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EAN : 9782070145560
352 pages
Gallimard (05/11/2015)
3.75/5   24 notes
Résumé :
Sarah Reese, la fille d’un puissant juge de Washington, est retrouvée assassinée dans un taudis. Lorsque la police arrête rapidement trois adolescents noirs, le journaliste Sully Carter, ancien correspondant de guerre à la dérive, soupçonne que cette affaire dissimule bien d'autres implications. La mort de Sarah pourrait être liée à une série de crimes non élucidés – crimes pour lesquels la police a fait preuve de beaucoup moins de zèle... Alors que la population ré... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Elle était belle, elle était jeune, et sans doute était-elle riche aussi. du haut de ses 16 ans elle avait l'insouciance pour elle et le feu de la vie dans les veines. Quand en plus on est la fille du juge le plus en vue pour accéder à la Cour Suprême du pays, l'existence n'est qu'une farandole enivrante.
Alors elle virevolte et danse comme un papillon. La vie n'est que lumière.

Pourtant un soir, en sortant de son cour de danse et en attendant sa mère en retard, elle fait le mauvais choix, quitte la lumière et glisse. Dans l'abîme.

En pénétrant dans une épicerie de quartier elle est rapidement importunée par trois jeunes noirs. Elle s'enfuit alors par l'arrière-boutique, vers la conclusion trop rapide de sa courte existence.

Car c'est un corps sans vie que la police retrouvera. Sarah, la fille du juge Reese, assassinée et balancée dans une benne à ordures.

Voilà une affaire qui ne manque pas de faire grand bruit à travers les médias qui en font leurs choux gras tandis qu'une chasse à l'homme s'engage pour mettre la main sur ces trois jeunes blacks, premiers suspects de cette scabreuse affaire.

Lui n'est pas flic, mais journaliste. Ancien correspondant de guerre, Sully Carter dérive à vue, entre la rue, le sexe, l'alcool et ses mauvaises fréquentations.

S'il n'est plus le fringuant reporter de ses débuts, si pour certains de ses collègues il semble aujourd'hui dépassé ou à côté de la plaque, il n'en reste pas moins qu'il garde encore cet oeil affûté et cette plume aguerrie, qu'il sait si bien mettre au service des laissés pour compte d'une ville capitale qui oublie les plus fragiles d'entre les siens.
A cela se rajoute un entêtement à toujours aller au fond des choses, à débusquer la vérité là où elle se terre, même si pour cela c'est dans la fange la plus crasse qu'il faut parfois plonger son regard.

Justement, Sully s'interroge sur l'affaire Sarah Rees. S'agit-il réellement d'un crime crapuleux ou bien la mort de cette adolescente est-elle en lien direct avec les ambitions politiques de son père ?

dansePour en avoir le coeur net, le journaliste va se rapprocher du caïd du quartier qu'il connait bien. Un homme qui prospère dans le business illégal et pour qui, avoir du sang sur les mains n'est pas un problème si cela doit aller dans le sens de ses intérêts.

Et c'est sans doute pour cela que celui-ci n'hésite pas à balancer les trois jeunes à la police, histoire de relâcher la pression sur le secteur qu'il contrôle, car ce n'est jamais bon pour les affaires. Et tant pis si, comme il le confirmera au journaliste, les gamins n'ont rien à voir avec le meurtre de la fille Reese.

Sully va alors s'appliquer à lever des indices, faisant appel à ses contacts, et devra supporter les pressions toujours plus fortes qui viendront aussi bien des flics, des politiques que de sa propre rédaction à mesure qu'il avance dans ses investigations. Car L'affaire est sensible.
Et quand il finira par découvrir que d'autres jeunes filles sont mortes dans ce même périmètre, que les ramifications le conduiront vers des personnes qui n'ont rien de citoyens lambda, celle-ci finira par devenir carrément explosive.

Dans ce jeu dangereux de faux semblants, où les protagonistes évoluent en eaux troubles, difficile de savoir qui manipule qui, et de ne pas prendre le risque de se perdre ou de courir après une vérité qui n'est pas forcément la bonne.

Nelly Tucker, l'auteur, est elle-même journaliste depuis 25 ans. Elle a passé une grande partie de sa carrière à Washington à couvrir les affaires judiciaires, et c'est l'une d'elles qui lui a inspiré ce premier roman.

Autant dire qu'elle connait bien la capitale fédérale des Etats Unis et sait parfaitement retranscrire les frontières invisibles qui parcourent la ville .Une ville qui connait un des taux de criminalité parmi les plus importants du pays.
Sans être de la trempe d'un G.P Pelecanos, Nelly Tucker campe admirablement bien dans ce décor qu'elle maîtrise parfaitement , un personnage principal au cuir épais, qui depuis longtemps a perdu ses illusions de justice dans ce monde livré à la loi du plus fort et du plus malin et qu'il contemple d'un oeil acerbe mais résigné. Un bourlingueur des mots qui n'attends plus grand-chose de ses concitoyens mais qui obstiné, garde malgré tout, la vérité toujours en point de mire.

