Un agent de la surveillance du territoire a été retrouvé mort dans sa voiture, intoxiqué par les gaz d'échappement de celle-ci. Cela ressemble à un suicide mais le commissaire Coste n'y crois pas et, malgré le classement de l'affaire par le juge, il continue d'enquêter.
Je ne sais pas pourquoi mais je m'attendais à un rapport direct avec la première enquête, celle du tome un. Et bien pas du tout. Il est vrai qu'à la relecture du tome 1 l'enquête était résolue mais nous avons pas eu de piste pour les révélations de la première page. Celle où l'on voit le commissaire Coste se procurer une arme pour tuer quelqu'un. Et nous serons déçu d'attendre des explications dans ce tome.
Une enquête policière classique. J'ai eu un peu de mal à m'y retrouver entre les différents protagonistes interférant et magouillant entre eux. L'histoire reste très basique, sans grande surprise scénaristique.
Le dessin est à cette image. Classique sans véritable âme à part entière. Un dessin uniquement au service de l'histoire, sans plus.
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Une intrigue policière très rythmée, agréable à lire.
Entre petits voyous, syndicalisme et meurtre....il y a un peu de tout !
Le dessin est agréable.
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Thème historique intéressant et toujours d'actualité. Les lieux sont bien rendus sauf la vue de port du Havre quant le bateau quitte le port (liberté de l'artiste ou pas ? ). Une belle série.
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Marseille la rouge est un tome qui ne déçoit pas les amateurs de bonne intrigue policière et de mystères liés à la grande Histoire. A découvrir.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Marseille, premier trimestre 1950.
Les dockers majoritairement affiliés à la CGT, votent une résolution s’opposant à l’embarquement de matériel de guerre pour l’Indochine.
Ils refusent également de décharger les bateaux qui apportent d’Amérique l’aide du plan Marshall.
Affaire d'état : « affaire politique qui implique des membres du gouvernement d'un État ou de plusieurs États ». Elles foisonnent, aucun pays n'y échappe et pourtant elles sont régulièrement occultées. S'inspirant librement de la réalité des faits, Philippe Richelle se propose de revisiter dans Affaires d'États, trois événements qui ont ébranlé l'État français dans les années 60, 70 et 80. Chacune de ces décennies aura le droit à un cycle indépendant – composé de quatre tomes – qui sera mis en images par un dessinateur différent : Régis Penet pour Guerre froide, Pierre Wachs pour Extrême droite et Alfio Buscaglia pour Jihad. Une série-concept ambitieuse de polars historiques et d'espionnage soutenue par une publication exceptionnelle puisque les trois premiers tomes sortiront le même jour.
Disponible en librairie !
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