AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Christine Angot (624)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Les Désaxés

En effet l'auteur est désaxé mais pas dans un sens positif, pas de manière à apporter au monde un point de vue différent qui pourrait nous entrainer vers quelque chose de nouveau et bon.



Non, Christine est désaxée d'un point de vue psychiatrique. La colère, la haine, la peur, l'orgueil semblent avoir fait leurs nids chez cette femme qu'il faut donc plaindre. Souhaitons qu'elle trouve dans une chambre d’hôpital le repos et les cachets qui lui sont nécessaires.
Commenter  J’apprécie          90
Les Désaxés

Les désaxés, J'ai lu quelques livres de cette auteure, mais ça m'a toujours un peu déplu. Impression que ce n'est pas un lecteur qui est recherché mais un psychiatre. Alors pourquoi C.Angot s'acharne-t'elle à rechercher des lecteurs ??

Le style est quelquonque, assez brutal à mon goût
Commenter  J’apprécie          31
Une semaine de vacances

Un roman aussi court que terrible, captivant et révoltant; excitant et dégoutant. Pourquoi écrire ceci ? Y a t il un fond d'autobiographie ? Qu'est ce que l'autrice veut montrer ? L'emprise de l'homme (est ce d'ailleurs vraiment un homme) sur la jeune fille est délirante, la soumission de la jeune fille est désolante, elle cherche son amour et est prête à tout pour le conserver.

Le dénouement, qui n'en est pas vraiment un, est violent et conclut comme une claque cette courte histoire.

On ne peut que détester cette histoire, mais admirer la façon dont elle est racontée.
Commenter  J’apprécie          10
Un amour impossible

Je mentirais en disant que l'œuvre de Christine Angot me passionne mais j'ai aimé ce livre; sa construction et son propos. La mère de Christine est une belle femme qui a une liaison avec un homme qui s'estime supérieur à elle. Il la délaisse et se marie mais il a eu avec elle une petite fille. La mère entretient Christine dans l'admiration totale de son père. Elle le voit peu mais, à l'adolescence, elle se met à le rencontrer. Il a une relation incestueuse avec elle, voulant briser par là la mère et la fille. Elles résisteront malgré tout. La langue est belle, précise et le propos adroit. J'ai été touchée par ce roman.
Commenter  J’apprécie          60
Le voyage dans l'Est

Je n'ai jamais rien lu de Christine Angot auparavant.

D'abord parce que je n'aime pas le personnage que j'ai vu quelquefois en tant que chroniqueuse.

Je l'ai trouvée péremptoire, méprisante, intransigeante, incapable d’empathie, prétentieuse.

Ensuite parce que les échos de ses livres ne me tentaient pas.

Il me semblait qu'il y était toujours question d'impudeur.

L'inceste encore et encore réécrit, sa vie sexuelle avec Doc Gynéco entre autre.

Ne sachant trop quoi prendre à la bibliothèque, je me suis dit « Allez, j'essaye Le voyage dans l'Est, pourquoi pas, peut-être va-t-elle me surprendre agréablement »

Et bien non, pas du tout.

Certes l'inceste est une abomination à combattre férocement.

Mais reprenons les faits.

Elle fait connaissance de son père à l'âge de treize ans

A quatorze ans, elle le rejoint à Strasbourg et il l'embrasse sur la bouche.

Elle ne sait trop comment interpréter ce geste.

La fois suivante, il va plus loin, beaucoup plus loin, beaucoup trop loin.

Mais ce n'est quand même plus une toute petite fille, elle a bientôt quinze ans.

Personne ne l'oblige à le rencontrer, elle le fait chaque fois de son plein gré.

Pourquoi retourne-t-elle le voir régulièrement, et surtout jusqu'à l'âge de vingt-huit ans  et continue-t-elle une relation sexuelle avec lui ?

C'est indubitablement un salaud pervers.

Il s'agit bien d'inceste, mais qui devient inceste consenti.

Et surtout, pourquoi en parler dans presque tous ses livres, si j'ai bien compris.

