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EAN : 9782203089419
222 pages
Casterman (08/10/2015)
4.15/5   87 notes
Résumé :
En suivant la piste du signal musical, Puig et les rescapés du train parviennent à une gare enfouie sous la neige. Ils découvrent qu'elle donne accès à une base souterraine. Là vit une communauté obsédée par la santé et sa survie qui voit leur arrivée comme un danger.
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Ma BD préférée de la saga.

Elle se déroule exactement là où La Traversée se terminait bien que le scénariste, en préface, avoue ne pas être un fan des tomes 2 et 3. Il avoue aussi avoir été inspiré par le visionnement du film Transperceneige.

Ici, les personnages quittent le train pour entrer à la gare. La station complète s'est transformé en expériences eugénistes où les épreuves les plus gores et les obstacles les plus insolites leur bloqueront la route.

C'est le seul autre tome de la saga, après le tome 1, à assumer complètement ses thématiques politiques et sociales, même s'il n'aborde pas exactement les mêmes enjeux que le livre original.

Bref, ce dernier opus réussi à être à la fois fidèle et à innover. Il contient aussi, à mon avis, les meilleures illustrations de Rochette.
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Qu'elle semble lointaine l'époque où le Transperceneige aux mille et un wagons parcourait d'un bout à l'autre la planète figée dans un hiver éternel.
Aujourd'hui il ne reste plus grand chose de ce train mythique, le Transperceneige n'est plus qu'une coquille fatiguée qui tombe en ruine et menace de livrer à eux-mêmes les quelques personnes encore vivantes dans ses entrailles : "Tout ce qui reste de l'humanité est entassé ici, dans dix wagons. Il y a des blessés, des malades, on est surpeuplés, on n'a plus de nourriture, plus d'infirmerie, la chaufferie est à l'agonie ... Il n'y a plus rien dans ce train qui puisse nous sauver.".
Mais l'espoir renaît, car le Transperceneige a capté de la musique, et qui dit musique dit électricité, dit donc peut-être un nouvel abri, plus sûr, et d'autres personnes encore en vie qui pourraient les accueillir, qui pourraient avoir de la nourriture, des vêtements, des médicaments à leur proposer, autant de biens de première nécessité qu'il n'y a plus à bord de ce train.
Ou pas, car nul ne sait ce qui attend les passagers du Transperceneige dans ce nouvel havre : "Je suis comme vous, je me réjouis. Mais je suis surtout inquiète. Vous vous croyez sauvés ? Pourtant, nous ne savons rien de cet endroit, et la vérité ... La vérité c'est qu'il y a toutes les chances pour que ce soit notre tombeau.".

