Critiques de Mo Gadarr (160)
Je remercie grandement Mo Gadarr pour l’envoi de son roman sorti à l’occasion de la St Valentin mais qu’on peut tout aussi bien savourer à n’importe quel moment de l’année, mais surtout en cette période de printemps. J’avais très hâte de le lire et je pense que ça s’est ressenti car je l’ai dévoré en un temps record. A l’image des autres romans de l’autrice, c’est tellement additif et fluide qu’on enchaîne les pages avec une aisance et une vitesse très particulière.
Dans les fleurs est un tome compagnon qui se déroule après les événements de Sur le sable, mais qui peut se lire indépendamment. La seule chose que cela spoile, c’est le couple précédent, mais pas l’histoire. Ainsi donc, je suis partie à la rencontre de Flora, la cousine de Dannah (le personnage féminin de Sur le sable) qui est en route pour son nouvel avenir, en compagnie de sa fille Olivia. Elle a quitté sa vie pour aller s’installer à la campagne en vue d’acheter un terrain laissé en jachère pour pouvoir concrétiser son rêve. En attendant cet achat, elle a prévu de travailler dans un gîte en tant que gérante. Bref, tout est calculé à la perfection pour que chaque élément rentre dans les cases prévues et ainsi voir ses rêves d’avenir accomplis. Après un nettoyage de fond en comble du gîte un peu laissé à désirer, Flora accueille son tout premier client pour six semaines : Léo Legnac. Et que dire de Léo si ce n’est qu’il est parfait, prévenant, et séducteur au possible. Difficile de résister à cet homme qui semble tout droit sorti d’un conte de fées…
Seulement voilà, Léo n’est pas venu loger dans ce gîte pour rien. Sous l’influence et l’idée de son père, Léo va tout faire pour séduire Flora afin d’obtenir l’achat du terrain qu’elle convoite autant que lui. Après avoir fait faillite, Léo a tout perdu : ses récoltes et ses vignes auxquelles il tenait tant. Il a été obligé de revenir vivre chez son père, mais la perspective de reprendre l’entreprise familiale ne l’intéresse pas, alors lorsqu’il a su qu’il y avait un terrain à vendre, il s’est décidé à tout reprendre à zéro. Et son plan aurait pu fonctionner si Flora n’avait pas débarqué de la ville pour vivre, elle aussi, ses rêves.
Pendant six semaines, on va suivre leur quotidien. La relation entre Flora et Léo va se construire petit à petit. Si au départ elle va se montrer méfiante vis-à-vis de cet homme qui est désireux de lui faire plaisir et de l’aider, Flora va finalement accepter de le laisser rentrer dans son cercle. Surtout lorsqu’elle voit comment Léo s’occupe d’Olivia et prend à cœur chaque chose qui concerne la fillette. Quant à Léo, on le voit s’attacher petit à petit à cette femme, qui finalement se révèle être bien moins naïve que prévu, et à sa fille. Son plan est très vite relégué au second plan, bien qu’il reste lattant. L’histoire est très fluide, et à l’image de Sur le sable, Mo Gadarr ne s’embarrasse pas de longueurs inutiles. Elle va à l’essentiel de son récit, et à nouveau, ça fonctionne totalement car je n’ai pas été dérangée dans ma lecture, ni avoir eu la sensation que les choses allaient trop vite. La romance qui s’installe est très douce et se poursuit presque sur un long fleuve tranquille. On n’a pas de francs rebondissements pour nous tenir en haleine. Je pense que l’ambiance cosy et romantique suffit amplement à faire défiler les pages. On attend le moment où fatalement, la vérité va éclater et celui où Léo va devoir mettre les bouchées doubles pour rattraper sa bévue.
J’ai pris beaucoup de plaisir à retrouver Dannah, Gabriel et Léonie, qui auront un petit rôle à jouer dans l’histoire. Et bien évidemment, gros + avec la présence de la petite Olivia. C’est un véritable petit rayon de soleil qui apporte une touche de légèreté et d’innocence à l’histoire. Je sais que je suis toujours bon public dès qu’il y a un enfant dans le lot, et surtout si celui-ci est bien exploité et non uniquement présent pour faire joli.
J’ai donc passé un bon moment lecture où j’ai tout simplement pu poser mon cerveau dans un coin et me laisser emporter par cette histoire à la fois cosy, romantique et chill. Je l’ai dévorée sans modération et il me tarde désormais que le prochain roman dans la même veine de Mo Gadarr sorte pour aller à découverte de l’histoire de Léonie, un personnage qui se fait emblématique.
Dans les fleurs est un tome compagnon qui se déroule après les événements de Sur le sable, mais qui peut se lire indépendamment. La seule chose que cela spoile, c’est le couple précédent, mais pas l’histoire. Ainsi donc, je suis partie à la rencontre de Flora, la cousine de Dannah (le personnage féminin de Sur le sable) qui est en route pour son nouvel avenir, en compagnie de sa fille Olivia. Elle a quitté sa vie pour aller s’installer à la campagne en vue d’acheter un terrain laissé en jachère pour pouvoir concrétiser son rêve. En attendant cet achat, elle a prévu de travailler dans un gîte en tant que gérante. Bref, tout est calculé à la perfection pour que chaque élément rentre dans les cases prévues et ainsi voir ses rêves d’avenir accomplis. Après un nettoyage de fond en comble du gîte un peu laissé à désirer, Flora accueille son tout premier client pour six semaines : Léo Legnac. Et que dire de Léo si ce n’est qu’il est parfait, prévenant, et séducteur au possible. Difficile de résister à cet homme qui semble tout droit sorti d’un conte de fées…
Seulement voilà, Léo n’est pas venu loger dans ce gîte pour rien. Sous l’influence et l’idée de son père, Léo va tout faire pour séduire Flora afin d’obtenir l’achat du terrain qu’elle convoite autant que lui. Après avoir fait faillite, Léo a tout perdu : ses récoltes et ses vignes auxquelles il tenait tant. Il a été obligé de revenir vivre chez son père, mais la perspective de reprendre l’entreprise familiale ne l’intéresse pas, alors lorsqu’il a su qu’il y avait un terrain à vendre, il s’est décidé à tout reprendre à zéro. Et son plan aurait pu fonctionner si Flora n’avait pas débarqué de la ville pour vivre, elle aussi, ses rêves.
Pendant six semaines, on va suivre leur quotidien. La relation entre Flora et Léo va se construire petit à petit. Si au départ elle va se montrer méfiante vis-à-vis de cet homme qui est désireux de lui faire plaisir et de l’aider, Flora va finalement accepter de le laisser rentrer dans son cercle. Surtout lorsqu’elle voit comment Léo s’occupe d’Olivia et prend à cœur chaque chose qui concerne la fillette. Quant à Léo, on le voit s’attacher petit à petit à cette femme, qui finalement se révèle être bien moins naïve que prévu, et à sa fille. Son plan est très vite relégué au second plan, bien qu’il reste lattant. L’histoire est très fluide, et à l’image de Sur le sable, Mo Gadarr ne s’embarrasse pas de longueurs inutiles. Elle va à l’essentiel de son récit, et à nouveau, ça fonctionne totalement car je n’ai pas été dérangée dans ma lecture, ni avoir eu la sensation que les choses allaient trop vite. La romance qui s’installe est très douce et se poursuit presque sur un long fleuve tranquille. On n’a pas de francs rebondissements pour nous tenir en haleine. Je pense que l’ambiance cosy et romantique suffit amplement à faire défiler les pages. On attend le moment où fatalement, la vérité va éclater et celui où Léo va devoir mettre les bouchées doubles pour rattraper sa bévue.
J’ai pris beaucoup de plaisir à retrouver Dannah, Gabriel et Léonie, qui auront un petit rôle à jouer dans l’histoire. Et bien évidemment, gros + avec la présence de la petite Olivia. C’est un véritable petit rayon de soleil qui apporte une touche de légèreté et d’innocence à l’histoire. Je sais que je suis toujours bon public dès qu’il y a un enfant dans le lot, et surtout si celui-ci est bien exploité et non uniquement présent pour faire joli.
J’ai donc passé un bon moment lecture où j’ai tout simplement pu poser mon cerveau dans un coin et me laisser emporter par cette histoire à la fois cosy, romantique et chill. Je l’ai dévorée sans modération et il me tarde désormais que le prochain roman dans la même veine de Mo Gadarr sorte pour aller à découverte de l’histoire de Léonie, un personnage qui se fait emblématique.
Je retrouve encore une fois avec plaisir la plume de Mo Gadarr dans sa dernière romance de l’été qui se savoure tout aussi bien hors saison et qui nous donne encore plus hâte de voir les beaux jours arriver. Sur le sable nous entraîne dans de vraies vacances estivales au camping qui sentent bon le sel de la mer et qui nous enveloppe dans un cocon de chaleur à tel point qu’on se croit vraiment installé dans un transat en train de prendre un bain de soleil. Pour ma part, après cette lecture, je suis prête pour l’été.
On fait la rencontre de Dannah, une jeune maman célibataire de 2 enfants, qui s’apprête à commencer son job de l’été au camping Le Paradise. Tous les ans, elle y travaille en tant qu’animatrice pour enfants, et en parallèle, cela lui permet d’emmener ses enfants en vacances ; sauf que cette année, l’été ne commence pas sous les meilleurs hospices car Le Paradise est malheureusement en faillite et va fort probablement être racheté par la concurrence : le camping de luxe d’à côté. La mission de cette année va être rude car pour chaque personne qui travaille dans ce petit camping familial, il va falloir donner le meilleur de soi pour faire une excellente impression. Si Dannah est fidèle à 2000% à Monsieur Frédéric et à son camping, c’est au cours d’une visite à sa meilleure amie Léonie, installée pour ses vacances au camping luxueux d’à côté, qu’elle va faire la rencontre d’un petit garçon, mais surtout de son père célibataire : Gabriel Le Valois, le propriétaire de la concurrence.
Entre Dannah et Gabriel, l’attraction mutuelle est immédiate. Seulement voilà, par un malheureux concours de circonstance et parce qu’elle est entrée en douce, elle prend une fausse identité en se présentant comme étant Hélène, venue passer des vacances avec sa meilleure amie. Et si, au départ, cette rencontre était censée ne mener à rien, le lien qui se tisse entre ces deux parents célibataires devient de plus en plus fort. J’ai beaucoup aimé suivre la trope fake identity que Mo Gadarr a choisi de placer dans son roman qui se combine avec celle rich / poor. Car si Dannah est persuadée que Gabriel ne l’aurait jamais regardée si elle ne s’était pas faite passer pour Hélène, elle s’embourbe aussi dans sa fausse identité et ne trouve plus le moyen de lui dire la vérité. Au fil des pages, on retient notre souffle. On attend avec impatience le moment où elle réussira à lui dévoiler la vérité. On sait déjà comment Gabriel va réagir. Et quand fatalement, le moment arrive, c’est rude.
Pourtant, la romance entre nos deux personnages est belle et douce, malgré les non-dits. Gabriel est charmant et doux. C’est précisément ce dont Dannah a besoin après deux relations infructueuses avec les pères de ses enfants. Et ce dont lui-même a besoin après le divorce avec la mère de son fils. Ils ont tous les deux espoirs d’un beau lendemain, mais les mensonges pèsent douloureusement sur la balance. Surtout que la vérité se distille progressivement et que Dannah se sent de plus en plus au pied du mur.
Les personnages secondaires ont aussi leur importance dans cette histoire. Tout d’abord, il y a les enfants de Dannah et de Gabriel qui permettent leur rencontre. Ils apportent un vent de légèreté et d’innocence touchante qui me plaît toujours. Je suis assez souvent conquise dès qu’il y a un enfant dans l’histoire, surtout que Mo Gadarr sait leur donner un rôle clé dans ses histoires. Ensuite, nous avons Léonie, la meilleure amie de Dannah, qui va être l’entremetteuse majeure des rendez-vous entre nos deux amoureux. Je l’ai trouvé parfaite dans ce rôle et nul doute qu’on aimerait toutes avoir cette meilleure amie qui nous met des coups de pied aux fesses pour nous pousser à oser, et qui prend soin de nous pour s’assurer qu’on soit 100% à notre avantage. Il me tarde d’ailleurs de découvrir le tome compagnon que Mo Gadarr est en train de préparer où elle sera l’objet principal de la romance. Et puis, il y a Ophélia, la mère de Dannah. Grand-mère par excellence, elle est celle sur qui Dannah peut compter à n’importe quel moment pour garder ses enfants lorsqu’elle en a besoin, mais elle ne peut pas s’empêcher de faire le transfère de son vécu sur sa fille et elle peut se montrer à la fois méchante et dure. Pourtant, cela ne fait pas d’elle l’ennemie de l’histoire. Bien au contraire. Ophélia est inquiète pour Dannah, aussi bien pour sa vie de tous les jours que pour son cœur. Alors, même si elle est parfois agaçante, je pense qu’on aimerait aussi avoir une maman aussi dévouée dans sa vie pour nous aider et nous soulager.
