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EAN : 9782344062227
352 pages
Glénat Manga (17/01/2024)
4.14/5   7 notes
Résumé :
Moto Hagio est l’une des premières artistes féminines à avoir osé enfreindre les codes du manga qui, dans les années 60, imposaient à ces dernières des histoires simplettes à l’eau de rose. À l’image du grand maître Osamu Tezuka, elle n’hésita pas à explorer divers horizons, allant de la saga vampirique aux récits de SF à la Ray Bradbury, maîtrisant au passage les critiques sociales ou les fables amères. Tout en gardant un trait élégant, ses œuvres dépassent largeme... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Moto Hagio est une mesure dans le monde du manga, depuis sa création. C'est bien quelque chose d'indéniable, car dès les années 70 elle a offert une vision nouvelle du shojo, cette catégorisation d'histoires illustrées plutôt ciblées pour un public féminin. Avec beaucoup de courtes histoires à son actif, elle a renouvelé le genre en lui offrant des limites plus modernes, se déroulant dans des univers plus fantasques voire même complètement futuristes. Elle est d'ailleurs considérée comme un nom à retenir dans le genre de la science-fiction jusqu'à présent rarement représenté dans ce médium nippon. Glénat a édité deux anthologies d'histoires courtes de l'auteur : de la rêverie et de l'humain, composées toutes deux d'historiettes avec une application de genre très différente. Dans ce recueil, les histoires de l'imaginaire sont plus ciblées, tandis que dans son anthologie de l'humain, il y aura plutôt des histoires sur le comportement des humains. Par ailleurs, la modernité s'observe également, au sein de ses histoires, par le brouillard du genre humain appliqué à ses personnages (par des personnages hermaphrodites, asexués ou encore androgynes).

• Un Rêve ivre :

Cette très courte histoire est la plus récente du recueil et est probablement celle qui a trouvé le meilleur accueil en moi. Toute en couleur, elle nous narre l'histoire entre deux personnages : le Docteur Rem et le Docteur Safash. Ce second est un nouveau sur IO, un satellite de Jupiter. Il a la particularité d'être l'homme que Rem voit sans cesse dans ses rêves, ce depuis des temps immémoriaux. Rem est une femme malgré le fait qu'elle ait une apparence d'homme, et cela joue dans l'histoire, ce qui apporte une lecture volontairement ambigüe et particulièrement moderne pour l'époque où l'histoire fut écrite. Il y a de nombreux thèmes abordés au sein de ce conte – car oui, il est comparable à un conte tragique, du même acabit que ceux de Shirahime Syo, de CLAMP –, notamment l'idée de la réincarnation, le recommencement, la perpétuelle tragédie, l'origine des maux… C'est un conte fortement marqué par la mort, un désespoir sans fond, et c'est là que j'ai trouvé la poésie du fait. Un tel mysticisme qui tient lieu de nuage contextuel au sein d'histoire dans l'espace, cela n'augure que la bonne découverte.

• Nous sommes onze ! :

Cette histoire écrite en 1975 est l'une des plus (re)connues de l'auteur. Il s'agit d'une histoire de science-fiction mais surtout d'une histoire de sexisme vécue par l'auteur. Dix personnages vont embarquer au sein d'un vaisseau spatial pour la dernière épreuve d'admission au sein d'une université galactique. Ils sont dix et vont devoir survivre pendant près de deux mois, seuls. Un unique problème est en vue : ils sont onze, il y a un intrus, et personne ne sait qui l'est. Quelle aventure ! Il est souvent noté que cette longue histoire (longue car approximant tout de même la centaine de pages) est le tout premier manga shojo se déroulant dans l'espace. Il s'agissait d'une idée que Moto Hagio avait depuis sa jeunesse, mais transposée dans un milieu spatial, son manga a pris des tournures planétaires révolutionnaires. Longtemps le genre de la science-fiction s'est cantonnée aux mangakas masculins car les femmes ne pouvaient simplement pas le faire – d'après ce que l'on disait – et qu'elles ne sauraient livrer une histoire correcte tout en dessinant des machines. Les préceptes d'antan… Moto Hagio s'est démarquée avec brio dans cette grande histoire avec de l'action, nombre de personnages hauts-en-couleur, et puis du danger autant que de l'amour. Elle a campé des personnages qui retournent les grandes attentes de leur genre, notamment par un personnage asexué (donc sans caractéristiques propre à un sexe) que l'on appelle « hermaphrodite », qui est voué à devenir une fille, mais qui se bat bec et ongles pour devenir un homme. Il y a, malgré cette étrangeté spatiale, avec des peuples inconnus et des régimes évolutifs étranges, quelque chose de profondément humain qui nous touche. C'est une très grande oeuvre, un classique même, j'oserais dire !

