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Divines Rivalités tome 1 sur 2

Laurent Bury (Traducteur)
EAN : 9782378764623
De Saxus (02/05/2024)
4.49/5   67 notes
Résumé :
Après plusieurs siècles de sommeil, les dieux sont à nouveau en guerre. Alors que son frère est parti au front et que sa mère sombre dans l’alcool, la jeune journaliste Iris Winnow tente de maintenir sa vie à flot.

Elle ne trouve de réconfort que dans les lettres écrites à son frère, porté disparu, qu’elle glisse sous sa garde-robe et qui disparaissent mystérieusement. Lorsqu’elle reçoit des réponses anonymes, elle y répond, sans savoir que leur auteu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (24) Voir plus Ajouter une critique
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Je vais en décevoir plus d'un avec cette review mais c'était tellement bien partis pour être une lecture fantastique mais comme d'habitude : men.
Je suis désolée mais je vais mettre le ton direct comme ça les gens à qui cette critique pourrait faire du mal peuvent partir. Vous méritez d'être heureux. Je suis qu'une grosse rageuse, passez votre chemin et allez vers la lumière et la bienveillance. L'obscurité est mon domaine.
Je hais Roman Kitt.
Pour moi, ce manipulateur égocentrique a tout gâché.
Je vous jure, il faut partir là, vous vous faites du mal pour r.

Ca commençait si bien. Une belle plume, une atmosphère splendide. L'approche de la guerre par les médias et les reporter. Des gens au plus près du conflit qui doivent pourtant rester émotionnellement et intellectuellement face aux horreurs de la guerre. Dont ils sont parfois eux-même victime.
Déjà, la rivalité ici elle passe la tête par la porte pour faire coucou et puis elle disparaît bien vite. Donc déçu la dessus mais bon ok why not.
Les machines à écrire magique? J'en suis jalouse à en mourir, je sais pas si cette idée à déjà été faite mais wow j'ai adoré le concept.
L'autre type qui lui sort "Je t'ai pas menti, je n'ai juste pas dit la vérité" mon poing dans ta figure.
Tout était si cool avec Iris. Elle était si complexe et intéressante, et motivée, entreprenante et l'autre il débarque là et il casse tout. Pour ses envies. Et hop, elle se transforme en carpet Ikea. J'en ai une collection de tapis Ikea maintenant, avec toutes les protagonistes qui font ça.
Cet homme est égoïste, un red flag ambulant, un gaslighter professionnel.
JAMAIS il ne lui a dit "Pardon, je suis désolé de t'avoir causé de la peine" NADA c'est toujours "Pk tu le prends si mal? J'ai fait tout ça pour toi et pour nous!" STFU bro. Vraiment à la poubelle.
Bref. Je suis quand même heureuse qu'ils aient eu leur petit moment de bonheur (if you know you know) j'avoue que cette scène m'a touché ok, j'ai eu un coeur dans le passé.
Je vais pas continué, j'ai une copine qui m'a raconté la suite. Intéressant même si prévisible, consistant pour les fans du volume mais ne supportant pas M. Daddy issues je vais pas le lire.
C'est bon, j'ai fini de déverser mon venin.
Si vous aimez ce livre, good for you, sachez que je suis jalouse. Je retourne dans mon trou de petit farfadet aigris.
Des bisous
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Divine Rivals était très populaire sur le booktok anglais lorsque je me le suis procuré sur un coup de tête. C'est une romantasy pour jeunes adultes avec une romance rivals-to-lovers (et non enemies-to-lovers, comme annoncé dans le résumé). Une traduction française a été annoncée pour mai 2024. J'ai passé un très bon moment, même si l'univers manque de profondeur et de relief.
Parfois, je me sentais davantage dans un roman historique abordant la guerre que dans une fantasy, en partie parce que l'univers n'est pratiquement pas exploité et aussi parce que certains passages se déroulent dans une ville en tout point similaire aux nôtres. Néanmoins, le côté de la guerre, qui prend surtout de l'importance dans la deuxième partie, est très intéressant. On peut, malheureusement, aussi faire des parallèles avec les guerres et les massacres qui se déroulent en ce moment dans notre propre monde. Une certaine scène dans les tranchés nous permet de comprendre ce que des soldats (ou même des civils) vivent tous les jours. J'ai eu le coeur brisé.
Mais le roman commence plutôt par une jeune femme qui écrit dans un journal pour pourvoire aux besoins de sa mère, qui est tombée dans l'alcoolisme depuis que son fils (le frère d'Iris) est parti à la guerre. Elle est en rivalité avec Roman, un autre journaliste doué qui essaie de décrocher la promotion qu'elle-même convoite.
Elle écrit souvent à son frère, toujours au front, mais ne reçoit aucune réponse. Et puis, un jour, elle reçoit une réponse, mais… d'un inconnu. S'ensuit une correspondance entre Iris et le mystérieux homme, dont elle ne connait pas l'identité.
L'auteure utilise très bien la correspondance et les mots des deux personnages pour ajouter une dimension psychologique intéressante à son récit. Les phrases sont bien rédigées et la plume est très jolie. Je pense cependant que les deux personnages se sont attachés trop vite ; en fin de compte, leur correspondance est assez courte, et ça m'a semblé un peu incohérent qu'ils soient déjà tombés amoureux. Un peu plus d'approfondissement aurait été bénéfique.
La suite de la relation se déroule bien, mais les 50 dernières pages m'ont paru trop précipitées. Je comprends l'empressement qu'amène la guerre et la peur de mourir le lendemain, mais je n'ai pas réussi à bien ressentir l'attachement et l'amour des personnages, d'où le problème du manque d'approfondissement.
Quant à l'intrigue, elle est d'apparence assez simple. Même si je déplore un manque d'approfondissement de l'univers, du territoire et des éléments autres que les deux divinités qui se battent, j'ai pris beaucoup de plaisir à lire et découvrir ce roman. Je me suis attachée rapidement aux personnages secondaires, des femmes fortes et intrigantes. La réalité de la guerre, des blessés, de la peur, des nuits passées à craindre une invasion, est bien exploitée. J'ai aussi aimé que l'auteure aborde l'indifférence de certaines villes/régions, pourtant proches des territoires en guerre. Malheureusement, on peut faire un lien avec notre réalité et l'inaction de plusieurs pays face aux génocides et aux atrocités…
La fin est assez rapide, on ne comprend pas tout. Je n'ai pas tout à fait compris les intentions du frère d'Iris… en espérant que le deuxième tome nous donne davantage de réponses !
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J'ai beaucoup aimé ce premier tome, même s'il m'a manqué un "je ne sais quoi" pour en faire un coup de coeur.

