Deuxième volume de la trilogie Les Dents noires avec toujours l'histoire de l'imprimerie entre les villes de Lyon et de Venise - deux villes intimement liée dans ce domaine - à l'époque de la Renaissance.
Dans le présent volume,
Héliane Bernard et
Christian- Alexandre Faure s'attachent plus à développer l'aspect culturel c'est-à-dire la peinture, le théâtre, la poésie, la littérature, la philosophe qui ont fait la "gloire" de la Renaissance Renommée qui a pris tout son essor grâce à l'imprimerie.
Malgré tout, la découverte d'un nouveau monde - le continent américain par
Christophe Colomb en 1492, et, baptisé America en l'honneur d'Amérigo Vepucci ainsi que les recherches - toujours d'actualités pour les navigateurs ayant pris le relais de C. Colombe, de Magellan et A. Vespucci - afin de trouve la route menant aux Indes ne sont pas en reste, et, continuent de plus belles.
Au passage, le lecteur assiste à la bataille sans merci que se livrèrent l'Espagne, le Portugal, et, la France pour le partage de ce nouvel eldorado tout en débarquant sur ses côtes afin de coloniser, d'évangéliser les peuplades au passage mais, sans oublier de mettre la main basse sur l'or, et, autres richesses trouvés.
Via de "simples" traités politiques, philosophies critiquant les sociétés, les gouvernements européens (réf. à
Utopia de
Thomas Moore), on assiste également à l'émergence de cités, de communautés idéales dans lesquelles les hommes seraient égaux. Malheureusement, celles ci ne virent jamais le jour dans la réalité, et, ne restèrent pour la plupart des idéalistes qu'un simple rêve, qu'une simple utopie.
Enfin bref, un deuxième tome aussi excellent que le premier. En ce qui me concerne, j'attends avec impatience la parution du troisième tome.