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4,12

sur 3112 notes
« le loup des steppes ». Contrairement à beaucoup d'amateurs d'Hermann Hesse qui considèrent cet ouvrage comme LE livre d'Hermann Hesse, je ne partage pas cette opinion. Certes on retrouve les grands thèmes de l'auteur dans la dualité quasi schizoïde du héros, mais la lecture est malaisée, surtout sur la fin.
Nous sommes ici à mille lieues du « Jeu des perles de verre » que pour ma part, je considère comme LE chef-d'oeuvre absolu de l'auteur. Malheureusement pour moi, ce roman fut mon premier contact avec la prose d'Hermann Hesse, ce qui me valut une pose dans la découverte de cet écrivain majeur du XXème siècle.
Heureusement le second volume fut Siddartha…
Malgré tout, un livre qu'il faut lire, en prenant la précaution d'entrer dans l'univers d'Hermann Hesse par, par exemple, « L'ornière », ou « Demian », ou « Knulp », voire « Siddartha ».
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J'avoue une certaine difficulté à finir le loup des steppes, ce qui peut sembler étonnant vu que je l'ai beaucoup apprécié. Seulement, c'est un livre qui mérite une attention soutenue, pas un des ces romans faciles qu'on repose et reprend autant de fois que l'humeur nous en prend et j'ai commis l'erreur idiote de le laisser sur place en partant en vadrouille! Résultat, voilà que je l'ai recommencé au début pour réussir à rentrer dedans de nouveau mais maintenant au bout, je ne le regrette pas.
Histoire d'une quête initiatique, le loup des steppes fait partie de ces livres étranges qu'on n'oublie pas mais que je trouve difficile à résumer et pas forcément à conseiller à tout le monde: certains lecteurs le trouveront certainement abscons.
La solitude et la quête de ce pauvre Harry Haller semblent au début dépourvues de sens et de fin. Perdu dans l'Allemagne d'entre deux-guerre, déchiré entre ce qu'il considère deux parts irréconciliables de sa personnalité, la plus sauvage étant celle qu'il considère lui-même comme le loup des steppes du titre, le personnage est au bord du suicide quand le livre prend un tournant inattendu...

Une étrange expérience de lecture que je ne regrette pas.
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Des carnets laissés par un voyageur étrange. Solitaire. Désabusé.
Des carnets ouverts par un homme à qui ils n'appartiennent pas.

Et voici le loup des steppes qui hurle. Qui appelle à être écouté. Entendu. Qui rameute. Qui gémit.
C'est plus qu'un cri, plus qu'un émerveillement, ce livre. Un uppercut.

L'histoire, ce n'est que ça.
Cet homme à la lisière de mourir. Qu'une femme retient, un soir, du bout de la manche. Une femme qui se donne pour mission de lui apprendre la fête, la griserie. La comédie simplement. Parce qu'elle fait joliment semblant aussi, cette louve.

Que ça.
Pourtant, c'est riche. D'une richesse qui pèserait plus lourd que le livre s'il fallait en faire l'autopsie.
Comme ça, en vrac, voici l'homme face à son animalité, à la frustration de celui qui va à l'encontre de sa nature. La solitude de celui qui n'écoute plus que sa nature.
La folie de son temps. Nous sommes à la veille de la Seconde Guerre Mondiale, et voici que la compassion ploie sous l'indifférence, sous les machines infernales et meurtrières, faire la guerre et de l'argent, tant que la vie bat, et elle bat, mon Dieu, elle bat plus vite et plus fort que la guerre !
Et puis ce réjouissant débat, largement exposé par Camus : le suicide.
Ici, le suicide ou l'acceptation d'une époque, d'un quotidien, d'une humanité qui ne nous ressemblent plus...

J'ai traîné à l'ouvrir, il était à prendre la poussière sur mes étagères, le loup des Steppes. Pas moyen. Je passais la main dessus, de temps en temps. Aujourd'hui ? Et puis non, je reculais. Frileuse. Mais comme j'avais raison, au fond ! Comme ce livre m'a bouleversée, émue, sonnée, jusqu'à pleurer, parce que c'est beau, mais tellement beau, ces phrases qui s'engagent et s'agencent parfaitement, cette musique qui n'en finit pas de battre le bon rythme, du début à la fin. Hermann Hesse rejoint le Panthéon de mes idoles, hop là, d'un bond d'une grâce de danseuse étoile.
Bienvenu Monsieur.
Infiniment bienvenu.
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COeUR DE LOUP ou CHRNONIQUE D'UNE FOLLE LECTURE

Il est bien trop sombre Harry sur cette couverture… mais toi qui liras le Loup des Steppes ou toi qui l'as lu, tu sais qu'il ne le restera pas et qu'on fond de lui sommeillent bien des folies ne demandant qu'à jaillir.

