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Laurence Viallet (Traducteur)
EAN : 9782264045966
301 pages
10-18 (07/02/2008)
3.25/5   87 notes
Résumé :
De nos jours, dans un monde qui ressemble comme deux gouttes d'eau au nôtre et qui pourtant n'est pas tout à fait le même... Jane Charlotte est arrêtée en flagrant délit, pour un meurtre qu'elle vient de commettre. Au commissariat, elle raconte aux inspecteurs une histoire invraisemblable : elle ferait partie d'une organisation secrète dont la mission serait de se débarrasser des «Bad Monkeys», les êtres malfaisants qui ont échappé à la justice. Son aveu la conduit ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Bonne nouvelle : Seul le titre est en anglais. Science fiction, polar, thriller, exploration psychologique, monde parallèles, quête du bien et du mal : ON S'EN FOUT ! C'est les vacances, on lit, on joue !!! Et comme je suis bercé par le chant des cigales, je n'ai pas envie de me fouler donc je pique à Hugo sa liste de mots imposés dans la citation du Tsunami Mexicain pour le singer : c'est bad ! le monde est un cactus ... Noon, c'est bath ! Allez, je plonge.^^

Ce n'est pas à un vieux singe que l'on apprend à faire des grimaces, je veux dire par là que je ne m'attendais pas à être vraiment surpris par ce roman prêté par mon sympathique neveu, mais juste à une lecture plaisante et agréable dans un genre littéraire (lequel ?) que je ne fréquente pas assidûment. Impeccable ! Sauf que je me suis bien planté, ce roman étant bien plus profond qu'un joli lagon, abordant à toute vitesse l'exploration du bien et du mal, et de l'esprit humain, si vite, si loin qu'il en devient immersif. Bref pour sortir de cette fausse impression de lecture éphémère de vacances, il m'a fallu un certain temps avant que me reviennent les paroles de la chanson de Brel : Les singes de mon quartier.

Peut-être à cause des cigales, n'étais-je pas dans un état de conscience suffisant et m'étais-je un peu trop laissé bercer comme ces coquillettes en train de s'agiter dans l'eau salée du lagon bleu et me livrer leur interprétation éphémère du balais^^ casse-noisette, le temps de leur cuisson et du nettoyage de la cuisine ? Oui, c'est mon tour pour le ménage -:)) Pff... les vacances. Bon, retour au bouquin. Concentration : sans recours aux opiacées, aux drogues X, ni force "Blue lagoon", "Sex on the beach" tropicaux et liquoreux, ni même l'aide d'une boisson plus amère, campari aux glaçons tintinnabulants, sans rien que la force de l'esprit (et un petit jaune), je suis capable de ralentir le temps pour rentrer vraiment dans ce roman immersif sans me noyer (ni le petit jaune, surtout pas !).

Maîtriser le temps pour stopper un bad monkey, arriver avant lui en empruntant une brachistochrone plutôt que de le poursuivre en ligne droite ou utiliser la physique des particules, celles des quantas pour dématérialiser mon déplacement et lui porter le coup fatal. Pff ... plus vif que l'éclair et même avec un paratonnerre le bad monkey ne pourra pas parer le coup de mon révolver MN. C'est bien un thriller d'une logique impeccable et implacable, plus piquant qu'un cactus géant, une remise en question de ce qu'il y a de plus fondamental : la frontière du bien et du mal. C'est Hellfest ! Anticonstitutionnellement, un groupe de clowns s'arroge le droit absolu de créer des expériences pour repérer les malveillants avant de les exterminer. Certains s'en battent les coquillettes de cette interrogation sur le mal absolu, d'autres trouveront Matt Ruff plus subversif que le divin marquis ! LOL

