Donjon Monsters, tome 2 : Le géant qui pleure

J'avoue que j'me suis senti un peu con quand j'ai vu que c'était la note la plus basse jusque la pour une BD de Donjon (3,6/14,4 au moment ou je parle ce qui est loin d'être une mauvaise note mais quand même) et d'après une autre critique sur la page ca serais le tome le plus "polémique" de Donjon a cause de son humour plus trash et cruel ainsi que son dessin, alors je voit pourquoi y a ses plaintes et oui ca jure pas mal avec l'ambiance de Zénith mais paradoxalement c'est ce qui fait que j'ai adoré ce tome.

Ce 3ème de tome s'attarde sur 2 personnage que j'adore en plus le duo Alcibiade/Horous qui devrons regler un problème lié a l'oeil du géant Biscara qu'on voit enfin dans ce tome et qui a une grosse peine sentimental lié a Sonia, autant le dire tout de suite ce tome est d'une méchanceté incroyable avec ses personnages, Alcibiade et Horous on toujours été "nul" mais la ca fleure l'incompétence de maitre: Horous qui invoque une créature surpuissante ne pouvant etre invoqué que tout les 19 ans pour juste descendre, attendre 2-3 semaines pour mourir et sortir plus facilement d'un piège et la fin de leur quête ce conclue littéralement sur un échec total, Marvin est limite le méchant du tome dévoilant plus lubrique qui était totalement inconnu jusqu'alors, Sonia est devenu une espèce de princesse intouchable hautaine qui n'accepte de coucher qu'avec certaine personne et les autres étant condamné a des taches ménagères sans fin tandis que le géant Biscara est quasiment le bouc émissaire du récit entre ce que lui font subir Alcibiade et Horous, la leçon que lui apprend Marvin sur sa vision de l'amour et comment il l'a met a exécution et juste sa fin aussi brute que superbement mis en scène dans sa brutalité.
Et justement c'est cet cruauté qui m'a fait pissé de rire tout au long du tome, c'est assez osé "en dehors de la nullité d'Alcibiade et Horous" de montré les personnages sous une facette qui leur est peu favorable et qu'on abordera surement plus ou alors d'une manière moins cash a l'avenir, seulement il s'agit pas de la trame principale mais de Monsters donc les histoires annexes de personnages secondaire et comme elle sont secondaire on peut ce permettre de ne pas montrer les personnages dans les moment qui les mets les mieux en avant ca équivaut a la vie quotidienne ou au "légendes" de l'univers de Donjon, et puis Sonia qui devient une princesse capricieuse ou Marvin qui abandonne l'amour pour juste ce centré sur le cul c'est en sois une évolution par rapport au évènement du "Roi de la bagarre" c'est pas comme si on introduisait sans construction au préalable que Marvin était un Olf dans un costume de Dragon ou que Sonia avait abandonné son statut de reine des Gobelins pour devenir barwoman a Zootamauxime la sortirais de nul part.

Le dessin très particulier J-C Menu dénote également et ceux dés la 1ere page, les personnages on des visages souvent crispé avec des gros sourcils des pli des rides et les dent apparentes, le géant Biscara a une visage au formes peu gracieuse et le trait global est très épais, c'est loin d'être le style de dessin que je préfère mais y avait pas meilleur style pour cet histoire qui justement joue sur une facette des personnages pas flatteuse voir carrément laide, il a également une manière bien différentes de traité la violence pas de gorefest comme on a l'habitude ici c'est plus simple mais très impactant (la fin du géant Biscara encore une fois) ou a la page 13 quand une fois mort et devenu des squelettes vivant Alcibiade et Horous on besoins de manger et s'attarde sur un troupeau de vache on passe d'une case a une autre d'un petit troupeau bien vivant a un troupeau de squelettes sur laquelle il n'on pas laissé une miette de viande c'est plus simple que de dessiner des tripes a l'air ou des corp déchiré mais je trouve ca tout aussi marrant comme si ils avait tellement faim qu'il ne voulait rien gâché, c'est aussi le tome qui introduis le fameux "Pout Pout Papillon" une transformation aussi efficace que grotesque visuellement mais la simplicité du style permet de la rendre hilarante de son ridicule la ou un style plus détaillé l'aurait peut etre rendu dérangeante et flippante.