J'ai été agréablement surprise d'apprendre qu'un nouvel opus du "Transperceneige" venait d'être publié.
Je croyais cette série définitivement arrêtée, une nouvelle fois merci au réalisateur Bong Joon-Ho qui m'a permis de la découvrir mais qui a aussi donné l'envie et l'idée à Jean-Marc Rochette, cette fois-ci accompagné d'Olivier Bocquet, de redonner vie à ce train mythique à travers cette nouvelle aventure.
Cette fois-ci, il n'est plus question d'être dans le train, l'intrigue se passe en dehors, dans une mystérieuse cité souterraine - une gare - débouchant sur un parc d'attraction, lui-même construit sous une centrale nucléaire, sauf que ce détail ne sera connu que bien tardivement par les rescapés du Transperceneige.
Le parc, répondant au nom de Future Land, abrite une communauté quelque peu étrange : des personnes se cachant sous des masques de souris, cultivant des légumes aux dimensions gigantesques et servant deux mystérieux personnages appelés "les aiguilleurs" qui n'hésitent pas à pratiquer des expériences scientifiques sur les gens.
D'ailleurs, les femmes enceintes sont mises à l'écart et il n'y a point d'enfant dans ce qui apparaît au premier abord comme l'Eden après la vie dans le Transperceneige.
Mais est-ce réellement le cas ?
Que vaut-il mieux : la vie dans ce monde souterrain ou dans le Transperceneige, l'un comme l'autre n'étant pas sans danger ?
C'est en somme la question posée tout au long de cet ouvrage.
Pour Puig Vallès, le leader d'un groupe de rebelles du train, mieux vaut le Transperceneige : "Le train ne vous mettra pas à l'abri du danger. Nous allons vers l'inconnu. Mais les dangers que nous rencontrerons, nous pourrons lutter contre. Nous aurons notre chance. Et nous serons libres.".
J'ai été frappée une nouvelle fois par la noirceur qui se dégage de l'histoire mais surtout par la richesse et la profondeur du scénario.
Il y a beaucoup à en dire et il serait trop réducteur de se contenter de présenter "Le Transperceneige" comme un récit de science-fiction, ou comme une oeuvre post-apocalyptique.
Si les deux auteurs revendiquent leur récit comme une transposition des dérives actuelles de notre société : un non-respect de la nature, l'utilisation à outrance du nucléaire, les manipulations génétiques, la toute-puissance de l'industrie pharmaceutique; j'y ai aussi vu des transpositions de faits passés qui finalement recommenceraient, malgré leur horreur, malgré le "plus jamais ça".
Difficile de ne pas penser à l'extermination de masse dans les camps de la mort de la Seconde Guerre Mondiale avec une mise en quarantaine des nouveaux arrivants du Transperceneige dans la cité souterraine, une sélection des travailleurs et l'élimination des sujets faibles, le tatouage sur le bras, et cette phrase lâchée pour achever de convaincre les arrivants du bien-fondé de cette nouvelle cité : "Car le travail, c'est la liberté".
J'ai aussi vu une forme d'hommage à Art Spiegleman et son chef-d'oeuvre "Maus" avec ces personnes recouvertes d'un masque de souris.
Mais là encore, il n'y a pas que ça.
Il y a aussi des personnages forts, charismatiques, à l'image de Puig Vallès et de sa compagne Val, des pseudos-leaders qui se révèlent des tyrans, comme cette Laura Lewis élue par les passagers du train comme leur nouveau chef; et d'autres détestables, complètement fous, obnubilés par la recherche de l'être parfait à travers des manipulations génétiques.
Il y a tout un travail qui est aussi fait sur la couleur, avec des planches plutôt sombres dans des tons de gris, et à un moment donné l'arrivée de la couleur, comme un nouvel espoir, mais qui finit par sombrer amenant avec lui le retour du gris, du noir, la couleur du désespoir.
Visuellement, cette bande dessinée est de toute beauté, avec de très belles planches notamment vers la fin dont certaines se colorent d'un rouge sombre, rouge sang, rouge passion, couleur la plus fascinante et la plus ambiguë qui soit.
Non, décidément il n'y a rien de beau dans l'univers du Transperceneige, rien de sain et peu d'espoir, mais alors quelle claque littéraire, quel plaisir sans cesse renouvelé de retrouver cet univers à travers de nouveaux personnages, une nouvelle intrigue.
Je tiens à saluer la performance et l'immense travail de Jean-Marc Rochette, qui a dessiné une partie des planches après une double fracture du coude droit et en ayant refusé l'opération ou le plâtre, ainsi que d'Olivier Bocquet qui a su s'approprier cet univers et amener un sang neuf ainsi qu'un nouveau regard et de nouvelles idées.
"Transperceneige" est une oeuvre qui a su traverser les époques et s'y adapter, puisant à chaque fois dans celles-ci les trames de ses intrigues, il aurait été fort dommage que cette oeuvre disparaisse des mémoires et merci à ces deux auteurs qui ont su lui redonner vie une nouvelle fois, peut-être la dernière, ou peut-être pas.

"Transperceneige - Terminus" est une bande dessinée de toute beauté, très riche visuellement et d'un point de vue scénaristique, sans doute l'une des meilleurs de l'année 2015, voire de tous les temps dans le domaine de la science-fiction, une oeuvre que je ne peux que vous inviter à découvrir et qui a failli sombrer dans l'oubli il y a quelques années de cela.
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..
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Transperceneige, c'est un train propulsé à toute allure dans un désert blanc et glacial. Ce sont des gens coincés dans ces wagons, rangés par classes sociales, par castes, affamés, assoiffés d'eau et de sexe, de reconnaissance et de liberté. C'est un univers angoissant dans lequel les pulsions humaines atteignent leur paroxysme dû au huis clos. Oppressant, et souvent à l'image de notre propre monde. La terre ne serait-elle pas un train lancé à toute vitesse vers l'inconnu et portant en elle les germes de sa propre destruction?

Terminus... c'est un tome qui déboule 15 ans après la trilogie, avec le même dessinateur mais un nouveau scénariste. Et à ce petit jeu de chaise musicale, Rochette tire (à mon avis) le gros lot avec Olivier Bocquet. le scénario le pousse à réinventer son trait, faisant ressortir le côté brut qui vient adéquatement en contrepoint du récit. Faisant exploser le carcan répétitif de l'enfer blanc, Bocquet surprend le lecteur tout en jouant et rejouant avec les mêmes codes et les mêmes concepts que dans la trilogie initiale.

