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EAN : 9782364749405
96 pages
Editions Thierry Magnier (21/09/2016)
3.81/5   26 notes
Résumé :
Deux histoires d'amour terribles, destructrices, comme en traversent des adolescents épris d'absolu.

Moi, une marionnette.
Esra est passionnément amoureuse d’un homme beaucoup plus âgé qu’elle a rencontré dans un bar. Mais il se révèle manipulateur. Un véritable vampire, exigeant d’elle une dévotion constante. Petit à petit, il isole la jeune fille des siens et la terrorise. Un jour elle trouve le courage d’appeler à l’aide son amoureux transi ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
A la bibliothèque, j'ai emprunté : Tant que mon coeur bat de Madeline Roth.
Ce recueil contient deux nouvelles, deux histoires d'amour terribles, destructrices, comme en traversent des adolescents épris d'absolu.
Dans : « Moi, une marionnette » nous suivons Esra qui est passionnément amoureuse d'un homme beaucoup plus âgé qu'elle a rencontré dans un bar. Mais il se révèle manipulateur. Un véritable vampire, exigeant d'elle une dévotion constante. Petit à petit, il isole la jeune fille des siens et la terrorise. Un jour elle trouve le courage d'appeler à l'aide son amoureux transi de toujours qui va l'extirper de cette situation toxique.
J'ai trouvé cette nouvelle très touchante, et très crédible. Malheureusement, des hommes profitent des femmes qu'ils sentent plus faibles qu'eux, à la recherche du grand amour. Au début tout est rose et peu à peu les choses se gâtent.
La pauvre Esra en fait les frais ! Elle est mineure, et tombe sur un manipulateur qui peu à peu l'isole des autres. C'est compliqué pour elle de faire la part des choses. Un jour, elle doit se faire interner pour éviter le pire. J'ai été très touché par ce texte, très pertinent. Esra est très attachante même si j'ai parfois eu envie de la secouer ! Pourtant, je sais bien qu'il est difficile quand on est dans une telle situation de s'en sortir. Elle va essayer, en appelant celui qui est fou d'elle et qui va évidemment souffrir lui aussi de la voir ainsi.
J'ai apprécié la chute, c'est bien ficelé. Simple mais efficace.
Ma note : quatre étoiles et demie.
Dans « Et grandir maintenant » Cyril a beaucoup aimé Laura, mais sans doute pas assez, pas à la mesure de ce qu'elle attendait. Après des années de mal être, Laura a nagé trop loin... Impossible de revenir. En route pour les obsèques, le garçon revoit les années passées.
Ce second texte parle de passion, d'un amour à sens unique. Laura aimé fort, trop fort sûrement Cyril. Quitte à en crever..
Cyril la balade, il se joue de ses sentiments. Il ne s'en rend pas forcément compte.
Mais au fur et à mesure que les pages se tournent, qu'il dévoile leur histoire alors qu'il est en route pour l'enterrement de la jeune fille ; on se rend compte que Cyril n'a pas été correct et qu'il a une sacré responsabilité dans le geste de la jeune fille !
C'est une nouvelle qui la aussi m'a pris aux tripes, c'est difficile d'accepter que des jeunes filles viennent à se tuer pour ne pas assumer un amour à sens unique, un amour qui n'est pas celui qu'elle espérait.
Ma note : quatre étoiles et demie.
Tant que mon coeur bat est un recueil de deux nouvelles très fortes, poignantes et qui dérangent un peu.
J'ai apprécié l'écriture de Madeline Roth car elle met avec beaucoup de justesse des mots sur les maux de deux adolescentes. Elle décrit parfaitement l'exaltation des sentiments amoureux à l'adolescence, la radicalité des choix qui sont fait. Cela fait réfléchir, c'est poignant, touchant.
Bref, un bon ouvrage qui mérite quatre étoiles et demie.
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Beaucoup de choses vont par deux.

Les âmes romantiques diraient, penseraient, Amour.



Les deux histoires de ce roman vont par deux.

Elles parlent d'amour.

