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EAN : 9782265089181
432 pages
Fleuve Editions (12/05/2010)
4.05/5   119 notes
Résumé :
Certains tuent de sang froid mais ne supportent pas de se voir dans un miroir…
Août 2003. Le cauchemar recommence.
Trois femmes retrouvées à leur domicile parisien, entravées, le visage lacéré à coups de miroirs brisés. Sur leurs corps nus, un morceau de papier reprenant une phrase de l’Écclésiaste.
Trois meurtres en tout point identiques à une autre série remontant à quelques mois. Mais dont l’auteur a déjà été arrêté...
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Critiques, Analyses et Avis (26) Voir plus Ajouter une critique
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Souvira est un auteur qui prend son temps pour sortir ses bouquins. Un tous les cinq ans à peu près, pour les aventures du commissaire Mistral... Vous me direz, il a un métier à côté, prenant, qui plus est, puisqu'il commissaire divisionnaire et exerce au sein de la PJ depuis plus de 25 ans ! Pourquoi vous redis-je ce qu'on lit partout ?
Parce que je l'ai croisé sur un salon du "polar", parce qu'il m'avait raconté que "Le magicien", le livre qui précède celui-ci, était tiré d'une histoire "vraie", parce qu'il était très accessible et sympathique ! (je ne sais pas s'il fait des salons, encore, cet homme très occupé...) (et je vais changer sa biographie qui n'est plus à jour sur Babelio...)

Je précise également qu'il faut lire "Le magicien" avant de lire celui-là, parce que ce que vit Mistral (le héros, ou anti-héros, ou encore "l'être humain au centre de l'histoire") dans cette "suite" est directement lié à la fin du premier.

Et donc, ses bouquins ont un accent de réalisme et de vérité que j'ai rarement croisé ailleurs (et ce qui me passionne dans ces histoires, ce réalisme, semble ennuyer certains de ses lecteurs)... On a ici "la vie" d'une équipe de PJ au quotidien, équipe hétéroclite, qui essaie de concilier toutes les personnalités, les antagonismes, et la valse hésitation des relations humaines qui va avec...

On a ici une enquête complexe, pour ne pas dire tordue, et même si je me suis doutée du fin mot de l'histoire très tôt, c'est passionnant de suivre à la fois les "bons" et les "méchants", encore que, comme c'est réaliste, c'est plus compliqué que ça, forcément.

J'adore cet auteur et ses livres, maintenant je vais attendre que son tout dernier, inspiré directement de son poste à la répression du trafic des êtres humains, sorte en poche... Potopom...
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Il y a quelques années, j'ai découvert Jean-Marc Souvira avec son excellent polar, le magicien. Depuis, j'avais dans mon immense Pile à Lire, le vent t'emportera, la suite des enquêtes menées par le commandant Ludovic Mistral et son équipe.
Ici, dans le Paris caniculaire de 2003, on découvre dans leur appartement, les corps de jeunes femmes, violées et atrocement mutilées.
Mistral, à peine remis de son enquête précédente, fatigué par la chaleur étouffante qui règne sur la France et en manque de sommeil doit mettre la main sur un dangereux tueur en série.
Un roman efficace, sans temps morts, où l'on est tantôt dans la tête du criminel et tantôt au coeur des investigations.
Dès le début, l'auteur nous place dans les pas du coupable, on le cerne, on a une longueur d'avance sur les policiers pratiquement, mais on est lecteur, on ne peut pas les guider.
Souvira, lui, il maîtrise. Ses flics, il va leur en faire baver, mais avec l'aide des technologies de pointe de la police, il va les aider, leur donner des pistes, il ne va pas leur faciliter la tâche non plus, il veut que le lecteur en ait pour son argent.
Parce que le thriller, il faut que ça tienne en haleine, il faut qu'on transpire, qu'on passe des nuits blanches, qu'on ait du sang sur les mains, qu'on ait la nausée, il faut qu'on ait envie de l'attraper ce salopard.
Dans le vent t'emportera il y a tout ça...
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Sirocco m'était conté
Si Freddy m'était conté
Rocco est içi Mistral, commandant de la crim au 36.
Freddy, c'est "l'homme": un anonyme au visage labouré de cicatrices, sujet à de trés violentes douleurs physiques, bourré de médicaments et souvent bourré tout court, il accomplit néanmoins sa mission; il assassine , défigure, viole, une par une, 3 femmes en une semaine dans le 6eme arrondissement de Paris.
Le commandant Mistral découvre vite que 3 meurtres exactement identiques ont été commis dans l'Oise quelques mois auparavant, mais le coupable est en prison

