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EAN : 9782714447265
216 pages
Belfond (02/09/2010)
3.03/5   19 notes
Résumé :
Du haut de ses trente ans, Sara n a jamais su pleurer. Elle ne peut pas ; son corps est sec. Elle vit seule, sans amis, et se tient à l écart des hommes. Journaliste dans un grand quotidien, elle fait illusion auprès de ses collègues et de sa famille, qui la voient comme une personne curieuse et engagée, quoique indéchiffrable. Alors qu elle peine déjà à faire le deuil de son grand-père, sa grand-mère Minouche lui confie un secret. Elle a aimé pendant la guerre un a... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Livre lu il y a deux jours.
J'en ai lu un autre depuis et je ne me souviens déjà plus de celui-ci.
Soit Alzheimer me guette, soit j'ai la mémoire qui flanche en ce moment, soit il n'est pas vraiment marquant.
Allez, un peu de concentration !
Oui donc, c'est l'histoire d'une journaliste trentenaire, Sara, à qui sa grand-mère fait des révélations.
Pendant la guerre, elle aurait eu une relation amoureuse avec un peintre et le père de Sara serait né de cette union.
Très troublant et étonnant vues les relations de ses grands-parents.
Sara décide d'enquêter et retrouve le fameux peintre.
C'est une histoire un peu tirée par les cheveux, qui tourne autour d'Alzheimer, autour de la folie.
Le tout manque un peu de cohésion et l'écriture n'a rien d'original.
Il y a énormément de clichés, les dialogues sont approximatifs et ce qui aurait pu être une histoire originale tombe un peu à plat.
Ça manque de maturité et d'une construction solide.
Dommage, l'idée était bonne et la fin surprenante.
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Toujours se méfier des a priori. Quand on a écrit un premier roman intitulé J'aime pas l'amour ... ou trop, quand on a été le coup de coeur de Gala pour ledit livre, on est facilement "catalogable" auteure facile pour lecteurs peu exigeants, sans en avoir, bien entendu, lu une seule ligne. Ces a priori, le début de Mémoire vive les confirme, d'ailleurs. Ecriture vive, intrigue légère, clichés à gogo, nous voici plongés dans un roman quasi gavaldien. Erreur sur toute la ligne, le livre, tout en conservant un style en apparence très peu travaillé, devient plus noir à mesure que le récit prend forme. La maladie (Alzheimer), la mort, les haines familiales, la folie (liste non exhaustive) s'invitent à pas feutrés et voici que Mémoire vive acquiert une sorte de gravité et de profondeur que rien ne laissait présager. Et c'est un thriller psychologique, aux troubles contours, qui surgit soudain, dans les dernières pages, d'autant plus perturbant que Vanessa Caffin persiste à écrire sans effet de manche, presque gaiement, comme si elle refusait, à l'image de son héroïne, de voir la vérité des choses et des événements (impossible d'en révéler davantage). Inutile de préciser que les vilains a priori d'avant lecture sont eux tombés depuis longtemps.
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Alors là, grosse déception. Il est vrai que la couverture (et la quatrième de couverture) de ce roman ne m'attiraient pas du tout, mais j'ai finalement succombé à sa lecture face à l'engouement de certains bloggeurs… et comme je le disais, grosse déception.

Pour ma part effectivement, ce livre fait partie de ceux que j'oublie dès que je l'ai refermé.

Dès les premières pages, j'ai trouvé l'écriture beaucoup trop facile, le ton beaucoup trop mièvre, voir fleur bleue … quelque part, cela sonne pour moi comme du Marc Levy. Je sais qu'il a de très nombreux adeptes, mais personnellement, ce genre de plume ne me plaît pas du tout. J'ai pourtant insisté et poursuivi ma lecture, espérant que l'intrigue compense le manque de relief des phrases.

Malheureusement, là encore, je n'ai pas réussi à être convaincue par cette histoire même s'il faut reconnaître que l'on flirte avec des thèmes très intéressants comme les secrets de famille ou encore la déformation de la mémoire.

L'héroïne, Sara (évidemment jeune, célibataire, légèrement rebelle et incapable de s'engager) est confrontée à la mort de son grand-père, événement rendu d'autant plus dramatique que sa grand-mère, Minouche, atteinte de la maladie d'Alzheimer, persiste à parler de lui au présent et à dire qu'elle vient de le voir. Et Sara ne peut malheureusement pas trouver de soutien auprès de sa famille, son père s'étant remarié avec une femme que Sara n'apprécie en rien (encore une belle originalité).