Elle parle d'adolescence aussi, du dur passage vers l'âge adulte.

L'amour ne se commande, ne se trouve pas aussi simplement, si tant est que l'amour soit là.



"Tant que mon coeur bat" raconte comment on peut se remettre d'un chagrin d'amour.

La première Nouvelle de l'auteure offre un triste triangle amoureux, une histoire qui n'a rien d'un Conte de fée.

Deux histoires contrariées, une légère, une grave.

Benoît est en Terminal, il est attaché à la jeune Esra qui est en Seconde.

Elle est mystérieuse, sensible, un peu torturée.



Des va et vient dans le temps nous expliquent pourquoi Esra est au 36ème dessous, pourquoi son coeur est brisé et pourquoi Benoît ne peut rien y faire.

C'est naïf et dur à la fois, comme une jeune ado de 15 ans amoureuse d'un adulte de 15 ans son aîné.

Le récit est court mais tout est dit en une économie de mots qui font mouche.



Le fantasme se brise, la fraîche source d'inspiration s'est tarie pour l'écrivain, cet Antoine, qui en demande plus et la "passion" de la jeune fille devient rapidement un enfantillage gênant, encombrant.

L'abandonnant là à plusieurs reprises de leur itinéraire amoureux, Antoine, reprend toute la confiance qu'il avait placé au creux du coeur d'Esra et qui l'avait faite femme dans leur robinsonnade amoureuse.

Nous ressentons nous-même de la gêne à la lecture, pour des raisons évidentes.

Cet amour qu'Antoine, adulte, exprime pour Esra est assez violent.

Comment l'Amour pouvait la rendre folle?



La présence du personnage de Bastien redonne une place importante aux sentiments ados de Esra, laissant la résilience nous prendre le bras plutôt que de nous laisser céder à l'indignation.

C'est lui qui raconte.

La protection parentale n'est pas le propos mais il n'est pas oublié, pour plus de crédibilité auprès des lecteurs, pour nous offrir un caractère plus rassurant.

On se dit "tant qu'un coeur bat, tant que des coeurs battent pour un coeur brisé, rien n'est perdu".

A la fin de cette histoire ci, on souffle, la poitrine se relâche.



Sortez les mouchoirs,

l'autre histoire d'ados suit juste derrière et cela ne sera pas non plus très tendre.

C'est un récit à deux voix.

Mais une des voix s'est perdue dans le temps, dans des circonstances que l'on ignore encore.

Chacun se raconte, Cyril et Laura, chacun à une étape de l'histoire pour qu'enfin nous comprenions et que les bouts se rejoignent.

Ils se sont rencontrés, elle avait quatorze ans, lui dix-huit. Décidément.

Le Romantisme prend décidément un goût amer.



Madeline Roth insiste sur cette envie irrésistible des ados de grandir plus vite.

C'est parfois un peu cru et nous ressentons une espèce de malaise dans la dichotomie entre le fantasme et la réalité.

Tandis que Cyril se défend de tout attachement, vivant leur rencontre d'une façon virile, il finira par éprouver du remord. Nous savons pourquoi, à plusieurs niveaux.

Laura est une écorchée et Cyril ne se classe pas personnellement dans le registre des chics types.

Cette deuxième Nouvelle est aussi percutante.



Au titre si évocateur d'espérance nous sommes confrontés à une désillusion, assez violente.

Ici aussi, il y aura de la résilience et du coeur à recoudre mais cette fois, le bateau coulera à pic.

Laura est un fantôme qui vient hanter la mémoire de Cyril.



L'auteure nous laisse là, à notre tour, choisissant de clore le roman par l'histoire qui nous remet la chape de plomb. Et alors quoi?

Que faire de cela?

Et là, on regarde intensément le titre.