Harry Haller (Initiales HH- Hermann Hesse) est cet être hors du temps, sombre, écorché, déçu par l'humanité, inapte à vivre en société, envahi par une mélancolie puissante et suicidaire mais sans le courage d'abandonner sa vie.
Pour l'heure, rien de divertissant. C'est là qu'intervient Hermine, son double au féminin, une âme soeur qui lui ouvre les portes du plaisir sans relâche et sans limites. Et là Hermann Hesse va loin, très loin. « Je vous aide à rendre votre propre univers visible » à la découverte d'une autre réalité, du bal masqué au théâtre magique, portes de son existence inconsciente jamais sondée, jusqu'aux délires les plus improbables.
C'est magique, c'est initiatique autant pour Harry que pour le lecteur poussé à faire oeuvre d'introspection au même rythme fou et effréné que lui !!

Ce livre m'a totalement cueillie, il a renversé mon cerveau, mes émotions, et m'a littéralement éblouie par sa richesse littéraire et émotionnelle !
Car c'est un texte qui sonde à son époque toutes les possibilités du romancier : le réalisme, le fantastique, le mélancolique, le mélodrame, le tragique mais aussi le fantasmagorique, le comique, l'ironie, l'absurde… oui tout ça ! Car Hermann Hesse est un génie et j'ai compris pourquoi un écrivain sensible comme Pierre Cendors s'est longuement penché sur ce Loup des Steppes, complexe, névrosé, schizophrène et éminemment passionnant !

Comme moi, vous ne serez pas prêts, mais vous serez finalement conquis ! Vous danserez le fox trot, vous chevaucherez le catogan de Mozart pour toucher les étoiles, vous embrasserez des bouches inconnues et délicieuses, vous discuterez avec Goethe, vous serez gangster, philosophe et poète !.... Vous vivrez dans un tourbillon d'émotions en goûtant aux plaisirs de ce texte subversif à souhait, écrit avec élégance et où l'humour l'emportera sur tout pour fuir finalement ce monde désespérant.

Une fois refermé, on comprend pourquoi ce livre est devenu un classique de la littérature, capable de parler de nous, et capable d'engagement à la fois politique et littéraire. J'ai été totalement étourdie par ce texte, hymne à l'homme dans toute sa complexité, hymne aux plaisirs et à l'humour, hymne à l'absolu et à l'imaginaire, hymne à la littérature dans toute sa diversité.
Une expérience enivrante à mettre dans les mains de tous les insensés !

« Je vous invite à ce petit divertissement. L'entrée est réservée aux fous. Elle vous coûtera la raison. Etes-vous prêt ? »
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Où est le conte initiatique de Siddhartha (d'Hermann Hesse surnommé le Bouddhiste) qui relate la vie d'un fils de Brahmane à la recherche de sa propre lumière?
Déboussollée au départ par le loup des steppes (chez le livre de poche), l'histoire d'un quinquagénaire intellectuel, solitaire et dépressif, qui, un jour se reconnait dans un texte intitulé Traité sur le loup des steppes qui le renvoie à sa propre dualité) je me suis aperçue que l'auteur évoque ici une même quête existentielle que dans son précédent ouvrage.
"Je misais des étoiles" dit Harry l'Allemand sans famille et sans but dont la vie "a le goût de l'amertume humaine".
Il "visait des étoiles" mais s'aperçoit qu'il est double sensible, raffiné, érudit d'un côté et loup cruel de l'autre qui doit "s'abreuver de sang de temps en temps ou courir une louve" c'est à dire qu'il a des mauvais penchants. Il souffre, a envie de mourir.
Hermann Hesse (romancier,essayiste,poète,philosophe allemand,prix Nobel de littérature en 1946) a mis beaucoup de lui dans ce roman à la recherche de sa propre lumière, de l'élévation,de l'acceptation de soi.
Du dégout au refuge dans la musique, dans l'alcool,l'errance ou la philosophie, de sa rencontre avec Hermine qui l'entraine vers la débauche puis lui apporte l'harmonie, c'est une unification des facettes d'une personnalité scindée (on pense à la dualité de L'étrange cas du Dr Jekyll et de Mr Hyde de Stevenson) qui s'établit sous nos yeux.
Malgré le succés tardif de ce roman inititiaque, psychologique, mystique et visionnaire (puisqu'Hermann Hesse prévoit une "guerre prochaine,probablement plus hideuse") le loup des steppes qui évoque la crise spirituelle de notre civilisation pur produit de la société de consommation (rejetée par l'auteur) a été adapté en film et traduit en plusieurs langues.
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La part importante de l'autobiographie dans les romans et récits, de Hermann HESSE, est particulièrement visible dans " le Loup de steppes" où l'on peut voir, tout d'abord, comme un modèle de "roman de crise existentielle", chez cet écrivain.

