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EAN : 9782258196063
464 pages
Presses de la Cité (31/03/2022)
4.03/5   106 notes
Résumé :
Céleste Ibarbengoetxea, capitaine à la PJ de Nantes. Un nom imprononçable. Un visage balafré. Un passé terrible : séquestrée et martyrisée, elle a survécu en faisant preuve d’une violence inhumaine. Depuis, pour certains comme à ses propres yeux, Céleste Ibar est un monstre. C’est pourtant parce qu’elle est une épouse aimante, une mère attentive et une collègue dévouée qu’elle va résoudre l’une de ces tragiques affaires criminelles qui marquent un flic à jamais.
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Critiques, Analyses et Avis (56) Voir plus Ajouter une critique
4,03

sur 106 notes
En juillet 2019, à la découverte du cadavre putréfié d'une femme mutilée près de la Baule, la capitaine à la PJ de Nantes, au nom imprononçable, Céleste Ibarbengoetxea et son adjoint le lieutenant Ithri Maksen sont dépêchés sur les lieux.
Deux mois plus tard, dans le parc naturel régional de Brière, un jeune homme de vingt ans est retrouvé mort, une décharge de chevrotine en pleine tête, puis c'est le corps supplicié d'une jeune femme, une véritable boucherie.
le duo est alors appelé en renfort de la gendarmerie par le substitut du procureur de St-Nazaire, à cause des similitudes de ce dernier crime avec celui non encore élucidé, qui les avait amenés à La Baule en juillet. Céleste et Ithri vont alors devoir travailler en co-saisie avec un réserviste de la gendarmerie locale et débusquer ce criminel qui mutile et assassine les femmes et pourrait bien être un tueur en série...
Dans ces marais de Brière, près de Guérande, une terre plutôt mystérieuse, riche en légendes, où une petite communauté s'abrite, les mystères vont s'accumuler de même que les fausses pistes et l'enquête va monter crescendo entraînant le lecteur dans un suspense haletant jusqu'à un final explosif.
Et, comme dans tout bon polar qui se respecte et qui se veut réussi, à la force, la qualité, la crédibilité et l'originalité de l'intrigue, la résolution de celle-ci doit être menée par un enquêteur ou, en l'occurrence, comme ici, par une enquêtrice à la personnalité bien marquée.
De si bonnes mères ne déroge pas à la règle et combine à merveille les deux.
Céline de Roany, avant de nous plonger dans l'enquête, nous place déjà dans une position très inconfortable qui annonce bien la couleur en nous présentant, en prologue, la terrible agression subie en 2018 par Céleste qui a survécu en tuant un homme à mains nues dans des conditions particulièrement atroces et dont elle est ressortie physiquement et psychiquement particulièrement marquée … Bien que fortement impactée par cette tragédie, elle est restée une femme forte et déterminée, sa personnalité particulière masquant une profonde humanité. Mariée à Marie, elles ont deux filles, formant une famille aimante. Quant à son adjoint Ithri, s'il est un as de l'informatique, il révèle aussi tout au long de l'enquête toute l'étendue de son empathie. Deux personnages bien complémentaires.
Cette enquête policière est basée sur le thème de la monstruosité et de l'humanité, thème qui résonne très fort avec le vécu de Céleste, celle-ci découvrant des horreurs qui la mettent face à sa propre histoire.
De si bonnes mères interroge également sur la filiation, la maternité et la paternité et, thème plus rarement évoqué, l'insémination sauvage, méthode moins pratiquée depuis que la France a ouvert assez récemment les possibilités de recours au don de sperme aux femmes célibataires et aux couples de femmes.
Ce polar palpitant montre aussi ce que la haine aveugle des réseaux sociaux peut provoquer.
Mais, si la tension monte inexorablement au fil de l'enquête, de bien doux et chaleureux moments ont embelli ma lecture avec la présence de Flora, cette ado atteinte de trisomie 21 qui respire la joie et une force de vie très enviable.
Céline de Roany signe avec de si bonnes mères, un excellent roman policier dans lequel le lecteur se retrouve au plus près des doutes et des peurs des enquêteurs.
Cette très belle découverte que je dois aux Presses de la Cité que je remercie ici chaleureusement m'a donné très envie de lire le premier roman de Céline de Roany, Les Beaux Mensonges dans lequel Céleste Ibar menait sa première enquête.
Une série à suivre…
À noter que de si bonnes mères de Céline de Roany figurait parmi les six finalistes du Prix Maison de la Presse 2022.

