Il me disait : "Tu as le droit d'être triste, mais aime chacune de tes larmes, ainsi peuvent-elles te dire au revoir sans craindre de devoir revenir. Maintenant va, la vie est vaste, ton imaginaire n'et pas suffisant pour savoir tout le bonheur du monde."
Etre objectif pour voir le monde, c’est comme mesurer l’amour avec une règle, ça indique des limites mais ne parle jamais du cœur.
Mentir était la clé des portes du monde adulte.
Moi, je n’avais que des fenêtres.
J’y voyais un autre monde. p58
Arte - 50 Degrés Nord - 2012.06.04 / Jean-François Spricigo.
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