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EAN : 9782490155071
240 pages
Éditions Emmanuelle Collas (05/10/2018)
4.13/5   26 notes
Résumé :
Betty s’efforce de vivre mais, à la nuit tombée, elle se cache et boit pour oublier la mort de son mari, Simon, et pour se souvenir de sa mère. Elle s’abrutit et s’effondre. Dans sa quête de la vérité, les images reviennent peu à peu. Des clichés tendres de l’enfance, une mère trop belle pour être vraie, des souliers rouges… et cette question lancinante : « Elle est où, maman ? » Cathy Galliègue aborde dans Et boire ma vie jusqu’à l’oubli un sujet tabou, celui de l’... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
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Je referme un livre. Je referme un cri.

Intensité. Pudeur. Force.

Ce livre foisonne de chuchotements et de fureur.

Lucide. Un récit qui traite d'un sujet rare. L'alcoolisme féminin.

L'écriture est forte oui. Elle blesse au coeur. Elle parle et cogne. Elle enivre et mélancolise. Elle parle de vivre et de ces blessures infinies. Elle parle d'amour, de tous ces amours qui nous composent. Nous décomposent.
Cathy Galliègue raconte sa Betty, lucide par rapport à elle-même, frappée par un deuil insoutenable. Cette quête d'un passé à comprendre, à revoir. Cet amour fou. S'entremêlent les causes et les conséquences dans un récit beau à faire mal.

Le récit alterne présent et inccursions dans le passé pour mieux comprendre l'aujourd'hui de cette femme.

Betty est une héroïne qui ne trahit pas les Betty. Car je trouve que ce prénom est un vrai prénom d'héroïne oui. Mais j'ai trop vu 37°2 LE MATIN de Beineix … Ca laisse des traces. Betty. Mythique. Une femme. Les femmes.
J'ai découvert une auteure qui écrit fort. Qui écrit vrai. Qui écrit pour de vrai. Qui nuance la mélancolie. Qui fait du bruit. A pas feutrés.

Le fracas de l'enfance. Celui de l'absence, du deuil. Tant de bruit, tant de fureur à l'intérieur d'elle-même.

Entrecoupé de citations belles à frémir d'auteurs comme Sagan, Rimbaud ou Duras et qui offre un rythme, un souffle encore plus terrible à ce roman.
Et la seule issue. L'alcool. L'alcool qui pète la tête. Sa honte qui imprègne l'être.