Lien : https://notre-jardin-des-liv..
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De si bonnes mères est la deuxième enquête de l'héroïne Céleste Ibar, suite à « Les beaux mensonges »

L'autrice Céline de Roany autrice nantaise, mais qui vit actuellement en Australie, est une nouvelle venue dans le paysage du thriller psychologique à forte portée féministe et assez noire, dans la lignée d'une Karine Giebel.

Elle a publié en 2021 un premier livre remarqué, Les beaux mensonges, premier volume des enquêtes de Céleste Ibar qu'on avait présenté à l'occasion de la venue de son autrice, Céline de Roany lors du dernier quais du polar.

De si bonnes mères est un véritable page-turner qui aborde des thématiques profondément contemporaines rarement représentées dans le domaine du polar.

Céleste Ibarbengoetxea, dit Céleste Ibar, capitaine à la PJ de Nantes au visage balafré et au passé terrible, est pour certains comme à ses propres yeux, un monstre. C'est pourtant parce qu'elle est une épouse aimante, une mère attentive et une collègue dévouée qu'elle va pouvoir résoudre l'une de ces tragiques affaires criminelles qui marquent un flic à jamais.

Dans le Parc naturel de Brière, près de Guérande, un criminel mutile et tue des femmes. Pourtant, ses deux îles abritent une petite communauté en apparence très chaleureuse, où habitants de toujours et nouveaux arrivants sont soudés autour d'un restaurant et d'un bistrot.

Dépêchés sur les lieux, Céleste et son fidèle lieutenant, Ithri Maksen, doivent déchiffrer les signes laissés par le tueur.

Mais comment démasquer un monstre qui ressemble à tout le monde ?
Dans ce second roman, Nantes devient définitivement un personnage à part entière pour la capitaine Céleste Ibar, comme Los Angeles pour Harry Bosh, ou Reykjavik pour Erlandur Svensson.
Il y a pire comme référence, n'est ce pas? . Une intrigue haletante et de très bonne tenue dans laquelle Céline de Roany explore avec brio les thèmes complexes et passionnants de la féminité et de la maternité. menée par une enquêtrice à la personnalité bien marquée, vue comme un monstre par les autres, mais finalement terriblement humaine .

