J'ai lu ce livre grâce à la masse critique.
L'histoire concerne Alex, chanteur dans un groupe de rock, Assemblée nationale.
Depuis toujours, il s'est mis en tête que, comme d'autre figure de rock avant lui, il mourra à 27 ans et rejoindra le célèbre Club 27. Seulement il n'en est rien. Alors dès le lendemain de ses 27 ans, il prend la décision d'arrêter le groupe et de se ranger. Mais ses compagnons et son père ne l'entendent pas comme ça et organise la tournée d'adieu à travers le globe.
L'histoire en elle-même est sympathique, il y a de l'humour et une belle amitié. le livre est bien écrit mais manque un peu d'actions. Je m'attendais à une autre fin, plus surprenante que ça. Mais sinon il se lit très bien et est agréable. de plus la couverture est vraiment belle.
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Livre obtenu dans le cadre de masse critique.
J'ai été attirée par la couverture et le résumé qui m'ont donné envie d'en savoir plus.
L'histoire est surprenante et se laisse lire sans être très prenante.
Intrigue et fin moyennes. Un peu déçue car je pensais que l'histoire serait plus drole.
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Les cinquante premières pages laissent espérer une lecture intéressante, ludique et originale mais cela se délite lentement mais surement.
Une histoire néanmoins sympathique qui se laisse lire mais sans plus.
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Je lançais quelques explications confuses. La situation était inédite pour moi, je n’étais pas tout à fait à l’aise, peut-être intimidé, et j’ai plutôt cherché à rassurer Mr Dylan, en expliquant bien qu’il ne s’agissait pas de lui mais de moi. Bref, je me suis emmêlé les pinceaux. Mr Dylan, à qui l’homme traduisait mes paroles, a fini par arrêter de pédaler, me jugeant probablement trop confus. Il prit sa serviette pour s’essuyer, et l’homme me remercia alors.
Une tartine reste une tartine, quel que soit le contexte. Une tranche de pain de la veille, à peine dorée au grille-pain, recouverte d’une couche trop épaisse de miel de pays, n’a pas un goût très différent de toutes celles qui l’ont précédée, quand bien même elle serait la dernière.
Au bout d'un moment, on se dit qu'on a fait ce qu'on devait faire, et qu'il est temps de s'en satisfaire.
p.77