« Les auteurs s'interrogent sur la prévention […] et sur la difficulté à rendre justice […]. L'un des intérêts de l'ouvrage est également de s'attarder sur le traitement médiatique de ces crimes, perpétrés sur des femmes comme sur des enfants. Tandis que certaines associations humanitaires les instrumentalisent pour attirer I'attention, ils sont souvent traités en dernier et disparaissent très vite des journaux. »
(
Anne-Cécile Robert, le Monde diplomatique, avril 2016)
« Un ouvrage collectif intitulé "Le viol une arme de terreur. Dans le sillage du docteur Mukwege" […] aborde la question du viol dans l'est du Congo. Dans sa préface, le célèbre docteur Mukwege, l'homme qui répare les femmes, tente une première explication : "L'est du Congo est incontestablement l'une des régions les plus riches en minerais." […] »
(Revue Espace de Libertés, janvier 2016)
L'ouvrage a servi de base à un article de la sociologue
Véronique le Goaziou intitulé "Les viols de guerre… encore et toujours", publié sur le site "Délinquance, justice et autres questions de société", le 19 décembre 2015.
« Un livre assez étonnant, […] avec des textes à la fois de fiction comme celui de Jean
Bofane, et des textes purement journalistiques comme celui de
Colette Braeckman, et aussi des textes médicaux. On a donc mélangé les genres, ce qui est assez rare dans ce type de bouquins. »
("Livrés à domicile" (RTBF), Les choix de
Thierry Bellefroid, 7 décembre 2015)
« Un ouvrage collectif qui analyse les viols au Kivu, la reconstruction des femmes et des communautés après le viol et aussi les moyens d'inverser la tendance : justice, protection des victimes, information, protection et résistance aussi. »
(Entretien de
Colette Braeckman avec Simone Reumont, « Afrik'Hebdo », La Première (RTBF), 31 octobre 2015)
« Il est des crimes qu'on ne peut pardonner. le viol en est un. Même si, physiquement, la médecine peut “réparer” quelque peu les blessures, les victimes ne s'en remettent jamais. Les femmes du sud Kivu attendent, au minimum, la justice. "Le viol, une arme de terreur", cet ouvrage collectif publié “dans le sillage du combat du Docteur Mukwege” nous rappelle que
la violence contre les femmes reste un combat au niveau mondial. »
(
Gabrielle Lefèvre, Entre les lignes, le 29 octobre 2015)
« Avec le livre "Le viol une arme de terreur", […] le lecteur pourra comprendre l'histoire de cette stratégie de guerre, mais aussi les enjeux économiques énormes concernés, les stratégies des grands groupes pour masquer la réalité et bien sur les terribles témoignages des femmes victimes directes de ces viols. [...] C'est donc dans une guerre économique et géostratégique que le sort des femmes du Congo est aujourd'hui dépendant. Des solutions existent et [ce] livre vous permettra de les comprendre. Je recommande donc cet ouvrage documenté, clair et lisible par tous, permettant à nous, citoyens du monde de comprendre pourquoi nous sommes tous responsables du viol comme arme de guerre. »
(Thierry Barbaut, Info-Afrique.com, 25 septembre 2015)