Un roman fort, à réserver à un public averti de grands ados, pour les jours de pluie la boite de kleenex à la main.
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Les mots de Madeline Roth cognent, s'entrechoquent et éclatent en nous. Ils bousculent et renversent. Créent des turbulences au coeur et des soubresauts à l'âme. Ça palpite, ça bat fort, ça tangue, ça terrasse. C'est la vie toute entière qui bouillonne, source intarissable. Ça déborde, c'est vif, c'est intense. Impitoyablement. Des mots hurlants, des phrases saisissantes de réalisme, des personnages criant de vérité. Tout est dit, tout est mis sur la table, comme ça en quelques pages. Sans détours ni demi-mesure. Avec justesse et intelligence. L'intime, le profond, la sensation.
Et l'amour au centre de ce tout ; puissant et dévastateur, brûlant et beau, fervent et emprisonnant, il voile la raison, heurte le coeur et malmène le corps.
Deux histoires d'amour, celle d'une emprise qui emmure et celle d'une honte qui broie.
Esra, lycéenne tombe sous le charme d'Antoine, la trentaine. Elle est séduite par son aura, son aisance pour jouer avec les mots, son savoir. Elle se laisse ainsi cueillir, emporter, étourdir, mener. Mais l'homme est dur, brutal et excessif. La jeune fille souffre mais continue de l'aimer. À la folie. Elle devient, entre les mains d'Antoine, une marionnette. On découvre Esra sur un lit d'hôpital, visité par Bastien, un ami qui lui veut du bien.
Cyril, aujourd'hui marié et père d'un petit garçon, apprend que Laura, une amie de jeunesse s'est donnée la mort. Ils entretenaient à l'époque une relation singulière. Un amour à sens unique. Il ne l'aimait pas. Malgré cela, Cyril n'a jamais oublié cette fille... Laura brûlait d'amour pour lui mais un poids énorme la maintenait au sol, une plaie ouverte marquait son corps, son coeur et son esprit. Et cela, il ne le savait pas.
Une écriture qui m'a profondément émue.

Lien : https://lesmotsdelafin.wordp..
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Les pavés, c'est pas tout le temps que ça doit être lourd. Y'en a aussi des légers, je veux dire. Ça t'empêchera pas d'en prendre plein la gueule d'façon.

Bicause tu lis l'histoire d'Esra, de Bastien et d'Antoine et tu te dis que putain, c'est pas possible. C'est tellement bien écrit que t'as l'impression d'être les trois personnages à la fois, alors la boule dans la gorge elle monte, et les nerfs des fois, ben ils se crispent mon vieux.

Ça fait remonter les souvenirs à la surface, juste un petit peu, ce délicat moment juste avant qu'ils explosent, de la fiction à la réalité.

Respiration, et puis s'en vont.

Jusqu'à la prochaine histoire au moins, celle de Laura et de Cyril. Rebelotte et pourtant rien à voir.

Brelan d'as mon pote, coups sur coups. Pan Loubard est étalé, ouais les histoires d'amour tout ça j'te vois venir avec tes farandoles. Bah v'lan.

Madeline brise les façades en tornade d'émotions, je crois même que ça s'appelle en poésie si tu veux tout savoir, sinon ce serait pas aussi troublant. En faisant parler le coeur, passé un peu au rouleau compresseur, puisqu'il s'agit de lui de tout au long. de ça, d'histoires d'amours universelles, celles qui arrivent un peu trop souvent à mon goût mais qui vous donnent l'impression d'être exceptionnelLes.

C'est facile de parler de son cul et de son nombril. Y'en a pas beaucoup qui pensent à rajouter les tripes.

Si tu veux des trucs qui changent, si tu veux un peu de plomb dans l'Elles, et un peu dans lui aussi. Bondis un peu par là, croix de bois croix de fer, c'est un peu le moyen de redescendre sur terre.

