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Critiques de Maud Tabachnik (440)
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Désert barbare

J'ai été très mal à l'aise durant la lecture de ce roman tellement l'ambiance est parfaitement décrite ainsi que la tension et le malaise qui règnent dans ce pays chaud et désertique. Il n'y a pas de grande surprise quant au scénario en lui-même, cependant j'ai été tenue en haleine durant tout le temps de la lecture.
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Danser avec le diable

Vous connaissez ce vieil adage qui dit que la curiosité est pleine de surprises ? Non. C’est normal. Je viens de l’inventer.

En tout cas ça n’en reste pas moins mon avis sur cette lecture, et je ne dis pas ça parce que j’ai eu la chance de le recevoir, mais vraiment parce que ce livre - vers lequel je ne serais pas forcément allée en librairie -, est un coup de cœur !

Un coup de cœur pour quelque chose d’aussi sanguinaire et noir, c’est bizarre je vous l’accorde. Mais ce livre m’a littéralement scotché. Je n’avais jamais rien lu de pareil dans ce genre-là, et j’affirme sans peur des représailles que les plus grands auteurs américains de polard peuvent aller se rhabiller.



Oui je l'affirme et le signe ! Car rares sont les auteurs qui arrivent (suite blog)

http://voyagelivresque.canalblog.com/archives/2015/05/13/32037069.html
Lien : http://voyagelivresque.canal..
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La mémoire du bourreau

Gerhardt ne porte pas le même nom qu'Anton.

Anton ne porte même plus son véritable patronyme.

Et pour cause! C'est un ancien cadre nazi. Et, en cette qualité, obligé de se cacher.

Toutefois, il vit dans une relative tranquillité et opulence, en Syrie, bénéficiant de la complaisance du gouvernement.

Gerhardt pense réparer une injustice faite à certains soldats allemands de la seconde guerre mondiale en publiant les mémoires de son père.

Mais à remuer un passé jusque là endormi dans le silence paternel va se retourner contre lui. Les confessions assumées par le père vont ébranler le fils.

Et son regard sur son géniteur ne sera jamais plus le même...



Ce roman n'est pas un énième témoignage nazi.

Pas que...

Ce n'est pas seulement une expérience de vie déballée et exposée au monde anonyme. Ce sont des confidences d'un père à son fils. Et le jugement intime de celui-ci sur un homme, son père. Son père mais aussi un soldat, maillon actif des événements orchestrés par Adolph Hitler et ses plus proches émissaires.

Ce roman, en tant que "témoignage", permet de rétablir quelques vérités trop facilement et fréquemment occultées:

Tous les engagés sous les ordres des dirigeants nazis ne se sont pas contentés "d'obéir aux ordres". Encore longtemps après la fin du conflit mondial, l'idéal aryen et l'idéologie du national-socialisme des années 30-40 sont encore bien vivaces pour certains survivants. Certains pour ranimer la flamme, la transmettre aux jeunes générations et vouloir son retour sur le devant de la scène internationale.

Tous les nazis n'ont pas fait l'objet d'une traque systématique. A la condamnation publique et unanime d'après-guerre, on a trop souvent fermé les yeux sur les Etats et les grandes organisations mafieuses qui ont ouvert en grand leurs portes aux fuyards, ont exploité leurs connaissances, sciences et pratiques, ont profité de leur fortune ensanglantée, le tout dans un cocon d'hypocrisie et de culpabilité inexistante.

Ce roman fait donc une petite mise au point historique qui picote, dérange mais est ô combien véridique, sans être lourde dans l'histoire.

En qualité de "mémoires", le récit est glaçant. On pourrait légitimement penser qu'un soldat nazi, même cadre dans l'armée et pas un simple soldat sans trop d'éducation, au sortir de cette guerre, avec le recul de l'expérience, de la réflexion, de l'introspection, une sortie de l'endoctrinement de l'époque, serait à même de réaliser son auto-critique et d'éprouver une once de remords. Mais pas du tout. Aucun état d'âme, les croyances sont toujours là, aucun regret... si ce n'est la défaite.

Certains passages sont assez difficiles, pesants, tant par la description que le ton employé. Par le fait aussi que le père et le fils sont en tête à tête, créant ainsi un huis-clos oppressant. Mais le lecteur est ménagé par le rythme des enregistrements cassé par les pauses de la vie quotidienne de ces deux-là.

Ce vieil homme, si fier de son statut et de son parcours, froid et arrogant, va se retrouver face à ses fantômes quand un accident va le laisser impotent aux mains de soignants de couleur et d'un médecin survivant d'un camp de concentration. L'ironie de la situation est jouissive mais le sentiment de culpabilité d'Anton est bien trop fugace et tardif pour réellement toucher le lecteur.