Les chapitres sont tous relativement courts, ce qui permet de donner du rythme à la lecture. On n’a pas vraiment le temps de s’ennuyer. Et l’alternance entre les points de vue des deux personnages principaux nous permet d’avoir une vision plus large de l’histoire et de comprendre leurs psychologies. Mo Gadarr va à l’essentiel de son histoire. On sent que c’est une romance faite pour passer un moment chill où on pose son cerveau dans un coin et on oublie un peu le quotidien. Alors si on est amateur de romance qui prend son temps, où les personnages se tournent autour pendant des jours avant de franchir le pas, ce n’est pas le cas de Sur le sable. On est plus sur un fast burn, mais ça ne m’a pas dérangé outre mesure parce que je connais la plume de l’autrice et que je lui fais confiance. Je sais que, quoi qu’elle décide, je vais être conquise d’une manière ou d’une autre. Et que dire de la manière sexy dont Mo Gadarr nous régale de ses scènes spicy… elles ne sont pas nombreuses, ni outrageuses, mais vraiment chouette à lire.
Du coup, après avoir dévoré ce roman, il me tarde d’aller lire Dans les fleurs, le tome compagnon qui est sorti pour la St Valentin.
On fait la rencontre de Dannah, une jeune maman célibataire de 2 enfants, qui s’apprête à commencer son job de l’été au camping Le Paradise. Tous les ans, elle y travaille en tant qu’animatrice pour enfants, et en parallèle, cela lui permet d’emmener ses enfants en vacances ; sauf que cette année, l’été ne commence pas sous les meilleurs hospices car Le Paradise est malheureusement en faillite et va fort probablement être racheté par la concurrence : le camping de luxe d’à côté. La mission de cette année va être rude car pour chaque personne qui travaille dans ce petit camping familial, il va falloir donner le meilleur de soi pour faire une excellente impression. Si Dannah est fidèle à 2000% à Monsieur Frédéric et à son camping, c’est au cours d’une visite à sa meilleure amie Léonie, installée pour ses vacances au camping luxueux d’à côté, qu’elle va faire la rencontre d’un petit garçon, mais surtout de son père célibataire : Gabriel Le Valois, le propriétaire de la concurrence.
Entre Dannah et Gabriel, l’attraction mutuelle est immédiate. Seulement voilà, par un malheureux concours de circonstance et parce qu’elle est entrée en douce, elle prend une fausse identité en se présentant comme étant Hélène, venue passer des vacances avec sa meilleure amie. Et si, au départ, cette rencontre était censée ne mener à rien, le lien qui se tisse entre ces deux parents célibataires devient de plus en plus fort. J’ai beaucoup aimé suivre la trope fake identity que Mo Gadarr a choisi de placer dans son roman qui se combine avec celle rich / poor. Car si Dannah est persuadée que Gabriel ne l’aurait jamais regardée si elle ne s’était pas faite passer pour Hélène, elle s’embourbe aussi dans sa fausse identité et ne trouve plus le moyen de lui dire la vérité. Au fil des pages, on retient notre souffle. On attend avec impatience le moment où elle réussira à lui dévoiler la vérité. On sait déjà comment Gabriel va réagir. Et quand fatalement, le moment arrive, c’est rude.
Pourtant, la romance entre nos deux personnages est belle et douce, malgré les non-dits. Gabriel est charmant et doux. C’est précisément ce dont Dannah a besoin après deux relations infructueuses avec les pères de ses enfants. Et ce dont lui-même a besoin après le divorce avec la mère de son fils. Ils ont tous les deux espoirs d’un beau lendemain, mais les mensonges pèsent douloureusement sur la balance. Surtout que la vérité se distille progressivement et que Dannah se sent de plus en plus au pied du mur.
Les personnages secondaires ont aussi leur importance dans cette histoire. Tout d’abord, il y a les enfants de Dannah et de Gabriel qui permettent leur rencontre. Ils apportent un vent de légèreté et d’innocence touchante qui me plaît toujours. Je suis assez souvent conquise dès qu’il y a un enfant dans l’histoire, surtout que Mo Gadarr sait leur donner un rôle clé dans ses histoires. Ensuite, nous avons Léonie, la meilleure amie de Dannah, qui va être l’entremetteuse majeure des rendez-vous entre nos deux amoureux. Je l’ai trouvé parfaite dans ce rôle et nul doute qu’on aimerait toutes avoir cette meilleure amie qui nous met des coups de pied aux fesses pour nous pousser à oser, et qui prend soin de nous pour s’assurer qu’on soit 100% à notre avantage. Il me tarde d’ailleurs de découvrir le tome compagnon que Mo Gadarr est en train de préparer où elle sera l’objet principal de la romance. Et puis, il y a Ophélia, la mère de Dannah. Grand-mère par excellence, elle est celle sur qui Dannah peut compter à n’importe quel moment pour garder ses enfants lorsqu’elle en a besoin, mais elle ne peut pas s’empêcher de faire le transfère de son vécu sur sa fille et elle peut se montrer à la fois méchante et dure. Pourtant, cela ne fait pas d’elle l’ennemie de l’histoire. Bien au contraire. Ophélia est inquiète pour Dannah, aussi bien pour sa vie de tous les jours que pour son cœur. Alors, même si elle est parfois agaçante, je pense qu’on aimerait aussi avoir une maman aussi dévouée dans sa vie pour nous aider et nous soulager.
Les chapitres sont tous relativement courts, ce qui permet de donner du rythme à la lecture. On n’a pas vraiment le temps de s’ennuyer. Et l’alternance entre les points de vue des deux personnages principaux nous permet d’avoir une vision plus large de l’histoire et de comprendre leurs psychologies. Mo Gadarr va à l’essentiel de son histoire. On sent que c’est une romance faite pour passer un moment chill où on pose son cerveau dans un coin et on oublie un peu le quotidien. Alors si on est amateur de romance qui prend son temps, où les personnages se tournent autour pendant des jours avant de franchir le pas, ce n’est pas le cas de Sur le sable. On est plus sur un fast burn, mais ça ne m’a pas dérangé outre mesure parce que je connais la plume de l’autrice et que je lui fais confiance. Je sais que, quoi qu’elle décide, je vais être conquise d’une manière ou d’une autre. Et que dire de la manière sexy dont Mo Gadarr nous régale de ses scènes spicy… elles ne sont pas nombreuses, ni outrageuses, mais vraiment chouette à lire.
Du coup, après avoir dévoré ce roman, il me tarde d’aller lire Dans les fleurs, le tome compagnon qui est sorti pour la St Valentin.
A nouveau, je remercie Mo Gadarr pour l'envoi de son roman en Service Presse. Après avoir découvert Will Hunter, aller faire la connaissance de Noah, l'aîné de la fratrie, était plus que nécessaire - surtout après la lecture du chapitre bonus qui introduisait son personnage.
A l'image du tome précédent, ce second tome est tout aussi additif. L'autrice a toujours sa façon à elle de m'entraîner à travers les pages de son livre et sa plume dégage ce je ne sais quoi qui me donne envie de toujours plus et me happe suffisamment pour que j'ai du mal à lâcher l'histoire sans en connaître le dénouement final. Encore une fois, je n'ai eu aucun mal à rentrer dans l'histoire et à plonger dans cette romance à suspense. J’ai passé un excellent moment lecture hors du temps.
Bien qu'on croise Noah à quelques occasions clés dans le premier tome, cette fois-ci, nous faisons pleinement sa connaissance. Suite à des événements vécus dans l'opus centré sur Will, Noah n'est plus le même. Il est l'ombre de ce qu'il a un jour été, et à cause de cela, il perd absolument tout ce qu'il a construit ces dernières années : sa carrière dans la police, mais aussi son mariage et sa famille. Remonter la pente est douloureux, mais pourtant nécessaire. Changer radicalement de voie professionnelle tout en essayant de se faire à sa nouvelle vie de père divorcé semble être la solution toute trouvée et en un rien de temps, le voilà en train de faire la rentrée scolaire en tant que professeur de littérature pour une classe dit "de la dernière chance".
Cette classe est composée de jeunes qui, pour des raisons diverses, sont un jour sortie du système scolaire. Trop âgés pour être de nouveau considérés comme des lycées, cette classe de la dernière chance est un moyen pour eux d'obtenir leur diplôme de fin d'études afin de pouvoir accéder à un avenir bien meilleur que le milieu dans lequel ils évoluent. Parmi ces élèves, on rencontre Raven, dite El Perla, princesse de la Calle Ocho, un gang qui sévie dans la ville. Raven est aussi mystérieuse qu'envoutante. C'est une femme forte mais qui possède une fragilité touchante. Malgré son statut, elle est contrainte de se soumettre à Jùan, son petit ami, qui contrôle la Calle Ocho depuis quelques temps. Raven rêve d'un meilleur avenir, mais pour les gamins issus de milieu comme elle, les portes sont vites fermées.
La rencontre entre Noah et Raven ne se fait pas sous les meilleurs hospices. Face à ce public difficile, il est contraint de s'imposer et de maintenir ses positions dans le but d'être respecté par ses élèves. Raven, quant à elle, refuse d'être appelée par son prénom de naissance mais par le surnom qui assure sa position dans la Calle Ocho, alors lorsque Noah se refuse à l'appeler autrement, il s'attire les foudres de ses élèves et surtout de Jùan. Les choses semblent mal partie, et pourtant, élève et professeur finissent petit à petit par s'apprivoiser et à apprendre à se connaître pour lentement s'engager dans une relation aussi sensuelle et sexy que dangereuse et interdite.
A côté de la romance, Mo Gadarr nous offre une nouvelle intrigue à suspense construite autour de l'image qu'on se fait d'un gang majoritairement composé de latino et d'afro-américain. Une nouvelle drogue circule dans la ville et commence à faire des dégâts. La Calle Ocho n'est pas étrangère à tout cela, et faire tomber le gang va s'avérer bien plus difficile qu'escompter. C'est autour de cette intrigue qu'on va pouvoir voir Noah évoluer et reprendre progressivement confiance en lui. Les chapitres courts donnent un bon rythme à la lecture, on n'a pas le temps de s'ennuyer. Mo Gadarr nous maintient en haleine, nous donne envie d'en savoir toujours plus afin de savoir comment est-ce que les choses vont bien pouvoir se terminer, aussi bien pour la Calle Ocho que pour la relation entre Noah et Raven qui est semée d'embûches. Au fil de ma lecture, j’ai réussi à deviner quelles étaient les personnes à l’origine du trafic, outre celles dont on a déjà connaissance. Je pense que l’autrice a voulu maintenir le suspense sans pour autant nous plonger totalement dans le flou.
Le thème de la famille est très présent dans ce second tome. Plus que jamais, les frères Hunter vont devoir se montrer souder pour pouvoir résoudre toute cette affaire, mais aussi pour aider Noah dans sa nouvelle vie. J’ai beaucoup aimé voir l’aîné de la fratrie évoluer au milieu de ses enfants, nous offrant ainsi un aspect autre que le professeur ou l’ancien flic. Ce dernier n’est d’ailleurs pas le seul concerné par la notion de fratrie. Raven apporte elle aussi sa définition. Les apparences sont trompeuses et Mo Gadarr s’amuse à nous conduire dans une direction pour nous offrir un petit plot twist qui donne une nouvelle perspective et une nouvelle vision à son histoire.
Tout comme le premier tome, ce second opus nous ouvre aussi la voie vers le prochain frère Hunter que nous aurons le plaisir de découvrir prochainement. Un très gros indice est donné quant au futur love interest, et j’ai hâte que ce roman sorte afin de continuer à faire connaissance avec le reste de la fratrie.
A l'image du tome précédent, ce second tome est tout aussi additif. L'autrice a toujours sa façon à elle de m'entraîner à travers les pages de son livre et sa plume dégage ce je ne sais quoi qui me donne envie de toujours plus et me happe suffisamment pour que j'ai du mal à lâcher l'histoire sans en connaître le dénouement final. Encore une fois, je n'ai eu aucun mal à rentrer dans l'histoire et à plonger dans cette romance à suspense. J’ai passé un excellent moment lecture hors du temps.
Bien qu'on croise Noah à quelques occasions clés dans le premier tome, cette fois-ci, nous faisons pleinement sa connaissance. Suite à des événements vécus dans l'opus centré sur Will, Noah n'est plus le même. Il est l'ombre de ce qu'il a un jour été, et à cause de cela, il perd absolument tout ce qu'il a construit ces dernières années : sa carrière dans la police, mais aussi son mariage et sa famille. Remonter la pente est douloureux, mais pourtant nécessaire. Changer radicalement de voie professionnelle tout en essayant de se faire à sa nouvelle vie de père divorcé semble être la solution toute trouvée et en un rien de temps, le voilà en train de faire la rentrée scolaire en tant que professeur de littérature pour une classe dit "de la dernière chance".
