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sur 341 notes
C'est l'histoire de notre société inadaptée à toutes et tous à travers la rencontre et l'amitié de femmes qui aimerait survivre sans attirer l'attention.

Quand Harmonie, souffrant du syndrome Gilles de la Tourette, fait le tour du quartier à la recherche de son parapluie, elle ne se doute pas que sa vie va être chamboulée à la vue d'une petite annonce qui représente un peu d'autonomie pour elle. On recherche quelqu'un pour deux heures de ménage une ou deux fois par semaine selon le cas. Pour elle, c'est un défi qui pourrait la rendre un peu plus autonome si elle arrive à maîtriser ses gestes.

C'est Fleur qui a passé l'annonce, femme âgée, obèse, angoissée à l'extrème et agoraphobe. Elle vit avec son petit chien, obèse lui aussi, qui vient de faire une crise cardiaque. Elle souhaite une présence pour lui quand elle va chez son thérapeute une à deux fois par semaine.

Leur rencontre va être explosive et va finir par un bras cassé et une rupture.

Fleur et Harmonie nous raconte leur rencontre, leur vie avec lucidité, leur façon de voir le monde, chacune avec sensibilité, peur et humour. Autour d'elles gravitent Elvire, Tonton et Monsieur Poussin, des personnes attachantes mais qui ne sont pas dans la norme de la société.

Peut-on dire qu'ils ne sont pas normaux ? Ils sont exclus, infirmes, handicapés ou vieux, ne brillent pas dans les salons mondains. Ils ont apprivoisé leur solitude qui leur permet de se ressourcer avant de repartir à l'attaque du monde extérieur et de survivre.

La lecture n'est pas simple. Il faut prendre sa respiration, aboyer et finir les phrases avec des insultes avec Harmonie, se mouvoir avec difficulté et angoisse avec Fleur, regarder les gens dans les yeux avec Elvire, accompagner Tonton qui est une femme un peu masculine dans son enthousiasme et voir la beauté des gens à travers le regard de Monsieur Poussin.