Quoique je m'interroge à savoir si le bannissement utilisé, par les Grecs et les Romain, l'exclusion du monde civilisé, aux confins du monde Berbère par exemple plus loin que Volubilis, donc n'est pas une peine plus cruelle que l'éradication. Moi-même ayant été notifié d'une telle mesure par l'envoi d'un parfum et peu importe qu'il soit à base de rose, violette, lavande, volubilis, crocus, pensée, ou petit coquelicot, s'il signifie casse-toi, tu pues, ... Je peux te dire tu marches à l'ombre ou tu disparais à Nod. Je ne sais pas toi, Hugo, pour La nostalgie de l'ange; mais je peux certifier à mon neveu que je l'ai lu en entier son bouquin. Et j'ai kiffé grave cette expérience dans la ferme de fourmis tout en écoutant le chant des cigales.
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Avec Bad Monkeys, j'ai eu l'impression de me replonger dans A.N.G.E. d'Anne Robillard ; ces deux ouvrages possédant une trame de fond identique : une organisation ultra-secrète luttant contre le mal. La comparaison s'arrête là. Bad Monkeys est beaucoup moins angélique et innocent que la saga d'Anne Robillard.
Les Bad Monkeys sont une espèce de branche armée de l'organisation (laquelle n'a pas de nom défini et se nomme simplement "l'organisation"). Leur but est d'éliminer les individus malfaisants et irrécupérables : pédophiles, serial killers, violeurs... Pour remplir leur mission, les agents disposent d'appareils extrêmement sophistiqués. Parmi ceux-ci, les revolver "MN" (pour "mort naturelle"), qui provoque des crises cardiaques ou des accidents cérébraux chez ceux qu'ils visent.
Jane Charlotte semblait destinée à faire partie des Bad Monkeys puisque son premier contact avec l'organisation a eu lieu alors qu'elle n'avait que 14 ans. Pourtant, son "homologation" ( = entrée dans l'organisation) n'aura lieu que vingt-deux ans plus tard.
Entre-temps, Jane Charlotte se conduit très mal. Et c'est ça qui est étonnant, qu'une organisation qui lutte contre la criminalité engage quelqu'un comme cette jeune femme. Accro à toutes sortes de drogues et de pilules, menteuse, voleuse occasionnelle, le passe de Jane Charlotte est loin d'être irréprochable. Ses deux premières missions pour les Bad Monkeys semblent d'ailleurs peu satisfaisante pour son supérieur direct, Robert True.
Pourtant, Jane Charlotte est engagée. A notre grand étonnement et à celui, encore plus grand, du psychiatre chargé d'émettre un avis sur la santé mentale de la jeune femme. Après leur premier entretien, le médecin s'est lancé dans une série de recherches afin de vérifier les dires de Jane Charlotte. Certains éléments sont exacts, mais la plupart diffèrent sensiblement ou sont totalement faux. Alors, Jane Charlotte dit-elle la vérité lorsqu'elle affirme que l'organisation manipule les preuves éventuelles d'une affaire pour ne pas être découverte ? Ou la jeune femme est-elle en plein délire psychotique ?
A vous de lire Bad Monkeys pour le découvrir. Je ne peux d'ailleurs que vous le conseiller !
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Cocktail étourdissant où l'on retrouve le goût de films comme Usual Suspect, Seven, l'armée des 12 singes... En y réfléchissant un peu le renversement final est un peu téléphoné mais comme il prend place après un feu d'artifice - artifice, le mot est bien à sa place ici - éblouissant, on le pardonne facilement parce que très plaisant. Donc, si on est capable d'avaler l'appât, les hameçons, la ligne et le pêcheur ou plutôt l'infâme pécheresse glissant de la paranoïa à la schizophrénie et de la déchéance complète à la perversité la plus totale - sans la moindre touche d'érotisme ceci dit, n'allez pas vous imaginer des choses, il n'y a pas qu'une seule voie dans la perversité - alors on peut passer un excellent moment avec ce bouquin.
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Un roman qu'on lit d'une traite (ou presque) ne peut pas être foncièrement mauvais, a fortiori s'il s'agit d'un thriller comme c'est le cas ici. Avec un art rare de l'accroche, Matt Ruff emporte le lecteur dès les premières pages, avec ce pitch imparable : une jeune femme dans une prison, un psychologue, j'ai tué cet homme car je fais partie d'une organisation secrète dont le but est de supprimer les hommes mauvais.
Et voilà Jane Charlotte embarquée dans son récit, depuis son adolescence mouvement, son recrutement par l'organisation en question, ses missions, ses réussites et ses échecs.
Bien entendu, au fur et à mesure du livre, comme si l'appropriation du concept déjà assez riche ne suffisait pas, des zones d'ombres apparaissent, des revirements s'opèrent, des perspectives se modifient.
Puis, plus on se rapproche du dénouement, plus les coups de théâtre s'enchaînent, à un rythme presque effrené, jusqu'aux pages finales fort denses, que j'éviterai de spoiler !
On est ici dans l'univers assez cadré du thriller américain contemporain. Stylistiquement, c'est du travail propre et carré mais sans grand intérêt littéraire. La construction du roman est banale, le flash back n'étant pas une invention récente.
C'est sur les personnages que Matt Ruff réussit le plus, et notamment sur son héroïne Jane Charlotte (quel prénom :!), dont il nous narre en détail les aspects noirs de la personnalité et qu'on ne peut s'empêcher de pendre en effectioin.
Sur l'intrigue, elle est vraiment rondement menée; il n'y a pas un seul temps mort; on est d'ailleurs presque sur le scénario et le découpage d'un film dont on n'imagine pas qu'il ne puisse pas se faire tellement l'adaptation coule de source.
Le livre est malin, l'auteur fait preuve d'une vraie fantaisie, d'une légèreté mais aussi d'un souci du sérieux et de la cohérence, qui fait qu'on arrive à croire à son organisation secrète dont les départements s'appellement Les Murs ont des yeux ou Coûts Bénéfices.
Je dois dire que j'ai très peu saisi l'aspect SF ou monde parallèle du livre, à parti quelques idées pratiques pour l'avancement de l'histoire, le reste donne (malheureusement) bien à croire qu'il s'agit de notre pauvre monde. de même, l'héritage du thriller paranoÏaque et de la SF déjantée à la Philip K. Dick me semble assez lointain, plus une vague influence qu'une composante majeure.
Enfin, il faut reconnaître que les dernières pages sont assez embrouillées, on sent que renouer tous les fils et rendre tous les twists cohérents les uns avec les autres n'a pas dû être simple, d'où cet enchaînement de révélations sans beaucoup de substance et de liens entre elles; clairement on aurait aimé une fin plus travaillée...
Cependant au global un excellent moment, un bon potential d'addiction et quelques idées qui trottent dans la tête encore quelques temps après avoir fermé le livre.
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Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Bad Monkeys?

