Max Radiguès est encore un jeune auteur quand il écrit cet ouvrage ; il a d'ailleurs lui-même connu l'expatriation temporaire en terre étrangère. D'où la justesse de son propos. Sa retranscription est d'une grande sincérité, voire d'une sainte humilité. Les relations humaines sont au coeur même de son histoire, et il réussit de bout en bout à révéler l'étendue des empreintes du quotidien, surtout pour un "expatrié" en terre inconnue. Certains comparent le l'univers de Max Radiguès à celui de Peyraud ou Dupuis-Berberian. A juste titre. Son dessin est simple et extrêmement subtil, d'une inventivité suggestive et stimulante. de plus, son attention aux seconds rôles est une bonne chose.
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Un jeune nordique (norvège, suède?) arrive à Bruxelles pour y faire un stage de pub. On l'y voit se débrouiller en tant que jeune devant faire ses preuves, en tant que touriste, qu'aventurier (comment se déplacer sur les trottoirs bruxellois, afin d'éviter les mauvaises surprises), et qu'amoureux;... Autant de raisons d'être attorés par la lecture de ce livre; que vous ne regretterez pas.
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Une semaine ! J'ai mal au bide rien que d'y penser... Maintenant que je suis ici chez moi, je dois partir.
La serviette pleine de mayonnaise enroulée autour du sandwich, c'est de culture mondiale, ça !
En Belgique, on en sert pas la main aux filles, on leur fait la bise.
Dans le 171e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Whisky san, que l’on doit au scénario conjoint de Fabien Rodhain et Didier Alcante ainsi qu’au dessin d’Alicia Grande et qui est édité chez Grand angle. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l’album L’honorable partie de campagne que l’on doit au scénario de Jean-David Morvan qui adapte l’ouvrage de Thomas Raucat, mis en dessin par Roberto Melis et édité chez Sarbacane
- La sortie de l’album Jusqu’ici tout va bien, adaptation d’un roman de Gary D. Schmidt par Nicolas Pitz et que publient les éditions Re de Sèvres
- La sortie de Sous la surface, le deuxième tome de la série Le lait paternel que nous devons à Uli Oesterle et aux éditions Dargaud
- La sortie de l’album Les 100 derniers jours d’Hitler, adaptation d’un ouvrage de Jean Lopez par Jean-Pierre Pécau au scénario, le duo Senad Mavric et Filip Andronik au dessin et c’est édité chez Delcourt
- La sortie du premier album sur deux de Quand la nuit tombe, un titre baptisé Lisou que l’on doit au scénario de Marion Achard, au dessin de Toni Galmès et c’est édité chez Delcourt
- La réédition en couleurs de l’album Orignal que l’on doit à Max de Radiguès et qui est sorti chez Casterman
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