De belles rencontres et une excellente idée de ce petit groupe pour changer le regard des gens.
Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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Permettez-moi de ne pas être objective.
Parce que Marie-Sabine Roger et moi, depuis plus de quinze ans maintenant, nous vivons une belle histoire d'amour. (Elle va être surprise en l'apprenant…)
Oui, Marie-Sabine Roger est pour moi comme… Philippe Jaenada, Antoine Bello, Jean-Paul Dubois, Emmanuelle Bayamack-Tam, Marie-Hélène Lafon, Martin Winckler, Gaëlle Josse et quelques autres encore...
Ce sont mes petits chéris, on n'y touche pas. Je les défendrais bec et ongles contre la terre entière si la terre entière venait à les égratigner.
En trois mots : je les aime. J'aime leur langue, leurs mots, leurs phrases, leurs personnages, leurs histoires. J'aime quand ils me parlent d'eux et des autres. Je suis comme un vieux chien fidèle : je reconnais leurs textes à dix kilomètres à la ronde. Ils me font rire, ils m'impressionnent par leur incroyable imagination, leur folle invention. Et surtout, je sens chez chacun d'entre eux une telle humanité qu'il me semble que leurs livres vivent d'une vie autonome.
Il m'arrive de les croiser, lors de salons littéraires, jamais, au grand jamais, je ne m'approche pour leur parler. Je risquerais de m'évanouir. Oui, je suis comme ça. Au dernier Salon du Livre de Paris, j'ai admiré de loin mon grand nounours de Jaenada. J'enviais tous ceux avec qui il discutait. Je suis incapable d'adresser un mot aux gens que j'admire. Ou alors, rouge comme une tomate et vacillante, je bafouille péniblement trois banalités et je m'en veux pour le reste de la journée.
Voilà.
Donc, Marie-Sabine Roger, je l'aime.
Et j'aime son dernier roman, bien sûr.
Parce que c'est du Marie-Sabine Roger pur jus.
Que je vous raconte (pas tout, évidemment!)
C'est l'histoire d'une fille aux « bras pantins nerveux » et aux « mains polichinelles » qui a perdu son parapluie - un parapluie auquel elle tenait beaucoup parce qu'il lui rappelait sa mère. Je vous le dis tout de suite, elle ne le retrouvera pas. Sur le tableau des petites annonces, à l'épicerie, aucun mot n'a été laissé pour signaler qu'un parapluie aurait été retrouvé. Aucun. Vous voyez, ça, c'est typique des personnages de Marie-Sabine Roger : ils sont du genre à penser que si quelqu'un retrouve leur parapluie, il va nécessairement prendre la peine de rédiger une petite annonce pour retrouver le propriétaire... En revanche, Harmonie, tel est son nom, tombe sur une affichette rédigée par une certaine madame Suzain, qui habite la même rue qu'elle. Cette dernière recherche « quelqu'un pour deux heures de ménage une ou deux fois par semaine suivant le cas. » Étrange ce « suivant le cas... »
Harmonie appelle et tombe sur … Fleur.
Comment vous décrire Fleur ? Fleur et sa porte blindée neuf points ? On ne peut pas dire qu'elle soit épanouie... Non pas vraiment. Fleur est une vieille dame de soixante-seize ans, à moins qu'elle ne soit en réalité une petite fille qui écrit tous les soirs dans son journal intime, on ne sait pas au fond. « Admirez sa rondeur de planète la courbe de ce bras plus dodu qu'un jambon observez sur sa lèvre supérieure cette fine rosée de sueur la douceur dans ses yeux d'enfant intimidée qui ne sait pas comme elle devait être belle à trente ans »
Lorsque Harmonie l'appelle pour le travail, Fleur entend comme des aboiements. Pourvu que cette femme n'ait pas l'idée d'amener son chien !… Comment peut-on imaginer faire du ménage dans ces conditions? Les gens sont fous à notre époque !... Surtout, si c'était le cas, ça risquerait de déplaire à Mylord...
En réalité, Fleur n'a besoin de personne pour son ménage, sa maison est tenue plus qu'impeccablement. Non, elle veut juste qu'on lui garde Mylord, son amour de petit chien, le temps d'aller…
Si vous saviez à qui Fleur rend visite….
Mais... le sait-elle elle même ?
Allez, ce roman est délicieux, il se déguste comme une belle part de gâteau au chocolat recouvert de crème fouettée faite maison : on salive quand on l'a devant soi, on l'entame avec une émotion sans nom, on se régale de chaque bouchée, on ne veut pas en perdre une miette, on regarde avec envie l'assiette de son voisin et une fois fini, on en reprendrait bien encore un peu !
Et, bien entendu, on se lamente de l'avoir avalé si vite !
Comme toujours, les personnages sont de pures merveilles : jamais je n'oublierai Fleur et Harmonie, mes deux cabossées, mes deux bracassées. Et je ne vous ai pas parlé du merveilleux Monsieur Poussin. Lui, j'ose à peine l'évoquer tellement mes mots ne sauront jamais restituer ce qu'il est. Non, il faut la délicatesse, la sensibilité et la poésie de Marie-Sabine Roger pour dire qui il est. Et c'est magique.
Lisez doucement, régalez-vous, lecteur chanceux de n'avoir pas encore parcouru la première page de ce roman…
Comme je vous envie !
Lien : http://lireaulit.blogspot.fr/
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Les Bracassées, nouvel opus que je viens de lire de Marie-Sabine ROGER. J'avais eu l'occasion de la découvrir à travers « la tête en friche » ou encore « bon rétablissement ».

Et bien, c'est toujours un plaisir d'entrevoir ce qu'elle a à nous raconter.

Là, elle parle de la différence, du regard des autres, et surtout comment vivre avec un handicap.

Il y d'abord Harmonie qui souffre de la maladie de Tourette, Fleur, dame âgée, obèse et agoraphobe, Elvire qui n'arrive pas à fixer son regard, Tonton, également et l'admirable Monsieur Poussin.

Des rencontres improbables, de la solidarité, et de la tolérance. Voilà ce que vous trouverez si vous lisez ce livre.

Une écriture très rapide, qui part dans tous les sens, mais où tout est cohérent, sans ponctuation. Et oui, ce sont les pensées d'Harmonie qui sont retranscris et à travers les carnets que Fleur noircis que l'on suit cette histoire.

Pas de pathos, loin de là mais de très beaux portraits et de belles âmes, des personnages attachants, comme toujours avec Marie-Sabine ROGER.
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J'ai dévoré ce livre, adoré ces « bracassées ».
Fleur, 76 ans, obèse, agoraphobe, flanquée d'un chien aussi gros qu'elle.
Harmonie, 29 ans, atteinte du syndrome de la Tourette.
Ces deux là se rencontrent grâce à une petite annonce.
Et puis Elvire, atteinte de nystagmus, ses yeux partent dans tous les sens.
Et Tonton, qui vend des poissons et sculpte des oeuvres improbables.
Et Monsieur Poussin, 103 ans, qui a photographié des milliers de personnes par sa fenêtre
Oui, voilà une petite troupe de bracassés que le regard des autres a toujours apeuré.
Mais quand on les connait, comme ils sont attachants !
Lire Marie-Sabine Roger, c'est toujours se prendre une bouffée d'optimisme dans des situations pas toujours faciles.
Elle a le même esprit de bienveillance que Barbara Constantine pour des êtres éprouvés par la vie.
Elle sait être grave avec tant de légèreté et d'humour, sans faire peser le poids des blessures de ses personnages.
Je n'avais qu'une hâte, trouver un moment pour rouvrir le livre et continuer à partager la vie de Fleur et d'Harmonie.
Un auteur qui voit le positif dans des situations désespérées, ça change tout
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Comment parler d'un roman qui met en scène Fleur, une dame âgée, obèse, angoissée, névrosée et agoraphobe, et Harmonie, une jeune femme affligée du syndrome Gilles de la Tourette (mouvements anormaux, bruits et paroles incongrus).
Harmonie va garder le chien de Fleur et la rencontre, d'abord explosive, va peu à peu se construire.
Se comprendre mutuellement va leur permettre elles-mêmes d'aller mieux et même de s'ouvrir un peu au monde…

