le bas.
Rien, il n'y a rien dans ce livre qui mérite d'être sauvé. Endormant dès les première page, il ne m'a pas donné envie, comme d'autre avant, à poursuivre ma lecture.
Bizarre, certains romans commencent lentement, pourtant, nulle envie de le poser. Ici, directement.
Ce roman m'a excommunié de suite de ma lecture.
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Au Vatican, la corruption tenait lieu de fiscalité.
Chez Jean Marais (1961)
Dans sa propriété de Marnes-la-Coquette dont il a dessiné les plans, le comédien français reçoit le journaliste Claude Mossé et le réalisateur suisse Claude Goretta.