C'est un roman bien écrit, l'intrigue est bien emmenée, mais si le début est assez classique et prévisible, la seconde partie du roman, la plus intéressante, gagne en tension et finit par embarquer son lecteur jusqu'à un final que je trouve plutôt réussi.

Autant dire que l'auteur nous laisse entrapercevoir des qualités certaines qu'il conviendra de retrouver dans un prochain roman, histoire d'en connaître un peu plus sur l'univers de cet écrivain qui avec ce premier livre ne loupe pas la marche de son entrée dans le monde du polar.
Lien : http://www.passion-polar.com/
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Le corps d'une adolescente a été découvert dans une benne à ordure à la périphérie d'un quartier défavorisé de Washington. En sortant de son cours de danse elle s'était rendue dans une épicerie de quartier. Importunée par trois jeunes noirs, elle s'était enfuie par l'arrière de la boutique. Elle était la fille du président de la Cour Fédérale ce qui met la presse et la police en émoi. Les trois jeunes gens qui avaient ramassé le portefeuille qu'elle avait laissé tombé dans sa fuite sont rapidement appréhendés, la police tient les coupables idéals. Mais Sully Carter, un journaliste d'investigation, ancien reporter de guerre ne croit pas à leur culpabilité car dans le périmètre restreint autour de l'épicerie plusieurs femmes ont été portées disparues et de plus un truand local ne croit pas non plus à leur culpabilité.

Le journaliste va arpenter les rues pour dénicher des témoignages sur les multiples affaires. A peine à-t-il commencer son enquête que le corps d'une femme portée disparue est retrouvé sous le plancher d'une maison abandonnée. Il est conforté dans son idée que tout est lié. Mais son enquête ne sera pas facile car une de ses supérieures ne croit pas à ses allégations.

L'enquête est bien conduite par l'auteur qui plonge le lecteur dans les pas du journaliste au fil de la découverte d'indices. Certes on est avec un meurtre survenu dés le début du récit une enquête pas à pas ce qui donne un policier tout ce qu'il y a de plus classique mais la pointe de roman noir donne un plus au récit.

Le personnage central est un dur à cuire dans la lignée des romans noirs, à la fois obstiné, opiniâtre mais blasé par un système sociétal défavorable aux minorités. L'auteur dresse avec ce personnage un portrait réaliste de la société dans lequel il évolue, avec des centaines de meurtres et des milliers de disparitions qui plonge le lecteur dans une ambiance sombre à souhait. Les autres personnages sont assez bien dépeints quoique pour certains parfois avec des traits à la limite une peu caricaturaux qui semble sortis tout droit d'un film.

On voit que l'auteur connaît bien les rouages du journalisme d'investigation ce qui se ressent dans une écriture juste et directe.


Un polar sans compromis qui dépeint une société ou plus rien ne va. L'intrigue est bien menée quoique dans sa première partie assez prévisible mais avec un final très réussi.

Lien : http://imaginaire-chronique...
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Je suis très surpris de la mauvaise moyenne des critiques sur ce livre. En effet, il mérite pour ma part un bon quatre étoiles.
Dans ce polar social, on suit l'enquête d'un journaliste, Sully Carter, qui se retrouve confronté à la mort d'une fille de juge, homicide qui cache peut-être une vérité plus dérangeante.
J'ai beaucoup aimé les descriptions urbaines de Washington, qui montrent parfaitement la misère inhérente aux quartiers populaires de la capitale américaine. La condition humaine est plutôt bien traitée aussi, à travers les trajectoires nettement moins brillantes des membres de la communauté hispanique ou afro-américaine par rapport aux cercles du pouvoir et de l'information.
Quand j'ai su qu'il s'agissait d'un premier roman, j'ai été d'autant plus interloqué. L'auteur transforme parfaitement ce premier essai dans le monde du polar.
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Mes dernières incursions en territoire polar furent très décevantes alors j'ai jubilé en lisant celui-ci.
C'est le premier roman de Neely Tucker et c'est franchement très efficace.
Retour en arrière puisque l'action se situe à la fin de l'ère Clinton. Une jeune fille blanche a disparu, ça c'est courant mais c'est la fille d'un juge qui allait être nommé à la Cour Suprême, évidement les choses du coup prennent une autre tournure.