Une fois, c'est normal et salutaire.

Mais là, où veut-elle en venir ?

Que veut-elle ?

Et pourquoi donner tous les détails d'une manière si impudique ?

Je ne comprends vraiment pas cette femme.

Commenter  J’apprécie          3819
Le voyage dans l'Est

Un roman très touchant! Le langage est pourtant fluide, très simpliste qu'on peut lire le roman d'une seule traité mais le contenu nous choque tellement, au point qu'on faire des pauses pour mieux digérer des faits qui sont relatés dans ce livre, bien qu'ils soient indigestes...
Commenter  J’apprécie          160
Les petits

J'ai tout de suite un petit problème, si j'ose dire, avec ce genre de livre et de critique à faire;

Je m'explique : quand les extraits d'une enquête sociale sont publiés en librairie j'ai une inquiétude concernant la vie privée des enfants dont il est question dans la dite enquête. Je me refuse à être une énième intrusion dans leur intimité, une autre agression dans leur quotidien. Sans parler de leur droit à l'oubli plus tard.

En bref : je ne critiquerai pas ce livre...
Commenter  J’apprécie          665
Un amour impossible

Je sais ce qu'implique la création artistique, le don de soit qui en découle et il est aisé de critiquer mais franchement j'ai l'impression que Christine Angot est une énorme imposture littéraire.

C'est certes une façon unique d'écrire et de part le fait quelque chose qu'il est intéressant de découvrir mais pour moi personnellement c'est à la limite de l'illisible. Son écriture est saccadée, trop rapide et sèche et ses discours à base de répétitions infinies, je trouve que c'est insupportable. J'ai d'ailleurs failli lâcher le livre à plusieurs reprises lors des passages de discours tant l'écriture me tapait sur les nerfs.

Mais je ne l'ai pas fait car le fond m'intéressait et le personnage de la mère est tellement mystérieux que je voulais en savoir plus.



On a l'impression qu'elle vomi quelque chose, la haine de ce qui lui ai arrivé peut-être et en tant que lecteur c'est complètement inaudible.
Commenter  J’apprécie          90
Le voyage dans l'Est

J'avais déjà lu L' Inceste, Une semaine de vacances et Un amour impossible de la même auteure.

Dans ce roman-ci Christine Angot nous raconte, un peu comme dans un journal intime, les faits qui se sont passé entre elle et son père biologique quand elle l'a rencontré à l'âge de 13 ans. Un père qui fait l'amour avec sa fille, mineure, qui la sodomise, voilà ce qu'à du subir l'auteure de ce roman autobiographique. De bien tragiques événements qu'elle nous dévoile.
Commenter  J’apprécie          50
Une semaine de vacances

Parler d'inceste, je suis pour, la littérature érotique / pornographique, j'apprécie, mais dans les 2 cas, il faut bien le faire, ce qui n'est à mon avis pas le cas de Mme Angot : j'ai lu plus choc en terme d'inceste, j'ai lu plus excitant, plus sale, plus pervers en terme de pornographie.

Si le but était que le lecteur soit heurté par l'inceste, si le but était qu'il se sente gêné d'être excité par une scène (des scènes) d'inceste, c'est raté, une fellation de la fille sur le père avec comme accessoire une tranche de jambon, le tout effectué au dessus de reste d'urine dans la cuvette des toilettes, ça n'est pas franchement très excitant. Le reste, d'une banalité à faire peur, rien de nouveau du côté de la fellation, encore moins du côté de la sodomie, l'inceste, il est presque secondaire, ses effets dévastateurs également.

Une déception.



Deux heures après avoir posté la critique ci-dessus, 4 après avoir lu l'ouvrage, je modifie ma note et ma critique. je ne sais pas vraiment ce que je pense finalement, je suis obnubilée par le livre depuis 2heures... L'ouvrage fait donc réfléchir, c'est un bon point. Je repense à la domination perverse du personnage principal sur la jeune fille, SA fille, sur ce qu'il lui fait, ce qu'elle le laisse faire, sur ce qu'il lui demande de crier... Ca me taraude. Un bon point donc pour Angot
Commenter  J’apprécie          110
Le voyage dans l'Est



Christine Angot nous livre une partie de son histoire, sa rencontre tardive avec son père à l’âge de 13 ans et l'inceste qu'elle subit.