Marie-Sabine Roger fait un travail stylistique incroyable en donnant la parole à ces deux héroïnes.
Le premier moment de surprise passé, on s'habitue à leurs tics, leurs manies, leur manière de parler, de se voir et de voir le monde.
Bien sûr c'est, comme dans tous les romans de l'auteur, une vraie leçon de tolérance et on en ressort gonflé à bloc et plein d'espérance sur le genre humain.
Bon, ce n'est pas non plus un livre tout rose, faut pas croire, mais quand même ça fait du bien !
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Voici un très beau roman sur des liens inter générationnels entre une vieille dame agoraphobique et une jeune fille rencontrée pour garder son chien. C'est Harmonie, avec son syndrome de Gilles de la Tourette, qui croise sa route. Bientôt rejointes par une bande de « bras cassés » émouvants et drôles, elles vont nous entraîner dans une série d'aventures. La lecture est saccadée entre le lecteur entre moments drôles et moments touchants.
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Comme j'avais beaucoup aimé deux films tirés de deux de ses romans (« La tête en friche » et « Bon rétablissement »), c'est avec confiance que j'ai plongé dans le dernier roman de Marie-Sabine ROGER.

Ayant pour toile de fond, le handicap, le pouvoir de l'amitié, l'acceptation et l'estime de soi, bref… tout ce qui tourne autour des concepts de différence et du vivre-ensemble, j'étais plutôt confiante, voire ravie de ces quelques heures de lecture que j'avais imaginées très plaisantes.
Tout le récit s'articule dans les témoignages à la première personne de tantôt Fleur, une septuagénaire obèse, obsessionnelle et agoraphobe qui ne sort de son domicile que pour consulter son psy et qui n'a que pour seul amour son chien cardiaque (et un peu obèse aussi), ET la jeune et (sûrement jolie mais on ne nous le dit pas) Harmonie 26 ans atteinte du syndrome Gilles de la Tourette. Vous savez la maladie neurologique qui fait rire (presque) tout le monde dans la pièce de théâtre TOC TOC.
Hélas, choisir des prénoms emplis d'autant de poésie et de douceur ne suffit pas pour réussir l'ouvrage sur ces deux « bracassées » (bras cassés pour ceux qui dorment).

« Écrivez, écrivez. Écrire vous permet de déposer un peu votre fardeau, chère Madame Suzain » dit le Docteur Borodine à Fleur.
J'ose espérer que l'auteure après l'écriture de ces 313 pages de narrations éreintantes à lire en a ressenti beaucoup de plaisir car moi pas du tout. Après le premier chapitre de Fleur, j'étais déjà saoulée par son bavardage intempestif et sans intérêt pour moi Oui ! je sais c'est dur ce que je dis mais décrire au scalpel tous les petits gestes et tous les rien du tout de ces deux vies ordinaires pour produire des monologues bavards, indigestes, dans un langage souvent trop oralisé, avec parfois des phrases de onze lignes (si si j'ai compté !), une ponctuation défaillante ou inexistante, bref une narration de logorrhée sans que je puisse reprendre ma respiration (moi qui fais si attention à mes EXPIR et à mes INSPIR) c'est trop pour une seule femme. En l'occurrence ma personne ! Je pourrais aussi parler des deux pages sur l'affaire du parapluie perdu/oublié je ne sais plus vraiment car je m'en fiche pas mal et ce n'est pas important au final ça n'en finissait jamais. Il y a eu aussi quelques phrases qui m'ont laissée de marbre au niveau émotionnel alors que son auteure espérait probablement titiller mon âme philosophe comme par exemple « Il ne faut s'attacher à rien que l'on risque de perdre ». Ben ce fut raté trois fois raté Je n'ai pas été touchée du tout. Ah ! j'oubliais forcément les tas d'injures et de gros mots glissés tout au long des monologues d'Harmonie. Fatiguant lassant répétitifs… que dire de plus ?