Le doux murmure de la maternité. Qui sauve ? Qui retient ? Qui empêche de …

Cathy Galliègue signe un petit bijou d'humanité. Un vrai magnifique portrait de femme. Blessée mais toujours vivante. Vivante mais à jamais blessée.
Un livre que je vous hurle de lire, moi, il m'a bouleversé.
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Dans la 4ème de couverture, il est dit que Cathy Galliègue aborde le sujet de l'alcoolisme féminin. Certes, il en est question mais c'est bien plus que cela. Pour moi le thème central de ce roman est la perte, l'abandon, ce que l'on en fait comment on vit avec.
L'alcoolisme en est la conséquence.
La correspondance entre Betty et son père est très émouvante et nous fait comprendre tant de choses...
Je ne sais plus comment je me suis retrouvée avec ce livre dans ma PAL mais je remercie sincèrement la personne qui en est à l'origine car c'est un roman sur l'abandon abordé avec beaucoup de psychologie sans pour autant en faire un livre de psychologie. ;-)
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« Elle est où Maman ? »
Quatre mots. Quatre tout petits mots. Et une vie qui part à vau-l'eau. Celle de Betty qui n'a eu de cesse, depuis l'âge de 10 ans, de tourner autour d'eux. Quatre mots auxquels son père répond tout simplement qu'elle est partie. Alors Betty a grandi, tant bien que mal, choyée par son père et ses grands-parents, les étés en colonie de vacances à Saint-Malo jusqu'à celui de ses 13 ans où elle tombe sous le charme du moniteur, Simon, sans l'intéresser pour autant…
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Simon qu'elle retrouve pourtant à 25 ans. Vont s'en suivre dix années d'amour partagé et de bonheur quotidien, un mariage, une maison et un petit Raphaël, jusqu'au drame, un nouveau pour Betty qui perd cette fois-ci l'homme de sa vie dans un accident de la route. « Et boire ma vie jusqu'à l'oubli » débute cinq ans après, alors que Betty sombre totalement.
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Si la journée elle parvient à donner le change et à s'occuper de son petit garçon, la nuit, Betty boit. Beaucoup. Trop. Suffisamment pour lui permettre d'endurer l'absence de ceux qui lui sont chers : « je ne trouve l'apaisement que dans mes nuits d'ivresse ». Et paradoxalement, pour se souvenir d'eux aussi : « Je bois pour me souvenir du goût du bonheur qui m'a été arraché un matin d'hiver sur une plaque de verglas ». L'alcool pour endormir ou stimuler une mémoire défaillante, construite sur des non-dits. Car Betty sent pertinemment que quelque chose de tragique lui échappe en dépit de séances chez une psychologue qui ne semblent pas l'aider. La situation aurait pu durer des années encore puisque son entourage ignorait son addiction mais, un matin, son père débarque chez elle à l'improviste et ne peut que constater, impuissant, l'état de délabrement qu'est celui de sa fille. Sorte d'électrochoc pour Betty, le sentiment de honte qui l'envahit alors lui donne le courage de trouver la réponse à sa question : « Elle est où Maman ? ».
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Dire que j'ai aimé ce livre est bien faible au regard de toutes les émotions ressenties à sa lecture ! Rarement je ne me suis autant identifiée aux personnages d'un roman sans pour autant que l'alcool soit ma tasse de thé ! En revanche, le sentiment de manque viscéral ressenti par Betty, son enfance auprès de grands-parents aimants, la recherche de ce qui la construite, et même l'attitude protectrice du petit garçon envers sa mère… autant de thèmes qui me touchent directement. Et pour les aborder, une écriture magistrale et bouleversante, celle de Cathy Galliègue qui confirme, après « La Nuit, je mens », son grand talent d'écrivain.
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Rares sont les romans qui abordent avec autant de pertinence ce drame vécu par beaucoup : celui de l'addiction à l'alcool. L'un des mérites de ce livre est de mettre en lumière de manière audacieuse ces femmes totalement dépendantes, qui mènent une vie sobre jusqu'au jour où un événement les fait basculer sans qu'une issue n'apparaisse possible, des personnes qui s'évertuent à cacher à leurs proches leur maladie. Et elles sont nombreuses.
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« Pendant quelques heures, je n'avais plus de passé, pas d'avenir, et c'est ainsi qu'enfin je respirais ». Ainsi s'exprime Betty. La dépendance à l'alcool ici, comme souvent, n'est que le résultat d'un mal-être profond, lié chez Betty au fait qu'une pièce maîtresse manque au puzzle de sa vie : abandonnée par sa mère à l'âge de 10 ans sans aucune explication, elle n'a jamais pu faire le deuil de cette absence. Alors, quand l'homme qu'elle s'est autorisée à aimer malgré la peur d'être à nouveau abandonnée disparaît, c'est l'implosion. Comment en aurait-il pu être autrement ?
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Si un enfant orphelin de l'un de ses parents peut néanmoins parvenir à se construire, il en est toutefois incapable lorsque la vérité lui est tue, lorsque l'imagination prend le pas sur une mémoire traumatisée. Et c'est justement le thème de la mémoire traumatique et de ses rapports avec l'imagination qui est extrêmement bien saisi par la fine écriture de Cathy Galliègue. le lecteur avance pas à pas dans l'histoire de Betty, au rythme où elle recouvre sa mémoire et sort des vapeurs embuées de l'alcool.
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« La mémoire est aussi menteuse que l'imagination, et bien plus dangereuse avec ses petits airs studieux ». Cette citation de Françoise Sagan, placée fort à propos en exergue de l'un chapitre du livre, se révèle particulièrement vraie : ce dont on ne se souvient pas, on l'imagine et bien plus encore, notre esprit façonne souvent ce dont on se rappelle, nous permettant de composer et d'avancer au mieux dans nos vies. Betty en fait douloureusement l'expérience, comblant autant que faire se peut les trous de son histoire, s'inventant des images, cherchant à évoquer des souvenirs grâce à des lieux, des odeurs, et des souliers rouges…
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Personne n'est programmé – j'en suis persuadée –, pour encaisser les coups du sort. Chacun d'entre nous se coltine à la vie de manière plus ou moins brutale, plus ou moins jeune... et avance. La vie est ainsi faite. Mais se construire sur des non-dits ou sur l'absence d'amour est tout simplement impossible et conduit nécessairement à une impasse. Comment Betty aurait-elle pu échapper à cette autodestruction honteuse alors que celle qui lui a donné la vie l'a abandonnée sans qu'elle en sache la raison, après avoir pu lui dire des atrocités telles « heureusement que t'es intelligente parce que t'es pas belle »… ?
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Pourquoi faut-il absolument lire cette pépite littéraire ? Parce qu'il nous secoue véritablement, et c'est assez rare. Parce que les thèmes qu'il aborde sont universels : le deuil, la mémoire, la filiation, la résilience. Et l'addiction. Il en est une à laquelle il vous sera difficile de résister après la lecture de « Et boire ma vie jusqu'à l'oubli », celle au style si fort et si juste de Cathy Galliègue qui me séduit tant, elle qui fait dire à son héroïne « Je veux de l'écriture balancée comme Fanny Ardant dans son trench couleur sable, ceinturée serrée, la voix si grave que sa féminité fait sauter les braguettes. de l'allure folle, du défi dans le menton au perché, et la détermination du talon aiguille qui écrase le pavé. Ça, j'en veux ! ».



