Il n'y a plus aucun doute, Edgar de
Saint Preux a bien compris, dans le récit de l'aubergiste, que toutes les choses étranges sont liées à l'usine de conserverie du village.
Seuls les ouvriers, les pêcheurs qu'elle sous-traite, souffrent tôt ou tard de maux inexpliqués : ils sont atteints d'une lueur dans les yeux et d'un comportement troublants, disparaissent soudainement avant de ressurgir comme si rien ne s'était passé…
Puis par une nuit sombre, le grand cauchemars va commencer! Des créatures vont surgir de la mer, entrer chez les villageois et les entraîner dans les flots sans retour possible.
Attention ce n'est que le début d'un dénouement totalement fantastique, qui va entraîner le lecteur en Inde, mais la fin est à la hauteur de ces 3 tomes!
Pas d'hésitation… je recommande pour les amateurs de contes, légendes bretonnes et créatures fantastiques, le tout au milieu du XIX!