Sarah Reese après son cours de danse s'est rendue dans un petit supermarché, là elle a été prise à parti par trois ados noirs, quelques heures après son corps est retrouvé dans la ruelle derrière le market.

Un polar oui mais son héros est un journaliste, Sully Carter, un fouille-merde comme les appellent les flics, mais celui-là est un tenace, la médiatisation de l'intéresse pas, il se tourne vers ses indics, si je vous dis qu'en plus il a eu maille à partie avec le juge Reese vous savez tout ce qui est nécessaire pour vous donner envie de lire ce polar

C'est d'une grande efficacité, les bas-fonds qu'ils soient ceux des mafieux mais aussi ceux des politiques sont parfaitement mis en scène.

Et à force de recoupements qu'il fait grâce à une grande carte sur un mur de son bureau, vous avez compris que ce n'est pas un fan de technologie, il fait apparaitre un tout autre tableau de la disparitions de Sarah Reese.
Bien sûr il est un rien alcoolo ce journaleux, il faut dire qu'il était en Bosnie et qu'il en garde quelques séquelles, nobody's perfect !

Allez y de confiance c'est efficace, la traduction est bonne, la photo de la société américaine est très réussie et j'espère bien retrouver ce héros et cet auteur prochainement.

Lien : http://asautsetagambades.hau..
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Le lecteur a droit à un très bon policier pour lequel l'auteur nous conte ce qu'il pratique sur le terrain au quotidien dans sa profession habituelle puisqu'il est journaliste d'investigations.
Dans ce roman, il se base sur des faits réels qu'il met à sa sauce et je dois avouer que la sauce m'a goûtée, j'en reprendrai volontiers :-)
Il met également en scène la manière dont la police américaine gère ses investigations policières, et comme ce n'est pas le premier livre que je lis sur le sujet, je dois bien avouer que je suis convaincue que cela se passe effectivement comme cela et en conclusion, je suis certaine que je n'aimerais pas être une victime aux Etats-Unis.
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critiques presse (1)
LaPresse
24 février 2016
Ce roman est la preuve qu'avec un peu d'imagination et de savoir-faire, on peut prendre une thématique éculée (un tueur de femmes) et en faire une histoire tout à fait originale et passionnante.
Lire la critique sur le site : LaPresse
Citations et extraits (19) Voir plus Ajouter une citation
Il faisait sombre à l'intérieur. Sarah ralentit son allure pour permettre à ses yeux de s'adapter. Elle s'engouffra dans la première allée, puis marcha vers les unités réfrigérées au fond du magasin. L'endroit lui parut légèrement flippant et étouffant. Les étagères débordaient de rouleaux de papier toilette, de légumes en conserve, de petites saucisses en boîte et d'autres produits plus ignobles encore. Avec sa lumière pâle, son sol en linoléum jauni, cette odeur de tabac froid, de linge sale, de bière renversée et de désinfectant, la boutique lui évoquait une maison hantée. Des filles plus âgées lui en avaient parlé dès la fin de son premier cours au studio de Regina, au printemps précédent. Elles lui avaient dit que la vieille avec la choucroute sur la tête qui tenait la caisse vendait des cigarettes et de l'alcool sans poser « la moindre putain de question », pour reprendre les propos de Letitia. Cette petite balade lui donnait l'impression d'être plus grande. Elle trouvait excitant de faire quelque chose à l'insu de ses parents.
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— C'est parce qu'il y en a un. Hastings bute les gens et s'en sort chaque fois, déclara Eva d'un ton énervé. En même temps, vu sa tête… On dirait un vrai rat de bibliothèque. Il a même des petites lunettes rondes à la John Lennon. Tu sais que monsieur a passé tout son dernier procès le nez dans un bouquin ? Cane, de Jean Toomer… Ce connard s'est même amusé à écrire des commentaires en marge.

— Tu sembles douter de son intérêt pour la Renaissance de Harlem…

— Les goûts littéraires d'un chef mafieux de quartier volent rarement au-dessus de Penthouse Letters.

— Tu es sûre de ce que tu avances ? Parce qu'on parle de trois procès dont deux se sont soldés par un jury sans majorité, et l'autre par un acquittement. Je ne voudrais pas me pencher sur ce dossier si jamais le type n'est qu'un petit joueur.

— Alors, ne le fais pas…

— Mais tu es absolument convaincue de ce que tu avances ? Tu penses vraiment qu'on a affaire au grand méchant loup ?