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Betty a retrouvé Simon. Avec le même émoi qui la remuait quand femme avant l'heure à l'intérieur, elle s'abîmait le coeur en l'écoutant chanter Ma liberté, « devant [ses] volontés [son] âme était soumise », dernière année de colo à Saint-Malo. Betty a retrouvé Simon : il est des hasards qu'on appelle destin. Ce même destin qui le lui a arraché trop tôt, trop vite, un matin d'hiver. Il est toujours trop tôt pour ces adieux-là. Elle l'aimait, son Simon, avec la maladresse de ceux qui aiment trop, elle n'avait pas même prévu de lui survivre. Elle a repris le dialogue avec Françoise (Sagan), sa Françoise, qui fut un temps, semblait n'avoir écrit que pour elle. Qui d'autre pourrait comprendre ? Betty ravale son chagrin à coup d'alcool, puis sa honte, à coup d'alcool. Simon avait balayé les questions sans réponses, il n'y a plus que l'alcool qui réponde (à) présent. Comme pour partager son linceul, elle n'a pas changé les draps et se blottit dans ses chemises. Pour oublier, pour se souvenir. Et puis son père découvre le pot aux roses (au rouge ?), jusqu'où croyait-elle aller ? Avachie sur le trottoir de sa vie, cinq ans qu'elle ne va plus nulle part, que son fils verse seul ses céréales dans son bol le matin, et qu'elle perd consistance. Éthylosubstance.

Droite et fière, une paire de cerises sur l'oreille, la petite Betty ne cédait pas, ne mentait pas. C'est cette petite fille qui demeure en elle qu'elle va devoir laisser parler pour se relever. Il va lui falloir démêler ses jeunes années, parce que c'est bien là que tout a commencé :

« Elle est où, maman ?

— Elle est partie. »

À travers une Betty Songe toutes tripes dehors, l'auteur explore le pouvoir de la mémoire. Les absents n'ont jamais été aussi présents qu'autour de cette héroïne ravagée par la vie. Pied d'argile, sa mémoire traîtresse a repris ses droits à la mort de Simon. Où est partie cette femme trop attachée à sa sensualité pour regarder grandir sa fille ? La confiance viciée, ne demeurent de Betty que la veuve, la mère, et la gamine abandonnée, on a toujours besoin de l'amour de celui qui n'est plus là. C'est pourtant seule qu'elle va devoir panser l'oubli, (se) poser les questions, sans plus désinfecter les plaies, poser la bouteille.

Avec ce deuxième roman, qui met en lumière l'alcoolisme féminin, peu abordé dans la fiction, ces femmes qui se pensaient « plus fortes » mais qui souffrent plus qu'on en peut endurer et découvrent un jour que sans l'Autre, elles ne sont plus rien, Cathy Galliègue confirme son art de vous laisser sur le carreau, le coeur en tout petits morceaux, presque sans le faire exprès. Les références montent aux yeux, la beauté des mots fait dresser le poil. de page en page, elle donne tout avec naturel, avec ce qui bouillonne viscéralement en elle : la grâce.

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Vous dire que j'ai retrouvé avec plaisir la plume de Cathy Galliègue n'est pas assez fort.
Lors de la lecture de son premier roman j'avais été secouée par l'histoire car elle sortait des sentiers battus.

Alors dans ce nouveau roman autant vous dire qu'on entre dans une forêt dense faite de peurs et d'angoisses.

Betty est l'héroïne de ce nouveau roman. C'est une jeune femme qui a subi des malheurs conséquents dans sa vie et qui a trouvé refuge dans la boisson.

L'auteure nous présente aussi Raphaël, un petit garçon gentil et discret, en tout cas dans l'histoire, ainsi que le papa de Betty. C'est un homme qui a lui aussi eu des chocs dans sa vie et il essaie tant bien que mal de surmonter le tout.

Les mots de Cathy Galliègue vous entraînent forcément dans ce quotidien rempli de bouteilles mais intrinsèquement rempli d'amour. C'est viscéral, Betty vit parce qu'elle garde en elle de l'amour. Il ne suffit parfois pas de beaucoup pour éclairer un coeur.

L'histoire est troublante car il y a l'évocation de ce sujet tabou qu'est l'alcoolisme féminin mais au-delà il y a une histoire de famille faite de secrets.

