Les dimanches, nous allions à Saint-Victorin. » Ainsi commence le livre où la narratrice évoque les années de son adolescence. Dès la Première phrase, nous rejoignons un monde ancien, celui de la province des années trente, où les « gens bien » respectent les principes, vont à la messe et tricotent pour les pauvres entre deux parties de croquet.
A Saint-Victorin, il y a la maison de tante Adelina qui règne sur son époux et ses cinq enfants avec l'aut... >Voir plus
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.