Cette classe est composée de jeunes qui, pour des raisons diverses, sont un jour sortie du système scolaire. Trop âgés pour être de nouveau considérés comme des lycées, cette classe de la dernière chance est un moyen pour eux d'obtenir leur diplôme de fin d'études afin de pouvoir accéder à un avenir bien meilleur que le milieu dans lequel ils évoluent. Parmi ces élèves, on rencontre Raven, dite El Perla, princesse de la Calle Ocho, un gang qui sévie dans la ville. Raven est aussi mystérieuse qu'envoutante. C'est une femme forte mais qui possède une fragilité touchante. Malgré son statut, elle est contrainte de se soumettre à Jùan, son petit ami, qui contrôle la Calle Ocho depuis quelques temps. Raven rêve d'un meilleur avenir, mais pour les gamins issus de milieu comme elle, les portes sont vites fermées.
La rencontre entre Noah et Raven ne se fait pas sous les meilleurs hospices. Face à ce public difficile, il est contraint de s'imposer et de maintenir ses positions dans le but d'être respecté par ses élèves. Raven, quant à elle, refuse d'être appelée par son prénom de naissance mais par le surnom qui assure sa position dans la Calle Ocho, alors lorsque Noah se refuse à l'appeler autrement, il s'attire les foudres de ses élèves et surtout de Jùan. Les choses semblent mal partie, et pourtant, élève et professeur finissent petit à petit par s'apprivoiser et à apprendre à se connaître pour lentement s'engager dans une relation aussi sensuelle et sexy que dangereuse et interdite.
A côté de la romance, Mo Gadarr nous offre une nouvelle intrigue à suspense construite autour de l'image qu'on se fait d'un gang majoritairement composé de latino et d'afro-américain. Une nouvelle drogue circule dans la ville et commence à faire des dégâts. La Calle Ocho n'est pas étrangère à tout cela, et faire tomber le gang va s'avérer bien plus difficile qu'escompter. C'est autour de cette intrigue qu'on va pouvoir voir Noah évoluer et reprendre progressivement confiance en lui. Les chapitres courts donnent un bon rythme à la lecture, on n'a pas le temps de s'ennuyer. Mo Gadarr nous maintient en haleine, nous donne envie d'en savoir toujours plus afin de savoir comment est-ce que les choses vont bien pouvoir se terminer, aussi bien pour la Calle Ocho que pour la relation entre Noah et Raven qui est semée d'embûches. Au fil de ma lecture, j’ai réussi à deviner quelles étaient les personnes à l’origine du trafic, outre celles dont on a déjà connaissance. Je pense que l’autrice a voulu maintenir le suspense sans pour autant nous plonger totalement dans le flou.
Le thème de la famille est très présent dans ce second tome. Plus que jamais, les frères Hunter vont devoir se montrer souder pour pouvoir résoudre toute cette affaire, mais aussi pour aider Noah dans sa nouvelle vie. J’ai beaucoup aimé voir l’aîné de la fratrie évoluer au milieu de ses enfants, nous offrant ainsi un aspect autre que le professeur ou l’ancien flic. Ce dernier n’est d’ailleurs pas le seul concerné par la notion de fratrie. Raven apporte elle aussi sa définition. Les apparences sont trompeuses et Mo Gadarr s’amuse à nous conduire dans une direction pour nous offrir un petit plot twist qui donne une nouvelle perspective et une nouvelle vision à son histoire.
Tout comme le premier tome, ce second opus nous ouvre aussi la voie vers le prochain frère Hunter que nous aurons le plaisir de découvrir prochainement. Un très gros indice est donné quant au futur love interest, et j’ai hâte que ce roman sorte afin de continuer à faire connaissance avec le reste de la fratrie.
Je suis ravie de retrouver Mo Gadarr dans cette romance et nouvelle saga. Elle m'intriguait beaucoup avec le côté flic et l'attrait de l'uniforme et je dois dire que ce premier tome est une véritable surprise parce que je ne m'attendais pas, au départ, à ce que notre beau gosse soit du mauvais côté de la frontière. Mais par la suite, certains éléments font sens avec le titre de la saga.
Comme toujours, la plume de l'autrice est légère et additive. Elle a sa façon à elle de m'entraîner à travers ses histoires, avec une certaine douceur qui fait mouche à chaque fois malgré les péripéties que vivent ses personnages. Honnêtement, même si ce n'est pas le premier roman de Mo que je lis, je ne m'attendais pas à entrer aussi vite dans l'histoire et ça a été une très belle surprise parce qu'une fois commencé, j'ai eu beaucoup de mal à le lâcher.
Nous partons donc à la rencontre de Will Hunter, le benjamin d'une fratrie de quatre frères. Dans sa famille, on est flic de père en fils. Sauf Will. Lui, c'est le mouton noir des Hunter. A tel point qu'il se fait appeler par le nom de sa mère. Lui, ce qui le botte, c'est l'interdit et le danger. Il gère une boîte de nuit, il consomme de la C, et il a en horreur la loi. Autant dire tout de suite que Will est déterminé à profiter de la vie plutôt que de finir dans une petite vie bien tranquille et bien rangée.
En parallèle, nous faisons la connaissance d'Esperanza, dite Ranza, qui se retrouve soudainement seule à devoir élever sa petite sœur. Pour elle, la jeune femme est prête à faire tous les sacrifices du monde, quitte à travailler comme danseuse sexy dans la plus grande boîte de nuit de la ville afin de pouvoir lui offrir une vie confortable et lui assurer un avenir. Et lorsqu'elle passe le casting, elle ne s'attend pas à ce que le patron des lieux soit l'imbécile avec qui elle a eu un accrochage quelques jours auparavant avant d'être virée de son ancien boulot.
Autant le dire tout de suite, la rencontre entre Will et Ranza est électrique et ne se fait pas sous les meilleurs hospices. Avec elle, il est imbuvable, grossier et irrespectueux. Pourtant, il va bien être obligé de l'embaucher car Ranza se révèle être une danseuse hors pair sous ses airs de sainte-nitouche. Ranza, quant à elle, fait preuve de beaucoup de caractère et n'hésite pas à l'envoyer promener et à le remettre à sa place lorsqu'il dépasse un peu trop les bornes.
Outre la romance, j'ai beaucoup apprécié toute l'intrigue à suspense que Mo Gadarr a construite derrière. Parce que si Will ne veut pas se l'avouer, il se passe des choses en sous-terrain de sa boîte de nuit qu'il va bien devoir gérer. Et quand la situation devient incontrôlable, il est obligé de faire appel à des alliés qu'il tentait de renier corps et âme. Ranza et lui vont se retrouver plongés malgré eux au beau milieu d'un cartel et ni l'un, ni l'autre ne souhaite réellement être mêlés à tout cela. Tout le long du roman, l'autrice nous tient en haleine avec un scénario semé d'embûches et dont les héros ne ressortent pas toujours victorieux à 100%. J'aime quand tout ne se résout pas d'un claquement de doigts et, même si on sait déjà comment ça va terminer, il y a quand même un petit doute qui subsiste parce que le happy end n'est pas aussi facile à atteindre qu'on ne le pense.
Will est un personnage complexe. On sait tous que derrière une image de bad boy se cache un personnage au cœur tendre, et notre beau gosse ne fait absolument pas exception à la règle. Il souffre de sa différence avec les membres de sa famille, il n'a jamais su où était réellement sa place, et le cheminement pour y arriver va s'avérer relativement difficile. Avec lui, Ranza doit user de patience pour aller à la découverte du véritable William Hunter, et lorsqu'elle y arrive, on entrevoit un personnage soucieux des autres, taquin et attachant à sa manière. J'ai beaucoup aimé la façon dont Mo Gadarr le fait progressivement évoluer. Will ne change pas en un claquement de doigts. Les habitudes ont la vie dure. Rien n'est tout blanc ou tout noir, je retrouve ce nuancé de gris qui me plaît lorsque je lis un roman.
Il me tarde dorénavant d'aller à la rencontre de Noah Hunter, le frère aîné de la fratrie qui fait quand même beaucoup parler de lui dans ce premier tome. Mo Gadarr ne nous laisse pas franchement de surprise sur le prochain personnage masculin de la saga ; en revanche, elle titille notre curiosité parce que Noah n'a pas la vie aussi parfaite que Will veut bien nous dépeindre et quand on a commencé à y goûter, on veut absolument continuer.
Comme toujours, la plume de l'autrice est légère et additive. Elle a sa façon à elle de m'entraîner à travers ses histoires, avec une certaine douceur qui fait mouche à chaque fois malgré les péripéties que vivent ses personnages. Honnêtement, même si ce n'est pas le premier roman de Mo que je lis, je ne m'attendais pas à entrer aussi vite dans l'histoire et ça a été une très belle surprise parce qu'une fois commencé, j'ai eu beaucoup de mal à le lâcher.
Nous partons donc à la rencontre de Will Hunter, le benjamin d'une fratrie de quatre frères. Dans sa famille, on est flic de père en fils. Sauf Will. Lui, c'est le mouton noir des Hunter. A tel point qu'il se fait appeler par le nom de sa mère. Lui, ce qui le botte, c'est l'interdit et le danger. Il gère une boîte de nuit, il consomme de la C, et il a en horreur la loi. Autant dire tout de suite que Will est déterminé à profiter de la vie plutôt que de finir dans une petite vie bien tranquille et bien rangée.
En parallèle, nous faisons la connaissance d'Esperanza, dite Ranza, qui se retrouve soudainement seule à devoir élever sa petite sœur. Pour elle, la jeune femme est prête à faire tous les sacrifices du monde, quitte à travailler comme danseuse sexy dans la plus grande boîte de nuit de la ville afin de pouvoir lui offrir une vie confortable et lui assurer un avenir. Et lorsqu'elle passe le casting, elle ne s'attend pas à ce que le patron des lieux soit l'imbécile avec qui elle a eu un accrochage quelques jours auparavant avant d'être virée de son ancien boulot.
Autant le dire tout de suite, la rencontre entre Will et Ranza est électrique et ne se fait pas sous les meilleurs hospices. Avec elle, il est imbuvable, grossier et irrespectueux. Pourtant, il va bien être obligé de l'embaucher car Ranza se révèle être une danseuse hors pair sous ses airs de sainte-nitouche. Ranza, quant à elle, fait preuve de beaucoup de caractère et n'hésite pas à l'envoyer promener et à le remettre à sa place lorsqu'il dépasse un peu trop les bornes.
Outre la romance, j'ai beaucoup apprécié toute l'intrigue à suspense que Mo Gadarr a construite derrière. Parce que si Will ne veut pas se l'avouer, il se passe des choses en sous-terrain de sa boîte de nuit qu'il va bien devoir gérer. Et quand la situation devient incontrôlable, il est obligé de faire appel à des alliés qu'il tentait de renier corps et âme. Ranza et lui vont se retrouver plongés malgré eux au beau milieu d'un cartel et ni l'un, ni l'autre ne souhaite réellement être mêlés à tout cela. Tout le long du roman, l'autrice nous tient en haleine avec un scénario semé d'embûches et dont les héros ne ressortent pas toujours victorieux à 100%. J'aime quand tout ne se résout pas d'un claquement de doigts et, même si on sait déjà comment ça va terminer, il y a quand même un petit doute qui subsiste parce que le happy end n'est pas aussi facile à atteindre qu'on ne le pense.
Will est un personnage complexe. On sait tous que derrière une image de bad boy se cache un personnage au cœur tendre, et notre beau gosse ne fait absolument pas exception à la règle. Il souffre de sa différence avec les membres de sa famille, il n'a jamais su où était réellement sa place, et le cheminement pour y arriver va s'avérer relativement difficile. Avec lui, Ranza doit user de patience pour aller à la découverte du véritable William Hunter, et lorsqu'elle y arrive, on entrevoit un personnage soucieux des autres, taquin et attachant à sa manière. J'ai beaucoup aimé la façon dont Mo Gadarr le fait progressivement évoluer. Will ne change pas en un claquement de doigts. Les habitudes ont la vie dure. Rien n'est tout blanc ou tout noir, je retrouve ce nuancé de gris qui me plaît lorsque je lis un roman.
Il me tarde dorénavant d'aller à la rencontre de Noah Hunter, le frère aîné de la fratrie qui fait quand même beaucoup parler de lui dans ce premier tome. Mo Gadarr ne nous laisse pas franchement de surprise sur le prochain personnage masculin de la saga ; en revanche, elle titille notre curiosité parce que Noah n'a pas la vie aussi parfaite que Will veut bien nous dépeindre et quand on a commencé à y goûter, on veut absolument continuer.
Dans cette romance, on fait la rencontre de Slim. Cette jeune femme a, semble-t-il, tout pour être heureuse. Mais dès les premières pages, sa vie éclate en morceaux quand son compagnon la quitte.
Mal dans sa peau depuis plusieurs années et avec les commentaires toxiques de son entourage, Slim se persuade que cette rupture est uniquement due à ses kilos en trop.
Mais perdre du poids est plus facile à dire qu’à faire, surtout quand on est addicte aux grignotages en tout genre, et pas forcément sportive.
Alors quand on lui propose d’intégrer un programme type boot camp, elle accepte. Slim est déterminée et motivée.
Malheureusement, ses bonnes résolutions vont être mise à mal par son coach, Ulrich.
