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Critiques de Will Eisner (194)
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Un pacte avec Dieu

• Un Pacte avec Dieu

• Will Eisner (Scénario & Dessin)

• Delcourt



Publié pour la première fois en 1982 chez les Humanoïdes Associés sous le nom "Un Bail avec Dieu", puis en 1993 par Glénat sous le nom "Le Contrat", ayant repris les droits en 2004, Delcourt choisira le nom "Un Pacte avec Dieu".



Mais qu'est ce que c'est ?

Eh bien si vous avec déjà entendu parlé de Will Eisner, un petit gars qui a pas trop percé dans le milieu de la BD, vous avez peut-être également entendu parler de sa "trilogie du Bronx" ? Eh bien, Un Pacte avec Dieu en fait partie.

Nous allons suivre au travers de différentes histoires, la vie des habitants d'un quartier du Bronx, la fictive Dropsie Avenue.



Pas de personnages récurrents, juste un quartier pauvre, des gens pauvres, des histoires pas forcément rigolotes, voila ce que Will Eisner va nous dépeindre à travers ces récits.



Will Eisner est bien entendu un très grand nom de la BD, ou du "Roman Graphique", même si je déteste ce terme qui se veut trop élitiste à mon goût, mais je n'avais jamais lu une œuvre de ce dernier.

Je savais que j'y viendrais un jour, mais en ayant tout de même une certaine crainte. En effet, il est toujours difficile d'aborder une œuvre culte en sachant que nous pourrions ne pas accrocher de par son époque, son style particulier, ou tout plein d'autres facteurs.

Eh bien, une fois ma lecture faite, cette crainte c'est envolé. Oui nous sommes dans une lecture particulière, mais ce n'est pas lourd, ce n'est pas difficile d'accès, et j'ai passé un bon moment à suivre les différents personnages de cette Dropsie Avenue que je retrouverais avec plaisir à l'occasion de la lecture de la suite de la trilogie du Bronx un jour ou l'autre.
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Un bail avec Dieu

Et si c'était le 1er roman graphique ? Le créateur du Spirit aime nous plonger dans les bas-fonds, flirter à la frontière du bien et du mal. Un bail avec Dieu tisse la toile crue du New-York de la crise de 1929. L'art du dessinateur épouse celui du metteur en scène dans un album - le 1er de l'histoire ? - où la bande dessinée se fait roman graphique, dans le fond et la forme. Un chef d'oeuvre.
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New York Trilogie, Tome 1 : La Ville

J'avis repéré cette BD dans une anthologie sur le roman graphique. Le livre y était annoncé comme une étape dans l'apparition du genre. La composition de la planche prise en exemple, ses nuances de gris m'avaient donné envie d'aller plus loin.

Une fois la BD en main, j'y ai bien retrouvé ce brio pour assembler les cases, des lieux et personnages décrits avec un coup de crayon parfaitement maitrisé, mais aussi cette façon de nous amener à la chute des histoires parfois en seulement quelques mots, voire aucun.

On ressent la ville depuis ces éléments caractéristiques : les transports en commun, les bouches d'incendie, les feux de signalisation suspendus, les perrons des immeubles. Puis on zoome sur la population des quartiers populaire et on y est, on est dans la rue avec le voleur, le papy, les gamins dans la rue, la mégère à sa fenêtre etc...Presque un coup de cœur ! Mais j'ai trouvé les dernières pages moins prenantes, moins surprenantes !

A confirmer avec les prochains volumes ;-)

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Fagin le juif

Je commence à découvrir le travail de Will Eisner, auteur encensé outre Atlantique, et je dois dire que j'aime bien son travail. Dans ce nouvel opus, Eisner s'attaque à nouveau à l'image que la communauté juive renvoie, et plus particulièrement avec le personnage de Fagin le juif, dans Oliver Twist. Pour ma part je n'ai jamais lu le livre de Dickens, mais j'en connaissais vaguement les grandes lignes, et de toute façon ça n'est pas nécessaire pour lire cette BD. Et tant mieux !



