La sérénité de la belle jaquette en front de mer n'augure en rien de la noirceur de cette histoire policière très réussie. Attirée par un trait de dessin très figuratif, je suis entrée dans cette quête de fille perdue avec un réel plaisir.
Dans les pas de Hugo qui recherche son coup de foudre disparu, de cet autre, plus âgé, quidam inquiétant assez louche qui, lui aussi, semble en recherche d'une personne évaporée, le lecteur se balade sur les routes espagnoles surchauffées, croisant des personnages aux tronches improbables.
Usurpation d'identité, intrigues parallèles, faux-semblants, narration à tiroirs, ambiance de vieux polar... Jusqu'au twist final,c' est une bande dessinée bien sympathique, autant pour son scénario que pour son dessin.
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Une histoire de quiproquos, de malentendus, de fausses pistes et de fausses identités à laquelle j'ai eu du mal à adhérer. le tout est confus, sans grand relief et d'une trame bien élimée.
Les personnages ne sont ni attachants ni sympathiques, l'histoire est rocambolesque et les dessins ne sont vraiment pas ma tasse de thé...
Je ferme cette BD et je l'oublie sans regrets.
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Emprunt sur biblio numérique. Très intriguée par ce titre et cette couverture paisible, je n'ai lu le résumé qu'en diagonal. Les dessins ont un côté désuet mais qui ne manquent pas de charme grâce au travail du coloriste. On est dans une histoire au début calme qui se déroule très facilement et puis, à un moment donné, un twist apparaît. le twist qui vous amène à douter de la lecture de la BD, ai-je vraiment compris que la jeune femme que je poursuis est la femme recherchée ? Qui est Seguso ? La transition entre ce qu'on en lit et la réalité où veulent nous mener les auteurs est trop douce à mon goût car le doute subsiste jusqu'à en avoir la confirmation. J'aurai pu "aimer" mais je n'ai fait qu'"apprécier".
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Publiée une première fois en 1995, la nouvelle édition de "Belle comme la mort" peut être une occasion de redécouvrir ce polar/bd qui nous mène par le bout du nez jusqu'à la dernière bulle.
Ce voyage dans l'Espagne des années 1990, est par ailleurs servie par un camaïeu de couleurs chatoyantes, propres à donner une belle atmosphère.
A lire ou a relire!
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L'histoire est assez compliquée, on croit comprendre... puis ça repart dans un autre sens. C'est au final assez noir et dur. Il y a de jolies choses mais aussi du très mal. le graphisme ne m'a pas trop séduite.
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Affaire d'état : « affaire politique qui implique des membres du gouvernement d'un État ou de plusieurs États ». Elles foisonnent, aucun pays n'y échappe et pourtant elles sont régulièrement occultées. S'inspirant librement de la réalité des faits, Philippe Richelle se propose de revisiter dans Affaires d'États, trois événements qui ont ébranlé l'État français dans les années 60, 70 et 80. Chacune de ces décennies aura le droit à un cycle indépendant – composé de quatre tomes – qui sera mis en images par un dessinateur différent : Régis Penet pour Guerre froide, Pierre Wachs pour Extrême droite et Alfio Buscaglia pour Jihad. Une série-concept ambitieuse de polars historiques et d'espionnage soutenue par une publication exceptionnelle puisque les trois premiers tomes sortiront le même jour.
Disponible en librairie !
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