Et je trouve également dommage que les déclarations dramatiques du père n'aient pas plus impacté sur le fils. Certes Gerhardt ne verra plus son père de la même manière, ne pourra plus le respecter mais l'auteur met en avant les privations hypocrites qu'Anton a fait pesé sur la famille plus que ses actes et crimes passés. L'exercice par Gerhardt d'une simple cupidité en guise de punition enlève toute moralité et rend stérile les révélations des faits de guerre, en fin de compte...

Toutefois l'histoire est un condensé d'émotions et de réflexions sur le devoir de vérité, de mémoire, d'héritage historique et familial.

Même si le destin reste toujours trop clément pour ce vieil homme...

A mon sens, cette histoire est trop courte. J'aurais aimé plus de profondeur dans certains aspects du sujet abordé... Mais une très bonne lecture tout de même...
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Home, sweet home

il y a maintenant des années que j'ai lu ce livre.

je ne l'ai jamais oublié, 2 nouvelles en particulier.

il est noir, mais tellement bien écrit avec des histoires qui

demeurent gravées au fond de ma mémoire,

chapeau!

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Si tu meurs, elle reviendra

Je n'ai pas aimé à part une fin qui m' a émue.

Un père part à la recherche du "meurtrier" de sa fille victime d'un accident de voiture.

L'écriture est banale et l'histoire trop prévisible...
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La mémoire du bourreau

Une lecture à couper le souffle ! classé en thriller, mais abusif, plutôt un roman noir tout comme la mort est mon métier de Robert Merle.



Un homme raconte son parcours à son fils. Et ce parcours est particulièrement éprouvant pour le lecteur. Entre vérité, mensonges, on ne peut que frémir.



Le fils, malgré son éducation national-socialiste, semble malgré tout mal à l'aise également. Ce qui ne l'empêchera pas de trahir son père, lui voler son trésor de guerre et de l'abandonner dans une maison de retraite municipale où il sera soigné par un médecin juif, ayant été déporté au camp de Belzec et l'ayant reconnu.
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Le sang de Venise

A Venise, au 16e siècle, une communauté juive assez importante vit dans un quartier appelé le Ghetto. Des meurtres d'enfants assez horribles ont lieu tout près et la population vénitienne, assez prompte à trouver un bouc émissaire et encouragée par quelques prédicateurs antisémites, accuse les Juifs. Pour la communauté, c'est un coup dur... Rachel Da Modena, fille d'un banquier du ghetto, décide de prouver que son peuple est innocent et pour cela, elle est prête à sacrifier sa réputation...



Un très intéressant roman policier qui nous en apprend plus sur les conditions de vie du peuple juif au 16e siècle à Venise. Les personnages sont bien campés, le décor nous semble familier et ce roman se lit d'une traite, ou presque! Seule la fin m'a déçue, car j'aurais aimé suivre les aventures de Rachel plus longtemps. Cette féministe avant l'heure est très attachante, écartelée entre le respect des traditions de son peuple et sa curiosité de l'époque. Du coup, la fin du livre m'a semblée bâclée, c'est un peu dommage...
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Le sang de Venise

Nous sommes en 1575 à Venise.

Le Conseil des Pregadi cloître les juifs dans un ghetto. Ce quartier, au nord de Venise, confine les Levantins, les Séfarades et les Ashkénazes à l’écart, derrière des murs. Deux portes se ferment, s’ouvrent au rythme du jour et de la nuit. Rome les craint. La communauté juive est puissante.

Parmi eux, Rachel da Modena, une jeune fille insoumise, indomptée, rétive, rêve de liberté. Fille de Asher, un banquier très respecté, elle est promise à Joseph et a pour amie Sofia Gritti, descendante du célèbre doge Gritti. Avec sa protectrice, elle goûte les joies de la vie et de l’esprit lors de quelques après-midi volés au ghetto ; fugues de quelques instants pour un plaisir innocent. Rachel ne veut pas vivre recluse, elle souhaite s’affranchir du joug des traditions.



Le roman commence au petit matin. Une boulangère découvre dans le canal le corps d’un petit garçon. Le crime est atroce, l’enfant est vidé de son sang.



Cette monstruosité ne peut être perpétrée que par un juif ! Arrive alors Bernardino da Mantova, un franciscain et prédicateur. « Il était long et maigre, enveloppé d’une robe de bure sombre sans couleur définie ». Chargé de l’enquête, il brûle d’accuser ce peuple diabolique.

Tandis que Rachel, elle, n’aspire qu’à défendre et disculper les siens.