Ulrich est détestable avec elle. Il est dur, ne mâche pas ses mots, méchant et pour couronner le tout, grossophobe.
Ente eux, la guerre est déclarée. Slim n’a pas sa langue dans sa poche et la carapace qu’elle s’est créée est couverte d’épines et de sarcasmes.
À mesure du temps passé ensemble, la tension haineuse qui les habite va peu à peu se transformer.
J’ai beaucoup aimé le personnage de Slim. C’est une femme forte, abîmée par la vie, qui s’est forgée avec les remarques continuelles sur son poids, son corps. Elle est persuadée que son bonheur dépend de ses kilos.
En même temps, comment la blâmer quand son entourage et la société ne cessent de lui renvoyer son image de femme obèse au visage. On peut se reconnaître dans ce personnage. Qui n’a jamais pensé qu’il serait plus heureux en étant comme ci ou comme ça ?
Malgré son armure, elle cache une grande sensibilité. Et un profond sentiment de ne pas être aimé par ses proches.
Ulrich, quant à lui, est détestable. Du moins, au premier abord. Sous ses remarques acerbes, on comprend que se cachent de profonds traumatismes. Son besoin irrépressible de contrôler toute sa vie, au millimètre, compense un mental à l’équilibre précaire.
L’auteure arrive à nous distiller petit à petit des infos sur son passé.
Sa plume est fluide et addictive, très agréable à lire. Je vous recommande cette lecture.
Mal dans sa peau depuis plusieurs années et avec les commentaires toxiques de son entourage, Slim se persuade que cette rupture est uniquement due à ses kilos en trop.
Mais perdre du poids est plus facile à dire qu’à faire, surtout quand on est addicte aux grignotages en tout genre, et pas forcément sportive.
Alors quand on lui propose d’intégrer un programme type boot camp, elle accepte. Slim est déterminée et motivée.
Malheureusement, ses bonnes résolutions vont être mise à mal par son coach, Ulrich.
Ulrich est détestable avec elle. Il est dur, ne mâche pas ses mots, méchant et pour couronner le tout, grossophobe.
Ente eux, la guerre est déclarée. Slim n’a pas sa langue dans sa poche et la carapace qu’elle s’est créée est couverte d’épines et de sarcasmes.
À mesure du temps passé ensemble, la tension haineuse qui les habite va peu à peu se transformer.
J’ai beaucoup aimé le personnage de Slim. C’est une femme forte, abîmée par la vie, qui s’est forgée avec les remarques continuelles sur son poids, son corps. Elle est persuadée que son bonheur dépend de ses kilos.
En même temps, comment la blâmer quand son entourage et la société ne cessent de lui renvoyer son image de femme obèse au visage. On peut se reconnaître dans ce personnage. Qui n’a jamais pensé qu’il serait plus heureux en étant comme ci ou comme ça ?
Malgré son armure, elle cache une grande sensibilité. Et un profond sentiment de ne pas être aimé par ses proches.
Ulrich, quant à lui, est détestable. Du moins, au premier abord. Sous ses remarques acerbes, on comprend que se cachent de profonds traumatismes. Son besoin irrépressible de contrôler toute sa vie, au millimètre, compense un mental à l’équilibre précaire.
L’auteure arrive à nous distiller petit à petit des infos sur son passé.
Sa plume est fluide et addictive, très agréable à lire. Je vous recommande cette lecture.
Très coloré très entraînant ! On le dévore sans pause! Des personnages avec des caractères bien trempés avec qui on se familiarise rapidement
Cassie est détonante, elle illumine et ramène la vie pour cette famille de 5 enfants et leur papa au passage
Un Roman peps !
Cassie est détonante, elle illumine et ramène la vie pour cette famille de 5 enfants et leur papa au passage
Un Roman peps !
Un thème plus que sensible, et réaliste qui touche de plus en plus de personnes .
Le surpoids, l' obésité, la grossophobie, les régimes et,... ces thèmes sont ici abordés.
Mais ce qui est aussi intéressant, c'est le point de vue de l'héroïne, Slim, qui fait face aux commentaires et jugements des autres (familles, collègues, inconnus etc.) . La souffrance que ça engendre même si elle ne le montre pas et mène une vie heureuse jusqu'à jour où son compagnon la quitte .
Elle décide de maigrir pour le reconquérir.
Bonne ou mauvaise idée ?
Avec une bonne dose d'humour, des milliers d'émotions et quelques situations rocambolesques, ce roman promet quelques heures de lecture agréable.
Résumé :
Slim a une vie qui pourrait paraître idyllique : un boulot qu'elle aime, une petite fille adorable, un mec beau comme un dieu ainsi qu'une amie à la personnalité de dingue qui est toujours là pour elle. Seulement, Slim a aussi un appétit redoutable, le tour de taille qui va avec, une maladresse systématique et un terrible manque de confiance en elle.
Quand son compagnon la quitte du jour au lendemain, elle est déterminée à le reconquérir, quitte à remettre en question ce qu'elle est : une femme ronde.Quitte aussi à supporter et accepter l'aide de son coach, Ulrich, un véritable connard de première.Entre son challenge et les épreuves que la vie lui réserve, Slim pourra-t-elle tout encaisser sans se perdre elle-même ? Doit-on maigrir pour être heureuse ?
Hâte de lire le second tome.
Le surpoids, l' obésité, la grossophobie, les régimes et,... ces thèmes sont ici abordés.
Mais ce qui est aussi intéressant, c'est le point de vue de l'héroïne, Slim, qui fait face aux commentaires et jugements des autres (familles, collègues, inconnus etc.) . La souffrance que ça engendre même si elle ne le montre pas et mène une vie heureuse jusqu'à jour où son compagnon la quitte .
Elle décide de maigrir pour le reconquérir.
Bonne ou mauvaise idée ?
Avec une bonne dose d'humour, des milliers d'émotions et quelques situations rocambolesques, ce roman promet quelques heures de lecture agréable.
Résumé :
Slim a une vie qui pourrait paraître idyllique : un boulot qu'elle aime, une petite fille adorable, un mec beau comme un dieu ainsi qu'une amie à la personnalité de dingue qui est toujours là pour elle. Seulement, Slim a aussi un appétit redoutable, le tour de taille qui va avec, une maladresse systématique et un terrible manque de confiance en elle.
Quand son compagnon la quitte du jour au lendemain, elle est déterminée à le reconquérir, quitte à remettre en question ce qu'elle est : une femme ronde.Quitte aussi à supporter et accepter l'aide de son coach, Ulrich, un véritable connard de première.Entre son challenge et les épreuves que la vie lui réserve, Slim pourra-t-elle tout encaisser sans se perdre elle-même ? Doit-on maigrir pour être heureuse ?
Hâte de lire le second tome.
Je tiens tout d'abord à remercier Mo Gadarr pour l'envoi de sa romance de noël dans le cadre de notre partenariat, ainsi que pour sa confiance. J'ai beaucoup aimé retrouver sa plume et plonger dans cette histoire complètement farfelue avec un personnage principal plus que déganté et original.
La plume de l'autrice est toujours aussi légère à lire, et je dois bien avouer que je me suis retrouvée plongée la tête la première entre les pages de ce roman. Je l'ai dévoré, pour ainsi dire. Les pages ont défilé toutes seules et avant de pouvoir dire ouf, je suis arrivée au bout de ma lecture. C'est une des choses que j'apprécie avec les romans de Mo, c'est qu'on ne voit absolument pas le temps passer !
Nous partons à la rencontre d'Asha, ou plutôt Harriette Alienor, la future reine d'Alvinie. Contrairement à toutes les autres princesses, Asha n'a jamais été destinée à régner. Et cela se traduit par son look complètement déluré, ses piercings, et sa fascination envers les licornes. Elle a été élevée en tant que l'enfant rebelle d'une famille royale et non comme future souveraine. Seulement voilà, lorsque vient le temps pour elle de monter sur le trône, il faut urgemment qu'elle apprenne à bien se conduire, et à apprendre tout ce qu'il y a à savoir sur l'étiquette. Et pour cela, sa tante Ida, la reine régente, fait appel à un précepteur, un professeur de bonnes manières : Axel Hampton. Autant dire tout de suite que le travail va être ardu car notre princesse licorne n'est pas disposée à lui rendre les choses faciles.
J'ai beaucoup aimé le personnage d'Asha. Au-delà de sa nature complètement délurée, cette princesse licorne est bien moins immature qu'elle ne semble l'être au premier abord. Impulsive, elle est surtout effrayée par le rôle qu'elle aura prochainement à jouer, et elle sous-estime ses capacités à devenir la reine que le peuple d'Alvinie mérite. J'ai adoré la voir évoluer au fil des pages. Asha se libère petit à petit de ses craintes pour prendre position face au destin qui l'attend tout en conservant cette personnalité pétillante qui la caractérise. Elle s'avère être touchante et sincère. Sa nature complètement délurée apparaît alors davantage comme une image de façade plutôt que comme étant la vraie Asha.
Axel, c'est le mec sérieux, un brin rabat-joie qu'on colle entre les pattes d'Asha lors de son retour en Alvinie. Il prend sa mission extrêmement au sérieux, et il est plus d'une fois décontenancé par le comportement de la princesse qui est très loin d'être facilement domptable. Plus d'une fois, elle lui donne du fil à retordre, et on ne peut que saluer son mental d'acier pour ne pas juste plier bagages et abandonner l'affaire :'D Une aura de mystère plane au-dessus de ce personnage masculin dont la couleur de cheveux intrigue et soulève quelques questions.
Le roman nous offre le point de vue de nos deux loves interest de manière alternée. Ainsi, j'ai eu le loisir de pouvoir entrer dans la tête de chacun et comprendre ce qui les anime, les passionne, leur fait peur, ou les rend joyeux. J'ai adoré suivre leurs confrontations, et les voir se rapprocher progressivement. Axel apparaît assez régulièrement comme le héros de beaucoup de situations, exactement comme on se l'attend un peu de la part du héros d'une romance. Pourtant, il est bien loin d'être totalement parfait, mais je n'ai pu que le considérer comme tel.
Drôle et pétillant, À Noël, je serai une princesse licorne ! est une lecture rafraîchissante et surtout très additive. On ne s'ennuie pas une seule seconde. J'ai beaucoup aimé la façon dont Mo Gadarr fait évoluer l'ambiance au fil des pages. On part sur quelque chose de très léger au départ, et finalement, le roman gagne petit à petit en sérieux, sans pour autant tomber dans l'extrême grâce à la personnalité pétillante d'Asha. Tous les ingrédients sont réunis pour créer une bonne romance de Noël. J'ai eu l'impression d'être devant un téléfilm. Il ne manquait plus que le chocolat chaud et les marshmallow !
La plume de l'autrice est toujours aussi légère à lire, et je dois bien avouer que je me suis retrouvée plongée la tête la première entre les pages de ce roman. Je l'ai dévoré, pour ainsi dire. Les pages ont défilé toutes seules et avant de pouvoir dire ouf, je suis arrivée au bout de ma lecture. C'est une des choses que j'apprécie avec les romans de Mo, c'est qu'on ne voit absolument pas le temps passer !
Nous partons à la rencontre d'Asha, ou plutôt Harriette Alienor, la future reine d'Alvinie. Contrairement à toutes les autres princesses, Asha n'a jamais été destinée à régner. Et cela se traduit par son look complètement déluré, ses piercings, et sa fascination envers les licornes. Elle a été élevée en tant que l'enfant rebelle d'une famille royale et non comme future souveraine. Seulement voilà, lorsque vient le temps pour elle de monter sur le trône, il faut urgemment qu'elle apprenne à bien se conduire, et à apprendre tout ce qu'il y a à savoir sur l'étiquette. Et pour cela, sa tante Ida, la reine régente, fait appel à un précepteur, un professeur de bonnes manières : Axel Hampton. Autant dire tout de suite que le travail va être ardu car notre princesse licorne n'est pas disposée à lui rendre les choses faciles.
J'ai beaucoup aimé le personnage d'Asha. Au-delà de sa nature complètement délurée, cette princesse licorne est bien moins immature qu'elle ne semble l'être au premier abord. Impulsive, elle est surtout effrayée par le rôle qu'elle aura prochainement à jouer, et elle sous-estime ses capacités à devenir la reine que le peuple d'Alvinie mérite. J'ai adoré la voir évoluer au fil des pages. Asha se libère petit à petit de ses craintes pour prendre position face au destin qui l'attend tout en conservant cette personnalité pétillante qui la caractérise. Elle s'avère être touchante et sincère. Sa nature complètement délurée apparaît alors davantage comme une image de façade plutôt que comme étant la vraie Asha.
Axel, c'est le mec sérieux, un brin rabat-joie qu'on colle entre les pattes d'Asha lors de son retour en Alvinie. Il prend sa mission extrêmement au sérieux, et il est plus d'une fois décontenancé par le comportement de la princesse qui est très loin d'être facilement domptable. Plus d'une fois, elle lui donne du fil à retordre, et on ne peut que saluer son mental d'acier pour ne pas juste plier bagages et abandonner l'affaire :'D Une aura de mystère plane au-dessus de ce personnage masculin dont la couleur de cheveux intrigue et soulève quelques questions.