L'intrigue prend heureusement un tour bien plus inattendu lorsque l'héroïne solitaire décide d'explorer la mémoire défaillante de sa grand-mère et de partir à la recherche d'un homme avec qui cette dernière aurait pu commettre un adultère …

Le récit connaît ensuite d'autres rebondissements, jusqu'à la dernière page où l'on se rend compte que Sara elle-même n'est pas tout à fait saine d'esprit…

Tout cela aurait effectivement pu être le fondement de quelque chose de bien plus intéressant mais ce qui domine ici n'est malheureusement que l'incohérence et l'écriture encore une fois bien désuète.
Lien : http://blog.elle.fr/des-page..
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Sara est une jeune journaliste très proche de ses grand-parents. Son grand-père étant décédé il y a peu de temps, elle passe le plus de temps possible avec sa grand-mère, Minouche, qui perd de plus en plus la tête. Toutes deux partagent une relation très complice, sa grand-mère étant pour elle une sorte de pilier, un soutien face aux relations plutôt tendues qu'elle a avec sa famille (parents divorcés, belle-mère excécrable ) et sa vision de la vie plutôt noire et triste ( refus de sl'engager). Lors d'une visite à sa grand-mère, celle-ci lui révèle un terrible secret : elle aurait eu un amant pendant la guerre, un peintre célèbre, et ce serait lui, son grand-père.
Sara part alors à sa recherche et à la recherche de la vérité.
Est ce que ce que lui révèle Minouche est vrai? Perd-elle la tête au point de s'inventer un amour de jeunesse?
Tout ceci pour sara est bien confus, et elle aura à affronter ses parents et sa belle-mère qu'elle déteste, mais surtout la vérité... dure à admettre...!
J'ai vraiment beaucoup aimé ce roman et je ne m'attendais pas du tout à ça!
Au fur et à mesure de l'histoire l'auteur nou smet face à de nombreux problèmes de société qui nous touchent ou pourront nous toucher tôt ou tard, tels que Alzheimer, les familles recomposés, le couple de nos jours, le besoin de solitude pour éviter toute perte du bonheur...
Malgré la lecture facile et rapide, le sujet reste très profond ... Une belle réussite!
Lien : http://leslivresdagathe.over..
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Roman dont le sujet s'il avait été bien traité , aurait pu être captivant. Malheureusement, le style d'une platitude navrante , l'accumulation des clichés, la faiblesse des dialogues, rendent ce bref roman complètement insipide. Seule la fin sauve un peu l'oeuvre, mais c'est une piètre consolation.
Heureusement, il est vite lu, mais vous pouvez aisément l'éviter, sans regrets. Dommage...il y avait matière à écrire beaucoup mieux
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation

*A 10 ans, vous avez peur qu’on vous vole vos jouets. A 20 ans, qu’on vous vole vos amours. A 30 ans, votre beauté. A 40 ans, votre jeunesse. A 50 ans, votre vie. Et bientôt, quand l’échéance vous caresse les narines, cette souffrance vous tenaille si bien le corps que vous ne trouvez plus une seule bonne raison de rester en vie.
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*Le bonheur rend léger car il ne pèse rien […] Il s’envole en un claquement de doigts. Il ne s’attarde pas ; il a bien trop peur qu’on veuille l’enchaîner. Il se désagrège, il s’évanouit pour se poser ailleurs. Le malheur lui, est casanier, il vous suce les os et en redemande.
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Son père parlait de bénédiction familiale : être le papa d'une petite fille incapable de pleurer rendait les journées tellement plus paisibles! Sara voyait les choses autrement. elle pensait qu'il fallait avoir été sacrément malheureux pendant bien des générations pour mettre à sec le corps de toute une descendance.
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*Il y a des jours où j’aimerais zapper le temps comme une mère efface la douleur d’un simple baiser sur le front.
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Il ne faut pas plaindre les gens privés d'imagination,[ ... ]. Eux, au moins, ils ne savent pas ce qu'il ratent.Il faut plaindre les rêveurs, ces pauvres fous qui le savent trop bien.
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Videos de Vanessa Caffin (8) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Vanessa Caffin
Et si un jour, dans une boite à chaussures, vous retrouviez des lettres de vos années lycées signées d'amies dont vous n'avez aucun souvenir… Et si l'un de ces courriers disaient que vous aviez commis l'irréparable sans en avoir aucun souvenir… Avec une écriture pertinente et addictive, Vanessa Caffin signe un thriller psychologique oppressant et jubilatoire.
Découvrez l'émission intégrale sur www.web-tv-culture.com
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