Enfin unserial killer réaliste: maladie mentale, souffrance physique, incohérence, obsession, on est loin d'Hannibal Lecter!
Polar passionnant, rythme élevé, personnages finement analysés: bref, un bon roman noir

L'action se situe en aout 2003; l'auteur montre bien la catastrophe qui se joue. Vieux qui tombent à la pelle,hopitaux, pompiers,police, pompes funebres completement surchargés.
La canicule a fait au minimum 15000 morts (5 fois plus que les tours jumelles,750 fois plus que les attentats du 7 janvier).Personne n'a manifesté, aucune tete n'est tombé, aucun procés!
Mais, en fait, on s'en fout: ce n'était que des vieux tas d'os qui, de toute façon, allaient bientot crever!

Alors, 13 ans plus tard, j'ai envie de leur rendre hommage en disant, en criant, en hurlant :
NOUS SOMMES TOUS DES VIEUX


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« Les mois d'août ne sont pas particulièrement chargés, comme si les criminels et autres malfaiteurs prenaient également leur quartiers d'été, ailleurs ». Mais nous sommes en août 2003, et une météo exceptionnelle, ainsi qu'un criminel particulièrement retors, vont faire mentir cet adage.

Ludovic Mistral, Commissaire de Police à la PJ de Paris, rentre de vacances. Gravement blessé au printemps, lors d'une interpellation d'une exceptionnelle violence, il souhaite reprendre progressivement son activité. Mais trois meurtres sont commis à Paris dans le Vième arrondissement, à quelques jours d'intervalle – même mode opératoire : le meurtrier s'introduit chez une femme, qu'il étrangle, viole et défigure à l'aide de petits morceaux de miroir plantés dans la gorge et les yeux. Les trois victimes ont les mains attachées. Leur visage est recouvert d'un tissu, sur lequel le meurtrier a laissé un message - une citation tirée de l'Ecclesiaste.
Mistral rapproche cette série de meurtres d'une autre série de trois meurtres réalisés un an auparavant dans le département de l'Oise…. Tout concorde : mode opératoire, morceaux de miroir, messages déposés sur les visages…. mais le meurtrier, confondu par son ADN, est sous les verrous….
Jean-Marc Souvira, choisit de faire alterner deux récits, deux points de vue… Dès le début du roman nous faisons connaissance avec le tueur, nous le suivons pas à pas, alors que, souffrant de très graves névralgies faciales, il procède aux repérage de ses victimes – et passe brusquement à l'action. Nous suivons également le retour du commissaire Mistral, les débuts de l'enquête, la formation de sa nouvelle équipe. A la description de l'errance du criminel répond la traque systématique menée par les coéquipiers de Mistral, véritable jeu du chat et de la souris, sur fond d'une canicule particulièrement tenace….et alors que Mistral, qui souffre de graves insomnies, va jusqu'à l'extrême limite de ses forces.

Alors que le Magicien, précédent roman de Jean-Marc Souvira, mettait plus particulièrement en valeur le personnage de Ludovic Mistral, le vent t'emportera choisit de faire la part belle à Paul Dalmate, ancien séminariste, capitaine venu des RG, à la personnalité réservée, froide, que Mistral a beaucoup de mal à cerner. Une fois de plus, les apparences sont trompeuses…. Dalmate le passionné, se trouve placé bien malgré lui au centre de l'énigme et va tout faire pour participer activement à sa résolution.

Le vent t'emportera, est un roman policier moderne, qui tout en développant une intrigue solide et bien menée, ne cesse de rappeler l'importance des relations humaines. Jean-Marc Souvira s'attache à dépeindre des personnages complexes, torturés par leur passé. Il soulève la question des conséquences dramatiques du comportement de mères irresponsables.
Au final, à travers les personnalités complémentaires de Mistral et Dalmate, il nous donne la vision simple de deux policiers professionnels et profondément humains.