Le roman nous offre le point de vue de nos deux loves interest de manière alternée. Ainsi, j'ai eu le loisir de pouvoir entrer dans la tête de chacun et comprendre ce qui les anime, les passionne, leur fait peur, ou les rend joyeux. J'ai adoré suivre leurs confrontations, et les voir se rapprocher progressivement. Axel apparaît assez régulièrement comme le héros de beaucoup de situations, exactement comme on se l'attend un peu de la part du héros d'une romance. Pourtant, il est bien loin d'être totalement parfait, mais je n'ai pu que le considérer comme tel.
Drôle et pétillant, À Noël, je serai une princesse licorne ! est une lecture rafraîchissante et surtout très additive. On ne s'ennuie pas une seule seconde. J'ai beaucoup aimé la façon dont Mo Gadarr fait évoluer l'ambiance au fil des pages. On part sur quelque chose de très léger au départ, et finalement, le roman gagne petit à petit en sérieux, sans pour autant tomber dans l'extrême grâce à la personnalité pétillante d'Asha. Tous les ingrédients sont réunis pour créer une bonne romance de Noël. J'ai eu l'impression d'être devant un téléfilm. Il ne manquait plus que le chocolat chaud et les marshmallow !
Nouvelle romance de mon auteur Chouchou et une nouvelle fois, j'ai adoré. Quelle lecture et quelle histoire déjantée. Cette princesse licorne, je l'ai apprécié tout le long de ma lecture. Un bonheur de retrouver une de ses histoires.
Ici, nous partons pour l'Alivinie, une petite royauté où notre petite princesse par un concours de circonstances dramatique doit devenir Reine, alors qu'elle n'y était pas destinée. de plus, pour le bien être de son royaume, elle doit en plus épouser un homme qu'elle ne connaît pas.
Beaucoup de changement pour cette jeune demoiselle qui ne rendre pas dans le cadre de la bonne, gentille et soumise petite princesse héritière. D'où l'arrivée du séduisant Axel, l'homme qui doit en peu de temps la transformer en princesse parfaite et quelle aventure !
J'ai adoré suivre leur péripéties.
Alors si je vous la conseille, évidemment que oui, surtout en cette période. Foncez donc découvrir cette lecture coup de coeur, un pur régal.
Ici, nous partons pour l'Alivinie, une petite royauté où notre petite princesse par un concours de circonstances dramatique doit devenir Reine, alors qu'elle n'y était pas destinée. de plus, pour le bien être de son royaume, elle doit en plus épouser un homme qu'elle ne connaît pas.
Beaucoup de changement pour cette jeune demoiselle qui ne rendre pas dans le cadre de la bonne, gentille et soumise petite princesse héritière. D'où l'arrivée du séduisant Axel, l'homme qui doit en peu de temps la transformer en princesse parfaite et quelle aventure !
J'ai adoré suivre leur péripéties.
Alors si je vous la conseille, évidemment que oui, surtout en cette période. Foncez donc découvrir cette lecture coup de coeur, un pur régal.
Dans ce roman, nous faisons la connaissance de Dannah, mère célibataire de deux enfants.
Elle travaille depuis plusieurs années comme animatrice dans un camping familial, mais vieillissant.
Gabriel est quant à lui l'héritier du camping luxueux qui appartient à la famille Le Valois.
J'ai adoré ces deux personnages tellement attachants.
Dannah est une femme si gentille, déterminée, romantique et qui espère retrouver l'amour.
Quant à Gabriel, il est charmant, gentil et si attachant.
Entre eux, va naître une histoire pleine d'amour et de non-dit.
Elle m'a captivée, m'a transportée tout au long de ma lecture et j'attendais la suite avec impatience.
Leur histoire est si belle, j'ai adoré la découvrir au fil des pages et en découvrir plus sur eux.
Quel plaisir de retrouver la plume de l'auteure à travers cette romance pleine de douceur.
Le résumé m'a de suite attiré, alors j'avais hâte de commencer cette lecture et quelle belle découverte.
Dès les premières pages, j'ai été captivée par l'histoire, c'est tellement addictif et si fluide.
Tout comme la plume de l'auteure qui est si agréable à lire et tellement légère.
L'histoire se lit rapidement, on ne voit pas les pages défiler ni même le temps passé.
Les rebondissements s'enchaînent et les surprises sont également ont rendez-vous.
J'ai passé un très bon moment durant ma lecture en compagnie de ces beaux personnages.
Une romance parfaite pour terminer l'été !
Merci à l'auteure cette histoire 🤍
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Elle travaille depuis plusieurs années comme animatrice dans un camping familial, mais vieillissant.
Gabriel est quant à lui l'héritier du camping luxueux qui appartient à la famille Le Valois.
J'ai adoré ces deux personnages tellement attachants.
Dannah est une femme si gentille, déterminée, romantique et qui espère retrouver l'amour.
Quant à Gabriel, il est charmant, gentil et si attachant.
Entre eux, va naître une histoire pleine d'amour et de non-dit.
Elle m'a captivée, m'a transportée tout au long de ma lecture et j'attendais la suite avec impatience.
Leur histoire est si belle, j'ai adoré la découvrir au fil des pages et en découvrir plus sur eux.
Quel plaisir de retrouver la plume de l'auteure à travers cette romance pleine de douceur.
Le résumé m'a de suite attiré, alors j'avais hâte de commencer cette lecture et quelle belle découverte.
Dès les premières pages, j'ai été captivée par l'histoire, c'est tellement addictif et si fluide.
Tout comme la plume de l'auteure qui est si agréable à lire et tellement légère.
L'histoire se lit rapidement, on ne voit pas les pages défiler ni même le temps passé.
Les rebondissements s'enchaînent et les surprises sont également ont rendez-vous.
J'ai passé un très bon moment durant ma lecture en compagnie de ces beaux personnages.
Une romance parfaite pour terminer l'été !
Merci à l'auteure cette histoire 🤍
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Une romance agréable à lire. J'ai bien aimé le personnage d'Ysé par son caractère et sa fragilité. J'ai eu un peu plus de mal à apprécier le personnage d'Adam que je juge un peu trop hautain mais au final on apprend à l'apprécier. J'ai découvert l'auteur grâce à ce livre et j'espère pouvoir la relire car j'ai bien aimé sa plume.
Tout d'abord, je dois dire que pour un livre/ebook, je suis très déçu de voir autant de fautes d'orthographe, de mots manquants dans certaines phrases et le mélange entre le masculin et le féminin au niveau de la formulation des phrases. Je suis loin d'être une pro de l'orthographe mais pour le coup, quand on sait que ça doit être lu par des milliers de lecteurs, je pense qu'un effort n'aurait pas été de trop.
Bref, pour en revenir à mon avis littéraire, j'ai quand même bien apprécié cette histoire. Le fait que l'on parle d'un écrivain de romance cela m'a plu, j'ai aimé que ce soit un homme qui soit écrivain de romance, c'est plus souvent des femmes généralement. J'ai beaucoup aimé le personnage de Ysé et de Adam. Ysé est une femme qui a su montrer que malgré l'acharnement qu'elle a envers Adam n'était finalement pas justifié. Ça montre aussi que quand on est pas d'accord avec l'avis des autres, on peut quand même en parler sans s'arracher les cheveux. Ce livre démontre que sur les réseaux sociaux, sur internet, tout n'est pas toujours rose, que lorsque des rumeurs sont lancées ça peut faire de gros dégâts. En passant outre les fautes d'orthographe j'ai quand même apprécié ma lecture. La fin était parfaite
Bref, pour en revenir à mon avis littéraire, j'ai quand même bien apprécié cette histoire. Le fait que l'on parle d'un écrivain de romance cela m'a plu, j'ai aimé que ce soit un homme qui soit écrivain de romance, c'est plus souvent des femmes généralement. J'ai beaucoup aimé le personnage de Ysé et de Adam. Ysé est une femme qui a su montrer que malgré l'acharnement qu'elle a envers Adam n'était finalement pas justifié. Ça montre aussi que quand on est pas d'accord avec l'avis des autres, on peut quand même en parler sans s'arracher les cheveux. Ce livre démontre que sur les réseaux sociaux, sur internet, tout n'est pas toujours rose, que lorsque des rumeurs sont lancées ça peut faire de gros dégâts. En passant outre les fautes d'orthographe j'ai quand même apprécié ma lecture. La fin était parfaite
Cette lecture fut un réel plaisir à découvrir.
Je ne connaissais pas l' auteure et c'est une bonne surprise.
Dès le début je suis allée au camping et j'ai vécu de belles vacances.
Le camping de Monsieur Frédéric va être avalé par une chaîne de campings et Dannah, une employée, est décidée à tout faire pour sauver le Paradise.
Donc elle va à la concurrence, où est en vacances sa meilleure amie, dans ce 5 étoiles à ciel ouvert, pour jouer les espionnes et sauver " son" camping.
Mais Dannah n'avait pas prévu de tomber sous le charme de Beaux Yeux, le directeur ennemi.
Une belle romance, des scènes pas vraiment pour un jeune public, mais qui ne m' ont nullement dérangée et un dépaysement total.
Une lecture à faire sur le sable.
Je ne connaissais pas l' auteure et c'est une bonne surprise.
Dès le début je suis allée au camping et j'ai vécu de belles vacances.
Le camping de Monsieur Frédéric va être avalé par une chaîne de campings et Dannah, une employée, est décidée à tout faire pour sauver le Paradise.
Donc elle va à la concurrence, où est en vacances sa meilleure amie, dans ce 5 étoiles à ciel ouvert, pour jouer les espionnes et sauver " son" camping.
Mais Dannah n'avait pas prévu de tomber sous le charme de Beaux Yeux, le directeur ennemi.
Une belle romance, des scènes pas vraiment pour un jeune public, mais qui ne m' ont nullement dérangée et un dépaysement total.
Une lecture à faire sur le sable.
J'étais curieuse de découvrir ce dernier tome, de retrouver Ulrich, Slim et leur entourage !
Tous deux ont repris le cours de leur vie, chacun de leur côté. Et rien n'aurait pu prédire qu'ils se recroiseraient un jour, mais c'était sans compter le hasard...
🌸 Slim est maintenant une mannequin grande taille ! Mais si les marques sont pour l'inclusion des différentes morphologies, elles ont malgré tout certaines limites. Et Slim va de nouveau se retrouver à devoir maigrir, sans que cela soit son choix.
J'ai eu du mal à m'attacher à elle, j'ai trouvé qu'elle n'avait pas beaucoup évolué par rapport à certaines réactions et jugements hâtifs qu'elle peut avoir, elle reste assez naïve. Mais elle m'a agréablement surprise sur les derniers chapitres, enfin elle s'accepte et ne s'occupe plus du regard des autres ! 🫶🏻
🌸 Ulrich quant à lui, m'a véritablement touché ! Si dans le premier tome il est imbuvable, on apprend à le connaître, à découvrir son passé et à comprendre ses réactions. Il porte énormément de culpabilité sur ses épaules, et mérite enfin de connaître le bonheur.
🌸 Certains personnages secondaires m'ont énormément plu (Ethan ❤️), et d'autres m'ont répugné ! Certaines personnes sont nées pour être mauvaises et le karma devrait véritablement s'occuper d'eux !
🌸 Malgré quelques longueurs et répétitions j'ai été agréablement surprise de ce dernier tome. Je pense que toutes les révélations y ont contribué (et certaines m'ont grandement étonnée!).
Les messages véhiculés y sont d'une grande importance, surtout dans notre société actuelle.
S'accepter, s'aimer, prendre soin de sa santé physique et surtout mentale et ne pas tenir compte du jugement des autres, voilà ce que dénonce ce roman et je dis, oui ! 🫶🏻
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Tous deux ont repris le cours de leur vie, chacun de leur côté. Et rien n'aurait pu prédire qu'ils se recroiseraient un jour, mais c'était sans compter le hasard...
🌸 Slim est maintenant une mannequin grande taille ! Mais si les marques sont pour l'inclusion des différentes morphologies, elles ont malgré tout certaines limites. Et Slim va de nouveau se retrouver à devoir maigrir, sans que cela soit son choix.
J'ai eu du mal à m'attacher à elle, j'ai trouvé qu'elle n'avait pas beaucoup évolué par rapport à certaines réactions et jugements hâtifs qu'elle peut avoir, elle reste assez naïve. Mais elle m'a agréablement surprise sur les derniers chapitres, enfin elle s'accepte et ne s'occupe plus du regard des autres ! 🫶🏻
🌸 Ulrich quant à lui, m'a véritablement touché ! Si dans le premier tome il est imbuvable, on apprend à le connaître, à découvrir son passé et à comprendre ses réactions. Il porte énormément de culpabilité sur ses épaules, et mérite enfin de connaître le bonheur.
🌸 Certains personnages secondaires m'ont énormément plu (Ethan ❤️), et d'autres m'ont répugné ! Certaines personnes sont nées pour être mauvaises et le karma devrait véritablement s'occuper d'eux !