Cette famille a beaucoup été esquintée par la vie et quelque part, attention je n'excuse pas, Betty avait besoin d'aller loin pour faire sortir ce poids qu'elle portait et qui interagissait avec son père et qui aurait eu des conséquences pour son fils. Elle a sombré dans l'alcool comme d'autres sombrent dans la drogue où je ne sais quels autres vices.

Doit-on lui jeter la pierre ?

Certainement pas… Et c'est ce que j'ai trouvé d'admirable dans ce roman. le père de Betty a permis, sans forcément avoir beaucoup d'actions à mener, de donner à Betty LE déclic. Il était présent et à son écoute. Il ne l'a pas sommé de faire telle et telle chose pour qu'elle s'en sorte. Non, il était simplement LA.

Ce roman est paradoxalement doux… Betty a su trouver la porte de sortie de cet enfer qu'elle se construisait mais combien n'ont pas la chance d'avoir autour d'eux les bonnes personnes au bon moment ?

J'étais heureuse que Betty s'en sorte et qu'elle retrouve un amour sain, passionnel aussi et qui lui correspond. J'ai aimé que l'on retrouve une sérénité dans la continuité de l'histoire même si on aurait pu s'attendre aussi à l'effet totalement inverse.

Evidemment depuis j'y repense...l'alcoolisme féminin est tabou et c'est un phénomène dont il est peu question dans les médias alors que les femmes ont autant besoin d'aide que les hommes à ce sujet.

Je ne vous cache pas que ce roman est un gros coup de coeur car une nouvelle fois Cathy Galliègue a fait preuve de bienveillance envers ses personnages tout en posant les mots justes sur leurs émotions. J'ai vécu extérieurement à ces personnages mais l'empathie était très présente et l'envie de faire quelque chose s'imposait de plus en plus.

Alors si je ne peux pas agir sur des personnages de romans peut-être que mon modeste avis peut aussi contribuer à dire à ces personnes malades qu'ils ne sont pas seuls…


Vous pouvez lire ce roman sans hésiter afin de retrouver la plume solide, franche et remplie d'émotions de Cathy Galliègue.
Une auteure à suivre et dont il faut parler car ses livres sont des romans contemporains axés sur l'Humain, pas forcément sur des sujets dont on a envie d'entendre parler mais qui sont absolument nécessaires.


Lien : https://leslecturesdelailai...
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critiques presse (1)
Lexpress
19 novembre 2018
Et boire ma vie jusqu'à l'oubli est empli de sanglots secs et de bonheurs fauchés net. La mère si divine lorsqu'elle tournoyait dans les kermesses de papier crépon, le coup de foudre pour un moniteur de colo épousé quelques fantasmes plus tard. L'une s'est volatilisée quand sa gamine Betty avait 10 ans, l'autre est mort dans un accident de voiture. Le chagrin, ça s'arrose.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Maman dansait quand le reste du monde gesticulait. Moi, petite fille, je rêvais d’être elle, un jour. Mais je crevais surtout d’amour pour elle. Quand l’élégance incarnée danse devant vos yeux, elle emporte avec elle le papier crépon, elle en fait de la dentelle, de la soie sauvage, et vous jette dans les yeux des oiseaux de paradis, des bals viennois, des tempêtes, des folies, de la joie et de la langueur. Elle savait faire cela, maman.
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Je déterre les morts, je les exhume à mains nues, je me couche contre eux et leur froideur me tient chaud. Je me roule dans leur terre, je refuse leur absence et je ne trouve l’apaisement que dans mes nuits d’ivresse.
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Nous nous sommes mariés et j'ai enfilé son nom comme une deuxième peau, une nouvelle identité qui me lavrait peut-être de l'abandon.
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J’émerge doucement. Les années qui passent creusent et creusent encore, me plantent de grands coups de pelle dans le crâne, remuent la vase, infatigables, me rappellent sans cesse qu’un jour, elle est partie et que moi du coup, je suis tombée dans un trou de mémoire. Construire sa vie là-dessus. Elle est partie.
C’est tout.
Rien devant, rien derrière. Et arrête avec tes questions !
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Regarder le passé, c'est prendre le risque de gommer la couleur des souvenirs.
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Videos de Cathy Galliègue (5) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Cathy Galliègue
Après des débuts professionnels dans le monde scientifique, en passant par la télévision en tant que présentatrice sur la chaîne de télévision Guyane 1ère, Cathy Galliègue se consacre désormais à l'écriture.
L'occasion de découvrir son profil atypique en vidéo !
Pour découvrir son dernier ouvrage, Contre nature, aux éditions du Seuil, c'est par ici : https://bit.ly/3aTdWYw
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