Les pages se tournent, l’histoire progresse, de vilenies, de complots, de désespoirs, nous nous dirigeons vers le fléau. La peste.



.

J’ai beaucoup aimé ce livre. L’écriture est belle, les personnages complexes, certains dignes, libres, et honnêtes d’autres odieux, sanguinaires et inhumains. Nous vivons cette époque et nous nous en délectons. Cependant, sans vouloir éreinter le roman, je joindrai une critique à mes appréciations. On ne peut pas dire que cela soit un vrai polar. L’intrigue est faible, il me semble que l’auteure l’oublie et la sabote. Le drame est horrible, surtout lorsqu’il est au pluriel, il aurait donc mérité plus de mystère, de profondeur et un dénouement surprenant et non convenu.



Une phrase…

Lors d’un passage du livre assez rude, Asher, le père de Rachel demande à Reb, un personnage du livre : » Reb, Reb, demandez donc à Dieu pourquoi il détourne si souvent sa face de nous. »
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Home, sweet home

Contrairement au résumé de la 4ième page de couverture, il s’agit de nouvelles dont l’ambiance est assez noire mais également satyrique. Dans l’ensemble, j’ai apprécié cette lecture qui se lit rapidement.
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Le Cinquième jour

Cette quatrième de couverture ne dévoile pas trop de l'histoire, car dès le début de l'ouvrage, on voit le duel Levine-Nichols se mettre en place. L'histoire commence avec cet enlèvement de fillette. Et très vite, on sent que cela bascule dans l'horreur. Sans en laisser transparaître le moindre détail dans les premiers chapitres. En entrant terriblement dans les détails par la suite. E t l'histoire monte en intensité, le duel est terrible, cruel, et l'issue......



Je suis entrée dans cette histoire sans avoir à quoi m'attendre. (suite sur mon blog)


Lien : http://sofynet2008.canalblog..
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Le Cinquième jour

Maud Tabachnik est un auteur maitrisant tout les ressorts du thriller : suspense, ambiance, compte à rebours, « duel″ final entre le « bien″ et le « mal″. Le cinquième jour est le récit d’une traque, celle d’un policier exemplaire mais aux méthodes parfois peu orthodoxe (le traditionnel cliché du flic borderline mais si performant que l’on ne peu que laisser passer au motif que la fin justifie les moyens) à la recherche d’un tueur des plus sadique. L’histoire se tient, le rythme est enlevé, l’auteur sait nous accrocher à son récit, au désir d’en savoir d’avantage. Ce livre ce lit tel un page-turner mais avec le revers de la médaille : une impression de polar bien léché mais toutefois sans grande originalité, une impression de déjà vu et d’une histoire vite oubliée.



Le tueur est d’ailleurs si pervers (cannibale, étrangleur, violeur, sadique, masochiste) qu’il en est presque grotesque d’autant plus que son but, une vengeance mystique, est assez peu développé. Certaines scènes de sévices sont assez choquantes.



L’écriture des personnages m’a parut assez inégale toutefois celle de Madame Levine est très réaliste et touchante. Je vous conseille tout de même la lecture de ce polar pour son ambiance New-yorkaise et pour sa fin loin des fins habituelles du genre.
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Mauvais Frère

J'ai eu plaisir à découvrir le Lieutenant Goodman dans son rôle de policier, chargé par un supérieur hiérarchique odieux d'une affaire pourrie de meurtres en série. Sa relation amoureuse avec la belle Julia et son entourage branché m'a amusée, par contre les discussions à n'en plus finir avec une bande de profilers et autres psy m'ont ennuyée. Le tueur fou menait si bien la danse!
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Mauvais Frère

Et bien j’ai trouvé ça mauvais. C’ était la première fois que je lisais cette auteur, j’en attendais pas mal, ça lorgne franchement du côté du polar noir américain mais bon, ça marche pas vraiment. Je suis tombée sur le mauvais ?
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Le Festin de l'araignée

Le scénario est assez classique: l'héroïne débarque dans un petit bled perdu dans lequel le shérif a tout pouvoir. C'est la loi du silence. On lui fait comprendre qu'elle n'est pas la bienvenue, on tente même de la tuer mais en super héroïne, têtue et courageuse, elle va rester et résister aux pressions pour découvrir la vérité....On est tout à fait dans le registre du héros américain, sans peur et sans reproche, qu'on connaît déjà par coeur. C'est la 1ere chose qui m'a agacée...



