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Critiques de Catherine Cuenca (420)
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Celle qui voulait conduire le tram

Le roman commence quand Luce, la nièce d'Agnès, rachète la maison de celle-ci en 1945. On apprend qu'Agnès a mystérieusement disparue un soir de 1919, alors qu'elle se rendait à une réunion de suffragettes. On n'a retrouvé que son vélo au bord de la rivière, et l'enquête a conclu à une fugue. Luce n'est pas convaincue par cette version...

En 1916, comme la plupart des hommes valides sont partis à la guerre, il faut bien faire tourner l'économie, et les femmes vont se révéler indispensables pour prendre le relais. C'est ainsi qu'Agnès, surmontant ses craintes, va postuler comme wattwoman, et conduira un tram pendant 3 ans, jusqu'à ce que le retour du titulaire lui fasse perdre brutalement son emploi et le salaire beaucoup plus élevé qu'à l'usine où elle était ouvrière avant.

Cette usine, elle va être contrainte d'y retourner, sous la pression de Celestin son mari, revenu infirme et aigri du conflit. Il y travaille également, et ne supporte pas qu'Agnès ait un statut et une rémunération supérieure à lui. Dès son retour à l'atelier, Agnès subit une forme de discrimination de ses collègues femmes, qui la jalousent et estiment qu'elle n'a pas su "rester à sa place". Elle fait la connaissance d'une suffragette, et va peu à peu adhérer à ce mouvement, non sans hésitation : ces femmes qui portent des pantalons sont-elles des "gouines", comme beaucoup le prétendent ? De son côté, Celestin tente de l'empêcher de fréquenter ses nouvelles amies, et devient de plus en plus violent, sombrant dans l'alcool et la dépression et se sentant humilié par son infirmité.

La fin, je vous laisse la découvrir, mais sans des femmes de la trempe d'Agnès, notre vie aujourd'hui serait sans doute bien différente...et pas dans le bon sens !
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Le mystère de la tête d'or, tome 1 : Le trésor de..

De l'enjeu, de la peur, de l'intrigue ...

Jeannot et Riri, accompagnés par Céleste, résolvent le premier mystère du Toussaint-Léonce de Chandieu à leurs riques et périls ...
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Celle qui voulait conduire le tram

A travers l’histoire d’Agnès, Catherine Cuenca nous fait découvrir un aspect de la Première Guerre mondiale souvent inconnu, voire ignoré : le travail des femmes pour soutenir l’effort de guerre. Des femmes qui prennent la place des hommes dans des métiers jusqu’alors réservés exclusivement aux genre masculin. Parce que, comme vous le savez, les femmes sont faibles de corps comme d’esprit (*blague, si jamais vous n’aviez pas compris*). Mais malgré la guerre et l’absence des hommes sur des postes utiles au quotidien, le remplacement par les femmes n’est pas forcément vu d’un bon œil. Insultes et mines désapprobatrices de la part de la société masculine comme féminine sont le lot de ces femmes qui « osent » postuler à ces emplois. Et si, comme beaucoup, Agnès est d’abord surprise de voir une jeune femme lui valider son ticket en montant dans le tramway, le perspective de gagner plus d’argent que dans son emploi actuel au sein d’un atelier de couture lui donne très vite l’envie de s’engager dans la compagnie de transport. Une décision qui va changer sa vie : elle va apprendre à conduire des tramways et, au contact de Renée, engagée dans la lutte pour le droit de vote des femmes, se trouver également une cause à défendre.



Mais le poids de conventions sociales, de la croyance de l’infériorité des femmes et de leur rôle uniquement marital, ménager, va clairement être un frein à l’épanouissement complet d’Agnès. D’autant plus quand son mari, Célestin, revient blessé de la guerre puis reprend son poste à l’atelier où il travaillait avec Agnès. Il gagne moins qu’elle, n’apprécie pas qu’elle fasse un boulot d’homme et voit d’un très mauvais œil son association avec des féministes et, pire, des « inverties ». Le vin aidant, Célestin se montre de plus en plus hostile et violent, renforcement d’autant la détermination d’Agnès à améliorer sa vie et celle des autres femmes… Une histoire qui trouve sa conclusion en 1945, avec Luce, la nièce d’Agnès et dont vous pouvez vous douter de l’issue historique.