"J'ai croisé sa route dans une librairie de Londres, il était dans la sélection des vendeurs et l'histoire décalée m'a donnée envie. Sans parler de la couverture!"

Dites-nous en un peu plus sur son histoire...


"Jane Charlotte vient de se faire arrêter pour avoir tuer un homme mais aux vues des histoires d'organisation secrète qu'elle raconte, c'est un psy qu'on lui envoie. Elle va alors lui raconter comment tout cela a commencé, à lui, et à nous bien sûr, de savoir s'il la croit ou non."

Mais que s'est-il exactement passé entre vous?


"Il y a tout un tas de choses que j'ai beaucoup aimé dans ce livre et quelques déceptions également. L'héroïne est digne d'une Thursday Next ou d'une Charley Davidson avec son caractère bien trempé, son côté intrépide et les histoires qu'elle raconte bien sûr. On a tout de suite envie d'en savoir plus et de se plonger dans cet univers déjanté où les gentils ont des pistolets en plastique qui tuent les méchants sans laisser de trace. Et justement, tout le problème est là, la première approche effleure à peine la surface et les scènes intéressantes mettent du temps à venir. le procédé consistant à raconter tout au long du livre des évènements passés lasse également un peu. du coup, le rythme est très inégal mais ça n'empêche qu'il y a tout de même du génie dans ce récit complètement loufoque, plein d'humour et avec de la réflexion en prime!"

Et comment cela s'est-il fini?


"La fin nous retourne le cerveau bien sûr, mais on n'en attendait pas moins de la part de l'auteur après les péripéties et les découvertes auxquelles il nous a maintenant habitué. Mais on s'attendait justement à tellement de révélations qu'il semble malgré tout rester encore quelques parts d'ombre et un sentiment d'inachevé."