Ensuite, à travers le personnage principal de Harry ( homme solitaire comme un loup égaré dans la société ), Hesse nous montre la cohabitation (inévitable) chez l'être humain de l'âme de l'homme et celle de l'animal (du loup, en l'occurrence dans ce roman). Autrement dit, de l'humanisme et de la cruauté.
"Le Loup des steppes" est un roman allégorique sur la dualité de l'homme et, la nécessité de concilier les contraires: animalité/spiritualité, données intellectuelles/données sensuelles, etc.
Hesse aspire à une civilisation idéale et toute son oeuvre est marqué par ce désir de concilier les opposés.

C'est pour moi un des chefs-d'oeuvre de la littérature de 20e siècle.
Une oeuvre essentielle dans ma bibliothèque.
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Ainsi je poursuis ma découverte de la littérature allemande avec Herman Hesse. Mais qu'est-ce que ce roman ? Il m'a époustouflé et retourné la cerveau.

Dans ce roman, nous suivons Harry qui est un intellectuel âgé de 50 ans et qui à des tendances dépressifs et suicidaires. Sa vie n'a aucun sens jusqu'au jour où il rencontre Hermine. Cette dernière lui ressemble et par conséquent le comprend mais elle aidera Harry à trouver un sens à sa vie. Grâce à elle, Harry découvrira tous ce que le monde recèle encore et peut lui offrir.

À la fin du roman, une chose m'est venue à l'esprit : « Qu'est-ce que ce foutoire? ». le style du roman paraît simple mais chaque phrase contient une réflexion philosophique.

Tout le monde peut trouver des similitudes entre Harry et lui-même. Harry est finalement un personnage universel.

J'ai quelque peu souris de ces attaques à l'encontre des nazis. Très bonnes punchlines !

En conclusion, j'ai adoré ce roman ! Je n'arrive pas à croire que ce roman à bientôt 100 ans. Ce roman peut raisonner dans l'esprit de tout le monde et pour toujours. Ce roman ne peut vieillir. Hesse est excellent écrivain et un incroyable penseur. C'est le génie allemand ! D'ailleurs Thomas Mann dira : «  Ce livre m'a réappris à lire ». Alors si un roman fait dire au génial Thomas Mann de tels paroles alors foncez le lire!
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Bon, ben au moins j'aurai essayé...
Je pourrai même dire que j'ai aimé - beaucoup ! - la première partie de ce roman culte, que j'ai apprécié le classississme soigné et rigoureux du style et que le personnage incroyablement travaillé de Harry Haller (dont je me suis souvent demandé s'il fallait y voir le jumeau d'Hermann Hesse) m'aura profondément marqué.

Difficile en effet de rester de marbre face ce "génie de la souffrance", ce schizophrène misanthrope animé d'une "aptitude à souffrir infinie" et qui forcément exerce sur le lecteur une emprise très forte, entre fascination et répulsion.
Comment ne pas se laisser impressionner par "son ombrageuse distance, sa brutalité indomptée, son alarme, sa nostalgie et son éternel exil" ?
Comment ne pas être frappé par la douloureuse introspection de ce narrateur au caractère si torturé, et ne pas reconnaître dans le même temps que sa vision du monde, aussi terrible soit-elle, n'est pas exempte d'une certaine lucidité, qu'elle traduit "le trouble d'une époque entière, la névrose de toute [une] génération" ?
Comment ne pas s'émouvoir à la vue de cet homme qui "passe des journées dans les bibliothèques et des nuits dans les brasseries, reste étendu sur un divan de meublé, entend vivre derrière les vitres le monde et les humains, se sait exclu mais ne se tue pas, car un reste de foi lui dit qu'il lui faut absorber jusqu'à la lie cette souffrance, cette souffrance empoisonnée qui est dans son coeur, et que c'est d'elle, de cette souffrance, qu'il lui faut mourir" ?

Tout ceci étant dit, je dois quand même avouer que mon intérêt pour ce récit dense et complexe, d'une noirceur absolue, a hélas fini par s'émousser...
Si l'accroche était prometteuse, et si la personnalité obscure, changeante, plurielle de Harry Haller est prodigieument détaillée, j'ai néanmoins fini par décrocher un peu lorsqu'il découvre son étrange "théâtre magique". Ses réflexions, jusqu'alors essentiellement psychologiques et soigneusement étayées par la raison, prennent alors des allures oniriques et fantasmagoriques, avant que le roman ne s'achève dans la plus totale confusion.
Il n'en fallait pas plus pour me perdre.