"De si bonnes mères" de Céline de Roany est paru en mars 2022 aux éditions Presses de la Cité.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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J'avais déjà lu en 2020 une version autoéditée de ce roman, qui avait alors pour titre Vena Amoris (les Presses de la Cité, comme pour Les Beaux mensonges, ont d'ailleurs l'honnêteté de le mentionner dans les pages liminaires du livre, ce que tous ne font et ne feraient sûrement pas). Et j'en avais déjà pensé le plus grand bien, plus encore que pour Les Beaux mensonges. Sur le plan factuel, il n'y avait toujours rien à redire : l'écriture était maîtrisée, avec une voix solide et ancrée. Mais sur le plan des émotions et de la psychologie, on était un bon cran au-dessus de son prédécesseur, avec des personnages récurrents qui esquissaient enfin leurs couleurs sans toutefois les brader en quelques pages, laissant le lecteur saliver face à la perspective d'une suite qui lui en montrerait encore un peu plus. Tout en retenue, en délicatesse, le roman que proposait Céline de Roany sans le travail formateur d'un éditeur valait déjà le coup d'oeil.
J'étais si impatiente de découvrir cette version "pimpée" que j'avouerai avoir eu un mouvement de recul en découvrant le nouveau prologue. Non pas parce qu'il aurait été tout à coup mal écrit (ça se saurait, si on pouvait transformer du granite en un plastique quelconque en deux ou trois coups de Word...), mais parce que le ressort ressemble beaucoup à ce-qui-se-fait-dans-le-thriller-et-marche-à-tous-les-coups, à savoir la cartouche qui fait boum d'entrée et ferre le lecteur en appelant à son cerveau reptilien. le procédé a fait ses preuves et touchera incontestablement le plus grand nombre, mais davantage à cause de son placement que de son contenu, j'ai pu craindre un instant que le reste du roman s'inscrive dans une ligne plus commerciale que sa V1, terrain sur lequel les Beaux mensonges s'était pourtant bien gardé de s'aventurer par rapport à Special K. À tort car heureusement, ce n'est pas le cas. La séduction opère sans artifices.
Même le style, qui était déjà très bon, précis et tranchant, gagne en efficacité sans pour autant s'affranchir de ses aspérités qui définissent la fameuse Voix après laquelle on court tant quand on lit du polar et qu'on peut parfois peiner à trouver.
Céline de Roany assume jusqu'au bout de proposer une intrigue équilibrée et documentée, qui traite de sujets importants sans pour autant revêtir des couleurs militantes ostentatoires et avec une pudeur contrôlée qui ne déplaira pas aux lecteurs qui fuient l'épanchement. Elle prend son temps avec les lieux, avec les échanges, avec les gens, et on se laisse guider, avec un petit goût de "Merde, déjà..." en arrivant au bout des presque-500 pages de ce roman.
Céleste, en se dévoilant un peu plus, confirme sa position de personnage principal mais ne prend pas toute la lumière pour elle – faut dire qu'elle est quand même plus branchée obscurité, Céleste... –, mais aussi parce que tous les personnages secondaires ont un rôle à jouer, et des choses à dire avec ou sans elle. Les puristes du genre pourraient y voir une forme d'éparpillement, mais l'équilibre est franchement réussi, dans la tradition du roman policier américain à la Lehane ou Holden.
On sent de toute façon que l'auteure est allée chercher ses maîtres du côté anglo-saxon et n'en a tiré que le meilleur pour le mêler à un univers plus doux. Plus féminin peut-être...
Encore plus qu'avant, le prochain opus (... au pluriel ?) promet le meilleur.
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Du premier roman de l'auteure, Special K, j'avais trouvé - et écrit - qu'il était un "roman policier profondément singulier".
Après lecture de son petit frère, je crains de ne pas beaucoup me renouveler sur le fond : je pourrais dire exactement la même chose de Vena Amoris. En fait, je pourrais reprendre toutes les qualités citées pour le premier opus (soin particulier apporté à l'écriture, développement des personnages secondaires comme on le rencontre rarement dans le polar, langueur descriptive, ...) et y ajouter quelques plus-values qui s'esquissaient déjà dans Special K, et s'imposent désormais pleinement dans ce deuxième (et on n'espère pas second !) tome.
Je ne suis pas spécialement fan du cadre rural et provincial pour les polars, lui préférant la noirceur et le bruit du milieu urbain, mais ici la plongée dans les marais de Brière, plus vraie que nature, permet de reprendre son souffle, une bouffée de nature et grands espaces pour mieux encaisser sur la longueur (car le roman est d'une taille non-négligeable) un récit aux scènes parfois douloureuses. Cela offre au lecteur une respiration très agréable, renforcée par l'amplitude que l'auteure donne à son style.