• Nous sommes onze ! – Suite : Est et Ouest, un lointain horizon :

Je vais être très concis sur cette histoire qui est la pure suite de la précédente afin d'éviter les spoils. Nous retrouvons Flore et Tada qui se retrouvent embarqué pour des retrouvailles avec un personnage de la première histoire. Je ne dirai pas duquel il s'agit, ni pourquoi ils s'en vont le retrouver, mais je dirai qu'ils s'embarquent tous deux au sein d'un conflit diplomatique et politique si important que les habitants de deux planètes sont concernés. L'accent de cette suite est beaucoup plus tragique et compliqué que l'accent posé sur l'histoire de base – alors plutôt drolatique, voire un accent d'enquête policière spatiale. le ton frôle parfois l'impossible, la tragédie, la mort de tous les côtés, et de véritables retournements de situations dignes d'une politique complète arrivent et sauvent tout lorsque cela se trouve au plus bas. C'est étrange, c'est magnifique, les planches ont parfois une magnificence macabre qui eut l'occasion de me déclencher des moments d'extase. Je ne parlerai pas de la situation entre les personnages principaux, mais je peux dire que le personnage de Flore est idèle à lui-même, bien que parfois quelques moments de maturité surviennent. le désespoir et l'attente forment un beau penchant pour l'auteure.

• le petit flûtiste de la forêt blanche :

Cette petite historiette (au sens presque péjoratif du terme) a été écrite au tout début des années 70, ainsi au commencement de la carrière de l'auteure, et cela se ressent atrocement. Je ne vois rien de mauvais dans ce conte – car c'en est un – outre le fait qu'il a vraiment vieilli dans le dessin. En effet, j'aime énormément les vieux dessins de mangas des années 70-80 (comme l'atteste mon amour pour les oeuvres de CLAMP, ou mes passions claires pour Sailor Moon, les mangas de Mamoru Nagano et j'en passe), mais pas à ce point non-plus… Parfois cela me donnait l'impression de me replonger dans les très vieilles esquisses des premières narrations de Junji Ito (comme ses Tomie originelles) et c'est ce qui a quelque peu entaché ma lecture d'esthète. En revanche, concernant, l'histoire, je n'en ai rien à redire : une jeune fille se promenant à travers bois et fourrés vient à rencontrer un jeune garçon de son âge, mystérieux, et doté d'une flûte si reconnaissable. Qui est-il ? À vrai dire, ce court récit m'a plongé dans un espace commun, sorte de lieu-dit, du conte mystérieux empreint de fantastique très léger. Il y avait une ambiance à la Princesse Sarah, dans ce qui serait une époque victorienne étrangère, mais avec des allures de conte allemand aux relents japonisants. C'est un mélange très particulier et aucunement sobre, et vu comme j'en parle, on pourrait croire qu'il m'a déplu, mais ce n'est même pas vrai… C'est juste que j'en attendait sûrement beaucoup trop, pour une de ses premières oeuvres.

Quel recueil ! Si je puis dire, il porte bien son nom. de la rêverie, nous en sommes servis. Des histoires résolument modernes se déroulant dans l'espace – prenant alors des allures de science-fiction précurseure – ou bien dans une ambiance presque similaire à celle des contes de Grimm et Perrault, Hagio campe des historiettes changeant le genre du shojo, y incorporant la SF ou le tragique. {16}
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Avec la venue en grande pompe de l'autrice à Angoulême à l'occasion de l'exposition organisée pour sa oeuvre culte au Japon, Glénat qui avait fait partie des pionniers avec Kazé, a décidé de ressortir son Anthologie : de la rêverie et de l'humain, en une nouvelle édition grand format. Nouvelle édition ? Pas vraiment en fait.

Soulignons d'entrée que les possesseurs de l'ancienne édition, à part le fait d'avoir des tomes plus petits sans jaquette et dans un coffret, ne verrons pas une grande différence. Les textes accompagnant l'oeuvre n'ont même pas été revu, c'est un peu décevant cette absence d'ambition éditorial. On sent clairement que Glénat surfe surtout sur la vague Akata, qui lui a décidé de donner à l'autrice la place qu'elle mérite, et propose ainsi des tomes dans le même format que ceux-ci. Je salue cependant le premier chapitre en bichromie et les jaquettes que je trouve superbe.

Question contenu, ceux qui découvrent l'oeuvre auront le plaisir d'une introduction et d'une postface resituant l'autrice dans le contexte historique du manga, et d'incipit permettant de resituer chaque histoire dans l'oeuvre de l'autrice. C'est tout à fait bienvenue au vu de la place de celle-ci dans ce média avec tout ce qu'elle a fait, inventé, inspiré.