Un style lucide et précis qui nous livre toutes les étapes et les rouages de ces abus perpétrés durant des années.

Cette admiration pour ce père haut fonctionnaire et puis cette ambiguïté qui s'installe d'abord par un baiser puis des mots. Ce père manipulateur et culpabilisant et cette jeune fille vulnérable qui croit avoir besoin de l'amour paternel pour se construire.

L'emprise commence et ce récit est raconté comme un voyage dans le passé avec une recherche pour comprendre et relater les événements qu'elle subit. En tant que lecteur on se heurte au silence de ses proches, à sa solitude, aux nombreux non-dits et aux rouages qui mettent à mal l’estime de soi de Christine. Puis c’est la dégringolade psychique, physique, social et sentimental… L’impact sur sa vie sera énorme et plus tard elle voudra comprendre comment son esprit était si loin de son corps qui subissait. Elle cherche à comprendre à travers le récit de ses proches comment elle n’a pas réagi, comment les autres ne lui ont pas tendu la main…

Un livre que j'ai lu d'une traite, certes une lecture éprouvante mais fluide et facile à lire. Je suis admirative et abasourdi par autant d'introspection, de courage, de cette capacité de se replonger dans ses événements pour les relater avec autant de sincérité et d'authenticité. Ce livre interpelle sur le regard et l’action à mener auprès des victimes. Prendre en compte cette parole est devenu crucial de nos jours pour espérer guérir de ce traumatisme



Commenter  J’apprécie          20
Le voyage dans l'Est

Après la publication de « L’Inceste » (Stock) et « Une semaine de vacances » (Flammarion), Christine Angot nous plonge dans sa vie à partir de l’âge de treize ans. Dans Le voyage dans l’Est, lauréat du prix Medicis 2021, elle revient sur le pouvoir ascendant exercé par son père, qu’elle rencontre pour la première fois pendant son adolescence. Avec ce retour de balancier, l’écrivaine dénonce sans réserve, par le biais de l’écriture, l’expérience incestueuse et, par-là, essaie de tirer la sonnette d’alarme. Un livre sidérant, éprouvant et circonstancié.
Lien : https://zone-critique.com/20..
Commenter  J’apprécie          10
Le voyage dans l'Est

Ce livre clôt, en ce qui me concerne, la trilogie commencée avec « Une semaine de vacances » et poursuivie avec « Un amour impossible ».

On y retrouve, placés sous une focale différente, nombre des faits relatés dans ses deux précédents romans, avec en leur coeur, l’inceste. De nouvelles touches sont apportées au tableau initié des années auparavant, le portrait psychique de l’autrice-narratrice prend forme sous nos yeux, se précisant, s’approfondissant sans cesse. On peut, selon son humeur, trouver ce travail passionnant ou terriblement lassant. J’oscille pour ma part entre les deux attitudes.

Nous entrons dans l’histoire au moment où Christine a treize ans, à l’âge où son père, sur l’insistance de sa mère, s’introduit dans sa vie. La petite fille éprouve une joie éperdue à l’idée de le rencontrer, d’exister enfin aux yeux de ce père tant admiré, s’accroche à la perspective de s’en faire aimer. Hélas, presque simultanément à leurs retrouvailles se met en branle la mécanique implacable de l’inceste. L’enfant s’y soumet, écartelée entre l’intarissable besoin d’être aimée, reconnue par son père comme sa fille au même titre que ses autres enfants, et l’absolue nécessité de protéger son intégrité psychique. Elle espère, toujours et encore, avant chaque rencontre, que ses relations avec son père vont prendre un tour normal et filial. Elle se rassure : Non, elle n’est pas en train de bousiller sa vie et d’hypothéquer son avenir. Ce faisant, de rencontre en rencontre, de renoncement en renoncement, elle assiste, impuissante, à son anéantissement.