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Mon avis : Août 2003, la chaleur est insoutenable mais cette canicule n'empêche pas un tueur en série de sévir sur Paris .

Trois femmes sont retrouvés mortes à quelques jours d'intervalle dans leur appartement, le visage tailladé par des morceaux de miroir. le tueur ayant pris un malin plaisir à les laisser planter dans la peau.

Une enquête dont l'inspecteur Ludovic Mistral se serait bien passé, lui qui revient de vacances forcées suite à une interpellation qui avait mal tourné.

Il fait rapidement le rapprochement avec une autre série de meurtres identiques remontant à un an. Un problème de taille, le meurtrier est sous les verrous et les prélèvements d'ADN semblent correspondre au tueur emprisonné.

Le point fort de ce roman, c'est l'alternance des récits. D'une part on suit Mistral et son enquête et d'autre part le tueur avec ses psychoses, sa folie ... J'ai apprécié le personnage de Paul Dalmate dit "Le séminariste".

Un thriller assez classique, qui se lit assez facilement. J'ai passé un agréable moment même si on se doute un peu du dénouement.
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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
Ce fut ensuite Mistral qui parla des échecs, des affaires non élucidées.
Le médecin avait amorcé la pompe et laissait Mistral s'exprimer. Il lui posa enfin une question simple.
- Tout à l'heure, avant de descendre, vous m'avez dit que vous étiez sur une série de dossiers sensibles, c'est du lourd ?
- Trois meurtres de jeunes femmes, à leur domicile. Rouées de coups, étranglées, violées, le visage planté de morceaux de miroir brisés et un linge par-dessus tout ça. Voilà. Alors oui, c'est du lourd !
- En effet. Des pistes ?
- Strictement rien.
- Comment vous sentez-vous pour affronter de telles affaires ?
- Pas au mieux. Je n'ai repris mon travail, réellement, que début août. Et le démarrage se fait tambour battant, c'est le moins qu'on puisse dire ! Pas le temps de se remettre dans le bain progressivement !
- Je crois me souvenir que vous avez de bonnes équipes, c'est plutôt rassurant de porter la charge de l'enquête à plusieurs !
- Oui bien sûr ! Le flic solitaire ça n'existe pas. En fait, ce qu'il faut savoir, lorsqu'on attaque une série d'affaires difficiles, surtout après une enquête où j'ai failli y rester, il m'est difficile de redémarrer en claquant des doigts, comme si rien n'avait eu lieu. Je suis sans cesse tiré en arrière par ce qui s'est produit quelques mois plus tôt. Je pense que nos concitoyens sont persuadés que nous enchaînons les enquêtes, les unes plus raides que les autres, parfois sans souffler, presque en sifflotant, comme dans les séries télé. Eh bien non, ce n'est pas comme cela la réalité !
- Vous ne pouvez pas évacuer le stress accumulé, dans ces conditions.
- Non. Les affaires criminelles s'empilent comme des millefeuilles. On ne devient pas amnésique en sautant de l'une à l'autre. Fatalement, sur les très gros trucs, les personnes qui y étaient vont en reparler souvent, parfois avec de simples allusions ou un regard échangé qu'eux seuls comprendront, mais ça restera présent dans nos têtes pendant des années.
- Il faut bien que, d'une manière ou d'une autre, vous passiez à autre chose, sinon cela devient vite invisible !
- Ce n'est pas toujours aussi évident. Quelques années plus tard, cette affaire reviendra sur le tapis, parce que vous allez être convoqué aux assises et tout revivre, en expliquant aux jurés, à proximité du meurtrier assis dans le box et qui vous guette, comment ça s'est passé. Et puis ses avocats interviendront pour dire que vous n'avez pas respecté telle ou telle obligation, ou que les aveux ont été extorqués au bout de trente-six heures d'interrogatoire. Bref, en deux mots, mais c'est leur job, pour remettre en cause votre compétence professionnelle. Voilà pourquoi rien ne s'efface tout de suite.
- Effectivement, je comprends mieux ces strates qui s'empilent. Mais cela fait partie aussi de l'histoire du service et du ciment entre les hommes.
- Oui... on peut dire ça comme ça.
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En regagnant son bureau, Mistral croisa Calderone, lui résuma en deux mots ce qui s’était dit au rapport et lui demanda de faire venir Paul Dalmate.
Mistral était plongé, sans passion, dans la lecture d’une circulaire sur le budget quand la secrétaire annonça Calderone et le capitaine de police. Mistral regarda entrer un grand type très mince, cheveux ras, visage anguleux, marqué, pantalon noir, chemise blanche et cravate noire. Il ne se souvenait plus très bien à quoi ressemblait le policier issu des RG.
- La cravate n’est pas indispensable au mois d’août, et surtout avec cette canicule, commença Mistral en souriant pour le mettre à l’aise, d’ailleurs la mienne est dans la penderie.
- Ca ne me gêne pas, j’ai l’habitude.
