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Critiques de Catherine Cuenca (424)
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Petite fleur d'Hiroshima

Un récit réussi qui m'a permis de découvrir la collection 10 jours pour changer le monde, courts romans centrés sur un événement précis de l'Histoire à J-10. Dans un épilogue bis, l'auteur imagine l'uchronie qui aurait pu se dérouler à la place.

Ici, nous sommes en juillet 1945 et suivons les correspondances entre un soldat japonais et sa petite sœur d'Hiroshima, et celle d'un Nisei avec son petit frère, enfermé dans un camp de rétention en Arizona. Les deux destins ennemis s'entrecroisent... Et au final les deux se résultent être davantage des frères que des ennemis.

Une très bonne ressource pour aborder l'Histoire autrement avec les enfants, dès la 6e selon moi. En général, le récit n'est pas trop pédagogique et on se laisse emporter facilement par les personnages. On apprend des choses sans s'en rendre compte, par le biais de l'émotion, et c'est bien toute la force de cette collection. Le petit lexique à la fin ainsi que la chronologie est plus non négligeable pour aller plus loin. Je plébiscite.

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Petite fleur d'Hiroshima

Très bon livre. Un roman enfant qui explique bien la guerre du Japon pendant la seconde guerre mondiale avec les États-Unis sous forme de correspondance 10 jours avant la destruction de la ville d'Hiroshima.
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Soeurs de guerre

L'auteur nous propose de suivre la vie de deux femmes en URSS, en 1942. Ziba, une jeune Tzigane, s'engage dans l'Armée rouge, pour venger ses parents. Anya, fille de cadres du Parti, intègre elle les troupes pour se rebeller contre ses parents.



Elles vont devoir affronter l'ennemi mais aussi subir les entraînements et affronter le mépris des soldats masculins.



Un roman historique passionnant vu à travers le destin, l’engagement de deux femmes exceptionnelles. Une belle découverte avec des passages assez poignants.
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Celle qui voulait conduire le tram

Celle qui voulait conduire le tram est un roman écrit par Catherine Cuenca. Dans les années 1916, Agnès va être embauchée pour remplacer un Wattman (conducteur de tramways) pendant que les hommes sont à la guerre, dont son mari M.Meunier. Il rentrera avant la fin de la guerre à cause d'une blessure à la jambe et reprendra le travail aussitôt sauf qu'il n'acceptera pas que sa femme gagne plus que lui. Elle se fera renvoyer car les hommes rentrent de la guerre et reprennent leur poste. Elle retrouvera son ancien travail à l'usine (le même que son mari), elle trouvera injuste que les hommes gagnent plus que les femmes pour le même travail établi. Elle luttera pour l'égalité homme femme et deviendra une suffragette !



Pour commencer, la structure du livre était très bien construite, on avait l'impression d'y être et de suivre l'histoire de près. Les actions des personnages, les lieux étaient très détaillés par le narrateur, du coup notre imagination se rapprochait le plus de ce que voulait faire passer l'auteur. Beaucoup de métaphores sont employées. Aussi le livre nous laisse réfléchir pour se faire une opinion sur la situation.



Ensuite le passage de la réunion de l'association La Solidarité des femmes, qu'Agnès va rejoindre pour lutter pour le droit de vote des femmes, était bien réalisé, les actions liées aux dialogues sont très bien choisie, cela permet de voir le caractère des suffragettes et de bien percevoir le message que les organisatrices veulent faire passer.



Pour finir dans ce livre on retrouve, tout au long de l'histoire, une population contre travestisme, du féminisme car les femmes gagnent moins que les hommes et n'ont aucun pouvoir d'élection et aussi beaucoup de violences conjugales, par exemple M.Meunier envers Agnès. On peut voir qu'après plus d'une centaine d'années notre société actuelle a très peu évolué. Il nous montre la société d'avant, avec toutes ses violences et ses inégalités.



Pour conclure, c'est un très beau livre qui nous remet en question avec une fin malheureusement tragique. Je vous le recommande fortement !



Enzo



............................................



Le livre "celle qui voulait conduire le tram" a été écrit par Catherine Cuenca. Ce livre parle de comment les femmes ont dû se battre pour avoir le droit d'exercer les même métiers que les hommes. Elles ont passé plusieurs années pendant la guerre à travailler à la place des hommes. J'ai beaucoup aimé ce livre.

