Harriet est la fille d'un pasteur méthodiste, élevée de manière rigoureuse. Lorsque son père décède, sa tante maternelle l'envoie chez les Tribble, autant pour qu'elle trouve un mari que pour se débarrasser d'elle… Mais Harriet est à mille lieues des les « pupilles » habituelles d'Effy et Amy, et lorsqu'elle rencontre Lord Marsham sur la route de Londres, tout ce qui l'intéresse, c'est qu'il l'aide à sauver un chaton…
Amy et Effy vont donc avoir fort à faire avec Harriet, tout en soupirant auprès de leurs amis, et alors qu'une menace pèse sur elles…
Haaaannn… Mais comment ça, c'est le dernier tome ??? Bon, toujours est-il qu'il n'aura pas changé la face du monde littéraire, évidemment, qu'il respecte les caractéristiques bien établis par
M.C. Beaton dans les tomes précédents : une ingénue à « corriger », un aristocrate pas toujours respectable mais riche et convoité par toutes les mères des débutantes, un jeu du chat et de la souris. Mais ce sont toujours les personnages des soeurs Tribble, qui permettent à ces romans de sortir du lot. Et d'autant plus dans celui-ci, qui est vraiment comme un petit bonbon, que l'on finit à regret. J'ai ri, j'ai frissonné aussi, et j'ai surtout adoré le chat . Il est donc maintenant temps de dire laisser les jumelles à leur bonheur, et c'est tant mieux !