- Comme vous voulez, mais on en reparlera. Avez-vous eu le temps de lire quelques procédures rédigées par le service ? C’est le meilleur moyen de comprendre comment marche la crim, la répartition des rôles, etc.
- Oui, j’en ai lu quelques-unes et j’ai discuté avec les gens du groupe.
- Tout se passe bien ? C’est ce que vous attendiez ?
- C’est ce à quoi je m’attendais, je ne suis pas déçu.
Mistral fut à la fois surpris et légèrement agacé par la brièveté des réponses et le ton neutre employé par Dalmate. Aussi conclut-il rapidement :
- Bon, en cas de difficulté quelconque, n’hésitez pas à en parler à Vincent. Je pense que le mois d’août, généralement tranquille, vous permettra de vous familiariser avec le service.
Dalmate sorti, Mistral ne put s’empêcher de souligner le peu d’enthousiasme que lui inspirait le capitaine.
- Ne vous arrêtez pas à cette impression. C’est vrai, il est très réservé et son manque de communication est parfois plombant. Mais je dois dire qu’il a réellement mis les bouchées doubles en juillet et qu’il sera très rapidement opérationnel.
- J’espère ! Je pense aussi que l’ambiance PJ va le décoincer, d’autant que dans son groupe, il y a de joyeux drilles qui vont s’en charger.
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- Et quand j'ai appris qu'elle avait été assassinée, en reprenant mon travail le lundi, j'ai mis un temps fou à comprendre et admettre cette évidence. Je n'arrivais pas à y croire. Quand j'ai vu les photos de la scène de crime, c'était terrible. Mais plus les heures passaient, et plus le courage de tout raconter s'éloignait. Je me suis enfermé dans une logique idiote, en pensant que ça ne se saurait pas....
Mistral se rassit à son bureau, tritura un stylo-plume, réfléchit et parla d'une voix calme et apaisée.
- Dalmate, d'où sortez-vous ? De quelle planète venez-vous ?
- Je ne comprends pas la question.
- Dalmate, c'est simple. Il y a des flics qui se lèvent, qui vont bosser et qui se couchent, des putes qui tapinent, des dealers qui dealent, des tox qui meurent. C'est la vie ! Ouvrez les yeux sur notre monde, Dalmate, et laissez de côté vos sentiments ! Votre ancien chef de service aux RG m'a dit que vous étiez un type bien. Je le crois sans peine. Remettez-vous dans l'axe du flic de PJ... Maintenant, allez bosser.
Quand Mistral et Calderone se retrouvèrent seuls, ils parlèrent longtemps de l'âme humaine, de la hauteur des sentiments et des comportements irrationnels parfois induits.
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Au fait, le capitaine des RG qui est arrivé fin juin, après avoir permuté avec un de nos gars, comment est-il ?
- Paul Dalmate ?
- Oui, celui qui a l’air triste en permanence.
- Bonne présentation, rigoureux, notation excellente dans son ancien service. Pas très expansif et assez silencieux. C’est vrai, il n’est pas gai.
- Ca va le changer, l’ambiance PJ ! Nous c’est plutôt le village gaulois que les phrases feutrées ! Qu’est-ce qu’il faisait aux RG ?
- Il était à la section sociale et passait ses journées à rédiger des notes.
- Mais il ne connaît rien à la procédure, c’est ça ?
- Non pas vraiment. Il a débuté en commissariat de quartier, où il est resté deux ans. Pour ça, il a été à bonne école. Vous savez comment c’est. Le matin, vous prenez votre service, les cellules de garde à vue sont pleines, et le soir quand vous partez, vous avez tout traité. Et le lendemain, ça recommence !
- Je connais, j’ai démarré ma carrière au commissariat Saint-Georges, rue Ballu, dans le IXè. Bon, alors, qu’est-ce qui cloche avec Dalmate ?
- Rien de particulier. Il a tenu à être muté à la crim pour enquêter sur des assassins. Savoir ce qu’ils ont dans le crâne, prendre leurs auditions, etc. C’est un pote des RG qui me l’a dit.
- Il ne va pas être déçu. Il est en vacances ?
- Non, d’ailleurs c’est lui qui dirige son groupe en août, le chef est en vacances.
- Bon, je vais aller au rapport, et en sortant, je le verrai.
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- Ludovic, pourquoi vous levez-vous le matin ?
Mistral leva les sourcils, étonné de cette question, et aussi par le fait que, pour la première fois, Thévenot l'appelait par son prénom, rendant l'échange plus intime. Il répondit avec une remarque grinçante.
- Vous connaissez la réponse, je crois. Parce que je ne dors pas. Et ce n'est pas au médecin que je m'adresse.
- c'est bien sur le terrain amical que je place la discussion. Mais ce n'est pas cette réponse que j'attendais, je parlais du pourquoi de votre travail....
- J'aime ce métier, je me sens utile, je croyais que vous l'aviez compris.....
- Une belle réponse bateau, si vous me permettez cette expression ! qu'Est-ce qui vous motive ?
- Les enquêtes, les relations avec les autres policiers, le ciment entre les hommes comme vous l'avez fort justement dit, partager les mêmes tensions, toutes ces choses-là.... bref, rien de nouveau sous le soleil des flics ! ....

