Boileau-Narcejac/5
28 notes
Résumé :
Les Hibiscus... Une maison de retraite quatre étoiles, sur la Côte d'Azur...
Le calme et la sécurité assurés ; l'imprévu interdit... Autrement dit, le dernier endroit où puissent se donner rendez-vous l'amour, le mystère et le crime...
Et pourtant...
Le calme et la sécurité assurés ; l'imprévu interdit... Autrement dit, le dernier endroit où puissent se donner rendez-vous l'amour, le mystère et le crime...
Et pourtant...
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Critiques, Analyses et Avis (6)
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Les caractères des principaux acteurs sont analysés de façon psychologique. le narrateur et principal personnage nous révèle toutes ses pensées et interprétations de crimes. Ce ne sera qu'à la fin que l'on connaîtra et comprendra le vrai déroulement de l'histoire. Beaucoup de suspense et de diaboliques inventions.
Un huis clos dans une maison de retraite pour gens bien pourvus, "Les Hibiscus", où les seuls événements notables sont le décès des pensionnaires et leur remplacement par de nouveaux arrivants. C'est ainsi que Michel et Lucile vont faire connaissance et voir renaître les feux de l'amour, jusqu'au jour où le doute s'installe chez Michel, à la suite de plusieurs décès consécutifs dont la cause accidentelle lui semble peu crédible. Boileau et Narcejac, les célèbres auteurs des "Diaboliques", nous ont concocté là un de ces polars à leur façon, réussissant jusqu'au bout à tromper le lecteur le plus attentif…
Une approche cynique du quatrième âge dans une maison de retraite de luxe. Mais si le vieux narrateur a perdu l'espoir, il n'a pas perdu la boule et l'arrivée d'une jeunesse de soixante ans puis trois morts suspectes parmi les pensionnaires vont lui donner un bon coup de fouet.
Un contrepoint mordant au roman de Frédérique Deguelt, La grand-mère de Jade.
Un contrepoint mordant au roman de Frédérique Deguelt, La grand-mère de Jade.
roman de 1979
forme romanesque : le journal d'un riche retraité de 76 ans, Michel Herboise
Le narrateur vit dans une maison de retraite de haut standing , mais désormais seul au monde ( sa femme l'a quitté et il n'a jamais vu son petit fils auquel il lègue cependant sa fortune par testament) il s'ennuie et veut mettre fin à ses jours
Un contretemps survient : un couple s'installe aux Hibiscus et l'épouse de 62 ans est installée à la table de Michel qui en tombe amoureux mais s'imagine ensuite que la belle, qui elle aussi a un faible pour lui est sans doute une meurtrière.
Délire paranoïaque ou réalité ?
forme romanesque : le journal d'un riche retraité de 76 ans, Michel Herboise
Le narrateur vit dans une maison de retraite de haut standing , mais désormais seul au monde ( sa femme l'a quitté et il n'a jamais vu son petit fils auquel il lègue cependant sa fortune par testament) il s'ennuie et veut mettre fin à ses jours
Un contretemps survient : un couple s'installe aux Hibiscus et l'épouse de 62 ans est installée à la table de Michel qui en tombe amoureux mais s'imagine ensuite que la belle, qui elle aussi a un faible pour lui est sans doute une meurtrière.
Délire paranoïaque ou réalité ?
Une amie m'a donné des livres qui appartenait à son papa et parmi les livres j'ai découvert ce livre de Boileau-Narcejac.
L'histoire se passe dans maison de retraite paisible ''Les hibiscus'' sur la côte d'Azur.
Ce huit-clos se lit très bien, l'intrigue est bien menée et la fin est surprenante ! Je n'en dirai pas plus, je vous invite à lire ce roman ''Carte vermeil'' !
L'histoire se passe dans maison de retraite paisible ''Les hibiscus'' sur la côte d'Azur.
Ce huit-clos se lit très bien, l'intrigue est bien menée et la fin est surprenante ! Je n'en dirai pas plus, je vous invite à lire ce roman ''Carte vermeil'' !
Citations et extraits (2)
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Ce qui nous est interdit désormais, c'est de vibrer à l'unisson, de partager les effrois des autres...Nous sommes les parleurs de drames qui ne nous concernent plus.
Agir, c'est coller à la durée. Vieillir, c'est lui lâcher la main. D'où l'ennui.
Videos de Boileau-Narcejac (5)
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1960. Meurtre en 45 tours, film français réalisé par Étienne Périer, d'après le roman À cœur perdu, avec Danielle Darrieux, Jean Servais et Michel Auclair.
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