— Je ne pense rien. Je l'affirme.
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C'était le 1er octobre. Dans trois mois, le XXe siècle toucherait à sa fin. Les feuilles s'embrasaient de jaune, d'ambre, de rouge, et d'orange foncé. Les couleurs étaient encore luxuriantes à ce stade de l'automne, même si le vent de la baie de Chesapeake charriait les traces des premiers froids. Sarah trouvait cette fraîcheur agréable, presque stimulante. Elle lui donnait la chair de poule. C'était vendredi soir. Le ciel, noir à l'est, dessinait un arc indigo, puis orange et rose à l'ouest, sur l'horizon. Elle était censée retrouver Michael plus tard, une fois ses parents couchés. Cette pensée la fit frissonner malgré elle. À moins que ce ne fût le froid. Mais ses yeux pétillaient. Elle arriva sur le petit parking devant Doyle's Market, la supérette du coin. C'était une vieille baraque branlante en brique à la peinture bleue écaillée et au toit affaissé… Les clochettes accrochées à la porte en verre tintinnabulèrent à son entrée.
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Elle expira lentement pour essayer de se calmer, et commença à basculer son poids en arrière. Elle se baissa ensuite en pliant la jambe droite, les bras le long du corps, jusqu'à ce que son gros orteil se replie et que son genou glisse sur le linoléum. Elle attrapa une première pièce sur sa gauche, et une deuxième sur sa droite, près d'un porte-revues. Elle trouva la dernière quelques centimètres plus loin dans l'allée. Elles étaient toutes tournées côté face. Aucun détail ne lui échappait, bizarrement. Elle s'appuya sur son gros orteil, puis sur son pied gauche et se releva en étirant bien le dos et la nuque. Elle ne sentit pas son portefeuille tomber de sa poche tandis qu'elle se redressait, ni le garçon derrière elle – celui qui parlait mal – tendre tranquillement la main pour s'en emparer.

— Tu as récupéré toute ta monnaie, chérie ?
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Sully observa Eva Harris, sa partenaire de dîner. Eva avait bossé huit ans à la criminelle, et ça faisait quinze ans qu'elle était à l'agence de police fédérale.

— Mais dans ce cas, pourquoi les jurés… Pourquoi ils ne l'ont pas condamné pour le meurtre de Fat Chucky ? demanda-t-il.

— Légitime défense, répondit-elle.

— Comment ça, légitime défense ?

— Légitime défense contre Fat Chucky. Hastings a déclaré sous serment que Chucky voulait l'obliger à se « soumettre sexuellement ».

— À dix heures du matin ? Dans l'enceinte de la prison de Washington D.C. ?

— C'est ce qu'il a certifié.

— Comment Hastings s'est-il défendu ?

— Avec une barre d'haltère de cinq kilos trouvée dans la salle de sport de la prison.

— Et il aurait battu à mort Chucky avec ?!

— Oh oui. Battu à mort, et bien comme il faut
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Video de Neely Tucker (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Neely Tucker
En quête de bons livres à lire ? Découvrez l'actualité de Babelio et les livres du moment en vidéo.
Ce mois-ci, on s'est intéressés aux couvertures de livres, et surtout, à ce qui fait qu'un livre peut d'abord nous attirer à travers sa couverture. En début de vidéo, Pierre et Nicolas reviennent sur une étude Babelio sur le livre en tant qu'objet, et vous proposent quelques exemples de livres dont ils ont particulièrement apprécié les couvertures dernièrement. le reportage suit cette idée, avec le témoignage d'un libraire et de trois lectrices, qui nous expliquent leur rapport aux couvertures des livres qu'elles lisent et achètent.
Retrouvez aussi une présentation des différents défis de lecture 2020 sur Babelio, ainsi que nos interviews récentes…
0:01 Présentation du sujet par Pierre et Nicolas Notre étude sur l'aspect physique des livres : https://babelio.wordpress.com/2018/10/15/couvertures-quatriemes-de-couvertures-bandeaux-quen-pensent-les-lecteurs/ Notre liste (très subjective) des 25 plus belles couvertures de livres de 2019 : https://babelio.wordpress.com/2019/12/30/les-plus-belles-couvertures-de-livres-de-2019/ Les livres présentés : Ben Marcus, ‘L'Alphabet de flammes' : https://www.babelio.com/livres/Marcus-Lalphabet-de-flammes/575718 Jean-Marie Blas de Roblès, ‘Dans l'épaisseur de la chair' : https://www.babelio.com/livres/Blas-de-Robles-Dans-lepaisseur-de-la-chair/953393 Capucine et Simon Johannin, ‘Nino dans la nuit' : https://www.babelio.com/livres/Johannin-Nino-dans-la-nuit/1109603 Jamey Bradbury, ‘Sauvage' : https://www.babelio.com/livres/Bradbury-Sauvage/1111399 Patrice Gain, ‘Le Sourire du scorpion' : https://www.babelio.com/livres/Gain-Le-Sourire-du-scorpion/1191031
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