Comme c'était déjà le cas pour son ainé, ce cadet propose une enquête impeccablement menée bien que présentée de façon non-linéaire, aux rouages et enjeux encore plus tortueux et diaboliques que la précédente. Même si les nombreuses digressions sur les personnages pourront perturber les puristes les plus indécrottables du polar (dont je ne fais définitivement pas partie, donc joker sur ce point), personne ne pourra reprocher à l'auteure un manque d'application quant à la crédibilité de l'intrigue, tant dans son déroulement qu'à propos des procédures décrites. Les thèmes scientifiques (la reconnaissance ADN) se mèlent aux questionnements sociétaux (l'insémination artisanale, le droit ou le non-droit biologique à la parentalité...) et s'articulent dans un ballet de connaissances qui fait que ce roman n'est pas qu'un divertissement : la fiction devient alors prétexte à pédagogie, ou réinvestit tout simplement des questionnements de la vie. On en revient à la fonction première de la littérature noire, sans le côté pontifiant d'un docu société... Pour autant, Vena Amoris n'est pas un pensum, reste neutre et non-jugeant quant aux thèmes qu'il aborde grâce aux fils tenus par une palette très éclectique de personnages. Tous sont différents mais tous sonnent justes, à commencer par les secondaires, sur lequel un formidable travail est encore réalisé. Et puis il y a Céleste...
Je dois avouer que c'est surtout sur elle que j'attendais l'auteure au tournant, n'ayant pas du tout accroché avec elle dans Special K et regrettant la distance qu'elle renvoyait, impénétrable. Cette fois, au travers d'une intrigue secondaire, qui ne prend jamais le pas sur l'enquête principale, mais la rejoint intelligemment, Céline de Roany nous permet de la découvrir plus intimement, au sein du couple de mamans qu'elle forme avec sa compagne Marie et dans ses tourments les plus profonds, et de mieux la cerner... même si elle reste un personnage très ambivalent et porte en elle quelque chose de très sombre qui n'est ni feint ni artificiel, loin des caricatures de flics torturés jusqu'aux tréfonds de leur âme, à tel point qu'ils ne cherchent plus à laisser rentrer la lumière. Ce qui la rend quelque part (certes un peu moins) antipathique à mes yeux fait d'elle un personnage principal intéressant car non-manichéen et qui, même si on ne l'apprécie pas, nous entraîne à sa suite. Dans Vena Amoris, je retiendrai sa position dans une scène d'une injustice effroyable, qui me tiendrait scotchée à partir du milieu du roman et aurait pour effet de ne plus me relâcher avant la dernière ligne. Avec ce deuxième opus, une partie de moi s'est bel et bien sentie connectée et en empathie avec elle, alors que je ne l'apprécie pas particulièrement. Sacré tour de force...
Tout est quoi qu'il en soit cohérent. La psychologie de Céleste et ce qu'elle reflète rejoignent finalement le style de son auteure qui, il est vrai, privilégie toujours la technicité à l'émotion, parti pris utilisé à bon escient. L'écriture de Céline de Roany, toujours aussi chiadée, a aussi basculé sur un mode plus "binaire" : douce et prolixe de bout en bout auparavant, elle alterne désormais avec plus de brutalité, gagnant en puissance sur la longueur.
En bref, j'ai passé un très bon moment de lecture et ne doute pas que ce sera également le cas si suite il y a... mais suite il y aura, n'est-ce pas ? ;)
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Qui dit que la Gendarmerie et la Police sont incapables de travailler en équipe ?
Ce nouveau roman de Céline de Roany démontre clairement le contraire.
Une enquête particulièrement difficile psychologiquement pour l'équipe ayant en charge la conduite des investigations : le commandant de gendarmerie réserviste ,Gwenn Aragon , accompagné de Céleste Ibar et son fidèle adjoint Ithri. Celle-ci se déroule dans les marais de Brière non loin de Guérande où des cadavres de femmes ont été découverts. Mutilés, éventrés. Des meurtres cruels et barbares sur ces femmes enceintes qui laissent supposer qu'un monstre hante la Brière et est capable de perpétrer de nouveaux crimes. Une course contre la montre est donc lancée pour nos enquêteurs qui ont beaucoup de mal à trouver des pistes solides alors même que Céleste n'en n'a pas fini avec ses démêlés judiciaires concernant l'agression dont elle a été victime et dont ses cicatrices lui rappellent chaque jour ce douloureux souvenir.


