Avec une plume incisive et un style brillant, M. Peillon exerce son "droit d'inventaire" - refusant de croire que "l'avenir de la gauche et la réussite du pays se trouveront dans la répétition de la geste mitterrandienne, pas même dans son inspiration" - sur la laïcité, la question sociale - abordée trop brièvement -, l'Europe et la démocratie.
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Décidément, ils ont du mal à s'y faire. Décidément, les hyper-éditorialistes, hyper-présentateurs, hyper-chroniqueurs qui "tiennent" les grandes chaînes de télévision, ont du mal à admettre que leur piédestal vacille, que leur agenda est contestable (et contesté), leur monopole discuté. La violence de la réaction de Alain Duhamel et Jean-Michel Aphatie face à la défection de Vincent Peillon, sur Canal+, nous a laissés stupéfaits. Si stupéfaits que nous avons souhaité savoir quel nerf avait ainsi été atteint par Peillon.Intéressant comme parallèle avec un nouveau débat sur l'Islam...