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Citations de Catherine Cuenca (148)


- La liberté ou la mort, articule-t-elle.
- Ce n'est pas la devise des révolutionnaires de 1789 ? demande Léa.
- Parce que la vie ne vau pas d'être vécue sans liberté, explique la féministe. Savez-vous que c'est ici, au café de Foy, que Camille Desmoulins a appelé les Parisiens à se révolter contre les tyrans ? La Bastille a été prise il y a soixante ans. Notre tour est venu, à nous les femmes, d'abattre nos tyrans.
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Ce sont les hommes qui ont défini les règles que nous suivons aveuglément.
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Bon livre
Le livre frère de guerre est un livre de Catherine Cuenca sortie en 2006. Elle raconte la vie d’un jeune homme qui veut défendre son pays et rapporté la victoire.
Dans cet ouvrage, nous suivons la vie d’Eugène qui s’engage dans l’armée au début de la guerre alors qu’il n’a que seize ans. Il part avec son ami Matthias qui lui est un peu plus âgé. Arrivé au front, ils ne seront pas ensemble et Eugène ne reverra pas son ami. Quelques fois, ils ont droit d’aller voir leur famille et leurs proches et tombe amoureux de la sœur à Matthias.
J’ai apprécié ce roman pour plusieurs raisons.
Tout d’abord, le récit utilise le point de vue interne ce qui nous met à la place du personnage. En effet, on comprend mieux les sentiments qu’il éprouve et les terribles étapes de la guerre et des compagnons qu’il perd.
Ensuite, la vie dans les tranchées nous est bien racontée. Ainsi, il est dis qu’ils vivent au milieu des rats, des obus qui tombe, la boue… Il y a également la solidarité qui est présente dans le roman.
Enfin, il y a une propagande dans les journaux. Ainsi, le recrutement dans l’armée se fait plus facilement en disant que sur le front il y a des spectacles, des cabarets, des lits confortables… En réalité la vie est terrible et les soldats ont peur de mourir les trois quarts du temps, nuits comme jours.
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Elle était restée deux jours entiers dans son lit, à chercher vainement le sommeil, en voyant toujours passer les mêmes images devant ses yeux. Comme un film qu'elle était condamnée à visionner indéfiniment, sans aucune échappatoire. Pourquoi s'acharnait-elle à ressasser le passé? Il est impossible de le changer. Peut-être essayait-elle simplement d'apprivoiser ces images, ces sensations, pour qu'il lui soit plus facile de vivre avec. Comme ça, petit à petit, elle arriverait à sen détacher. Il le faudrait bien, si elle voulait continuer à vivre. Cela faisait plus d'un mois qu'elle errait entre deux mondes, comme une convalescente. Elle devait guérir pour pouvoir avancer.
P.38
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« Qu’est-ce qu’il a dit?
- Que je porte l’honneur de la famille. […]
- Nous portons bien plus que l’honneur de nos famille, déclare-t’elle. Nous luttons pour libérer des populations, pour délivrer les femmes de la tyrannie. »
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- Peut-être qu'il cache son jeu. Tu connais les hommes comme moi, Sidonie. Ils ne nous respectent pas.
- Dieu merci, ils ne sont pas tous comme cela !
- Ce n'est pas mon avis ! Je croyais que tu étais d'accord avec moi : éviter les fréquentations masculines, c'est le seul moyen pour une femme de rester libre et heureuse.
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- Alors vous acceptez qu'un homme décide de votre vie ? demande-t-elle. Cependant, si vous commettez un délit, ce n'est pas votre tuteur qui en répondra à votre place, mais bien vous qu'on jugera et qu'on condamnera ! Ne trouvez-vous pas curieux qu'on nous considère comme des incapables mais qu'on nous reconnaisse volontiers des responsabilités quand il s'agit de nous punir ?
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Bon livre
Le livre frère de guerre est un livre de Catherine Cuenca sortie en 2006. Elle raconte la vie d’un jeune homme qui veut défendre son pays et rapporté la victoire.
Dans cet ouvrage, nous suivons la vie d’Eugène qui s’engage dans l’armée au début de la guerre alors qu’il n’a que seize ans. Il part avec son ami Matthias qui lui est un peu plus âgé. Arrivé au front, ils ne seront pas ensemble et Eugène ne reverra pas son ami. Quelques fois, ils ont droit d’aller voir leur famille et leurs proches et tombe amoureux de la sœur à Matthias.
J’ai apprécié ce roman pour plusieurs raisons.
Tout d’abord, le récit utilise le point de vue interne ce qui nous met à la place du personnage. En effet, on comprend mieux les sentiments qu’il éprouve et les terribles étapes de la guerre et des compagnons qu’il perd.
Ensuite, la vie dans les tranchées nous est bien racontée. Ainsi, il est dis qu’ils vivent au milieu des rats, des obus qui tombe, la boue… Il y a également la solidarité qui est présente dans le roman.
Enfin, il y a une propagande dans les journaux. Ainsi, le recrutement dans l’armée se fait plus facilement en disant que sur le front il y a des spectacles, des cabarets, des lits confortables… En réalité la vie est terrible et les soldats ont peur de mourir les trois quarts du temps, nuits comme jours.
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Nous ne sommes plus des hommes, nous ne sommes pas des bêtes. Nous sommes beaucoup plus bas. Et pourtant l’instinct de vie nous habite toujours. Nous enlevons une tranchée, une deuxième apparaît aussitôt devant nous. Et nous repartons…
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- Ce n'est qu'une petite victoire, soupire-t-elle. Nous devons nous battre pour qu'il y en ait d'autres.
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« Voter c’est commencer à exister ! » page 90