La 2ème chose: c'est un polar dans lequel le meurtrier est narrateur (par intermittence) et dont on connait l'identité rapidement. Je n'ai rien contre, c'est parfois intéressant mais dans le cas présent, ça enlève une bonne part du suspens. Du coup, l'idée d'un complot orchestré par les habitants de la ville pour qu'elle abandonne l'enquête ne fonctionne pas du tout.



Enfin, et c'est ce qui m'a empêché de rentrer dans l'histoire, le côté "anti mec" m'a dérangée.



Sandra est lesbienne, elle vit à San Francisco (un peu cliché ça aussi non?), et tous les hommes qu'elle croise (au moins dans le 1er tiers du livre) sont des porcs. La 1ère rencontre avec un autochtone:



"Un gars en salopette est accoudé à la portière de droite et sourit en mâchonnant un brin de quelque chose.[...]. Du regard il m'enlève mon chemisier et mon pantalon, il s'attarde sur l'entrecuisse et remonte vers mon visage."



Le 1er habitant sympathique qu'elle rencontre est homo (et persécuté).
Lien : http://lesgridouillis.over-b..
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La mort quelque part

Un polar mené avec rythme et très facile à lire, voici, en résumé, ce que j'ai pensé de ce livre.



L'auteur alterne l'enquête et les passages sur le tueur (et sa mère), on découvre l'enfer petit à petit, la tension monte.



J'ai beaucoup aimé la relation qui se tisse entre Sam et son collègue français qui est malade.



Pour les âmes sensibles, je vous préviens qu'il y a des scènes assez "gore" : odeurs nauséabondes, corps et membres déchiquetés, cadavres dévorés .... beurk !



A part une petite chose que j'avais devinée, j'ai apprécié ce livre vite lu, un polar quoi ! Une fois de temps en temps ça passe mais je ne lirais pas que ça loin de là.




Lien : http://pages.de.lecture.de.s..
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Le Festin de l'araignée

On retrouve ici l’héroïne fétiche de Maud Tabachnik, Sandra Kan, journaliste d’investigation qui va ici être confrontée à l’horreur made in « trou paumé américain » Personnellement c’est l’un de mes bouquins préférés de la série des Sandra Kan. A lire absolument…
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Douze heures pour mourir

Excellent thriller politique autour du thème Israël Palestine, haletant jusqu’au bout avec une petite pointe de paranormal inattendu…
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Le Tango des assassins

Excellent thriller mêlant intrigue et politique, l'auteur et très doué a ce petit jeu des mélanges
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Le Cinquième jour

J’ai lu le cinquième jour de Maud Tabachnik



Âmes sensibles s’abstenir, un thriller policier à réserver aux amateurs de gore. Certaines scènes sont si bien décrites que l’on a l’impression d’y être.

Le tueur est un pervers sexuel avec des comportements sadiques, masochistes et même cannibalisme .

On connaît et côtoie le meurtrier dès le début et on découvre toutes les sévices qu’ils inflige à ses victimes

Le livre s’inspire de faits réels et même si l’on a du mal à y croire, ce genre de meurtrier, de monstres existe bel et bien.

La fin m’a un peu laissé sur ma faim, enfin si j’ose le dire ainsi, car certains passages vous coupent l’appétit

4 eme de couverture : New York. Gloria, une fillette, naïvement confiée par les siens à un visiteur occasionnel, disparaît. Une lettre, un peu plus tard, leur détaillera sa fin abominable. Au même moment, on découvre un jeune prostitué égorgé, amputé de ses doigts et de ses parties génitales. Cependant que le jeune Albert, déficient mental léger, fait une étrange rencontre au cours d'une promenade, et disparaît à son tour... Au croisement de ces faits divers : Nichols, archiviste, père de famille, prototype du citoyen ordinaire. Nichols, qui va entamer avec Stan Levine, le flic lancé à sa poursuite, un duel que l'auteur de La Mémoire du bourreau mène implacablement jusqu'au bout de l'horreur.
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Les faisceaux de la peur

Judith, juive italienne de 17 ans, habite Florence entourant de ses parents et de son jeune frère.

Elle envisage un bel avenir malgré les lois italiennes concernant les juifs telles que l autorisation de vivre en Italie moyennant une taxe.

Certificat et papiers d identité qu elle doit toujours avoir sur elle

Jusqu au jour où un homme est tué sous ses yeux par les fascites sans que personne ne réagisse. Contrainte à l exil , elle et sa famille, Judith arrive à Paris et va faire des rencontres un va changer sa vie.

Roman intéressant qui raconte la montée du fascisme en Italie, du nazisme en Allemagne jusqu à la déclaration de guerre.

Amitiés vraies ou fausses ?

J ai vu qu il y avait une suite, je vais la lire , c est sûr.

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