« Ben en vérité » comme dit l'un des personnages de ce roman si particulier, si vous avez aimé le style (très « travaillé » je vous l'accorde) que je viens de mettre en oeuvre avec force pour ce précédent paragraphe, en singeant allégrement l'écriture dans Les bracassées de Marie-Sabine ROGER, courez le lire, vous devriez beaucoup aimer.
Lien : http://justelire.fr/les-brac..
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Dans son roman « Les bracassées », Marie Sabine Roger fait rencontrer des personnages drôles mais touchants et leur fait vivre de nombreuses aventures…
Les deux personnages principaux sont Fleur, une femme obèse, agoraphobe, phobique sociale qui vie avec son chien Mylord « son petit bouddha aux pommes », elle abuse des médicaments et consulte un certain Docteur Borodine. Ses idées partent dans tous les sens, pas toujours facile de la suivre car le texte retrace le fil de sa pensée. Sinon on a Harmonie qui souffre de la maladie de Gilles de la Tourette (Gilles de la Tabourette pour Fleur). Elle ponctue ses phrases par des « Ta Tadaaaaaa » ou des « Ouh –Ouh-Ah » accompagnés de mots grossiers et des coups qui partent sans le vouloir. Je vous laisse imaginer les deux réunies !, ça donne quelques scènes cocasses mais toujours dans la bienveillance. Derrière un style léger et drôle, l'auteure passe un message de respect, d'empathie, de tolérance et invite les personnes dites « inclassables » ou qualifiés de «bras cassés » par certaines personnes de la société de s'assumer comme elles sont avec leurs difficultés visibles ou non.
J'ai également lu «Bon rétablissement » et « Trente-six chandelles » que j'avais tout autant appréciés
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Je dévore tous les romans de Marie-Sabine Roger qui me passent sous la main et celui-là ne fait pas exception.
Je l'ai emprunté à la médiathèque mais je vais me l'acheter car il DOIT faire partie de ma bibliothèque.
Un peu déroutée au début par le style d'écriture qui est en fait la voix de la première protagoniste, Harmonie, j'ai compris que le récit alternait son point de vue avec celui d'une femme plus âgée, Fleur. Leur rencontre au sein d'un quartier sympathique et plus précisément de la rue des Soupirs va faire naître l'idée des "Bracassées".
Harmonie est atteinte du syndrome Gilles de la Tourette (que Fleur nomme "Petit Tabourette" - j'adore les néologismes et l'usage qu'elle fait des mots !!) et répond à une petite annonce pour aller garder le chien de Fleur, vieille femme obèse et agoraphobe, gavée de médicaments.
Rencontre improbable, rencontre ratée, mais accord contracté presque sur un malentendu.
C'est lorsque Fred, le compagnon d'Harmonie qui l'a toujours soutenue malgré son handicap… socialement handicapant - lui laisse entendre qu'elle n'est un "bras cassé" que la jeune femme décide de prendre sa vie en main à sa façon ô combien maladroite et spontanée mais non dénuée de bon sens.
C'est une galerie de portraits tendres et humains avec un coup de foudre pour les photographies de M. Poussin.
Vive la bienveillance et la solidarité !
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Le regard des autres. Voilà deux personnes qui souffrent du regard des autres. Deux femmes, l'une jeune Harmonie de son prénom et l'autre plus ancienne, Fleur, que nous présente dans son tout dernier roman Marie-Sabine Roger. Toutes deux sont en souffrance. Harmonie vit avec le syndrome de Gilles de la Tourette, c'est à dire quelle peut à tout moment avoir des mouvements non contrôlés et son langage peut être ponctué de mots grossiers. Et Fleur, elle est agoraphobe et phobique sociale. Des bracassées comme les a maladroitement surnommé Freddie le compagnon d'Harmonie. Tout une histoire se trame entre ces deux protagonistes qui se racontent avec humour et tendresse. L'une cherche du travail, l'autre souhaite une personne pour veiller son son chien lorsqu'elle part en consultation médicale. Et c'est la rencontre, certes désastreuse à ces débuts " La jeune femme a cessé brusquement de frapper dans le mur, elle a levé les yeux sur moi. J'ai demandé : -ça va ? Je n'ai pas trouvé autre chose à lui dire. J'avoue que je manquais un peu d'inspiration. Elle a dit, textuellement : -J'ai mail au bras. Salope." mais qui va vite prendre une dimension exceptionnelle. Je ne vous en dévoile pas plus, vous invitant à le lire. Un roman drôle, émouvant car il traduit bien les mal êtres et surtout ne nous laisse pas indifférent car nous sommes tous un jour confrontés au regard, de l'autre comme du nôtre !

" Ce qu'on sait de quelqu'un empêche de le connaître. Ce qu'on en dit, en croyant savoir ce qu'on dit, rend difficile de le voir." C Bobin, le Très-Bas

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