🌸 Malgré quelques longueurs et répétitions j'ai été agréablement surprise de ce dernier tome. Je pense que toutes les révélations y ont contribué (et certaines m'ont grandement étonnée!).
Les messages véhiculés y sont d'une grande importance, surtout dans notre société actuelle.
S'accepter, s'aimer, prendre soin de sa santé physique et surtout mentale et ne pas tenir compte du jugement des autres, voilà ce que dénonce ce roman et je dis, oui ! 🫶🏻
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J'ai voulu découvrir ce roman dont les sujets évoqués, ont pour certains fait écho à mon histoire. On parle ici, de surpoids voir d'obésité, de troubles alimentaires, régimes, grossophobie et du jugement des autres et de soi-même. Tant de sujets qui sont encore d'actualité dans cette course perpétuelle de la perfection décrite par les médias. Fort heureusement de plus en plus de personnes prônent l'acceptation de soi, tout en aillant une bonne santé.
🌸Slim, dont le prénom détonne avec sa corpulence, s'est laissée engluer dans une vie dans laquelle tout semble aller bien, mais ce qui est loin d'être le cas... Cela elle s'en rend compte, le jour où son compagnon la quitte brusquement. Elle prête à tout pour le récupérer, même si pour cela elle doit perdre énormément de poids. Car pour elle, le problème ne vient que d'ici, son obésité, qu'on ne cesse inlassablement de lui reprocher.
J'ai compris ses souffrances et son besoin de vouloir plaire. De ne plus être considérée que par son poids, de montrer qu'elle est aussi une personne à part entière avec ses envies, ses besoin, son caractère et sa personnalité. L'envie qu'on ne s' arrête plus que sur son physique.
🌸Ulrich est un peu plus complexe, si au début je l'ai complètement détesté, par son comportement et ses paroles, on se rend vite compte que tout cela cache bien des secrets. Le maniaque du contrôle et de la perfection, exècre les personnes en obésité. Slim ne va pas y échapper lorsqu'il devient son coach sportif et nutritionnel. Entre les 2 c'est l'aversion totale !
Au fil des pages, il évolue psychologiquement et j'ai aimé la métamorphose de ce personnage.
Ce tome 1 se termine sur un gros cliffhanger et je peux voir dire que j'ai hâte de découvrir les secrets et le passé d'Ulrich, ainsi que de savoir si Slim saura être plus raisonnable pour sa santé. 😊
Lien : https://www.instagram.com/p/..
🌸Slim, dont le prénom détonne avec sa corpulence, s'est laissée engluer dans une vie dans laquelle tout semble aller bien, mais ce qui est loin d'être le cas... Cela elle s'en rend compte, le jour où son compagnon la quitte brusquement. Elle prête à tout pour le récupérer, même si pour cela elle doit perdre énormément de poids. Car pour elle, le problème ne vient que d'ici, son obésité, qu'on ne cesse inlassablement de lui reprocher.
J'ai compris ses souffrances et son besoin de vouloir plaire. De ne plus être considérée que par son poids, de montrer qu'elle est aussi une personne à part entière avec ses envies, ses besoin, son caractère et sa personnalité. L'envie qu'on ne s' arrête plus que sur son physique.
🌸Ulrich est un peu plus complexe, si au début je l'ai complètement détesté, par son comportement et ses paroles, on se rend vite compte que tout cela cache bien des secrets. Le maniaque du contrôle et de la perfection, exècre les personnes en obésité. Slim ne va pas y échapper lorsqu'il devient son coach sportif et nutritionnel. Entre les 2 c'est l'aversion totale !
Au fil des pages, il évolue psychologiquement et j'ai aimé la métamorphose de ce personnage.
Ce tome 1 se termine sur un gros cliffhanger et je peux voir dire que j'ai hâte de découvrir les secrets et le passé d'Ulrich, ainsi que de savoir si Slim saura être plus raisonnable pour sa santé. 😊
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Dans ce roman on part dans une romance qui émane d’un site de rencontre, du virtuel au réel. Mais voilà dans la vie il est plus facile de converser au travers des écrans que de se retrouver face à face.
Ysé est une jeune femme dont l’amour lui fait peur, elle n’a pas eu les meilleures expériences et sa famille ne lui pas non plus apporté le bon model. Trouver l’amour avec un grand A est bien une des dernières idées qu’elle a. Mais sa meilleure amie n’est pas de son envie et pour preuve elle va prendre l’initiative de l’inscrire à ce site de rencontre en vogue.
Elle qui pensait que les hommes ne feront plus partis de son quotidien va converser avec Adam, et la facilité des échanges lui feront changer d’avis peu à peu.
Néanmoins dans ce type de rencontre, il faut savoir franchir le cap et passer au physique. Une rencontre s’impose, face à cet homme, d’anciennes blessures feront leurs apparitions et l’envie de fuir pointera le bout de son nez.
Adam, lui est un homme dont la plume a été au firmament, il a connu le succès par ses écrits. Au fil du temps, ses écarts, son image a pris le pas sur son for intérieur et ses lecteurs se sont peu à peu amenuis. Pour retrouver la flamme des premiers romans, avec l’aide de son éditrice, il va décider de trouver l’inspiration en s’inscrivant sur ce site et face à son écran il sera surpris de s’entendre si bien avec cette inconnue dont il n’aura qu’une image. Les échanges lui redonneront du peps et la légèreté des messages lui redonneront confiance en lui.
C’est dans des instants, parfois maladroits, mais très attendrissants qu’on suivra l’évolution de leur relation. La confiance en soit est le thème clé de ce roman, car sous les images parfois faussées peuvent se cacher de grandes blessures. S’ouvrir à l’autre est difficile quand on n’a jamais eu la chance de connaitre le bonheur.
L’auteure nous émeut au travers du personnage de Ysé, une femme qui doit apprendre à lâcher prise et prendre des risques pour découvrir enfin le bonheur. Et Adam aura aussi du mal à avouer ce qu’il ressent au fond de lui.
Une belle histoire, un espoir, une douceur à savourer au calme.
Lien : https://leslecturesdemariaet..
Ysé est une jeune femme dont l’amour lui fait peur, elle n’a pas eu les meilleures expériences et sa famille ne lui pas non plus apporté le bon model. Trouver l’amour avec un grand A est bien une des dernières idées qu’elle a. Mais sa meilleure amie n’est pas de son envie et pour preuve elle va prendre l’initiative de l’inscrire à ce site de rencontre en vogue.
Elle qui pensait que les hommes ne feront plus partis de son quotidien va converser avec Adam, et la facilité des échanges lui feront changer d’avis peu à peu.
Néanmoins dans ce type de rencontre, il faut savoir franchir le cap et passer au physique. Une rencontre s’impose, face à cet homme, d’anciennes blessures feront leurs apparitions et l’envie de fuir pointera le bout de son nez.
Adam, lui est un homme dont la plume a été au firmament, il a connu le succès par ses écrits. Au fil du temps, ses écarts, son image a pris le pas sur son for intérieur et ses lecteurs se sont peu à peu amenuis. Pour retrouver la flamme des premiers romans, avec l’aide de son éditrice, il va décider de trouver l’inspiration en s’inscrivant sur ce site et face à son écran il sera surpris de s’entendre si bien avec cette inconnue dont il n’aura qu’une image. Les échanges lui redonneront du peps et la légèreté des messages lui redonneront confiance en lui.
C’est dans des instants, parfois maladroits, mais très attendrissants qu’on suivra l’évolution de leur relation. La confiance en soit est le thème clé de ce roman, car sous les images parfois faussées peuvent se cacher de grandes blessures. S’ouvrir à l’autre est difficile quand on n’a jamais eu la chance de connaitre le bonheur.
L’auteure nous émeut au travers du personnage de Ysé, une femme qui doit apprendre à lâcher prise et prendre des risques pour découvrir enfin le bonheur. Et Adam aura aussi du mal à avouer ce qu’il ressent au fond de lui.
Une belle histoire, un espoir, une douceur à savourer au calme.
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Slim est une jeune femme qui a tout pour être heureuse, un travail dans un college, une petite fille et un mari mais voilà du jour au lendemain son monde s’écroule, son mari la quitte elle se persuade que c’est à cause des kilos qu’elle a pris et qu’elle soit devenue obèse, les remarques désobligeantes de sa mère et sa sœur ne l’aident pas.
Alors quand le nouveau petit ami de sa mère lui propose son aide elle décide d’essayer.
Mais elle ne s’attendait pas à tomber sur un coach nutritionniste comme Ulrich.
Ulrich a des blessures internes qui font de lui ce qu’il est devenu, il a même tatoué sur son bras un tatouage pour ne pas oublier d’où il vient et ce qu’il ne veut plus.
Quand son père lui demande de prendre en charge la fille de sa petite amie il ne s’attendait pas à faire face à tout ce qu’il déteste.
Il est dur froid intransigeant avec la jeune femme, ce qui va crée des conflits entre eux.
Slim va t’elle réussir son pari de maigrir?
Pourquoi Ulrich réagit il comme ça?
Un livre où l’héroïne n’a pas la taille mannequin loin de là on va la voir se débattre comme elle peut pour perdre ses kilos en trop mais son combat va être dur.
Une plume très réaliste, qui est forte en émotions et qui nous démontre bien le combat d’une femme pour perdre ses kilos que c’est pas toujours facile.
Slim je pense que beaucoup de lectrices pourraient s’identifier à elle ba oui quand une femme est au régime elle veut perdre et vite, même si c’est pas toujours fait de la bonne façon, on va comprendre ses motivations on va voir aussi que parfois quand on commence à se sentir mieux dans son corps et sa tête ça ne plait pas à tout le monde et que notre entourage nous trouve changé et que ça ne plait pas toujours.
Ulrich on comprend petit à petit pourquoi il est comme ça mais on le déteste quand même enfin surtout ses manières de faire et ses paroles qui sont blessantes comme pas possible Oulala je peux vous assurer que plus d’une fois j’ai eu envie de rentrer dans le livre pour le remettre à sa place celui là et lui faire comprendre que le poids de ses paroles sur une personne comme Slim peut faire des ravages
Et on a Stan qui lui je ne sais pas je ne le sens pas c’est peut être une idée mais je me méfie de lui j’espère me tromper sur lui mais j’ai peur d’être un peu dans le vrai surtout qu’on va vite comprendre qu’entre lui et Ulrich il y a une histoire et ça je veux savoir c’est quoi car même si on a un début d’explication il nous en manque une partie et certains éléments et actions de sa part me font croire que mon jugement sur lui est bon.
Un livre que j’ai apprécié, où pour avoir fait des régimes je me retrouve bien dans les réaction de Slim dans sa façon de faire dans son obsession de comprendre ce qu’elle ressent face à certaines paroles et de voir la réaction de gens et leur comportement vis à vis de sa perte de poids je compatis avec elle.
Dans ce livre on va avoir les nerfs on va s’inquiéter pour notre héroïne on va se poser des questions mais surtout on veut savoir on veut comprendre ce qui fait qu’on ne lâche pas et qu’on veut la suite.
Alors quand le nouveau petit ami de sa mère lui propose son aide elle décide d’essayer.
Mais elle ne s’attendait pas à tomber sur un coach nutritionniste comme Ulrich.
Ulrich a des blessures internes qui font de lui ce qu’il est devenu, il a même tatoué sur son bras un tatouage pour ne pas oublier d’où il vient et ce qu’il ne veut plus.
Quand son père lui demande de prendre en charge la fille de sa petite amie il ne s’attendait pas à faire face à tout ce qu’il déteste.
Il est dur froid intransigeant avec la jeune femme, ce qui va crée des conflits entre eux.
Slim va t’elle réussir son pari de maigrir?
Pourquoi Ulrich réagit il comme ça?
Un livre où l’héroïne n’a pas la taille mannequin loin de là on va la voir se débattre comme elle peut pour perdre ses kilos en trop mais son combat va être dur.
Une plume très réaliste, qui est forte en émotions et qui nous démontre bien le combat d’une femme pour perdre ses kilos que c’est pas toujours facile.
Slim je pense que beaucoup de lectrices pourraient s’identifier à elle ba oui quand une femme est au régime elle veut perdre et vite, même si c’est pas toujours fait de la bonne façon, on va comprendre ses motivations on va voir aussi que parfois quand on commence à se sentir mieux dans son corps et sa tête ça ne plait pas à tout le monde et que notre entourage nous trouve changé et que ça ne plait pas toujours.
Ulrich on comprend petit à petit pourquoi il est comme ça mais on le déteste quand même enfin surtout ses manières de faire et ses paroles qui sont blessantes comme pas possible Oulala je peux vous assurer que plus d’une fois j’ai eu envie de rentrer dans le livre pour le remettre à sa place celui là et lui faire comprendre que le poids de ses paroles sur une personne comme Slim peut faire des ravages
Et on a Stan qui lui je ne sais pas je ne le sens pas c’est peut être une idée mais je me méfie de lui j’espère me tromper sur lui mais j’ai peur d’être un peu dans le vrai surtout qu’on va vite comprendre qu’entre lui et Ulrich il y a une histoire et ça je veux savoir c’est quoi car même si on a un début d’explication il nous en manque une partie et certains éléments et actions de sa part me font croire que mon jugement sur lui est bon.