Nous avions laissé le transperceneige devant un émetteur radio, lançant sur les ondes une musique au pouvoir d'attraction indéniable, agissant sur les trains éperdus aussi sûrement que la lumière sur les moustiques. S'ensuivent de nombreuses péripéties qu'il vaut mieux ne pas déflorer. Mais on dira simplement que l'enfer blanc est également pavé de bonnes intentions, au rang desquelles la vie éternelle ou la pureté de la race sont de sérieux candidats.

On ressort de ce tome avec des sentiments mêlés, entre dégoût et espoir, entre abandon et rage combattive. Toutes mes tripes hurlaient "pas ça", et mon cerveau me lançait "nous y sommes déjà, à ce terminus"...
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La jaquette met en avant le film de Bong Joon-Hong (auquel Rochette dédie ce livre), positionnement marketing compréhensible, mais trompeur.
Surtout que contrairement à ce qu'on lit, le film n'a pas rencontré un succès aussi incroyable. Pour un blockbuster de SF au casting international, il a cartonné en Corée du Sud, marché à peine correctement en France (moins de 700.000 entrées, ce n'est pas très glorieux) et n'a quasi pas été exploité aux USA suite à un désaccord entre les frères Weinstein et Bong Joon-Hong, qui a refusé de remonter le film pour une version américaine. le film est très correct mais n'est ni un succès, ni un film culte... cette jaquette me semble surtout servir à "mettre une jaquette", ce qui fait toujours classe. D'autant que le film ne fait que reprendre le concept de la bande dessinée et en est complètement indépendant.
Cet épilogue existe parce que le buzz engendré par la mise en chantier du film s'est accompagné d'une réédition de la série, qui l'a faite découvrir à un nouveau public.
Ce Terminus apporte donc une nouvelle conclusion à la série. Elle reprend exactemeznt là où s'arrêtait le tome précédent. le Transperceneige avait quitté ses rails pour partir à la recherche d'une mystérieuse musique captée sur lma radio. A l'issue de ce tome, les arpenteurs découvraient un batîment en ruine et une petite musique qui ne résonnait parce que plus personne n'était là pour l'arrêter.
Fin ?
Rochette s'est demandé ce qui est arrivé après.
AVec l'aide d'un nouveau scénariste, Olivier Bocquet, il imagine un dernier tome, une vraie conclusion à l'odyssée du Transperceneige.
En effet, si la musique continue d'émettre, c'est qu'il y a de l'électricté. Et si... ? En explorant la zone, les arpentuers découvrent une gare où le Transperceneige pourrait stationner le temps d'être réparé. La révolte gronde et le conseil est déposé. Continuant d'explorer les entrailles de la ville, les survivants découvrent d'autres survivants. Les auteurs ont pris un soin particulier à éviter toutes les solutions faciles, pour composer un scénario cherchant sans cesse à se démarquer. L'intention est louable. Quelques idées sont franchement bonnes. D'autres sont trop tirées par les cheveux pour convaincre. Mais cette conclusion a le mérite de rester cohérente avec l'univers créé il y a plus de 30 ans. L'apparition discrète de la couleur fonctionne bien. mais il y a des longueurs, surtout dans le dernier acte, un peu trop explicatif.
Dans l'ensemble, ce Terminus conclut la série de manière satisfaisante, malgré quelques faiblesses et facilités. Rochette s'est approrié l'univers créé par Lob et l'a développé de belle manière. Ce dernier livre reste honnête dans ses intentions et intelligent dans son développement. Les auteurs ont sans doute voulu toucher trop de thématiques pour un seul livre. Au moins ils ont la volonté de réaliser un livre ambitieux.
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Je n'ai pas lu la bande dessinée Transperceneige, dont le premier tome est sorti il y a 30 ans. Mais j'ai vu le film coréen Snowpiercer, qui l'a adaptée à l'écran. L'histoire m'avait bien plu, aussi quand Babelio a proposé en Masse critique Terminus, j'ai sauté sur l'occasion et je les en remercie.