Avec Celle qui voulait conduire le tram, Catherine Cuenca nous livre un roman passionnant sur l’histoire de ces femmes qui se sont battues pour leurs droits à une époque complexe. Au travers d’un destin, celui d’Agnès et de son héritage, évoqué avec humanité et émotion. Ses rêves, ses doutes et ses actions sont rendus avec un réalisme parfois rude, nous rappelant toute la difficulté à se battre pour nos convictions et la patience requise pour être témoin du changement. Un très beau roman historique à compléter avec le visionnage du film Les Suffragettes, sur le même thème mais en Angleterre, où les femmes obtinrent les droit de vote plus tôt que nous…
Lien : http://bobetjeanmichel.com/2..
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La marraine de guerre

Quelles récompense Etienne a t-il obtenues à la fin de la guerre?
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La prophétie des runes, Tome 1 : La rouelle d..

"La prophétie des runes" et son tome un prennent le temps de placer le contexte, la suite devrait probablement promettre d'être plus mouvementée. Les descriptions de Catherine Cuenca permettent de bien intégrer l'époque et le temps précis des évènements. Trois choses nous préoccuperont. La première. Après la période des invasions barbares et les pactes de paix de "bon voisinage" avec l'empire romain, voici qu'arrive Attila le Hun et ses troupes conquérantes. Branle bas de combat. Tous les guerriers sont réquisitionnés pour lui faire face et les clans s'unissent plus que jamais. Sur ces périodes de troubles, certains profitent de se ravitailler en pillant et tuent sans scrupule en arrière-plan.

Deuxième axe: Un axe plus humain qui permet de présenter l'héroïne, Mogiane, fille de chef de clan, promue à sa direction depuis que sa mère est malade et son père est au combat. Elle apprend les règles de chefs de guerre, gère des responsabilités à 18 ans tandis que sa mère la supervise d'une main de fer. Une tension anime les deux personnages féminins depuis que Mogiane fit échouer contre les usages les projets de beaux mariages. Cela sera a découvrir par le lecteur.

Elle se laisse séduire par un jeune officier qui n'est hélas pas plus "argenté" que le précédent. Les règles de société sont très intéressantes et implacables.

Encore une fois, Catherine Cuenca prend le temps sur quelques pages d'insister sur les nouvelles obligations qui lui incombent, se rompre à l'art du combat par exemple. Ceci ne rendra que plus crédible des futures scènes d'action. Troisième point important, une prophétie prédit le retour d'entre les morts du fils de Mérovée, héritier du chef des chefs et symbole d'unité et de prospérité. D'où le titre, "la rouelle de feu", bijou de cérémonie sur lequel s'inscrivit magiquement le texte du retour. L'élément introduit le récit puis passe au second plan afin laisser place à celle qui va être pris dans la grande Histoire. Lentement, on constate le caractère d'acier mais néanmoins romantique de Mogiane. Il animera l'héroïne tout du long et guidera ses choix ou obligations.

Pour info, Catherine Cuenca reprend à son compte un fait historique, la grande bataille des Francs contre les Huns qui donnera lieu aux origines des grandes dynasties françaises. Mérovée laissera son nom à la première, les Mérovingiens. Toutefois, les plus éclairés s'en seront rendus compte, l'auteure va jouer de l'Ukronie sur le genre historique et bouleverser le cours de l'histoire en proposant une version incluant de la magie, des maléfices, la mort de Mérovée (et oui!) et...son héroïne. L'auteure joue du rapport légendaire de la dynastie des Mérovingiens à laquelle on accordait des pouvoirs magiques. Nul besoin d'être déja averti sur cette période de l'histoire de France, le récit permet de s'embarquer clé en main et une aventure commence.

Une proposition d'héroïne et un thème qui permettent habilement d'intéresser les lecteurs filles et garçons, amateurs de grandes aventures. Efficace, fluide, un récit qui se suit avec plaisir, l'auteure documente sans alourdir. Très agréable, prenant et intéressant. A découvrir.
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La marraine de guerre

Dans ce court roman, le lecteur comprend combien écrire et garder le contact avec une personne peut aider à garder espoir.

Grâce à sa "marraine de guerre", Etienne soulage ses maux en se confiant à elle. Elle lui permet de se sentir exister en tant qu'homme et non plus en tant que chair à canon. Au delà de cette relation qui se noue et se solidifie au fil des pages, le lecteur prend conscience de la vie dans les tranchées et de la lassitude ressenti par les poilus.

Un roman touchant relatant parfois des scènes "violentes", je pense néanmoins qu'il est adapté à un public large et cela dès la 6e.
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Le secret du dernier poilu

La fraternisation pendant la Première Guerre Mondiale



Catherine Cuenca publie son cinquième roman sur le thème de la Première Guere Mondiale, Le secret du dernier poilu. Ce roman accrocheur est inspiré de tous les écrits que l'auteur a lus. En effet, dans l'épilogue du livre, elle explique qu'à son grand désespoir, elle n'a jamais pu rencontrer des témoins ayant vécu cette guerre. Pour répondre à ses questions, la passionnée par cette période histoire, a lu beaucoup de lettres et de témoignages. Ce livre est la conclusion de son roman Frères de Guerre, qui raconte la vie de Eugène Ruy, soldat de la Première Guerre Mondiale.



