Un bel accord éditorial entre poésie et peinture, somptueux et onirique.
Lire la critique sur le site : Culturebox
Elle se décrivait «petite comme le roitelet», mais c’est une immense poète que l’Amérique a consacrée dès le début du XXe siècle en la personne d’Emily Dickinson.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Un hommage somptueux. [...] Une confrontation choc, qui invite à un doux voyage.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
[Cet ouvrage] réussit cette opération mystérieuse à chaque nouvel appareillage entre un poème pleine page, comme arraché au blanc qui l’entoure, et une peinture en vis-à-vis, reproduite avec une précision éblouissante.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Un choix de textes magistralement illustré par les peintres modernistes met en lumière l’œuvre incandescente de la plus grande poète américaine du XIXe siècle.
Lire la critique sur le site : LaCroix
Dans une quête comparable, Arthur Dove fait l’inventaire des collections inépuisables de la nature : sa flore et sa faune, ses schémas de croissance et ses systèmes interconnectés. Il organise les formes du vivant en créant des motifs intelligibles et épurés inspirés des enseignements japonais sur l’harmonie de la composition. La peinture de Charles Burchfield saisit peut-être davantage que toute autre l’essence unique de la poésie de Dickinson et son rapport au territoire américain. Ses œuvres visionnaires s’inspirent de sujets ordinaires rencontrés dans la campagne de l’Ohio et de l’ouest de l’État de New York — une graine de pissenlit portée par le vent, une maison délabrée, une ondée, un champ de fleurs sauvages ou encore une araignée tissant sa toile, entourée de papillons.
Payot - Marque Page - Anne Guillemet - Poésies d'Emily Dickinson