L'histoire commence là où s'était arrêté Transperceneige : la révolution a eu lieu à bord du train, mais il n'y a plus de vivre. Les passagers sont affamés, ils comment à avoir froid et manque d'espace. Pour pouvoir survivre, ses habitants partent à la recherche d'un lieu pouvant les accueillir. Cette recherche est menée par un petit groupe, équipé pour résister aux températures extrêmes. J'ai vraiment aimé cette exploration en milieu hostile, la terre complètement glacée. La découverte d'un complexe sous-terrain s'avère prometteuse, tout en étant angoissante. Ont-ils enfin trouvé le salut, un éden pouvant les accueillir ? Elle laisse vite la place à la découverte d'une étrange société, dont les membres portent des masques de rat... La terre promise s'annoncera, sans grande surprise, pourrie et posera la question de la survie, à quel prix.

Le scénario est bien mené et l'histoire est captivante, bien que peu surprenante. Si le lecteur se penche sur les thèmes abordés (expérimentation, eugénisme, nucléaire), il pourra pousser très loin la réflexion. On peut aussi, bien entendu, se limiter au caractère récréatif de l'histoire.

Le dessin porte bien les émotions, notamment par les couleurs choisies, parfois très crues (comme par exemple une page de couleur rouge). Par contre je n'ai pas du tout accroché avec le graphisme.

On retrouve les personnages présentés dans transperceneige, auxquels s'ajoute les savants fous du complexe sous-terrain. Il n'y a donc pas de renouvellement, mais une véritable continuité avec le précédent tome.

Pour conclure, la lecture de Terminus s'est avérée agréable avec un scénario assez classique, mais un dessin qui ne m'a pas convaincu. le lecteur peut s'interroger sur la nécessité de vouloir proposer une fin optimiste à la BD transperceneige. Faut-il, à tout prix, laisser de la place à l'espoir dans un scénario post-apocalyptique?
Lien : http://booksandme.canalblog...
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critiques presse (3)
ActuaBD
18 décembre 2015
Un épisode fort dans une trame globalement moins surprenante.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Bedeo
10 décembre 2015
Terminus arrive à surprendre jusqu’au bout, en ce qu’il complète harmonieusement la saga tout en évitant de s’enfermer dans un carcan apocalyptique glacé.
Lire la critique sur le site : Bedeo
BDZoom
02 novembre 2015
Était-il vraiment utile de faire une suite au « Transperceneige »[…] ? En refermant ce nouveau sombre et passionnant pamphlet antinucléaire qu’est « Terminus », il n’y a pas l’ombre d’un doute : la réponse est oui !
Lire la critique sur le site : BDZoom
Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Tout ce qui reste de l'humanité est entassé ici, dans dix wagons. Il y a des blessés, des malades, on est surpeuplés, on n'a plus de nourriture, plus d'infirmerie, la chaufferie est à l'agonie ... Il n'y a plus rien dans ce train qui puisse nous sauver.
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Un cataclysme climatique a plongé la planète dans une glaciation soudaine. Les humains les plus chanceux sont morts immédiatement.
Les autres ont embarqué dans un train, qui jamais ne s'arrête : le Transperceneige.
Après des décennies d'errance, de violence et de luttes pour le pouvoir, le train capte un signal de l'autre côté de l’océan.
Monté sur des chenilles de fortune, il traverse l'étendue glacée, sacrifiant en chemin la plus grande partie de ses wagons et de ses passagers.
A destination, quatre Arpenteur - personnel forme et équipé pour affronter le froid - remontent jusqu'à la source du signal, espérant trouver d'autres survivants.
Ils ne trouvent que des cadavres gelés, et un émetteur jouant une musique qui jamais ne s'arrête.
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- On fait partie du programme "adaptation". Vous savez, pour adapter l'homme au climat. on est entraînés à résister au froid depuis des années. C'est censé altérer notre ADN pour que les prochaines générations soient plus résistantes, et nous aussi. On a été mis dans le dixième wagon quand vous avez largué tout le reste du train. Et comme on est des enfants... Les gens ont commencés à se battre pour nous approcher. Comme si on était des trésors, ou chais pas quoi. On a décidé de sortir. Ils auraient fini par nous mettre en pièce pour avoir un morceau. Y en a un, je lui a mordu les couilles.
Commenter  J’apprécie          10
Je suis comme vous, je me réjouis. Mais je suis surtout inquiète. Vous vous croyez sauvés ? Pourtant, nous ne savons rien de cet endroit, et la vérité ... La vérité c'est qu'il y a toutes les chances pour que ce soit notre tombeau.
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- Écoute moi, Val... Peut-être qu'il vaut mieux qu'ils ne sachent pas qu'il y a encore quelqu'un dehors.
- Puig n'est pas dehors. Il est enfermé dans une boîte.
- Oui. Mais une boîte à l’extérieur de cette boîte-ci.
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