Ce tome de Monsters a toutes les raisons de choqué et de divisé les foules et surement que dans une autre époque avec des personnages inédit il n'aurait pas choqué mais dans mon cas j'ai trouvé que c'était a la fois osé mais pas "out of character" comme dirait le peuple du big mac, c'est sadique et salissant c'est sur mais quand on est fan d'humour noir et qu'on est fan du duo principal comme moi on a tout pour adoré ce tome.

Un épisode consacré au géant de Biscara où plutôt à Horous et Acibiade essayant de régler le problème lié au géant de Biscara dont ils possède un des yeux, un oeil aux propriétés formidables.
Dans la série 'Monster', chaque tome présente l'histoire d'un monstre de l'univers de Donjon et enrichit l'histoire principale. Ce tome se situe entre les tomes 3 et 4 de la série Donjon Zénith. Cette histoire est tragique et désabusée, il en ressort quelques bons mots mais ce n'est pas un tome parmi les meilleurs.
Coté dessin, Menu fait du bon boulot en s'appropriant des personnages pré-existants sans les dénaturer.

Le Donjon a un problème de plomberie provenant de la salle des visions d'Alcibiade oú son oeil lui permettant de surveiller Terra Amata semble inconsolable. le Gardien somme Alcibiade et Hourous de les résoudre.

Le tandem magique prend la route à dos de hérisson volant afin de trouver et d'apaiser le géant Biscarra. Les auteurs en font une version revisitée de Cyrano, sans cap ni péninsule mais borgne et avec un coeur meurtri par l'amour.

La première moitié de l'oeuvre est vraiment très amusante. La situation initiale est un grand n'importe quoi, si intrinsèque à l'univers de Donjon. On y rencontre les redoutables Pygnains, y découvre quelques informations au sujet d'Alexandra et son funeste sort. L'écriture tout comme les événements sont assez drôles. Il en va de même, plus tard, avec certaines scènes impliquant Marvin et le comique de répétition des insultes.

Le périple suit son cours jusqu'au château de Sonia, perchée dans sa forteresse gardée par de redoutables tâches ménagères. La globalité du récit devient moins subtile, plus facile et quelque peu vulgaire, c'est bien dommage. Il y avait quelques éléments fun qui sortent du lot notamment le sort d'amour, mais l'humour a mal vieilli et certains propos à l'égard des femmes sont malvenus et n'ont dérangé.

Notre Cyrano est finalement ravagé du Ciboulot est commet un féminicide dit passionnel avant de se suicider pendant que Marvin réclame vengeance. L'aventure prend fin, sur un oeil aride, aveugle et meurtrier laissant un donjon aux allures de jungle tropicale.

Onzième tome de Donjon, deuxième de Donjons Monsters.
Et ici, on s'attaque à des personnages que l'ont connait un peu puisqu'il s'agit d'Alcibiade et de Horous que l'on a déjà rencontré plusieurs fois.
L'oeil de géant qui permet à Alcibiade de voir ce qui se passe un peu partout sur le globe ne s'arrête plus de pleurer, ce qui inonde le château. le Gardien envoie alors Alcibiade à l'aventure pour régler ce fâcheux problème.

Si Alcibiade et Horous sont des personnages que l'on a l'habitude de voir en tant que personnages secondaires, il sera intéressant ici de les suivre en tant que personnages principaux.

L'oeil de géant que possède Alcibiade au Donjon ne cesse de pleurer, provoquant de fait l'inondation du bâtiment. le Gardien ordonne à Alcibiade de régler le problème. Si l'oeil pleure, c'est que son propriétaire, le géant Biscarra, pleure. Il n'y a donc qu'une seule solution : retrouver le géant et le consoler pour qu'il s'arrête de pleurer. Mais ce ne sera pas facile, car si le géant pleure, c'est qu'il est en peine d'amour …

Avec un dessin taillé à la serpe qu'on peut ne pas trouver au niveau du reste de la série, cet album est pourtant un petit bijou d'humour noir, avec un scénario assez cruel où se mêlent cynisme et humour grinçant. Certains personnages phares de la série-mère "Donjon Zénith" dévoilent une nouvelle facette de leur personnalité peu reluisante et l'intrigue en elle-même est vraiment capillotractée.
Le dessin grossier de JC Menu ne fait qu'accentuer cet ensemble totalement délirant et ce "Donjon Monsters" au final remplit parfaitement son contrat (qui est, rappelons-le, d'éclairer sous un jour nouveau certains personnages, lieux ou événements décrits dans la série-mère). Un album vraiment à part dans la série, qui ne laisse pas indifférent.