L'originalité du propos est de souligner la raison qui pousse Dickens à mentionner perpétuellement Fagin comme juif avant tout. Et en s'attachant à montrer la communauté juive ashkénaze (et non séfarade) telle qu'elle était dans cette période de révolution industrielle. La représentation des quartiers pauvres, de la misère crasse et du quotidien de ces personnes permet de mieux appréhender pourquoi le terme juif était à l'époque si connoté, et surtout si mal connoté.

J'ai beaucoup aimé la façon dont Eisner montre que les bonnes volontés ne suffisent pas. Sans aller à dire qu'il fait de la sociologie, il s'attache à montrer que Fagin ne fut jamais un mauvais homme, mais un homme qu'on obligea à être mauvais. Mal traité, jamais considéré, jamais aidé, il se réfugia dans la seule chose qu'il connaissait : les bas-fond d'une ville en pleine croissance. Sa vie est à l'opposée de celle d'Oliver Twist : rien ne viendra le sauver comme le Deus Ex Machina tant attendu (le collier que portait Oliver Twist dans son cas) et il mourra dans la même misère que celle où il vécut. C'est une part de réalité bien sombre, malheureusement bien trop courante à cette époque (et pas forcément moins courante à la nôtre) et qui permet d'expliquer que tout ceci n'est en rien dû à sa religion, mais à la société qui existait. Et le message est sacrément louable, surtout lorsque Fagin interagit avec Dickens.



Niveau dessin, je trouve encore que Eisner a un style très "souple" dans les corps, comme si tout bougeait en permanence. C'est assez étrange à mon goût, comme certains vieux Disney où les postures et les corps sont très mobiles, de toute part. Mais ce n'est pas dérangeant, et le trait supporte très bien l'histoire. Les détails sont parfois un peu confus, cela dit.



Ce que j'ai bien aimé, c'est que cette histoire a un message important, aussi bien pour l'auteur que pour nous, et rappelle que si nous stigmatisons une partie de la population derrière un terme, il est peut-être bon de se pencher sur les raisons qui ont amené ce terme à coller à eux. Aujourd'hui, il est mal vu de parler en mauvais termes des juifs, mais remplaçons Fagin le juif par Mohammed le beur et nous aurons une histoire tout aussi actuelle. Une belle façon de permettre aux lecteurs de réfléchir au sens des stéréotypes dans les ouvrages de fiction, et également de comprendre pourquoi la lutte contre eux est importante.
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Le Complot : L'histoire secrète des Protocole..

Le sujet était très intéressant dommage qu'i ne soit que survolé dans cette BD au demeurant intrigante et prenante ; en même temp sil est difficile de revenir sur autant de documentation et d'agissement au nom des sages de Sion pour pouvoir approfondir plus .

la traduction de l'anglais au français aurait mérité un niveau au dessus, on a l'impression que c'est une traduction mot à mot.
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Un pacte avec Dieu

Non, "Eisner" n'est pas qu'un préfixe pavlovien au mot anglais "award". C'est aussi un auteur génial de bande dessinée américain, qui a su trouver la porte secrète qui mène du comic à la réalité en en enlevant tout fard pudique.

Comme dans chacun de ses ouvrages, Will Eisner nous fait ici découvrir un quotidien cruel, mais cruellement humain, imprégné de tradition juive et baigné au plus profond de la réalité des villes américaines.

A la manière d'un Dylan, ou à la manière d'un Fitzgerald, Eisner vous fera gagner des années et des années d'études si vous voulez comprendre un peu ce qui se cache derrière ce si large océan Atlantique. Et je pèse mes mots. Ici nous avons affaire à l'option spécialité Bronx dans les années 30. Un grand millésime, à découvrir d'urgence.

