Adolescente mal dans sa peau, j'avais 13 ans lorsque j'ai lu pour la première fois «
Solaris »… À l'époque, cette incompréhension totale avait eu un monstrueux écho en moi…
Lorsqu'en 2002 je me suis précipitée voir le film de Soderbergh, je n'étais plus une ado, mais le film et la thématique ont ravivé des angoisses et des questionnements, propres à l'étudiante en communication que j'étais alors.
Merci à Bifrost, à
Erwann Perchoc et à L'épaule d'Orion pour m'avoir fait découvrir la galaxie derrière
Solaris et avoir dévoilé et mis les mots qui me manquaient sur l'oeuvre et l'homme
Stanislas Lem.
Ce dossier m'a enthousiasmée et, une fois n'est pas coutume, occulté les nouvelles de ce numéro.
Du coup, j'ai lu avec attention TOUTES les rubriques, y compris le règlement de compte à OK Corral avec le GPI… Hi Hi Hi ! Allez les gars ! Je suis sûre que l'on peut régler ça à coups de sabres lasers sur des cannettes de bière (vides !).