Dans le roman, nous suivons Laura, la narratrice, et son arrière-grand-père Eugène Ruy, qui a connu les tranchées à l'âge de 15 ans. La jeune fille adore écouter son pépé lui raconter l'histoire du denier poilu français encore en vie. Un mercredi après-midi, alors qu'ils regardent une émission sur les poilus, le vieil homme va reconnaître un allemand. Laura va chercher à comprendre son secret.



J'ai apprécié la lecture de ce roman pour plusieurs raisons.

Tout d'abord, le style d'écritures de Catherine Cuenca m'a beaucoup plu par sa simplicité. En effet, les mots employés sont très simple à comprendre, les phrases sont courtes ce qui facilite la compréhension et surtout la présence de dialogue entre le vieil homme et sa petite fille permet de créer un effet de réel très agréable à lire.

Ensuite, j'avais déjà entendu parler de la fraternisation de la Grande Guerre, mais je ne savais pas ce que désignait ce mot. Grâce à ce livre j'ai beaucoup appris sur ce sujet. Par exemple, je croyais que la fraternisation entre Allemand et Français n'avait eut lieu que le soir de Noël 1914, grâce au livre, j'ai appris qu'il y en avait eu tout au long de la Grande Guerre.

De plus, j'ai affectionné le choix de l'auteur d'avoir mis en scène cette complicité entre les deux personnages que moi-même j'aurais aimé avoir avec un témoin. Effectivement, chaque histoire, chaque objet qu'Eugène montre à Laura donne au lecteur l'envie de connaître la suite de son passé et de poser ses propres questions.

Pour conclure, nous pouvons dire que Le secret du dernier poilu de Catherine Cuenca, illustre le fait que deux homme opposés par leurs origines, peuvent, malgré leurs différences, se trouver un point commun et fraterniser ; comme le firent les différentes cultures en France le dimanche 11 janvier 2015 lors de la manifestation contre les attentats terrosites.
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Trois flammes dans la nuit

Marion s'installe avec sa mère dans un petit village de Champagne. Pas très enchantée de quitter Paris et ses amis, elle fait cependant rapidement la connaissance de Tom, un jeune paysagiste. Mais on la met en garde contre ce jeune homme : il sort de prison. Tous les deux vont mener une enquête sur le passé un peu sombre du village pendant la 2e guerre mondiale. Marion a découvert dans une ferme abandonnée un autel en mémoire de 3 tirailleurs sénégalais. Un monument à l'honneur de ces soldats est bien connu dans le village car un massacre a été commis par les Nazis sur ces combattants africains. Alors, pourquoi cache-t-on cet autel ? Que s'est-il passé dans cette ferme ?



Ce roman est une manière très originale d'aborder un aspect méconnu de la seconde guerre. Il mêle subtilement (mais c'est tout le talent de l'auteur !) récit historique, aventure sentimentale, enquête policière. Le récit est bien ancré dans le 21e siècle et ce qui donne encore plus de forces à l'évocation historique. Marion est une lycéenne avec un sacré caractère, elle s'oppose souvent à sa mère et n'en fait souvent qu'à sa tête. C'est grâce à ces personnages, proches des lecteurs, que le message passe, que la transmission se fait.



La seule chose que je regrette est le manque d'un dossier à la fin de l'ouvrage pour expliquer le fondement historique réel du roman. J'ai fait mes petites recherches et ce massacre de tirailleurs sénagalais a réellement eu lieu à Chasselay :



http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/fr/le-tata-senegalais







"Les 19 et 20 juin 1940, ignorant que Lyon venait d'être déclarée «ville ouverte», le 25e régiment de tirailleurs sénégalais affronte l'armée allemande à Chasselay et dans ses environs. Malgré leur courage, ils doivent finalement rendre les armes. Les combats s'achèvent par le massacre des prisonniers d'origine africaine par la division SS Totenkopft (Tête de mort)."
Lien : http://hleroy.canalblog.com/..
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Le choix d'Adélie

C'est un livre que je recommande surtout les filles ATTENTION car certaines personnes pourraient se décourager sur le thème première guerre mondial mais il y a aussi une histoire d'amour.....Et surtout connaitre comment les femmes étaient considérer dans cette société ou elles "n'étaient bonne qu'a faire le ménage"
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La malédiction de la pierre de lune, tome 1 :..