Les histoires de ce premier tome, elles, sont tout à fait représentatives de son oeuvre. Il y a d'ailleurs son chef d'oeuvre Nous sommes 11 qui occupe le coeur de ce volume et rien que pour lui, cette lecture est un coup de coeur. Les autres semblent plus modestes. le premier cependant, Rêve ivre, hommage à l'un de nos poètes, rappelle sont goût pour le drame et la tragédie. le dernier, lui, le petit flutiste de la forêt blanche, en plus de rappeler des opéras d'autrefois est une sorte d'annonce de ce que sera son grand succès : le clan de Poe. Ce sont donc des histoires historiquement fort intéressantes rien que pour cela.

Mais sincèrement côté plaisir de lecture, c'est Nous sommes 11 - Premier volet, qui emporte tout. J'y ai adoré voir des références aux anciens auteurs de SF que j'adore comme Asimov ou Le Guin. J'ai adoré ce côté Sa majesté des mouches + Agatha Christie. C'est ultra rythme, drôle et émouvant, surprenant parfois avec de belles punchlines et des personnages qui envoient du bois. Il y a une superbe créativité narrative visuelle. Et c'est rempli de thèmes de SF que j'affectionne comme celles sur le genre, les huis clos spatiaux, les académies spatiales, les objets stellaires non identifiés et j'en passe. Après, c'est très marqué années 70 et peut-être que le lecteur actuel sera moins friand et trouvera cela banal, mais remis en contexte, wow !

De ce fait, les autres textes m'ont semblé plus fade, en particulier sa suite : Est et Ouest, un horizon lointain, où j'ai eu l'impression que l'autrice se perdait à faire de prolonger et improviser la suite de son histoire. Exit le space opera si addictif et vertigineux de l'histoire originelle, place à un classique planet opera avec homme politique en déroute, en recherche de solution face à un rébellion. C'était long. C'était verbeux. C'était décousu. Je retiens surtout la belle ambiance sombre et dramatique qui s'intensifie au fur et à mesure, ainsi, qu'à nouveau les superbes compositions de l'autrice, mais ça ne m'a pas plu plus que ça...

J'ai été plus sensible aux côtés oniriques et poétiques de la première et dernière histoire. le Rêve Ivre m'a rappelé Ouke no Monshou, une vieillerie commencé 4 ans plus tôt mettant en scène l'Egypte ancienne. Il y a le même goût pour le drame antique. le petit flutiste de la forêt blanche, lui, a un trait plus ancien, plus rond, moins aventureux mais avec une belle ambiance à la Rackam, cet illustrateur de l'étrange Lewis Carroll dont il sait si bien rendre les ambiances singulières, ce qui est le cas ici, avec cette rencontre étrange. Alors même si les histoires ne m'ont pas autant emportée, les ambiances elles, vendent du rêve.

Pas forcément l'ouvrage dans son ensemble le plus indispensable de l'autrice, il contient cependant l'une de ses histoires phares, qui peut importe la décennie mérite d'être lue par sa vivacité narrative et sa beauté graphique : Nous sommes Onze, un modèle du huis clos en hyperespace ! Alors si vous voulez découvrir l'autrice à l'aide d'un de ces chefs d'oeuvre, foncez, en plus vous aurez ici un bel échantillon de son travail dans le rayon de l'imaginaire. Il est juste à souhaiter que Star Red ou Marginal qui sont régulièrement cités soient aussi édités
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Spoilers.

J'ai beaucoup aimé ce recueil de quatre histoires, beaucoup de charme s'en dégage, par l'atmosphère et ces dessins. Les personnages aux yeux brillants plein de reflets, que c'est beau ! Des mises en page poétiques parfois, où les personnages dépassent des cases, leurs cheveux volant en arabesques...

Dans "Un rêve ivre", on nous fait le cadeau d'une histoire en couleurs très particulières (touches de noir, gris et marron). Dès le début, cette confusion physique entre des personnages aux traits masculins qui sont des femmes, et inversement, qu'on retrouvera dans les récits suivants. Quelle modernité avec un sujet si d'actualité aujourd'hui !

Dans "Nous sommes onze !" la problématique est abordée explicitement avec le personnage de Flore, extravagant, colérique, qui ne sait que choisir entre devenir un homme ou une femme. L'histoire d'amour qui se dessine entre Flore et Tada est plaisante à suivre, mais c'est d'abord une histoire de respect entre les deux personnages, de complicité. Pas d'effusions, ça reste subtil, en creux.
Moi qui adore la SF, j'ai été servie avec cette histoire de survie dans un vaisseau spatial, ce huis-clos palpitant avec une touche de thriller (qui est le onzième ? est-ce un ennemi ?). de l'action, des relations entre personnages bien travaillés, un dessin efficace, minutieux...