Nique (tu vas me ruiner en chocolats ma vieille).
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Un recueil composé de deux textes. Dans le premier, Bastien vient chaque jour visiter Esra, dans cette clinique où elle tente de se reconstruire après s'être enfin éloignée d'Antoine. Antoine, artiste torturé qui aurait pu être son père et dont l'ado est tombée éperdument amoureuse. Antoine et ses colères, sa folie, sa possessivité. Antoine qui l'a séduite, fascinée et entraînée dans une relation destructrice dont elle peine à se relever. Dans le second, Cyril apprend le suicide de Laura. Il repense à leurs rapports, purement sexuels, sans le moindre affect. du moins pour lui. Laura et son mutisme, ses secrets bien enfouis. Laura dont il ne s'est jamais préoccupé à vrai dire. Pas question pour autant de culpabiliser, il lui importe plutôt de se dédouaner.

Il est question de liaisons toxiques, de passions ravageuses, d'une fragilité que l'homme prédateur entretient et utilise à son profit. C'est tendu et irrespirable, la souffrance suinte de chaque phrase, de chaque page. Ça pourrait être gratuitement morbide mais le désespoir n'a ici rien de sensationnaliste, il traduit une réalité difficilement supportable sans la moindre surenchère.

Ecriture simple et directe, paragraphes courts et percutants que l'on parcourt en apnée et dont on ressort groggy... Comment survivre quand on aime à la folie sans être aimée en retour ? Peut-on le supporter ? Peut-on s'en remettre ? Autant de questions posées en filigrane, de réponses pour le moins pessimistes. Un recueil qui ébranle, qui bouscule et ne peux pas laisser indifférent.

Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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critiques presse (2)
Ricochet
22 novembre 2016
Essai tout en tension, concis pour mieux laisser la place au non-dit, au confus peut-être, Tant que mon cœur bat n’est pas vraiment fait pour vous donner foi en l’amour, mais en la vérité humaine sans doute.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Actualitte
11 octobre 2016
Un ouvrage des plus intimes dévoilant les maux d’un amour violent et d’un traumatisme indélébile.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
« Et là Esra s'écroule, elle s'écroule, elle tombe de la chaise, elle se met en boule, elle se cache les yeux avec les bras sur elle, elle dit : je veux juste l'aimer. J'ai besoin de l'aimer. De son amour dans ma vie. Elle dit tout ça et elle pleure et on la laisse là, allongée par terre, on vient se mettre à côté d'elle, on lui caresse les cheveux, on l'écoute et sa voix se fait de plus en plus douce, et petite, et elle murmure, et elle laisse de longs silences entre chaque mot, elle dit : Je sais pas si je suis folle mais je l'aime, ça fait un truc dans le ventre, c'est trop gros pour moi toute seule, c'est comme une boulimie, vous savez, y a rien qui comble ce truc dans le ventre qui appelle, y a rien qui comble, on mange, on avale des gens, des livres, des lieux, des amants, y a jamais rien qui comble, on fait le tour de son corps, du corps des autres, on dissèque tout, on l'épingle au mur, on appelle, on appelle les gens, on écrit des lettres, des journaux, on prend des photos, y a toujours rien vous comprenez ? On est un tourbillon qui engloutit tout et plus on mange et plus on a faim et plus on mange et plus le corps réclame, réclame des gens, de la chaleur, de l'amour et y a les années qui passent et ça ne change rien et on comprend pas pourquoi on est là à attendre. On attend. Voilà c'est ça moi j'attendais. Avant lui j'attendais. »
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«  Je voudrais te voir en dehors des nuits, des matelas posés au sol, des solitudes qu'on croit qu'on brise parce qu'on se colle l'un à l'autre, mais les matins les pires c'est ceux qui suivent les nuits dans tes bras, je voudrais des trucs bêtes, des trucs bêtes d'amoureux, se balader main dans la main autour du lac, manger une glace, faire des projets, pour l'été prochain, pour l'année d'après, des promesses à la con même si on les tient pas, des certitudes. Des rêve – même pas longtemps. Même pas très grands. Mais des rêves. »
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« Laura s'accrochait à la vie comme au-dessus d'une falaise. Elle baissait les yeux dès qu'un regard d'homme se posait sur elle. Elle fuyait l'attention, la tendresse, elle vomissait les caresses, les baisers. Elle haïssait tout ça, et quelque chose en elle le réclamait. Comme si elle se nourrissait de toute cette haine. On a pris ta fierté, ton honneur, ta virginité et on a souillé ton corps, ton âme, ton nom. C'est pas qu'un bout de peau qu'ils ont déchiré, c'est des lambeaux entiers, ils ont pris en un soir tout ce qui faisait de toi quelqu'un. Tu t'es perdue, et t'aurais tout donné pour te retrouver. »
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« Laura s’accrochait à la vie comme au-dessus d’une falaise. Elle baissait les yeux dès qu’un regard d’homme se posait sur elle. Elle fuyait l’attention, la tendresse, elle vomissait les caresses, les baisers. Elle haïssait tout ça, et quelque chose en elle le réclamait. Comme si elle se nourrissait de toute cette haine. On a pris ta fierté, ton honneur, ta virginité et on a souillé ton corps, ton âme, ton nom. C’est pas qu’un bout de peau qu’ils ont déchiré, c’est des lambeaux entiers, ils ont pris en un soir tout ce qui faisait de toi quelqu’un. Tu t’es perdue, et t’aurais tout donné pour te retrouver. »
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Je sais pas si je suis folle mais je l'aime, ça fait un truc dans le ventre, c'est trop gros pour moi toute seule, c'est comme une boulimie, vous savez, y a rien qui comble, on mange, on avale des gens, des livres, des lieux, des manats, y a jamais rien qui comble, on fait le tour de son corps, du corps des autres, on dissèque tout, on l'épingle au mur, on appelle, on appelle les gens, on écrit des lettres, des journaux, on prend des photos, y a toujours rien vous comprenez?
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Video de Madeline Roth (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Madeline Roth
La rentrée littéraire d'hiver vue par @Jacques Lindecker 493 romans ont été publiés en janvier/février. Des premiers romans aux têtes d'affiche, suivez le guide pour vous y retrouver. En avant-première la liste des livres présentés :
« Les indésirables », Kiku Hughes, éditions Rue de Sèvres « le smartphone et le balayeur », Emmanuel Guibert, éditions Les Arènes BD
Littérature française « Serge », Yasmina Reza, éd. Flammarion « On était des poissons », Nathalie Kuperman, éditions Flammarion « Les jours voyous », Philippe Mezescaze, éd. du Mercure de France « le dernier enfant », Philippe Besson, éd. Julliard « L'odeur d'un père », Catherine Weinzaepflen, éd. des femmes « Aller aux fraises », Eric Plamondon, éd. Quidam « La brûlure », Christophe Bataille, éd. Grasset « Avant le jour », Madeline Roth, éd. de la fosse aux ours « Les orages », Sylvain Prudhomme, éd. L'arbalète Gallimard « le démon de la colline aux loups », Dimitri Rouchon-Borie, éd. du Tripode « Danse avec la foudre », Jérémy Bracone, éd. de L'Iconoclaste « Des diables et des saints », Jean-Baptiste Andrea, éd. de L'Iconoclaste « Presqu'îles », Yann Lespoux, éd. Agullo « Certains coeurs lâchent pour trois fois rien », Gilles Paris, éd. Flammarion « Un dimanche à Ville-d'Avray » Dominique Barvéris, éd. folio (en poche)
Littérature étrangère (« Ce genre de petites choses », Claire Keegan, éd. Sabine Wespieser) « Jane, un meurtre », Maggie Nelson, éd. du Sous-sol (parution le 4 mars) « Dans la ville provisoire », Bruno Pellegrino, éd. Zoé « Tu auras dû t'en aller », Daniel Kehlmann, éd. Actes sud « C'était le jour des morts », Natalia Sylvester, éd. de L'Aube « Jolies filles », Robert Bryndza, éd. Belfond Noir
Sur les mers « Mauvaise étoile », Christophe Migeon, éd. Paulsen « Tout l'or des braves », Clifford Jackman », éd. Paulsen
Diffusion lundi 22 février 18h30 (durée 40 mn) #colmar #colmarandyou #festivaldulivredecolmar
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