Avec vivacité et en ne négligeant pas les petits détails du quotidien (voir l'amitié avec Lena), Catherine Cuenca et son narrateur externe offrent un Quattrocento plus vrai que nature, captivant et sans insistance, accessible dès 11 ans.
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..
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La colombe de Montségur

Ava est l'héritière du domaine de Bonac. Son père, cathare, est mort sur le bûcher. Le vieux seigneur d'Orban sait bien que la situation est difficile et en profite pour la demander en mariage. Mais Ava est bien décidée à ne pas se laisser faire. L'arrivée de Jonathan, jeune forgeron, va lui ouvrir de nouveaux horizons. Même si son attitude semble parfois suspecte, Ava découvre en lui un soutien inconditionnel...



Ce roman fait partie de la sélection du Grand prix des Jeunes Lecteurs PEEP 2014. Je l'ai dévoré en une heure lors de ma surveillance des épreuves du brevet. L'auteur a réussi à m'emmener, loin, très loin de la salle de classe. J'ai vibré avec Ava, souffert avec Jonathan, suis tombée amoureuse d'Aimery et c'est bien parce que je n'étais pas seule que j'ai retenu mes larmes ! J'ai apprécié particulièrement les petits éléments de fantastique qui donnent un charme supplémentaire à ce roman historico-aventuro-sentimentalo-policier. La diversité des genres, loin d'alourdir le récit, le rend plus riche et passionnant. Pour sûr, je proposerai ce roman à mes élèves pour préparer la venue de Catherine Cuenca au prochain salon du Livre de Péronne. Les veinards, ils vont se régaler !
Lien : http://hleroy.canalblog.com/..
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Le journal d'Eulalie : Un amour de guerre

La quatrième de couverture résumant bien l’histoire, je ne ferai donc pas de résumé personnel cette fois-ci.



Ce roman aborde un aspect peu connu de la seconde guerre mondiale et qui est rarement abordé par la littérature jeunesse : celui du sort de femmes accusées de collaboration horizontale avec l’ennemi. On le découvre à travers l’histoire d’Eulalie, jeune domestique dont Marianne trouve le journal. Dans ce journal, elle raconte ses sentiments naissant pour un jeune officier allemand et son désir d’obéir aux injonctions de sa patronne, stipulant d’ignorer les ennemis.



Le présent et le passé s’entremêlent. Marianne ne peut, en effet, pas lire le journal d’une traite. Ce procédé crée un certain suspense : on veut savoir comment va évoluer l’histoire d’Eulalie et ce qui va la pousser à se suicider. Le parallèle entre ces deux jeunes filles, vivant à des époques différentes permet de se rendre compte des difficultés de la vie pendant la seconde guerre. Comme Eulalie, Marianne va également vivre ses premiers émois amoureux ce qui permet aux lecteurs de mieux comprendre les sentiments de la jeune servante.



Je n’ai pas trop aimé l’histoire de Marianne, trop actuelle, ne présentant aucun attrait particulier. Il me tardait de retrouver les pages du journal d’Eulalie, me faisant voyager dans une époque que je connais mal. Le personnage d’Eulalie, assez naïf, ne mesurant pas la portée de ses actes dans une époque en guerre est assez réaliste. Elle est trop jeune en effet pour mesurer la portée et la signification de ses actes.



Le style de l’auteur est vraiment agréable à lire et l’on passe d’une histoire à l’autre de façon naturelle. L’écriture est légère et bien adaptée à de jeunes lecteurs.



Pour conclure, ce roman offre une bonne introduction pour faire découvrir le sort des femmes pendant la guerre à de jeunes lecteurs. A la fin du roman, un dossier sur les femmes tondues permet de compléter ses connaissances.
Lien : http://hellody.canalblog.com/
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Le passage des lumières, Tome 2 : Révoltes

Ce livre est génial des robondissement incroyable et Zelie et si inteligente et tout roh je conseille grandement ce livre du tome 1 au tome 5 !! :)
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Le mystère de la tête d'or, tome 1 : Le trésor de..