Tout d'abord, j'ai adoré le fait qu'on puisse se re,dre compte de comment les femmes vivaient pendant la guerre, au début du livre, mais aussi après comment elles ont vécu le retour des hommes du front. On pouvait s'apercevoir d'à quel point s'était difficile pour elles de quittaient les travaux qui leurs plaisaient.

De plus, on pouvait voir comment les hommes traités les femmes à cette époque. ce qu'elles pouvaient faire mais aussi toutes leurs interdictions et à quel point elles étaient surveillées. Cela fait réfléchir sur la société d'aujourd'hui et on peut se rendre compte qu'il existe, malheureusement, encore des femmes qui vivent des ces conditions.

Enfin, ce livre nous permet de prendre exemple sur ses femmes qui se sont battues pour obtenir des droits, elles voulaient pouvoir voter, s'habillaient comme elles le souhaitaient. Des choses qui aujourd'hui sont, censées être, normal avant de l'étaient pas. Malheureusement sur certaines choses la société d'aujourd'hui est en train de régresser. Les femmes sont sans arrêt confronté à des remarques sur leurs vêtements.

Voici pourquoi j'ai beaucoup aimé ce livre. Il fait réfléchir sur la société d'aujourd'hui et on peut se rendre compte que même si beaucoup ont changé, il reste beaucoup de chemin à parcourir pour que les hommes et les femmes soient, enfin, égaux.



Maïtena
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Celle qui voulait conduire le tram

Du haut de mes trente et quelques années, j'ai redécouvert avec plaisir que mon droit de vote (arrivé tellement tard dans l'histoire de l'humanité), droit donner aux femmes, est acquis grâce à ces femmes, combattantes ordinaires.

J'apprécie beaucoup cette écriture féministe discrète et forte, qui m'a bouleversé sous couvert de scène du quotidien.
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L'Assassin du marais

Catherine Cuenca nous plonge dans un Paris en pleine effervescence : pendant que le choléra décime la ville, les féministes se battent pour l'égalité des sexes et soutienne la candidature de Jeanne Deroin aux législatives. Mais ces militantes qui contribuent à libérer la parole des femmes et à dénoncer les injustices sont loin de plaire à tout le monde. Une première femme, membre du club des Femmes de Désiré Gay, est retrouvée morte étranglée, puis une deuxième. Les meurtres se suivent et se ressemblent. Une chose est sûre le meurtrier est bien décidé à les faire taire. Londres a son Jack l'éventreur qui sème la terreur la nuit venue, Paris a son assassin du marais.

Tous les ingrédients d'un bon polar historique sont réunis! Et quoi de mieux qu'une ambiance crinoline et chapeau haut de forme et des séances de spiritisme au menu d'une enquête palpitante. Le roman est très bien documenté et regorge d'informations intéressantes sur les débuts du féminisme. On y croise des personnages historiques, des femmes qui ont marqués la lutte des droits et dont les noms ont malheureusement été oubliés des cours d'Histoire. Des femmes comme Jeanne Deroin, Désirée Gay, Eugénie Niboyet ou Jenny D'Héricourt, dont on retrouve une petite biographie très enrichissante à la fin du livre. On y croise également des personnages fictifs attachants, des femmes fortes et déterminées, comme Julie et Léa.

Au coeur de l'intrigue bien sûr, la lutte des femmes, mais aussi une enquête policière qui ne laisse aucun temps mort au lecteur. L'auteure réussie à merveille à dresser un tableau saisissant de l'époque et à créer une ambiance sombre et inquiétante. Si j'ai suivi l'intrigue avec intérêt, le dénouement m'a moins emballée. Je m'attendais à un retournement de situation plus grandiose, dans la lignée des romans à énigmes de Sherlock Holmes et compagnie. J'ai trouvé cette fin un peu trop classique à mon goût et mais la note finale qui donne la perspective d'une deuxième tome a piqué ma curiosité!
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L'Assassin du marais

Quelle lecture passionnante ce fut, j’ai adoré ce polar historique pour adolescent, où l’autrice nous entraîne dans le Paris du milieu du XIXè siècle en pleine lutte des sexes, où les premières féministes organisées essayent de faire entendre leurs voix et leurs revendications bien légitimes.



Dans ce contexte de lutte sociale, une première femme est retrouvée assassinée. Mais elle ne sera pas la seule. Les meurtres se suivent et se ressemblent. Des femmes étranglées au milieu de la nuit, qui semblent avoir un lien avec les mouvements de droits des femmes qui s’élèvent alors à l’époque.