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New York Trilogie, Tome 1 : La Ville

Dans la trilogie de Will Eisner on lit des histoire tragiques, des histoires tristes, des histoires absurdes, des histoires de solitude, des histoires drôles … tel NY on y retrouve un melting pot d’émotions. En quelques cases, quelques détails dans le dessin Will Eisner arrive à nous transporter dans la Grande Pomme. On entend les bruits, on s’imagine les odeurs … en lisant cette BD j’avais l’impression de me retrouver dans une nouvelle de Damon Runyon.
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New York Trilogie, Tome 3 : Les Gens

J'ai découvert le coup de crayon de Will Eisner lors du Challenge New York pour lequel j'avais emprunté à la biblio le tome 2 : L'immeuble du triptyque New York. Cette fois c'est le tome 3 que je découvre (faute d'avoir trouvé le tome 1) et il s'agit cette fois des gens, trois personnes en particulier que la société va "manger". Pincus est repasseur, il a passé sa vie à tenter de passer inaperçu à tel point qu'un jour il trouve dans le journal sa nécrologie, il est mort et malheureusement pour lui il sera très vite remplacé et oublié.

Puis vient l'histoire de Morris, il ressent depuis longtemps ce besoin d'accomplir une chose importante, le souci c'est qu'il ignore ce que c'est, il enchaîne les petits boulots jusqu'à sa rencontre avec une voyante avec qui il mettre sur pied une petite arnaque mais au bout de quelques années sa morale prend le dessus, quitte tout et finit dans la rue avant de mettre à profit un soit disant don de guérison, malheureusement pour lui aussi la société n'accepte as l'échec, s'il ne sait pas trouver sa place autant qu'il disparaisse.

Enfin c'est l'histoire d'Hilda que l'auteur nous conte, bibliothécaire de 40 ans, vieille fille qui s'est occupé de son père malade jusqu'au bout, maintenant qu'il n'est plus là il est temps qu'elle pense à elle et finira par trouver l'amour en la personne d'un vieux garçon qui prend soin de sa vieille mère possessive. La pauvre Hilda n'aura pas de chance.

Ces trois personnages auront un destin tragique.

Le drame ponctue donc ces trois "fables" et avec force ironie l'auteur met en scène ces trois bougres que la vie n'épargne pas. Leur sort ne nous attriste pas au contraire on en rit (ce n'est pas très gentil de rire du malheur d'autrui) mais la réalité est telle que ce genre de situation ne nous étonnerait guère. Le dessin en noir et blanc apporte de nombreux détails aux scènes, les sentiments des personnages sont clairement identifiables sur leur visage et les décors sont parfois suggérés de quelques traits. Le tout me fait penser au cinéma muet dans lequel la parole n'est souvent pas nécessaire, ici les dessins suggèrent l'histoire à eux-seuls.
Lien : http://stemilou.over-blog.co..
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New York Trilogie, Tome 1 : La Ville

bande dessinée en noir et blanc sur la vie new yorkaise, ça grouille de personnages, de détails des rues de cette grande ville

j'aime beaucoup le graphisme, j'ai dévoré la trilogie
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New York Trilogie, Tome 2 : L'Immeuble

Un immeuble New Yorkais est au coeur de l'histoire et la bande dessinée retrace le destin de quatre personnes qui vont toutes avoir en commun cet immeuble.

Les tranches de vie sont tellement réalistes et actuelles que l'on en oublie que cette bandes dessinée a été écrite il y a trente ans.
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New York Trilogie, Tome 1 : La Ville

C'est un bel ouvrage que voilà. Plutôt atypique, et très agréable à lire.

Will Einser nous dépeint la ville (New York en l’occurrence mais ce pourrait etre n'importe quelle autre grande ville).

Des petites histoires de ce qui se passe tous les jours dans les rues, avec différents thèmes.

Nous profitons de l’œil vigilant de l'auteur pour nous faire partager tous ces bons moments.