Deuxième incursion dans l'univers de l'auteure. On y retrouve une Céleste en grande difficulté. Céline de Roany n'hésite pas à la malmener et à la plonger dans le doute ….pour mieux rebondir, espérons-le. Elle est confrontée à une affaire difficile aux multiples rebondissements. Pas le temps de s'ennuyer donc même si quelques passages auraient pu encore être raccourcis pour gagner en efficacité.
On y rencontre bon nombre de personnages - autant de suspects potentiels- même si Céleste, Ithri et Gwenn jouent les premiers rôles.
Sans que l'on puisse taxer ce roman de féministe , il est clair que le corps des femmes , leur capacité comme leur volonté d'enfanter et leur place dans notre société font partie des enjeux et des thèmes récurrents sur lesquels est bâti le récit. Une thématique forte mais qui n'efface pas les différentes étapes de l'enquête et leurs ramifications. Un roman dont le scénario tient parfaitement la route jusqu'au dénouement totalement surprenant.
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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Il était surtout de ceux qui estiment qu'il vaut mieux encourager chacun à devenir la meilleure version de soi-même et non à s'identifier à un idéal impossible à atteindre.
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Le médecin urgentiste avait hâte de partir. Cet endroit puait la souffrance et la cruauté. Il regrettait d’avoir vu ce corps. Ces yeux grands ouverts et ces entrailles encore chaudes qui se répandaient dans un fossé le hanteraient, tout expérimenté qu’il fût. Intervenir sur des accidents ou des suicides était une chose, contempler ce qu’un sadique pouvait infliger à autrui en était une autre. Il était formé pour sauver, secourir et soulager, pas pour plonger dans la psyché des tordus. Et celui qui avait fait ça en était un sacré.
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Il y avait toujours quelque chose. Que ça ait un rapport ou pas, on a tous des petits secrets qu’on enfouit sous le tapis, en essayant de ne pas trébucher dessus. Le métier de Céleste consistait à soulever les tapis, à respirer les omissions et à exhumer les mensonges, volontaires ou non, des victimes et des coupables, de ceux qui n’avaient rien à voir avec l’histoire, aussi. Ça pouvait paraître sale, malsain, morbide. Pour Céleste comme pour beaucoup de flics, c’était le boulot. Fascinant dans sa diversité, sa médiocrité, sa réalité. La vie, loin des séries-télé et des rêves adolescents. La vérité vraie. La réalité crue.
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- Qu’ils interrogent également les caméras de surveillance locales.
- Les caméras de surveillance… ?
Antoine le regarda avec l’air de se demander s’il se payait sa tête.
- Les anciens. Ceux qui passent leurs journées derrière la fenêtre. Tu verras quand tu seras à la retraite, Antoine… Et d’ici, il faut obligatoirement traverser Crossac ou Saint-Joachim. Si une voiture étrangère au coin a emprunté l’une ou l’autre voie, ils nous le diront.
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L’homme se décida enfin à relever la tête. Son bouc poivre et sel était jaunâtre autour de la bouche, conséquence du tabac qui tachait aussi ses gros doigts et dont l’odeur s’accrochait aux vêtements, à la peau, aux poils.
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Vidéo de Céline de Roany
Dans cette interview inédite, Céline de Roany nous parle de son nouveau thriller, "De si bonnes mères", déjà en librairie.
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Dans le parc régional de Brière, où vit une petite communauté soudée autour d'un restaurant et d'un bistrot, se cache un criminel au sang-froid qui mutile des femmes enceintes. Dépêchés sur les lieux, Céleste Ibar et son fidèle lieutenant sauront-ils déchiffrer les signes laissés par le tueur ?
--------------------------- Pour en savoir plus : https://bit.ly/3h4dg4M
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