L’autrice en profite pour nous montrer la condition féminine au XIXè : l’ouvrière et la comédienne, qui pour arrondir leurs fins de mois, se prostituent. Les femmes, condamnées pour adultère, qui se voient privées de leurs enfants au profit de leur mari. Les employées des grands magasins qui subissent les avances des clients et le machisme de leurs collègues qui ne goutent guère de devoir partager leurs emplois avec elles, etc.



Au-delà de cet aspect social et historique, il y a bien sûr l’enquête policière menée par l’inspecteur Delage, un ancien criminel reconverti en policier, encore marqué par le meurtre de sa sœur, et qui a bien l’intention de mettre fin aux agissements du tueur, n’en déplaise à son supérieur qui lui met constamment des bâtons dans les roues.



Il sera bien aidé par Léa, qui par ses dons de voyance fera avancer l’enquête. Elle a une petite fille dont elle a perdu la garde au profit de son père et en veut beaucoup aux hommes. Et Julie, qui a fui un mariage arrangé pour trouver un emploi de vendeuse dans un grand magasin qui subit les avances de plusieurs clients et dont la meilleure amie a elle aussi disparu.



Un trio, donc, qui va tenter de démêler le vrai du faux, en restant sur ses gardes bien évidemment, puisqu’il y a un tueur dans les rues qui semble vouer une haine tenance aux femmes.



Chacun apporte sa pierre à l’édifice, sa personnalité, son intelligence, sa débrouillardise. On va de rebondissements en rebondissements, sans jamais se douter de ce qui va arriver.



Lire la suite...
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L'Armistice n'aura pas lieu

Un roman sur la guerre d'un réalisme grave, nous vivons succéssivement avec Anna et avec Niko dans l'horreur des hôpitaux de campagne et des combats au coeur du front. Rien ne nous est épargné des corps meurtris, de la souffrance physique et mentale, des doutes et des interrogations de chacun.



Nous nous attachons aux 2 personnages et sommes ballades entre espoir et désillusions.



Lu avec mon fils de 9 ans, certains passages m'ont semblé assez difficiles mais ne l'ont pas touché plus que ça à mon grand étonnement. A chaque fin de chapitre, nous faisions un "pronostique" des chances pour ces frère et soeur de se retrouver, argument à la clé.



J'ai aimé le dernière chapitre où l'auteure imagine ce qui se serait passer si effectivement l'armistice n'avait pas eu lieu.



Un roman très bien fait qui invite à la réflexion.
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Piège à la Bastille

J'ai beaucoup apprécié le contexte historique de cette lecture, être immergée au sein de la Bastille et vivre à travers l'histoire de Gabriel ce moment historique où le peuple français s'est révolté. J'ai aussi apprécié l'intrigue qui s'est jouée contre Gabriel.

Une lecture agréable pour qui aime les romans historiques.
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Celle qui voulait conduire le tram

Nous sommes en 1919 et les femmes, qui ont fait tourné l'économie française pendant 4 ans, sont renvoyées à leur foyer et aux tâches ménagères. Après avoir goûté à l'émancipation, elles se retrouvent sous l'autorité de leurs maris, revenus de la guerre, aigris, souvent diminués physiquement, parfois alcooliques et violents. Elles n'ont pas le droit de vote et porter un pantalon est alors un délit. Une bonne lecture jeunesse historique sur les premiers pas du féminisme en France, et les premières manifestations de suffragettes.
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Celle qui voulait conduire le tram

J'ai lu ce livre de Catherine Cuenca. Celui-ci raconte la vie des femmes lors de la Première Guerre Mondiale. Elles ont dû remplacer les hommes au travail. Mais, au retour de leurs maris, elles ont été renvoyées à leurs fourneaux.

J'ai beaucoup aimé ce livre car contrairement à beaucoup d'autres romans, il met en valeur le rôle des femmes pendant la guerre. On y comprend aussi l'injustice des hommes envers elles et, pourquoi, puis comment, elles vont réclamer le droit de vote.

Ce livre m'a beaucoup plu car il m'a appris beaucoup de choses historiques, durant la guerre.