Cela ne m'empêchera pas de garder longtemps en mémoire le souvenir d'un homme vraiment particulier, cultivé, intelligent mais excessivement mélancolique, perpétuellement insatisfait et finalement inadapté à la vie en société.
Ce texte d'une grande profondeur, où le moindre sentiment est longuement disséqué, analysé, intellectualisé, psychanalysé, offre de nombreuses pistes de réflexion, notamment sur la dualité entre notre animalité (ici celle du loup des steppes, solitaire et soumis à des intincts primaires d'autodéfense) et notre intellect, nos facultés de raisonnement, nos efforts de tempérance ou notre soif d'élévation.
Il n'en reste pas moins ardu, et plutôt déprimant, pour ne pas dire parfois dérangeant. Il n'est donc pas inutile de rappeler en guise de conclusion la mise en garde de l'auteur lui même : "Seulement pour les fous".
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J'étais contente d'explorer une littérature un peu différente de Thilliez et compagnie, de nos polars contemporains dont je m'abreuve régulièrement. Mais j'ai eu du mal. J'avoue. Un manque d'intérêt. Je n'arrivais pas à accrocher au début. le loup des steppes, le côté animal. Ça pourrait être beau. Mais ça m'a juste énervée. A cause de l'écriture.

Tout le début m'a semblé passif pour ne pas dire poussif. Je suis restée complètement extérieure à ce récit, pendant la majeure partie du livre. Et quand j'attrapais le livre, c'était un peu voire franchement à reculons. C'était comme devoir écouter, encore, quelqu'un qui saoule avec ses histoires, son auto-apitoiement, pénible le gars.

Alors pourquoi insister ? Déjà c'est le jeu. Se laisser porter par un livre, par le choix de l'auteur pour le style, pour ce qu'il nous livre du personnage. Tu peux pas interrompre, te mêler, contredire. C'est pas comme en famille avec pépé mémé, c'est pas comme au café ou au resto avec les potes ou au comptoir avec les piliers de bars. Tu te tais et t'écoutes. C'est à toi de faire l'effort de comprendre ce que l'auteur veut que tu comprennes ou ressentes, parfois il suffit de te laisser porter parce que t'as pas l'effort à faire.
Donc j'ai persévéré dans ma lecture, comme toujours – je n'ai pas souvenir d'avoir laissé un seul livre en plan.

Quand le livre a viré un peu au conte, avec un brin de fantastique, ça a accroché un peu de mon intérêt et ça m'a permis de finir le voyage sans trop traîner la patte sur les pages.

Je comprends bien les réflexions sur l'aspect sauvage de l'être humain, l'homme est un loup pour l'homme, ce n'est pas nouveau. Je suis sensible à ce recul sur soi que s'offre notre héros. Mais je ne suis pas sûre que tant de réflexions, tant d'introspection correspondent le mieux à l ‘animalité. J'aurais imaginé la sauvagerie comme quelque chose de plus instinctif et de moins réfléchi.

Bref, une référence. Maintenant je connais Hesse et je retenterai.
Au suivant !

Lien : https://chargedame.wordpress..
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Grand livre, grand, je pense.

Un début de lecture difficile, pourtant. Une pesanteur. le style pataud, parfois, mais c'est une traduction. Alors ?

Que dire du personnage ? Un intellectuel ressasseur qui abomine son époque (l'entre deux guerres), mais surtout s'abomine soi-même car il ne supporte pas, voyez-vous ça, le divorce entre l'envol de l'esprit et la bassesse des instincts, et quand ce ne serait que la bassesse (la damnation a sa grandeur...) mais leur médiocrité, ah ! leur médiocrité : jamais, ô jamais n'être ému par une chanson populaire alors qu'on fréquente des génies, tels que Goethe ou Mozart, des Immortels dont on voudrait être : "Je suis incapable", dit-il dans ses carnets, "de comprendre quels plaisirs et quelles joies les hommes recherchent dans les trains et les hôtels bondés, dans les cafés combles où résonne une musique oppressante et tapageuse, dans les bars et les music-halls des villes…"

Car Harry (c'est lui) a découvert que l'homme était tout à la fois ange et bête, et il voudrait bien se débarrasser de la bête qu'il a surnommé "le loup des steppes".

Jusque là, rien de bien original, ai-je soupiré.

Et puis, soudain, envol brutal, ça prend matière, ça s'élève à vive allure... Harry rencontre dans le milieu de la nuit une femme, (une amante ? un double ?) et un musicien taciturne, beau comme un dieu, qui lui serviront de passeurs vers les parts inconnues de lui-même, celles qu'il n'avait jamais visitées.

Réussiront-ils à le réconcilier avec sa part terrestre ? Ce n'est pas ici le lieu pour trancher, et puis de toute façon "rien n'est jamais acquis à l'homme"...

...l'homme qui est tous les personnages à la fois d'un étrange théâtre. Encore lui faut-t-il trouver la clé des portes qui empêchent l'accès au mystère de son être.
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