Un livre que j’ai apprécié, où pour avoir fait des régimes je me retrouve bien dans les réaction de Slim dans sa façon de faire dans son obsession de comprendre ce qu’elle ressent face à certaines paroles et de voir la réaction de gens et leur comportement vis à vis de sa perte de poids je compatis avec elle.
Dans ce livre on va avoir les nerfs on va s’inquiéter pour notre héroïne on va se poser des questions mais surtout on veut savoir on veut comprendre ce qui fait qu’on ne lâche pas et qu’on veut la suite.
Encore une fois, je remercie Mo Gadarr pour l'envoi de son livre en service presse. Je l'attendais avec une grande impatience et malgré le fait qu'il s'agisse d'une romance de Noël, c'est avec plaisir que j'ai prolongé cette période sur le mois de janvier - pas encore prête à quitter cette ambiance - et j'ai eu un véritable coup de coeur !
Dès le début, Noëlle nous apparaît telle qu'elle est : rayonnante, toujours pleine de joie de vivre, employée "modèle" dirons-nous puisqu'elle est choisie par sa direction pour être employée de l'année et surtout responsable du rayon des articles de Noël. En bref, c'est un véritable rayon de soleil ! Seulement voilà pendant tout le mois de décembre, Noëlle doit faire vivre la magie de Noël au sein du magasin dans lequel elle travaille en binôme avec Klaus Reiner, le patron. Taciturne, froid, impitoyable dans ses paroles, c'est vraiment la prime qui l'attend qui motive notre jolie héroïne à accepter de faire équipe avec lui (car oui, Noëlle et sa mère comptent chacun de leur sous afin de pouvoir survivre à la fin de chaque mois). Loin d'être intimidée par Klaus, Noëlle n'hésite jamais à le rembarrer et à le remettre à sa place lorsqu'il dépasse les bornes. En clair, il a trouvé un adversaire à sa mesure. Klaus déteste Noël, et il ne sait pas du tout ce que sa collaboratrice peut trouver à cette fête. Et nous, lecteurs, on ne sait pas pourquoi Klaus hait à ce point le Père Noël et tout ce qu'il incarne.
Les chapitres alternant les points de vue entre Noëlle et Klaus nous permettent vraiment de rentrer dans la tête de chacun d'entre eux, et petit à petit, au fur et à mesure que Noëlle creuse dans le passé de son patron, celui-ci nous est révélé au fil de chapitre flash-back nous offrant les réponses à nos questions. Déjà séduite par Noëlle dès les premières lignes, j'ai très vite été aussi séduite par Klaus. Outre le fait d'être particulièrement séduisant, il nous prouve au fil des pages qu'il peut l'être également en tant que personne. Parfois maladroit et un brin impulsif, on peut compter sur Noëlle pour lire entre les lignes. Clairement, elle apprivoise cet ours mal léché d'une main de maître. Là où beaucoup n'ont pas réussi, elle s'est insinuée en lui, ravivant ainsi une chaleur et une flamme dans son coeur qu'il a toujours cru éteinte. Et puis, j'ai adoré le côté femme sensuelle qui s'assume de Noëlle ! Les scènes spicy sont vraiment géniales ! Loin d'être une demoiselle qui se contente de peu, elle exprime ses désirs sans la moindre honte.
La plume de Mo Gadarr est toujours aussi fluide, et j'ai trouvé sa romance particulièrement additive. Je n'ai pas réussi à me détacher du livre avant de l'avoir fini. Et même encore maintenant, il me peine de quitter mon deuxième duo favori de cette auteure. Je me suis beaucoup attachée à eux, à l'ambiance électrique qui les entoure et à tout ce qui les oppose. J'ai adoré suivre leur collaboration et les différentes choses qu'ils ont obligé de faire ensemble pour la période. Ça a été une rude épreuve pour eux, mais tellement génial à lire ! Et surtout, Mo Gadarr traite toujours de sujets importants, avec des mots justes et des émotions si humaines que cela ancre toujours ses personnages dans la réalité.
Si vous ne connaissez pas encore Noëlle Patience et Klaus Reiner, foncez ! Vous ne serez pas déçus ! (Paroles de Slim !)
Dès le début, Noëlle nous apparaît telle qu'elle est : rayonnante, toujours pleine de joie de vivre, employée "modèle" dirons-nous puisqu'elle est choisie par sa direction pour être employée de l'année et surtout responsable du rayon des articles de Noël. En bref, c'est un véritable rayon de soleil ! Seulement voilà pendant tout le mois de décembre, Noëlle doit faire vivre la magie de Noël au sein du magasin dans lequel elle travaille en binôme avec Klaus Reiner, le patron. Taciturne, froid, impitoyable dans ses paroles, c'est vraiment la prime qui l'attend qui motive notre jolie héroïne à accepter de faire équipe avec lui (car oui, Noëlle et sa mère comptent chacun de leur sous afin de pouvoir survivre à la fin de chaque mois). Loin d'être intimidée par Klaus, Noëlle n'hésite jamais à le rembarrer et à le remettre à sa place lorsqu'il dépasse les bornes. En clair, il a trouvé un adversaire à sa mesure. Klaus déteste Noël, et il ne sait pas du tout ce que sa collaboratrice peut trouver à cette fête. Et nous, lecteurs, on ne sait pas pourquoi Klaus hait à ce point le Père Noël et tout ce qu'il incarne.
Les chapitres alternant les points de vue entre Noëlle et Klaus nous permettent vraiment de rentrer dans la tête de chacun d'entre eux, et petit à petit, au fur et à mesure que Noëlle creuse dans le passé de son patron, celui-ci nous est révélé au fil de chapitre flash-back nous offrant les réponses à nos questions. Déjà séduite par Noëlle dès les premières lignes, j'ai très vite été aussi séduite par Klaus. Outre le fait d'être particulièrement séduisant, il nous prouve au fil des pages qu'il peut l'être également en tant que personne. Parfois maladroit et un brin impulsif, on peut compter sur Noëlle pour lire entre les lignes. Clairement, elle apprivoise cet ours mal léché d'une main de maître. Là où beaucoup n'ont pas réussi, elle s'est insinuée en lui, ravivant ainsi une chaleur et une flamme dans son coeur qu'il a toujours cru éteinte. Et puis, j'ai adoré le côté femme sensuelle qui s'assume de Noëlle ! Les scènes spicy sont vraiment géniales ! Loin d'être une demoiselle qui se contente de peu, elle exprime ses désirs sans la moindre honte.
La plume de Mo Gadarr est toujours aussi fluide, et j'ai trouvé sa romance particulièrement additive. Je n'ai pas réussi à me détacher du livre avant de l'avoir fini. Et même encore maintenant, il me peine de quitter mon deuxième duo favori de cette auteure. Je me suis beaucoup attachée à eux, à l'ambiance électrique qui les entoure et à tout ce qui les oppose. J'ai adoré suivre leur collaboration et les différentes choses qu'ils ont obligé de faire ensemble pour la période. Ça a été une rude épreuve pour eux, mais tellement génial à lire ! Et surtout, Mo Gadarr traite toujours de sujets importants, avec des mots justes et des émotions si humaines que cela ancre toujours ses personnages dans la réalité.
Si vous ne connaissez pas encore Noëlle Patience et Klaus Reiner, foncez ! Vous ne serez pas déçus ! (Paroles de Slim !)
{Instagram : @aur131}
Je remercie Black Ink Éditions pour l'envoi de ce roman.
En lisant le résumé de Be sweeter, j’ai tout de suite voulu découvrir ce roman qui aborde des thématiques fortes et percutantes. En effet, Mo Gadarr traite ici des sujets importants tels que l’obésité, la grossophobie, les troubles alimentaires ou bien encore les régimes. Des sujets qui font également écho à ma propre histoire, et je reconnais que c’est aussi en partie pour cela que j’ai voulu absolument découvrir cette histoire.
En débutant ce roman, je dois avouer que je redoutais de tomber dans les clichés. Il est vrai que c’est toujours un peu délicat d’amener ce genre de thématiques dans une romance. Encore plus, lorsque le personnage masculin fait preuve de grossophobie en l’encontre de l’héroïne, Slim. En effet, le personnage masculin, Ulrich, ne va pas être tendre avec Slim, il va carrément être méchant. J’étais donc curieuse de voir comment l’auteure allait faire en sorte pour que la relation entre Ulrich et Slim évolue et prenne une tournure bien plus romantique.
Pour ce qui des thématiques et de la façon dont elles sont abordées, j’ai été heureuse et soulagée de ne pas tomber dans les clichés habituels. Mo Gadarr ne fait aucunement l’apologie de l’obésité ou de la grossophobie. On sent que tout cela est abordé avec énormément de recul et de bienveillance, et Mo Gadarr met avec facilité les mots sur les problèmes de poids de Slim ou bien la grossophobie dont elle est victime. C’est vraiment facile de se retrouver dans cette histoire car beaucoup de personnes, je pense, sont passées par les épreuves que traverse Slim.
On a tous plus ou moins eu des problèmes de poids dans notre vie, on a tous été jugés un jour ou l’autre sur notre physique ou bien sur notre façon de manger, et je trouve ça vraiment chouette la façon dont c’est amené dans Be Sweeter. L’auteure n’essaye pas d’édulcorer ce que traverse Slim et j’ai trouvé cela super. De plus, ne connaissant pas du tout la plume de Mo Gadarr, ça a vraiment été un plaisir de la découvrir. C’est fluide, addictif, percutant et piquant lorsqu’il le faut. En effet, malgré la dureté des sujets, l’autrice n’hésite pas insuffler un peu d’humour et de légèreté pour rendre tout cela un peu plus léger.
Pour ce qui est des personnages, le travaille autour de leur psychologie est vraiment incroyable. Ils sont tous différents les uns des autres à leurs manières, pourtant ils ont quelque chose en commun : le poids. D’ailleurs, Ulrich et Slim sont diamétralement opposés l’un à l’autre et comme je vous le disais, j’attendais de voir ce que ça allait donner entre eux.
D’un côté nous avons Slim, jeune femme obèse et maman d’une adorable petite fille. Pensant avoir la vie parfaite, le monde de Slim s’écroule lorsque son compagnon la quitte en lui reprochant ses kilos en trop. Déterminée à le récupérer, Slim se lance donc à corps perdu dans un régime drastique et s’inscrit par la même occasion dans une salle de sport. Car pour elle, si son mari l’a quittée, c’est uniquement à cause de son obésité. Ses proches ne cessent d’ailleurs de lui répéter, Slim est trop grosse.
Honnêtement, pour être également passée par-là (régimes, sports, manque de confiance, jugement de soi et autres), j’ai tout de suite compris la souffrance de Slim. Elle veut se sentir aimée, comprise et ne plus être définit pas son poids. Pourtant, tout au long du livre, Slim nous prouve qu’elle n’est pas seulement un chiffre sur la balance. C’est avant tout une femme de caractère, avec de la repartie et une personnalité rafraîchissante. J’ai adoré suivre son évolution tout au long du récit, la voir s’épanouir, s’affirmer et surtout commencer à comprendre que son obésité n’est sans doute pas la raison de ses problèmes.
Ensuite, nous avons Ulrich, médecin nutritionniste, coach sportif et un con**rd de grossophobe. Pour lui, les personnes obèses sont des abominations et il n’hésite pas du tout à le faire savoir. Alors lorsqu’il se retrouve obligé de prendre en charge Slim, c’est la douche froide. Slim représente tout ce qu’il déteste et comme si ça ne suffisait pas, elle est têtue et insupportable. Pourtant, derrière les piques et les insultes, Ulrich est une personne bien plus complexe. Pour tout vous dire, en découvrant la personnalité d’Ulrich, je l’ai tout de suite détesté. J’avais beaucoup de mal à lui trouver quelque chose de positif. Sa façon de traiter Slim est hallucinante, personnellement je lui aurais déjà mis mon point dans la figure !
Toutefois, plus l’histoire avance et plus on se rend compte que cette histoire de grossophobie est bien complexe qu’elle n’y paraît et qu’Ulrich n’est peut-être pas le con**rd qu’on imagine. Et bien que l’on ait son point de vue, il nous est difficile de le cerner et de comprendre son personnage. Toutefois, malgré tout ça, quand on commence à gratter et qu’Ulrich commence à se dévoiler, on finit par comprendre ses motivations. Petit à petit, il évolue et j’avoue avoir apprécié sa métamorphose, enfin si on peut appeler cela une métamorphose. Car l’Ulrich que l’on découvre à la fin du livre était déjà présent durant tout le livre, il suffisait juste d’être patient et de gratter un peu. Tout cela est un masque, une contenance qui lui permet de dominer et de contrôler ses émotions. Je suis en tout cas très impatiente de le retrouver dans la suite…
Pour ce qui est de la romance, on est ici sur un schéma et un contexte un peu particulier. En effet, étant donné qu’Ulrich et Slim se détestent cordialement, on a affaire à un enemis-to-lovers. Cependant cette romance ne s’installe pas tout de suite, au contraire. On est donc sur un slow burn, mais en même temps pas vraiment car à la fin du livre on ne peut pas vraiment dire que leur relation ait avancé. De plus, on a également affaire à une sorte de triangle amoureux et bien que je n’aime pas vraiment ça, j’avoue qu’il était ici assez bien amené.