Le roman navigue entre narration du vécu et analyses de ce qui a été vécu, de ses conséquences sur la vie psychique, amoureuse, sexuelle de la narratrice. Si j’y ai retrouvé l’indéniable courage et l’extrême lucidité avec lesquels Christine Angot aborde ce trou noir qu’est l’inceste, je n’ai pas été pleinement convaincue par ce livre. Environ aux deux tiers du roman, l’on quitte la narration pour une transposition du journal intime tenu par l’autrice alors qu’elle avait vingt-huit ans. Des phrases courtes dans un style télégraphique, ordinaires et descriptives couchées à l’état brut sur le papier se succèdent dans un rythme monotone. Je me suis dit : « Si le livre continue comme ça jusqu’au bout, j’abandonne. » Heureusement, la narration reprend au bout de quelques pages, et le dernier tiers du livre est particulièrement bouleversant. On y perçoit la solitude d’une femme ayant vécu une expérience indicible qu’inlassablement, sans jamais désespérer des ressources du langage, elle cherche à transmettre, à donner à voir, à donner à ressentir et à comprendre.

Et même si, à mes yeux, elle n’y parvient pas d’une façon aussi magistrale dans ce roman-ci qu’avec « Une semaine de vacances », il mérite vraiment de s’y attarder.

Commenter  J’apprécie          242
Le voyage dans l'Est

Une déconstruction identitaire, un voyage dans l'hostile.

"L'inceste est une mise en esclavage".

Christine Angot nous entraîne dans cet enfermement à l'air libre, on la suit en suffoquant, cela ne finit donc jamais, c'est un film atroce qui s'enchaine dés qu'il semble se terminer.

L'esclavagiste, celui qui déconstruit a une vie, un statut, un métier, des rapports normaux et normés et des enfants aussi. Et la réputation qui jamais ne se ternit.

Alors les mots. Alors il faut dire, Christine le dit, l'écrit, le romantise, le fil en aiguilletise, le redit, cela ne finit donc jamais. Christine le crie dans un style quasi chirurgical, presque encyclopédique, sans affect, sans affectation, détachée et concernée en même temps, c'est troublant, et elle s'enfuit au delà d'elle même, comment cela pourrait-il être autrement quand on est déconstruite et qu'on cherche à vivre comme les autres, ceux qui sont libres vraiment et qui ne voit de vous que la surface. Qu'un voyage dans l'Est alors que c'est un voyage dans l'hostile.

Commenter  J’apprécie          70
Le voyage dans l'Est

Je lis tous les livres de Christine Angot depuis les premiers. Celui-ci est très fort : on connaît l'histoire, mais pas les détails ni l'incroyable travail de mémoire et de réflexion qui est l'objet du livre. Une belle réussite forte et pudique sur l'inceste, ses conséquences et la prise de pouvoir que représente un acte sexuel non consenti.
Commenter  J’apprécie          30
Le voyage dans l'Est

À treize ans, Christine Angot rencontre son père pour la première fois, lorsque celui-ci accepte de la reconnaître légalement comme sa fille. Dans Le Voyage dans l’Est, roman autobiographique, l’autrice explique comment l’enfant qu’elle était, d’abord heureuse de connaître un père, fut poussée dans la réalité de l’inceste. Comment cet esclavage et cette déconsidération se sont invités dans son quotidien, ont fait dévier le cours de ses rapports aux hommes et bouleversé ses relations avec sa famille et avec elle-même.