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New York Trilogie, Tome 1 : La Ville

(...)les pages de Will Eisner grouillent, virevoltent de vie. Il créé des planches audacieuses, n’hésitant pas à casser les codes de la bande dessinée classique, utilisant le texte comme un dessin et son trait comme une phrase. Un trait précis, efficace et dynamique doté d’un sens de la composition et de la mise en scène inimitable. Avec Will Eisner, une bouche de métro devient la scène d’un petit théâtre urbain et un immeuble le personnage central de la vie de quatre personnes d’origines diverses. Il ne suffit que d’un instant pour pénétrer dans l’atmosphère poussiéreuse et enfiévré de la rue new yorkaise. Dans cet espace de liberté, les éléments graphiques et narratifs sont intimement liés. L’art de la fusion texte-image qu’est la bande dessinée prend tout son sens. La modernité frappe et on contemple comme un enfant, en se taisant doucement. On prend un cours de BD. On rit et on pleure(...)
Lien : http://www.iddbd.com/2011/05..
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Le Contrat

« Génie », « légendaire », « intouchable », « maître »... Les mots les plus forts ne manquent pas pour évoquer Will EISNER (1917-2005), un des pères de la bande dessinée moderne. Et à raison. Car l'auteur du Spirit, de Un Pacte avec Dieu, et d'innombrables histoires courtes recueillies sous le titre Big City, occupe une des plus hautes places au panthéon des auteurs de comics.



Publié successivement chez les Humanoïdes Associés (1982), Glénat (1993) puis Delcourt (2004), sous différents titres victimes des aléas de la traduction (Un Bail avec Dieu / Le Contrat / Un Pacte avec Dieu), Un Pacte avec Dieu (A Contract with God, dans la langue de Superman) porte le titre d'une des quatre nouvelles rassemblées dans ce recueil.

Quatre tranches de vie qui suivent successivement les pas d'un vieil homme amer face à un Dieu peu scrupuleux, d'un homme ruiné reconverti en chanteur des rues, d'un concierge peu engageant et peu fréquentable, et d'un « Cookalein », maison de vacances communautaire à quelques kilomètres de New York, dans la campagne.
Lien : http://k.bd.over-blog.com/ar..
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New York Trilogie, Tome 2 : L'Immeuble

Au contraire du 1er tome, celui-ci commence avec une longue histoire, ou plutôt 4 histoires, les destins de 4 personnes autour du même immeuble.

La 2ème partie revient avec des instantanés et des réflexions sur la vie dans les grandes villes, qui sont pour la majorité encore très pertinents aujourd'hui (30 ans après la publication de l'ouvrage).
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Fagin le juif

Tous les inconditionnels de Dickens qui ont lu "Oliver Twist" se souviennent de l'ignoble Fagin, portrait-type du Juif cupide et avide de richesse, méchant comme une teigne et exploiteur d'orphelins. De créer - involontairement - un personnage aussi caricatural que Fagin le Juif allait marquer pour de nombreuses décennies l'esprit des lecteurs et laisser une image stéréotypée néfaste et persistante du Juif en général. Et chacun de se souvenir de la communication terrifiante faite cent ans plus tard par les nazis.



Will Eisner, maître incontesté de la bande dessinée mondiale, a voulu montrer - à travers "Fagin le Juif" - que rien ni personne ne peut être réduit à un simple cliché, qu'il est nécessaire et impératif d'aller au-delà des apparences pour tenter de comprendre les comportements et attitudes de chacun. Pour cela, l'auteur part sur les traces de la véritable histoire de Fagin, le Juif d'Oliver Twist.



Moses Fagin entreprend de raconter son existence à Charles Dickens alors que celui-ci vient de terminer "Oliver Twist". Fils d'immigrés juifs d'Europe Centrale, l'Angleterre sera pour nombre d'entre eux une terre d'asile accueillante ayant déjà intégrée les Juifs séfarades espagnols et portugais.
Lien : http://dunlivrelautredenanne..
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Dropsie Avenue : Biographie d'une rue du Br..

Le portrait d’une rue imaginaire mais très représentative de la réalité américaine.

L'histoire commence en 1870 et voit (presque) chaque décennie un changement de population et chacun se croit plus légitime que celui qui arrive. Le racisme dans toute sa splendeur. Heureusement il y a quelques personnages un peu plus solidaire.

