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EAN : 9782412031285
228 pages
First (21/03/2019)
2.17/5   3 notes
Résumé :
La fabuleuse histoire d'une écrivaine devenue médium

Mariée à l'homme dont elle est tombée amoureuse à quatorze ans, prise par sa vie d'écrivain, d'épouse et de mère de famille, Martine Le Coz a longtemps passé sous silence un don extraordinaire : celui de percevoir le monde invisible qui nous entoure.
La mort brutale de François, son époux, va la mettre devant le fait accompli : quelques semaines après son décès, il lui apparaît dans le salon.... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Et la boucle est bouclée ! Dans son fabuleux ouvrage « Au-delà de l'impossible » consacré en partie à Nikola Tesla et aux communications médiumniques, Didier van Cauwelaert citait fréquemment deux médiums : Geneviève Delpech et une certaine Martine, recevant à tour de rôle des messages de Nikola Tesla. Grâce à la dernière opération Masse Critique, j'ai découvert que Martine n'est autre que Martine Le Coz, écrivaine et dessinatrice vivant à Amboise, qui a obtenu le prix Renaudot pour son roman « Céleste » en 2001.

« Une petite mesure d'inachevé » est un ouvrage à part, un témoignage édité dans la collection des Témoins de l'extraordinaire parrainée par Didier van Cauwelaert. Martine Le Coz y relate les événements extraordinaires qui émaillent sa vie depuis plusieurs années, particulièrement depuis le décès de son mari François. Synchronicités, apparitions de défunts, communication par pendule interposé avec des entités identifiées comme Nikola Tesla ou Gilles de Rais, guérison d'humains ou d'animaux par imposition des mains... Martine le Coz touche à de nombreux domaines. Elle décrit ses expériences avec beaucoup d'humilité et de précautions, ne cherchant pas à convaincre le lecteur mais se contentant de lister les événements dont elle est l'auteur ou le témoin.

Bien que les expériences soient classées par thème ou par personne, j'ai été déconcertée par le manque de structure du récit qui va et vient dans le passé, s'envole parfois dans des considérations abstraites ou religieuses (notamment sur les témoins de Jéhovah dont Martine Le Coz a fait partie) et a une agaçante tendance au name-dropping... A l'accumulation d'événements et de détails, j'aurais préféré la description plus approfondie de quelques situations, afin de fluidifier la lecture et de rendre le propos plus percutant.

Aux amateurs d'extraordinaire cherchant une première lecture sur l'au-delà ou l'après-vie, je conseillerais plutôt « Les morts nous parlent » du père François Brune, ou les ouvrages très didactiques de Patricia Darré. « Une petite mesure d'inachevé » pourra venir en complément ; le témoignage de Martine Le Coz est rempli de courage, d'énergie et de bienveillance. Merci à Babelio et aux éditions First pour cette nouvelle virée dans l'au-delà et ses mystères.
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Tout d'abord merci à Masse Critique et aux Editions FIRST de m'avoir permis de découvrir ce livre qui je l'avoue me déconcerte un peu.
Passionnée par tout ce qui touche à l'ésotérisme, le spiritisme, j'espérais trouver à travers les nombreux témoignages de Martine Lecoz la confirmation que la disparition d'une personne n'est pas une fin, et de ce côté-là je ne suis pas déçue.
Mais ce bouquin est très technique et s'adresse à un public très ciblé.
De nombreuses personnes sont citées au fil des pages par l'auteure, qui intercale également des souvenirs très personnels.
Bon ! je retiens donc que Martine le Coz et son frère ont été confrontés très tôt à des phénomènes paranormaux, puisque leur mère, une nuit, a eu à l'âge de 17 ans la vision de sa propre mère. « une simple apparition pour un adieu, Anne Marie venant de décéder.
On avance dans le temps ; la vie familiale s'installe. Martine le COZ et son mari François vivent à Amboise, à proximité du château dans un grand manoir.
Le couple connaît énormément de monde et « Martine » met petit à petit son talent et ses pouvoirs au service des personnes qui lui sont proches ou inconnues, au service des animaux également.
Et puis son mari, qui avait contracté une forme mortelle du paludisme au cours d'un voyage au Togo décède brutalement.
Deux mois après sa mort il lui apparaît dans leur maison, « debout entre les deux fauteuils du salon à travers le colombage qui sépare cette pièce de l'entrée »
Elle confectionne alors un pendule pour pouvoir dialoguer avec lui ;
le contact « établi », il ne cessera pas de la guider et de la soutenir.
Elle va également se découvrir des talents de guérisseuse et soulagera ainsi beaucoup de souffrances, notamment grâce à l'imposition des mains qu'elle pratique régulièrement. Parmi les nombreuses références citées dans ce livre un nom a particulièrement retenu mon attention, « Nikola TESLA ». Souhaitant rédiger une biographie de cet inventeur célèbre peu connu disparu en 1943 (je me suis un peu documentée) Martine le Coz a réussi à l'aborder à l'aide de son pendule. Un très long échange va s'instaurer à partir d'octobre 2008
D'autres noms également ayant une place dans ce récit :
Thomas EDISON
Gilles DE RAIS, grand criminel ayant combattu aux côtés de Jeanne d'Arc
Gonzague SAINT BRIS
entre autres.
Voilà !
Je vais terminer sur une pointe d'humour
Formidable bouquin très bien documenté (Bravo Martine le Coz pour cet énorme travail), mais qui demande pour sa lecture énormément d'attention et de concentration.
Il est donc très difficile à lire l'été sur une plage…


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Martine le Coz, écrivaine primée en 2001 (Prix Renaudot) pour son roman Céleste et dessinatrice, nous livre ici ses expériences avec le monde de l'Invisible notamment ses contacts avec Gilles de Rais et Nikola Tesla et son don de guérisseuse par l'imposition des mains.
J'ai été déçue par ce témoignage qui manque cruellement de structure et de narration. Les expériences et souvenirs sont jetés pêle-mêle et donnent une impression "catalogue". Certains chapitres (notamment les premiers portant sur les considérations religieuses de l'auteure) sont nébuleux voire inintelligibles ce qui a pour effet de perdre le lecteur.
Si certaines expériences de l'auteure sont intéressantes et nous ouvrent les portes de l'Invisible, ce témoignage aurait gagné à être plus narratif et structuré.
Je remercie Babelio et les éditions First de m'avoir fait découvrir ce livre de la collection des Témoins de l'Extraordinaire dont j'avais particulièrement apprécié le témoignage de Valérie Sainpaul (Je suis leur intermédiaire) que j'ai rencontrée à la suite de ma lecture.
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Le caractère fortuit et souvent gratuit des expériences extraordinaires doit-il les rendre suspectes ? Au moins délogent-elles l’intelligence engoncée dans ses conditionnements. Au moins nous sauvent-elles de l’illusion d’avoir tout compris ou de pouvoir tout comprendre.
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Video de Martine Le Coz (3) Voir plusAjouter une vidéo

[Prix Goncourt et Renaudot]
Reportage. le prix Goncourt a été décerné à Jean-Christophe RUFIN pour son roman "Rouge Brésil", publié chez Gallimard, et le prix Renaudot à Martine le COZ pour son roman "Céleste", paru aux éditions le Rocher.Ainsi que le veut la tradition, l'annonce des résultats du Prix Goncourt a été faite au restaurant Drouant à 12h45. Cette année, l'écrivain Didier DECOIN a été chargé par...
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