Lien : http://booksaremywonderland...
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
C’est une salle qu’un auteur dramatique en manque d’inspiration aurait pu imaginer, les yeux rivés sur sa page blanche : des murs blancs. Un plafond blanc. Un sol blanc. Pas complètement dépouillée, mais assez pour que les rares éléments du décor laissent pressentir qu’ils tiendront un rôle crucial dans la pièce qui va se jouer.
Une femme est assise sur l’une des deux chaises alignées contre une table blanche rectangulaire. Ses mains sont menottées devant elle ; elle est vêtue de la combinaison orange des détenus, dont la couleur vive paraît terne dans toute cette blancheur. Un homme politique sourit sur une photographie accrochée au mur, au-dessus de la table. De temps à autre, la femme lève les yeux vers la photo ou vers la porte qui est l’unique issue de la pièce, mais en général elle ne quitte pas ses mains du regard et attend.
La porte s’ouvre. Un homme en blouse blanche entre, apportant de nouveaux accessoires : un dossier et un magnétophone.
– Bonjour, dit-il. Jane Charlotte ?
– Elle-même.
– Je suis le Dr Vale.
Il ferme la porte et s’approche de la table.
– Je suis ici pour vous poser quelques questions, si vous êtes d’accord.
Comme elle hausse les épaules, il demande :
– Savez-vous où vous êtes ?
– Sauf s’ils ont déplacé la salle…
Puis :
– Dans la prison de Las Vegas. L’aile des barjots.
– Et vous savez pourquoi vous êtes ici ?
– Je suis en prison parce que j’ai tué quelqu’un que je n’étais pas censée tuer, répond-elle, impassible. Quant à savoir pourquoi je me trouve dans cette pièce avec vous, j’imagine que ça a un rapport avec ce que j’ai raconté aux policiers qui m’ont arrêtée.
– Oui.
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Le policier vous a-t-il arrêtés ?
Il nous a emmenés au commissariat, mais il ne nous a pas coffrés. Il nous a sorti le grand jeu : nous a montré la cellule, nous a présenté de pauvres types qu’il avait bouclés, nous a raconté des histoires horribles sur de vraies prisons, où c’était bien pire. Lorsque j’ai enfin compris qu’il n’allait rien nous faire, je n’étais plus impressionnée, mais j’ai fait comme si, parce que je me suis dit qu’il valait peut-être mieux que ce type m’ait à la bonne lorsque ma mère se pointerait. Je lui ai donc donné du « Monsieur » sans compter, et j’ai préféré passer pour une racaille plutôt qu’une petite garce.
Ma mère a fini par arriver, et elle s’est ruée sur moi, sans crier gare. À ce stade, je m’étais débrouillée pour me mettre plus ou moins l’agent Friendly dans la poche, mais il trouvait quand même toujours qu’il fallait que cette affaire me serve de leçon, et si ma mère s’était contentée de me flanquer quelques torgnoles, il aurait laissé couler. Mais c’était une vraie furie, elle déblatérait en hurlant ses histoires de mauvaise graine et elle s’est mise à, comment dire, m’étrangler, et alors j’ai perdu mon calme et je me suis rebiffée, et ça a donné une espèce de scène incroyable, avec les flics qui accouraient de partout pour nous séparer. Quand ils y sont parvenus, ils ont appelé une assistante sociale, et on a fait une séance de trois heures, durant laquelle ma mère leur a clairement fait comprendre que si je rentrais à la maison avec elle, elle ne se contenterait pas de m’envoyer au lit sans dîner, mais me noierait dans la baignoire. Il leur a donc fallu trouver un plan B.
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– Bon… Vous avez dit aux policiers qui vous ont arrêtée que vous travailliez pour une organisation secrète de lutte contre la criminalité, les Bad Monkeys.
– Non, dit-elle.
– Non ?
– Nous ne luttons pas contre la criminalité, mais contre le mal. Il y a une différence. Et les Bad Monkeys, c’est le nom de mon département. L’organisation dans son ensemble ne porte pas de nom, pour ce que j’en sais. C’est simplement « l’organisation ».
– Et qu’est-ce que cela signifie, « Bad Monkeys » ?
– C’est un surnom, dit-elle. On en attribue un à tous les départements. Les appellations officielles sont trop longues et trop complexes pour être employées autrement que sur du papier à en-tête, donc on leur trouve des diminutifs. Par exemple, pour la branche administrative, officiellement il s’agit du « Département pour l’optimisation de l’utilisation des ressources et du personnel », mais tout le monde appelle ça « Coûts-Bénéfices », tout simplement. Et quant au pôle de renseignements, il s’agit du « Département de surveillance omniprésente et intermittente », or, dans la conversation, on parlera juste du Panoptique. Et puis il y a ma division, le « Département des dispositions finales relatives aux individus irrécupérables… »
– Les individus irrécupérables.
Le docteur sourit.
– Les Bad Monkeys.
– Tout à fait.
– Ne faudrait-il pas d’ailleurs les appeler les Bad Apes ?
Comme elle ne répond pas, il entreprend de lui expliquer :
– Les êtres humains sont davantage liés aux grands singes qu’à…
– On croirait entendre Phil, dit-elle.
– Qui ?
– Mon petit frère, Philip. Lui aussi, il aime bien couper les cheveux en quatre.
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Tu avais raison, ils m'ont fait passer pour un petit joueur. Ce matin, quand on en a discuté, je n'en avais pas la moindre idée. Tu sais qu'ils disent qu'il pourrait y avoir jusqu'à cinq mille morts ?
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Surface de Olivier Norek aux éditions Michel Lafon https://www.lagriffenoire.com/147440-nouveautes-polar-surface.html
Bad Man de Dathan Auerbach et Nathalie Peronny aux éditions Belfond Noir https://www.lagriffenoire.com/142091-nouveautes-polar-bad-man.html
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