Fabien



En 1914 , Célestin le mari d'Agnès doit partir à la guerre , Agnès pendant ce temps travaille comme wattwoman ce qui déplait fortement à Célestin quand il rentre de la guerre en 1916 à cause d'une blessure à la jambe.

J'ai apprécié cette histoire parcequ'elle nous raconte comment les femmes vivent à l'arrière pendant la première guerre mondiale. Elle nous raconte aussi le combat des femmes contre les inégalités par rapport aux hommes ; nous n'avons pas l'habitude de voir cette phase de la guerre dans les livres ou dans les films.

Laurette
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Celle qui voulait conduire le tram

J'ai beaucoup aimé ce livre car il raconte une belle histoire et dénonce l'inégalité présente entre les hommes et les femmes, surtout en 1916. le personnage principal est plein d'énergie et de détermination, malgré les commentaires négatifs qu'elle pourra entendre elle sera toujours prête à faire avancer la place des femmes dans la société.

Abouharia, 2BPGA, 2018-2019



Agnès a été séparée de son mari qui est parti au front lors de la première guerre mondiale, après ça elle trouve un travail de conductrice de tramways, métier pour homme de base.

Après la guerre elle perd son travail et doit retourner à l’usine avec son mari.

Elle n’est pas d’accord avec le fait de pas laisser travailler une femme dans un métier d’homme donc elle s’engage dans le mouvement des suffragettes pour défendre le droit des femmes pour qu’elles puissent voter et vivre en femmes heureuses comme leurs grand-mères et leurs arrière-grands-mères.

Ce livre m’a beaucoup plu car c’est un sujet toujours d’actualité, l’inégalité homme et femme, et j’espère que ça fera réagir.

Roumaissa, 2BPGA, 2018-2019



Ce livre est comme une expérience, un voyage dans le temps ou bien un rêve si je peux le dire comme ça sauf que dans l’histoire, il y a des détails qui ne m’intéressent pas comme les soldats qui se révoltent contre Lucie pour qu’elle ne conduise pas un tram.

Ce qu’il me plaît dans cette histoire, c’est que cette histoire nous fait voyager mentalement et nous explique un peu pendant les temps de la guerre comment étaient les soldats envers l’humanité et le monde.

Note : 4/5

Djessy-Anyme, 2BPGA, 2018-2019

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Celle qui voulait conduire le tram

Un roman poignant.

Catherine Cuenca a gagné deux fois le Prix du roman historique jeunesse de Blois avec les romans " Frères de guerre" et " La guerre des ombres".



Luce est la nièce d'Agnès.

Au moment de voter, elle repense à sa tante et aux difficultés que celle-ci a vécu lors du retour des soldats.

Agnès est révoltée contre une société où les femmes ont très peu de droits.

Ce roman historique se passe à Lyon en 1945 du point de vue de Luce et de 1916 à 1920 du côté de'Agnès.



Un livre qui parle de sujets importants comme le combat des femmes pour obtenir le droit de vote et les mêmes droits que les hommes ainsi que les violences conjugales.

Il raconte les difficultés rencontrées lors du retour des soldats de la 1ère Guerre mondiale face à une société qui a changé.

J'ai aimé ce livre car je suis très intéressée par la 1ère Guerre mondiale et ce roman parle des femmes à l'arrière: un sujet qui n'est pas souvent évoqué et qui m'a permis d'en apprendre plus.



Je recommande ce livre pour ceux qui aiment l'Histoire.
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Celle qui voulait conduire le tram

Catherine Cuenca, l'auteur de « Celle qui voulait conduire le tram » , nous raconte l'histoire d'Agnès Meunier. Il s'agit d'une jeune femme dans les années 1916 travaillant à l'usine tandis que son mari, Célestin, est soldat durant la première guerre mondiale. En cette période, peu d'hommes peuvent travailler, alors des femmes vont pouvoir accéder à des travaux destinés aux hommes dont Agnès, qui elle, va être conductrice de tramway. J'ai apprécié ce livre dû au contexte historique et le personnage d'Agnès Meunier avec qui on peut se reconnaître avec sa détermination, son courage et son envie de liberté. Ce livre nous explique bien les idées qu'avaient à l'époque les civils en France. Cette histoire nous fait ressentir aussi beaucoup d'émotions tel que de la tristesse, de la joie et du mépris. Grâce à tout cela nous pouvons facilement entrer dans l'histoire. Malheureusement, la fin était trop prévisible.