J'ai acheté par hasard au rayon jeunesse, avec des livres pour mon fils, et ce fut une bonne surprise. Il faut dire que j'aime beaucoup les livres dont l'intrigue se mêle à l'Histoire. Celui là est vraiment fait pour les plus jeunes, l'âge indiqué sur la 4ème de couverture est 9 ans et ça me semble parfait. L'écriture est très fluide et l'intrigue avance à un bon rythme ni trop lent ni trop rapide, il n'y a pas trop de personnages ce qui n'embrouille pas le lecteur. Parfait donc pour les enfants. Cela n'en reste pas moins plaisant pour les adultes. Une très bonne série jeunesse donc.
Lien : http://ceci-cela-les-livres...
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Frères de guerre

Bon livre jeunesse parlant de la première guerre mondiale avec simplicité, sans trop d'atrocités permettant aux jeunes lecteurs de comprendre ce conflit. Parmi la guerre, ses nombreux combats, ses nombreuses pertes nous voyons surgir du courage, de l'amitié et même une histoire d'amour.
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Le passage des lumières, tome 1 : Espoirs

Sympathique épopée que cette plongée au début de la révolution française d'une adolescente des années 2000. Amour, féminisme, liberté, égalité....Une agréable manière d'aborder cette période historique et les grands principes philosophiques et choix de société q'elle a véhiculés
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Le mystère de la tête d'or, tome 2 : L'énigme du ..

Encore une fois, quel plaisir de parcourir les rues de Lyon et d'entendre parler un dialecte oublié. Les 3 protagonistes du 1er volume se retrouvent encore aux prises avec leur ennemi, épargné par la Saone... mais le trésor de la tête d'or reste encore inaccessible.

Vivement la suite, vivement le volume 3... voire plus ensuite (?). J'aimerais bien continuer à suivre les aventures de ces 3 gônes, héros récurrents d'une ville et d'une époque, au delà du 3e opus.
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Le crime de la pierre levée

Le crime de la pierre levée est une histoire se déroulant pendant le Moyen Âge, offrant aux lecteurs suspense et frisson grâce à des rebondissements.

De plus, dans ce roman sur fond historique on y trouve la magie, la sorcellerie et la religion qui est omniprésente dans le quotidien de la population.

Aussi, grâce à l'écriture fluide de l'auteure, le récit se lit vite et nous captive du début à la fin.

En conclusion, j'ai passé un agréable moment avec ce bon polar pour ados dont j'en recommande sa lecture, surtout aux amateurs de mystères et d'occultisme.
Lien : http://univers-des-livres.ov..
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Nos corps jugés

Chère Catherine Cuenta,



J’espère que vous trouverez cette lettre pleine de créativité. Je voulais vous exprimer ma fascination pour votre livre Nos corps jugés. J’ai beaucoup de choses à vous partager comme mon opinion, mes réflexions et mes impressions tout au long de ma lecture.



Tout d’abord, la manière dont vous avez exploré les thèmes de la justice et de l’identité à travers vos personnages est vraiment remarquable. Un passage qui m’a marqué est celui où Myriam décide d’accepter d’aller à l’appartement de Franck naïvement alors qu’au fond d’elle, elle n’en n’avait pas envie. Cela illustre l’impact du regard, du jugement et de la manipulation que peut ressentir une femme par rapport à un homme. J’ai détesté le personnage de Franck car il a eu un comportement déplacé et il a le sentiment que je trouve personnellement insupportable : la supériorité. Cependant, j’ai aimé qu’il soit dans l’histoire car ce personnage est inspiré de faits réels. Mon personnage préféré est la mamie de Myriam, Mélina. Car elle a été d’une grande aide émotionnelle et d’une grande empathie envers sa petite fille qui lui a avoué son secret. J’ai trouvé ce passage riche en émotions car ces deux personnages se sont compris mutuellement.



Ensuite, votre capacité à détailler les émotions et les dilemmes de vos personnages m’a permis de vivre une expérience de lecture incroyable. Par exemple, lorsque Myriam a eu une profonde inquiétude d’être tombée enceinte car elle n’avait pas eu ses règles. J’ai ressenti une grande empathie pour elle car elle n’y pouvait rien, elle n’était pas consentante, ce qui témoigne la puissance de votre écriture pour provoquer des émotions authentiques chez le lecteur.

Je peux également citer le passage où elle en a parlé a sa mère, qui ne l’a pas aidée mais qui s’est préoccupée de ce que les gens et son entourage penseraient d’elle.



Pour finir, sachez que votre livre m’a beaucoup touchée et que je l’ai adoré car cette histoire peut être inspirée de faits réels et que cela peut arriver à n’importe qui. Je me demande comment avez-vous créé cette magnifique histoire !



J’ai hâte de découvrir vos futures œuvres littéraires,

Avec toute ma gratitude



Lheureux Typhaine
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Celle qui voulait conduire le tram

Un livre court, qui se lit facilement mais d'une puissance!!! Ça remue les tripes!

La cause des femmes, vaste sujet, encore de nos jours. Alors en 1918!!! L'autrice rend ce sujet historique très abordable à travers cette histoire. Simple, court, concis et surtout essentiel
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