Toutefois, on verra par la suite que ce triangle amoureux n’en était peut-être pas un au final. Bref, je ne sais si je suis bien claire, je crois qu’il faut vraiment avoir lu cette histoire pour comprendre :) Donc pour l’instant, je reste un peu sur ma faim en ce qui concerne la romance parce que je trouve que ça n’avance pas trop dans ce premier tome. Certes, les sentiments entre Ulrich et Slim évoluent au fil des pages, mais la fin nous laisse tout de même dans le flou total en ce qui concerne leur relation. Après, s’agissant d’un premier tome, ce n’est pas tellement surprenant. J’ai tout de même hâte de voir ce que cette partie de l’histoire va donner dans le tome deux…
En conclusion, Be sweeter a été une très bonne lecture et une excellente découverte. Les thématiques sont très bien abordées, les personnages sont charismatiques et la plume est franchement superbe. Le seul bémol pour moi, c’est que la romance n’a pas été aussi présente que je l’espérais. Mais comme je le disais, s’agissant d’un premier tome, c’est assez logique. En tout cas, je suis impatiente de lire la suite et d’en découvrir davantage sur Ulrich et de voir jusqu’où va aller Slim dans sa transformation.
Lien : https://lesjolieslecturesdep..
Je remercie Black Ink Éditions pour l'envoi de ce roman.
En lisant le résumé de Be sweeter, j’ai tout de suite voulu découvrir ce roman qui aborde des thématiques fortes et percutantes. En effet, Mo Gadarr traite ici des sujets importants tels que l’obésité, la grossophobie, les troubles alimentaires ou bien encore les régimes. Des sujets qui font également écho à ma propre histoire, et je reconnais que c’est aussi en partie pour cela que j’ai voulu absolument découvrir cette histoire.
En débutant ce roman, je dois avouer que je redoutais de tomber dans les clichés. Il est vrai que c’est toujours un peu délicat d’amener ce genre de thématiques dans une romance. Encore plus, lorsque le personnage masculin fait preuve de grossophobie en l’encontre de l’héroïne, Slim. En effet, le personnage masculin, Ulrich, ne va pas être tendre avec Slim, il va carrément être méchant. J’étais donc curieuse de voir comment l’auteure allait faire en sorte pour que la relation entre Ulrich et Slim évolue et prenne une tournure bien plus romantique.
Pour ce qui des thématiques et de la façon dont elles sont abordées, j’ai été heureuse et soulagée de ne pas tomber dans les clichés habituels. Mo Gadarr ne fait aucunement l’apologie de l’obésité ou de la grossophobie. On sent que tout cela est abordé avec énormément de recul et de bienveillance, et Mo Gadarr met avec facilité les mots sur les problèmes de poids de Slim ou bien la grossophobie dont elle est victime. C’est vraiment facile de se retrouver dans cette histoire car beaucoup de personnes, je pense, sont passées par les épreuves que traverse Slim.
On a tous plus ou moins eu des problèmes de poids dans notre vie, on a tous été jugés un jour ou l’autre sur notre physique ou bien sur notre façon de manger, et je trouve ça vraiment chouette la façon dont c’est amené dans Be Sweeter. L’auteure n’essaye pas d’édulcorer ce que traverse Slim et j’ai trouvé cela super. De plus, ne connaissant pas du tout la plume de Mo Gadarr, ça a vraiment été un plaisir de la découvrir. C’est fluide, addictif, percutant et piquant lorsqu’il le faut. En effet, malgré la dureté des sujets, l’autrice n’hésite pas insuffler un peu d’humour et de légèreté pour rendre tout cela un peu plus léger.
Pour ce qui est des personnages, le travaille autour de leur psychologie est vraiment incroyable. Ils sont tous différents les uns des autres à leurs manières, pourtant ils ont quelque chose en commun : le poids. D’ailleurs, Ulrich et Slim sont diamétralement opposés l’un à l’autre et comme je vous le disais, j’attendais de voir ce que ça allait donner entre eux.
D’un côté nous avons Slim, jeune femme obèse et maman d’une adorable petite fille. Pensant avoir la vie parfaite, le monde de Slim s’écroule lorsque son compagnon la quitte en lui reprochant ses kilos en trop. Déterminée à le récupérer, Slim se lance donc à corps perdu dans un régime drastique et s’inscrit par la même occasion dans une salle de sport. Car pour elle, si son mari l’a quittée, c’est uniquement à cause de son obésité. Ses proches ne cessent d’ailleurs de lui répéter, Slim est trop grosse.
Honnêtement, pour être également passée par-là (régimes, sports, manque de confiance, jugement de soi et autres), j’ai tout de suite compris la souffrance de Slim. Elle veut se sentir aimée, comprise et ne plus être définit pas son poids. Pourtant, tout au long du livre, Slim nous prouve qu’elle n’est pas seulement un chiffre sur la balance. C’est avant tout une femme de caractère, avec de la repartie et une personnalité rafraîchissante. J’ai adoré suivre son évolution tout au long du récit, la voir s’épanouir, s’affirmer et surtout commencer à comprendre que son obésité n’est sans doute pas la raison de ses problèmes.
Ensuite, nous avons Ulrich, médecin nutritionniste, coach sportif et un con**rd de grossophobe. Pour lui, les personnes obèses sont des abominations et il n’hésite pas du tout à le faire savoir. Alors lorsqu’il se retrouve obligé de prendre en charge Slim, c’est la douche froide. Slim représente tout ce qu’il déteste et comme si ça ne suffisait pas, elle est têtue et insupportable. Pourtant, derrière les piques et les insultes, Ulrich est une personne bien plus complexe. Pour tout vous dire, en découvrant la personnalité d’Ulrich, je l’ai tout de suite détesté. J’avais beaucoup de mal à lui trouver quelque chose de positif. Sa façon de traiter Slim est hallucinante, personnellement je lui aurais déjà mis mon point dans la figure !
Toutefois, plus l’histoire avance et plus on se rend compte que cette histoire de grossophobie est bien complexe qu’elle n’y paraît et qu’Ulrich n’est peut-être pas le con**rd qu’on imagine. Et bien que l’on ait son point de vue, il nous est difficile de le cerner et de comprendre son personnage. Toutefois, malgré tout ça, quand on commence à gratter et qu’Ulrich commence à se dévoiler, on finit par comprendre ses motivations. Petit à petit, il évolue et j’avoue avoir apprécié sa métamorphose, enfin si on peut appeler cela une métamorphose. Car l’Ulrich que l’on découvre à la fin du livre était déjà présent durant tout le livre, il suffisait juste d’être patient et de gratter un peu. Tout cela est un masque, une contenance qui lui permet de dominer et de contrôler ses émotions. Je suis en tout cas très impatiente de le retrouver dans la suite…
Pour ce qui est de la romance, on est ici sur un schéma et un contexte un peu particulier. En effet, étant donné qu’Ulrich et Slim se détestent cordialement, on a affaire à un enemis-to-lovers. Cependant cette romance ne s’installe pas tout de suite, au contraire. On est donc sur un slow burn, mais en même temps pas vraiment car à la fin du livre on ne peut pas vraiment dire que leur relation ait avancé. De plus, on a également affaire à une sorte de triangle amoureux et bien que je n’aime pas vraiment ça, j’avoue qu’il était ici assez bien amené.
Toutefois, on verra par la suite que ce triangle amoureux n’en était peut-être pas un au final. Bref, je ne sais si je suis bien claire, je crois qu’il faut vraiment avoir lu cette histoire pour comprendre :) Donc pour l’instant, je reste un peu sur ma faim en ce qui concerne la romance parce que je trouve que ça n’avance pas trop dans ce premier tome. Certes, les sentiments entre Ulrich et Slim évoluent au fil des pages, mais la fin nous laisse tout de même dans le flou total en ce qui concerne leur relation. Après, s’agissant d’un premier tome, ce n’est pas tellement surprenant. J’ai tout de même hâte de voir ce que cette partie de l’histoire va donner dans le tome deux…
En conclusion, Be sweeter a été une très bonne lecture et une excellente découverte. Les thématiques sont très bien abordées, les personnages sont charismatiques et la plume est franchement superbe. Le seul bémol pour moi, c’est que la romance n’a pas été aussi présente que je l’espérais. Mais comme je le disais, s’agissant d’un premier tome, c’est assez logique. En tout cas, je suis impatiente de lire la suite et d’en découvrir davantage sur Ulrich et de voir jusqu’où va aller Slim dans sa transformation.
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Enorme coup de coeur pour la toute nouvelle romance de Mo Gadarr que je tiens à remercier tout particulièrement pour l'envoi de ce service presse.
La plume de l'auteure est fluide et addictive. Ca se lit toujours super bien, c'est agréable. Et une fois n'est pas coutume, Mo Gadarr traite d'un sujet d'actualité : la monoparentalité et les nombreuses galères que les parents isolés doivent affronter lorsqu'ils n'ont pas de solution. Et c'est dans cette vie que Mia se retrouve plongée au moment de la naissance de son bébé. Cependant, la bonne fortune lui sourit car elle fait la connaissance de Doc qui se retrouve malgré lui propulsé au premier rang.
Je suis immédiatement tombée amoureuse de Doc. Un baby-sitter aux allures de bad-boy, au langage fleuri et pourtant avec un coeur gros comme le monde, et d'une gentillesse à faire fondre. Comment ne pas tomber amoureuse de lui ? On veut toute un Doc dans notre vie : un mec qui vous accepte avec votre bagage - peu importe lequel - et surtout qui aime sans compter et qui passe au-delà des liens du sang. Cependant, c'est son côté mystérieux qui va freiner Mia. Après s'être faite avoir une première fois, notre jeune maman a beaucoup de mal à faire confiance. Elle aimerait tout savoir, et a du mal à laisser le bénéfice du doute. Comme dit à plusieurs reprises : elle ne sait pas juger les gens. Heureusement qu'elle reste très bien entourée, ce qui lui évite d'accorder plus de temps que nécessaire aux mauvaises personnes. Mais il m'est quand même arrivé d'avoir une très forte envie de secouer Mia lorsqu'elle s'obstinait à ne pas voir l'évidence là où tout le monde l'a vu avant elle !
Les deux protagonistes sont extrêmement touchants. C'est une belle romance comme on les aime, qui fait rêver et qu'on se surprend aussi un peu à espérer ! Et puis les personnages secondaires sont tout autant attachant, on aime chaque passage où ils interviennent. Surtout qu'ils ont une très grande importance dans la vie de Mia (et de Doc !).
C'était un excellent moment lecture ! Toute une journée à dévorer ce roman sans pouvoir m'arrêter et à vouloir connaître la fin.
La plume de l'auteure est fluide et addictive. Ca se lit toujours super bien, c'est agréable. Et une fois n'est pas coutume, Mo Gadarr traite d'un sujet d'actualité : la monoparentalité et les nombreuses galères que les parents isolés doivent affronter lorsqu'ils n'ont pas de solution. Et c'est dans cette vie que Mia se retrouve plongée au moment de la naissance de son bébé. Cependant, la bonne fortune lui sourit car elle fait la connaissance de Doc qui se retrouve malgré lui propulsé au premier rang.
Je suis immédiatement tombée amoureuse de Doc. Un baby-sitter aux allures de bad-boy, au langage fleuri et pourtant avec un coeur gros comme le monde, et d'une gentillesse à faire fondre. Comment ne pas tomber amoureuse de lui ? On veut toute un Doc dans notre vie : un mec qui vous accepte avec votre bagage - peu importe lequel - et surtout qui aime sans compter et qui passe au-delà des liens du sang. Cependant, c'est son côté mystérieux qui va freiner Mia. Après s'être faite avoir une première fois, notre jeune maman a beaucoup de mal à faire confiance. Elle aimerait tout savoir, et a du mal à laisser le bénéfice du doute. Comme dit à plusieurs reprises : elle ne sait pas juger les gens. Heureusement qu'elle reste très bien entourée, ce qui lui évite d'accorder plus de temps que nécessaire aux mauvaises personnes. Mais il m'est quand même arrivé d'avoir une très forte envie de secouer Mia lorsqu'elle s'obstinait à ne pas voir l'évidence là où tout le monde l'a vu avant elle !
Les deux protagonistes sont extrêmement touchants. C'est une belle romance comme on les aime, qui fait rêver et qu'on se surprend aussi un peu à espérer ! Et puis les personnages secondaires sont tout autant attachant, on aime chaque passage où ils interviennent. Surtout qu'ils ont une très grande importance dans la vie de Mia (et de Doc !).
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