- Dans le métier de flic, il faut savoir chasser. On a parfois en face de nous des types qui ont des comportements d'animaux, violents, pour qui la vie des autres ne représente rien, et qui veulent assouvir leurs besoins. Ces types pourrissent la vie des policiers parce qu'ils les obsèdent. Les rechercher, c'est mener une traque, et la traque c'est la chasse, même si ça se passe dans une ville, l'autre territoire du règne animal !
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Vidéo de Jean-Marc Souvira
À eux sept, ils ont lu environ 700 livres cette année. Si chacun et chacune d'eux ne devait en retenir qu'un, lequel choisiraient-ils ? Dans ce nouvel épisode, nos libraires Mathilde, Rozenn, Nolwenn, Laure, Marie, Nicolas et Annaïk vous proposent de découvrir leurs très grands coups de coeur, les livres qui les ont le plus marqués cette année. Une liste riche et variée, à retrouver ci-dessous : - Son odeur après la pluie, de Cédric Sapin-Defour (éd. Stock) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22014305-son-odeur-apres-la-pluie-cedric-sapin-defour-stock ; - le Médecin de Cape Town, de E. J. Levy (éd. de l'Olivier) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/21913524-le-medecin-de-cape-town-ellen-j-levy-editions-de-l-olivier ; - Triste tigre, de Neige Sinno (éd. P.O.L) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22451110-triste-tigre-neige-sinno-p-o-l ; - MURmur, de Caroline Deyns (éd. Quidam) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22528485-murmur-caroline-deyns-quidam ; - Yellowface, de Rebecca F. Kuang (éd. William Morrow) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22342784-yellowface-r-f-kuang-william-morrow ; - Monica, de Daniel Clowes (éd. Delcourt) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23005381-one-shot-la-bibliotheque-de-daniel-clowes-mo--daniel-clowes-delcourt ; - La Porte du vent, de Jean-Marc Souvira (éd. Fleuve noir) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/21712680-la-porte-du-vent-jean-marc-souvira-fleuve-editions.
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