Une BD en noir&blanc, extremement bien dessinée. J'ai beaucoup aimé
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Le Spirit

L'Eisner de naguère



Juin 1940, c'est un peu la fin d'Iger.

Jerry.



Le jeune et surdoué Will Eisner vient de cesser leur association (qui a quand même conduit à la publication de "Sheena, reine de la jungle") et crée Le Spirit, dans le Weekly Comic Book, un 16 pages (comprenant aussi Lady Luck et M Mystic). Le succés devient tellement évident pour notre justicier masqué, que le Weekly change rapidement de nom pour devenir The Spirit section.

Ce n'est pourtant qu'en 1945, de retour à la vie civile que le Spirit démarre vraiment (mobilisé, Eisner l'avait laissé entre les mains de Lou Fine qui l'avait un peu maltraité).



Ce recueil précédé de 5 pages de présentation, regroupe 16 histoires inédites en N & B, parues entre le 3 février 1946 et le 29 octobre 1950.

Au fil des épisodes, on retrouve les aventures du "super-héros". Le Spirit n'est pourtant personne d'autre que le détective Denny Colt, laissé à tort pour mort et qui est ressorti de la tombe avec un nouveau costume (en fait, un simple masque sous les yeux -on est loin de la sophistication d'Iron Man) pour continuer à traquer la pègre de Central City.



On chercherait en vain à lister toutes les inventions graphiques d'Eisner dont le talent et l'humour explosent à chaque case (et en particulier lors de la présentation de chaque épisode où apparaissent le nom de Spirit et la signature d'Eisner, sous les formes les plus diverses). Influencé par la littérature et encore plus par le cinéma, ses découpages, ses angles de "réalisation" et les perspectives qu'il dessine rappellent les plus belles heures du cinéma expressionniste allemand ou les œuvres d'Orson Welles.



Un pur génie. Sur une trame somme toute limitée, la palette d'Eisner ne semble pas connaître de limite.



En France, nous avons pu suivre Le Spirit dans le journal Tintin, puis traquer des publications souvent erratiques chez de multiples éditeurs (j'ai pour ma part, du "Neptune", "Humanoïdes associés", "Albin Michel").



Quand Eisner laissera tomber le Spirit pour d'autres sujets* (et notamment la vie dans les quartiers new-yorkais ou le Protocole des sages de Sion), il se montrera tellement inventif et divers que cela donne le tournis.



Aujourd'hui, son nom reste associé à ce qui est sans doute la plus belle distinction pour un dessinateur et ce n'est que justice.



PS : quand je pense que j'avais "Comment éviter la mort et les impôts" et "La cuisine occulte" et que je les ai égarés dans un déménagement...
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Comment éviter la mort et les impôts et vivre he..

Fan de l'absurde, du loufoque, du délirant, procure toi cette ouvrage indispensable et fait un pied de nez à ton percepteur et à la camarde en lui émoussant la faux. Quoique... Quoique disait Raymond Devos, il paraît qu'on peut mourir de rire. A consommer avec modération, tensiomètre au bras et pause avant l'arrêt de la respiration dit le docteur.
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New York Trilogie, Tome 1 : La Ville

Will Eisner dresse dans cet ouvrage le portrait de New-York et ses habitants. Avec finesse, inventivité, humour et parfois ironie, il nous montre les mille et une facettes d'une ville qui fascine. A travers les scènes de la vie quotidienne qu'il dessine transparaît une image de la vie urbaine ainsi que de la société américaine.
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Dropsie Avenue : Biographie d'une rue du Br..

Ce roman graphique présente un intérêt sociologique certain avec l'étude de ce quartier américain. L'histoire débute en 1870, on suit la fin des dernières fermes, les débuts d'un beau quartier fréquenté par les anglais. Puis au fil des ans et des migrations, les populations changent, les ethnies aussi. Pour ce qui est du dessin, noir et blanc; j'ai eu du mal à suivre, car les visages ne sont pas précis, presque caricaturaux.
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