Sébastien DB
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— Ma réussite ? souligne Agnès avec amertume. J'aurais réussi si la compagnie de tramway m'avait gardée dans son personnel !
— Tu as réussi à te faire embaucher à un poste important, insiste Félicie. Wattwoman, ce n'est pas rien... Si tu avais entendu ces commères avant ton arrivée ! Ça fait une semaine qu'elles parlent de ton retour. Elles sont toutes jalouses de toi, mais aucune d'elles n'a eu le courage de te suivre, en 1916 ! Si j'avais été plus âgée, je me serais présentée à la compagnie des tramways, moi aussi !
Des larmes de rage et d'envie perlent au coin des yeux de la jeune fille. Agnès lui presse mollement la main. Elle ne peut lui apporter aucun réconfort. Elle-même se sent tellement impuissante. Ses rêves d'une vie nouvelle sont définitivement enterrés. Rien n'a changé dans son existence. Au contraire, à vouloir défier l'ordre établi, elle s'est aliéné une bonne partie de son entourage. À quoi peut-elle se raccrocher désormais ?
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- (...) Après des années passées à faire l guerre, il n'y plus guère de folie des hommes que je redoute. C'est le seul mal qu'il faut craindre sur Terre.
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"Monsieur Martin a été démobilisé et il reprend son poste demain, avait-il annoncé sans même la regarder. Il est donc inutile de vous présenter au dépôt à six heures.
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Voter, c'est exister ! scande-t-elle, aussitôt imitée par Renée. Voter, c'est exister !
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Bon livre
Le livre frère de guerre est un livre de Catherine Cuenca sortie en 2006. Elle raconte la vie d’un jeune homme qui veut défendre son pays et rapporté la victoire.
Dans cet ouvrage, nous suivons la vie d’Eugène qui s’engage dans l’armée au début de la guerre alors qu’il n’a que seize ans. Il part avec son ami Matthias qui lui est un peu plus âgé. Arrivé au front, ils ne seront pas ensemble et Eugène ne reverra pas son ami. Quelques fois, ils ont droit d’aller voir leur famille et leurs proches et tombe amoureux de la sœur à Matthias.
J’ai apprécié ce roman pour plusieurs raisons.
Tout d’abord, le récit utilise le point de vue interne ce qui nous met à la place du personnage. En effet, on comprend mieux les sentiments qu’il éprouve et les terribles étapes de la guerre et des compagnons qu’il perd.
Ensuite, la vie dans les tranchées nous est bien racontée. Ainsi, il est dis qu’ils vivent au milieu des rats, des obus qui tombe, la boue… Il y a également la solidarité qui est présente dans le roman.
Enfin, il y a une propagande dans les journaux. Ainsi, le recrutement dans l’armée se fait plus facilement en disant que sur le front il y a des spectacles, des cabarets, des lits confortables… En réalité la vie est terrible et les soldats ont peur de mourir les trois quarts du temps, nuits comme jours.
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Le soir arrive enfin. Assise à mon bureau, la porte de ma chambre soigneusement fermée, je déchire la grande enveloppe marron de pépé Eugène. Elle renferme une seconde enveloppe. A la place de l'adresse, s'étale une écriture alambiquée et tremblotante.
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Le vertige la saisit à l'idée que les victimes ne soient pas entendues. Les renvoyer au silence, cela reviendrait à dire que les hommes peuvent continuer à violer impunément, que les femmes sont des proies qui doivent renoncer à leur liberté de circuler, de s'habiller comme elles veulent, pour ne pas tenter le prédateur.
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A quoi bon continuer à vivre dans ces conditions ? S'imagine-t-elle que nous finirons pas être libérées ? Que les peshmergas qui nous ont abandonnées reviendront nous sauver ? Que les Américains ou une alliance internationale interviendront en notre faveur ? Cela n'aurait pas déjà été le cas ? Nous sommes seules? Les Yézidis ont été sacrifiés, et leurs femmes sont des martyres oubliées. Nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes.
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L'orgueil ne mène à rien, se répéta-t-il. La paix est un bien précieux.

[p345]
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