L’honnêteté du récit de Christine Angot, sur un des sujets les plus tabous en France, ne peut laisser de marbre. Loin de s’embarrasser de formes, d’euphémismes et d’exagérations, elle présente les faits avec une exactitude maximale. Il faut lire ses paroles, explications crues et horrifiantes d’un quotidien banal, afin de saisir l’inceste pour ce qu’il est vraiment. Le résultat est dur à lire, mais nécessaire à admettre.
Commenter  J’apprécie          70
Le voyage dans l'Est

Mon premier livre de Christine angot et je me suis laissé emporté par cette histoire déstabilisante, touchante et dérangeante. Ce livre m'a permis d'ouvrir les yeux et de comprendre certaines personnes,et d éviter à l'avenir des jugements trop hâtifs. Merci pour ce témoignage.
Commenter  J’apprécie          20
L'Inceste

Christine a été homosexuelle pendant trois mois. Trois mois de sa vie qu'elle narre en alternance avec des mois de sa vie d'avant avec son père, père qu'elle n'a connu qu'à 14 ans quand, dit-il, elle devenait intéressante.

Elle n'a été présentée aux deux autres enfants de son père que lorsqu'ils ont eu leur BAC?

Christine cherche sa place, avec celle qu'elle aime et qui l'aime, avec les deux enfants de son père, avec son père. Elle est écorchée, à cran. Elle va vite dans l'écriture comme si elle était essoufflée de vivre. Comme si elle était dans une autotamponeuse dont elle n'aurait pas trop le contrôle.

C'est vif, urgent, trouble.
Commenter  J’apprécie          00
Le voyage dans l'Est

Un livre sur l'inceste d'une violence froide, comme l'est le viol par ascendant. Il y a dans ce livre 5 axes:

-le viol répété raconté ici sans fioritures,crûment, les mots sont jetés froidement,on ne peut pas ne pas comprendre,ou imaginer que ça ne s'est pas passé . C'est extrêmement percutant,cette froideur dans l'énoncé.

-le silence de ceux qui" se doutent de quelque chose "mais ne font rien,

- la violence psychologique de ces actes répétés ,( elle a enfin retrouvé son père, elle ne veut pas le décevoir et risquer à nouveau qu'il se détache d'elle,il se veut être l'initiateur , une sorte de gourou du sexe)

- comment ce vécu détruit une vie d'adulte au niveau relationnel et au niveau vie sexuelle,

- les répercussions physiques de ces viols( maux de ventre, anorexie, vaginisme...)

Et surtout, elle arrive à bien disséquer cet état de dissociation où elle est plongée,qui fait qu'elle subit encore et encore, c'est une analyse vraiment très profonde ,un travail descriptif sur ce corps+ cerveau coupé en deux ,cette apathie, comme une mise à mort réitérée.

C'est un livre violent parce que le viol sur plusieurs années d'une fille par son père est d'une extrême violence qui détruit tout, jusqu'à l'espoir d'une reconstruction. Seuls les mots arrachés des souvenirs enfouis , peuvent être redempteurs dans la mesure où,écrits,ils laissent traces,temoignent.

Aimer ou détester Angot est ici hors sujet. De même peu importe que ce soit autobiographique,auto fictionnel,voire pur roman, ce livre est à lire car il porte la parole de tous les victimes d'inceste.

Commenter  J’apprécie          22
L'Usage de la vie

Christine Angot, autrice de plusieurs livres à succès, personnage polémique, livre ici sa vision du travail d'écrivain. Elle évoque sa vie, sa relation avec son compagnon Claude, ses rapports incestueux avec son père, ses espoirs de jeune autrice en quête de reconnaissance et d'éditeur.



Elle se dresse contre la littérature américaine, engoncée dans le siècle passé, contre une certaine littérature française trop prévisible. Elle évoque les lecteurs, pas toujours prêts à recevoir ses textes.



Et puis elle s'interroge sur son propre travail : peut-on tout dire ? Comment se renouveler tout en restant fidèle à soi-même ? Qu'est-il utile d'écrire ? Comment vivre de son écriture ? Et surtout, quelle est la limite entre l'intime et l'imaginaire ? Quelle frontière sépare la fiction de la réalité ?
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Christine Angot Voir plus

Quiz Voir plus

Quand les aliments portent des noms insolites ou pas...

Les cheveux d'ange se mangent-ils ?

Oui
Non

10 questions
185 lecteurs ont répondu
Thèmes : nourriture , fruits et légumes , fromages , manger , bizarreCréer un quiz sur cet auteur

{* *}