C'est dans la deuxième partie de "Nous sommes onze !" que la romance entre Flore et Tada prend plus de place, avec ce premier baiser (le premier montré au lecteur en tout cas !) qui m'a émue ! J'ai peut-être été un peu moins emballée par ces intrigues politiques, avec des questions d'espionnage. Action et rebondissements ici. Néanmoins, l'histoire confirme le travail de l'autrice pour construire un univers intergalactique cohérent, inventif, crédible, avec des petites touches de poésie et de mélancolie.

Dans "Le petit flûtiste de la forêt blanche" qui s'apparente à un conte, le fantastique côtoie le surnaturel, et aborde les thèmes de l'amitié, de la mort, de l'enfance.

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Cette “Anthologie de la Rêverie” nous plonge dans l'imaginaire de Moto Hagio qui semble sans frontière. C'est le cas de la dire sachant que l'oeuvre principale reprise dans ce tome se passe dans les confins de l'Univers. “Nous sommes onze” retrace l'examen d'entrée d'une prestigieuse université spatiale, avec un groupe de 11 candidats... sauf qu'ils ne devraient être que 10. L'occasion de profiter des soupçons de chacun pour présenter les protagonistes, tous originaires de planètes différentes, apportant son lot de us et coutume, voire même de génétique, distincts. La théorie du genre avant l'heure, abordée avec une certaine bienveillance, glissant sans y paraître ; sans choquer ni troubler. C'est ainsi et ça passe incognito dans l'aventure galactique.
Les deux autres récits sont plus oniriques, d'où le titre de cet ouvrage. Ce qui laisse rêveur. Mais n'est-ce pas justement le but recherché par l'autrice et les éditions Glénat ?! le charme du trait de Moto Hagio opère complètement dans “Un rêve ivre” et “Le petit flûtiste de la forêt blanche” tandis que son histoire de science-fiction jongle entre plans rapprochés de qualité et plusieurs scènes survoltées proches de la caricature. Une énergie qui fatigue même un peu, alors quelle délectation de finir avec tendresse et pourtant une pointe de tristesse dans le dernier récit mettant des enfants en action. de la poésie délicate, enfantine et pourtant tellement tragique. Mais rêver, c'est à la fois palpitant, troublant et nostalgique. Ce qui est fort bien “résumé” dans cet ouvrage. Prochaine étape : la lecture de l'anthologie de l'humain, bientôt en chronique sur Samba bd !
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Une terre partit vers l’Est, et l’autre vers l’Ouest... La mère ne pouvait rejoindre aucun de ses fils. Incarnée en planète mère, elle protège pour l’éternité ses fils divisés. Lorsqu’une pluie de larmes s’abat dans la longue nuit de l’Est, le frère de l’Ouest qui brille dans l’obscurité se met lui aussi à pleurer de regret. Les deux frères se tiennent ainsi face à face partageant tour à tour lumière et ombre avec pour seul lien ce lointain horizon...
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Videos de Hagio Moto (7) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Hagio Moto
Dans ce deuxième épisode enregistré juste avant le Festival d'Angoulême, Aurélien et Emile font un point sur le superbe travail de l'artiste Peach Momoko avant de vous parler de leurs nouveautés préférées du mois de février.
Titres abordés :
• Demon Days (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/demon-days-fmh23044-fr02.html) (Marvel Manga) de Peach Momoko • Demon Wars - Edition régulière (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/demon-wars-fmh24002-fr02.html) et édition collector (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/demon-wars-fmh24002vc-fr02.html) (Marvel Hors Collection) de Peach Momoko • (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/daredevil-echo-qu-te-de-vision-fmh23007-fr02.html) Silver Surfer : L'obscure clarté des étoiles - Edition Noir & Blanc (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/silver-surfer-edition-noir-blanc-fmh24004-fr02.html) (Marvel Prestige) de Ron Marz et Claudio Castellini • Cyberpunk 2077 : Les rêves de Night City (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/cyberpunk-2077-les-r-ves-de-night-city-fcybe006-fr02.html) de Bartosz Sztybor, Filipe Andrade & Alessio Fioriniello • Daredevil T01 : Connaître la peur (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/daredevil-t01-fmd24013-fr02.html) (Marvel Deluxe) de Chip Zdarsky, Marco Checchetto, collectif
Recommandations :
• Emile : Les intégrales Punisher (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/catalogsearch/result/?q=punisher+int%C3%A9grale) en prévision d'une prochaine émission... • Aurélien : le Clan des Poe (https://www.akata.fr/series/le-clan-des-poe) de Moto Hagio (Editions Akata)
Tous nos remerciements à Emmanuel Peudon pour le montage et à ClemB pour le générique.

Plus d'infos sur notre site internet : https://www.panini.fr/
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