Eva.G



~~~~~~~~~~~~~~~~~



Un livre historique !



Celle qui voulait conduire le train de Catherine Cuenca a pour thème la guerre de 1914 mais aussi la rébellion des suffragettes réclamant leurs droits.

À travers ce livre nous vivons l'histoire de Agnès, une femme travaillant à l'usine de tissage et don le mari et parti à la guerre. Un jour, Agnès postule pour un travaille de wattman et, étant en manque d'employer suite à bon nombre d'hommes ayant quitter la ville pour aller faire la guerre, elle se fit embaucher. Fière de son nouveau métier, c'était sans compter deux ans plus tard, lorsque la guerre se termine, qu'elle se fait virer. Son mari, Célestin, est revenu de la guerre avant que celle-ci ne se termine définitivement, blessé à la jambe. Il n'a plus rien à voir avec l'homme qu'Agnès a connu. Buvant chaque soir devenu violent, la femme a peur de son époux. C'est alors qu'elle rencontre une ancienne amie à elle. Agnès ce retrouve alors embarqué dans se qui est le suffrage et la militation des droits de vote pour la femme. "Voter, c'est exister !"

Ce livre est intéressant, facile à lire, il évoque ce que les femmes ont vécues avant que leur droits soit enfin acceptés. La fin n'était pas prévisible et était bouleversante. Je conseil cet ouvrage à tous ceux désirant se cultiver sur la première guerre mondiale mais aussi sur la militation des femmes à cette époque.



Aurélie

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Le mystère de la tête d'or, tome 2 : L'énigme du ..

J'ai abandonné...



J'avais vraiment accroché avec le premier tome. Hélas, je n'ai clairement pas réussie à entrer dans celui-ci et j'ai même finit par abandonner.



Peut-être pas la bonne période, pas le bon moment, pas la bonne lecture.



Donc je m'abstiendrai de toute critique !



Bonne lecture à tous.
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Celle qui voulait conduire le tram

J'ai découvert ce roman par hasard, car j'adore ce que fait cette maison. Je n'ai pas été déçu. On a lu beaucoup de chose sur le féminisme, mais ici, le sujet ne "fait pas pleurer dans les chaumières". Le thème est traité avec intelligence et finesse. J'adore cette auteure et je conseille de la lire. C'est un moyen de faire en sorte que les jeunes aiment l'Histoire.
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Celle qui voulait conduire le tram

Une histoire sombre aux résonances très actuelles. Le combat féministe est bien rendu, coincé entre émancipation politique et lutte intra-familiale).
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Le passage des lumières, tome 1 : Espoirs

Ce livre est merveilleux c'est une bibliothèquère me l'a conseillé il est fantastique!!!!!!!
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Celle qui voulait conduire le tram

1945, à la veille des premières élections municipales auxquelles participeront les femmes françaises, Luce repense à sa tante, disparue 20 ans avant... Celle-ci, pendant la première guerre, son mari Célestin au front, avait réussi à être embauchée comme wattwoman, conductrice de tram, à Lyon. Et à la démobilisation, un homme l'avait naturellement remplacée. Sensibilisée aux mouvements féministes, elle avait souffert des violences de son mari...

Un très bon roman jeunesse qui traite des débuts du féminisme en France et du rôle des femmes pendant le premier conflit mondial, mais aussi hélas des inégalités hommes-femmes et des violences conjugales. Pour les 4e-3e.
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Celle qui voulait conduire le tram

Encore une pépite chez Talents Hauts ! Ce roman revient sur le rôle des femmes durant la Première Guerre Mondiale et sur le cas précis d'Agnès, devenue "wattwoman" ou conductrice de tramway à Lyon. Ce travail, désormais accessible aux femmes puisqu'il faut remplacer les hommes partis à la guerre, est une révélation pour elle car elle se voit capable d'exercer un autre métier que celui d'ouvrière, gagnant ainsi mieux sa vie, et c'est grâce à lui qu'elle va faire des rencontres déterminantes qui vont la pousser à s'engager dans la lutte pour les droits des femmes aux côtés de Madeleine Pelletier. Mais que deviendront tous ces espoirs quand son mari Célestin, rentré du front, aigri et alcoolique, s'en rendra compte ? Ces femmes courageuses parviendront-elles à faire entendre leur voix malgré le sexisme, les préjugés et l'homophobie ambiants ?
Lien : http://ocalypso.canalblog.co..
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