L'ambiance m'a un peu déstabilisée. C'est une fantasy, leur univers n'existe pas, mais j'avais l'impression d'être dans une Angleterre du début du 20e siècle. le tout est saupoudré de magie, mais celle-ci est relativement discrète, bien que présente. J'ai donc eu un peu le sentiment de me retrouver entre deux mondes.

La relation entre Roman et Iris est toute mignonne. Je m'attendais sans doute à un poil plus de tension entre eux, ceci dit on sent directement qu'il y a ce "petit quelque chose" en plus. Leurs échanges épistolaires apportent une vraie originalité à l'ensemble.

J'ai trouvé les personnages secondaires assez attachants, même si on pourrait reprocher un certain manque du nuance.

Je suis également contente de les lire en VO vu la fin, puisque j'ai directement enchaîné sur le 2e (encore en cours de lecture).

Bref, Divines Rivals est un roman que j'ai beaucoup aimé, mais qui ne m'a pas emportée autant que je l'aurais voulu.
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4- Iris et Roman sont deux journalistes en compétition dans un magazine très côté. Lorsqu'Iris perd un être cher, elle décide de tout quitter pour devenir reporter de guerre dans le conflit qui affronte deux Dieux et pour lequel son frère est parti se battre. Heureusement, elle peut compter sur son mystérieux correspond qui communique avec elle au travers de lettres magiques.

Ce livre a été un coup de coeur pour beaucoup et je dois avouer que même si j'ai passé un excellent moment de lecture, on est pas sur un coup de coeur.
En effet, et je vais parler de ça en premier, je trouve que le monde et l'univers, pourtant ultra intéressant n'est que trop peu creusé et utilisé. C'est vraiment dommage car j'aurais vraiment aimé en
savoir beaucoup plus sur les dieux et leur implication.

J'étais très étonnée de me retrouver dans une ambiance presque historique avec les tranchées et les
bombes et je m'attendais à plus de magie. Et c'est vraiment cette absence qui m'a pesé, surtout que ce
n'est pas si évident dans le résumé sur la quatrième de couverture.

Heureusement la chose qui a fait que j'ai adoré ma lecture c'est le fait que les personnages sont adorables et surtout leur relation est juste trop belle. Les mots qu'ils emploient pour se parler, d'abord avec beaucoup de pudeur, puis en y mettant tout leur coeur sont super poétiques et prenants. Je pense que tout le monde a été complètement sous le charme de la plume de Roman.
Cependant, vu la fin, j'attend beaucoup plus du deuxième tome question exploration du monde et des
déités !

En résumé: Un univers intéressant mais pas assez creusé mais une relation adorable et beaucoup trop
émouvante!
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« Because you are not alone. Not in your fear or your grief or your hopes or your dreams.
You are not alone. »

💜📰💼🕯️🪖🌾✉️

Letters of Enchantment, Tome 1 : Divine Rivals - Rebecca Ross - Harper Collins - 13/04/23 - 368 pages - 18,25€ - dès 15 ans

★ ★ ★ ★

✨ pour notre 1ère LC en anglais, nous avons plongé dans une Romantasy historique, au coeur d'un univers sombre et ravagé par une guerre opposant 2 Dieux, au coeur de la rivalité opposant 2 journalistes : Iris et Roman

✨ Iris fait partie d'une famille modeste, son frère est parti à la guerre et elle n'a plus de nouvelles de lui, sa mère est alcoolique et sombre un peu plus chaque jour dans sa mélancolie

✨ Roman lui, fait partie d'une famille aisée, et doit porter sur ses épaules le poids de seul héritier, ainsi son père veut l'obliger à se marier à une jeune inconnue.

✨ L'autrice dépeint avec justesse un univers où on ne trouve pas sa place, où les ténèbres vous dévorent au moindre faux pas et où l'espoir résiste à grand peine, j'ai lâché des larmes plusieurs fois

✨ j'ai vite été envoûtée par la mignonnitude des prota et même des perso secondaires, et le livre était plein à ras bord de mystères, de questions, et c'est d'ailleurs le seul reproche que je pourrais lui faire : à quand les réponses ??

✨ En bref, c'est une histoire grandement romantique, mélancolique et touchante, qu'on a envie de chérir dans notre coeur 💗

Kissou Kissou Bisounours 🧸

💗🌸✨

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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Sometimes I'm afraid to love other people.
Everyone I care about eventually leaves me, whether it's death or war or simply because they don't want me. They go places I can't find, places I can't reach. And I'm not afraid to be alone, but I'm tired of being the one left behind. I'm tired of having to rearrange my life after the people within it depart, as if I'm a puzzle and I'm now missing pieces and I will never feel that pure sens of completion again.
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But the moment you walked away, I knew I felt something for you, which I had been denying for weeks. The moment you wrote me and said you were six hundred kilometers away from Oath… I though my heart had stopped. I didn’t want the life my father had planned for me - a life where I could never be with you.
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Do you ever feel as if you wear armor, day after day ? That when people look at you, they see only the shine of steel that you've so carefully encased yourself in ? They see what they want to see in you - the warped reflection of their own face, or a piece of the sky, or a shadow cast between buildings. They see all the times you've made mistakes, all the times you've failed, all the times you've hurt them or disappoint them. As if that is all you will ever be in their eyes.
How do you change something like that ? How do you make your life your own and not feel guilt over it?
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I think we all wear armor. I think those who don’t are fools, risking the pain of being wounded by the sharp edges of the world, over and over again. But if I’ve learned anything from those fools, it is that to be vulnerable is a strength most of us fear. It takes courage to let down your armor, to welcome people to see you as you are. Sometimes I feel the same as you: I can’t risk having people behold me as I truly am. But there’s also a small voice in the back of my mind, a voice that tells me, ‘You will miss so much by being so guarded. 
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But I realize that people are just people, and they carry their own set of fears, dreams, desires, pains, and mistakes. I can't expect someone else to make me feel complete; I must find it on my own. And I think I was always writing for myself, to sort through my loss and worry and tangled ambitions. Even now, I think about how effortless it is to lose oneself in words, and yet also find who you are.
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