Un mélange étonnant d'espionnage, de poésie, de philosophie exotique au sens général. Un livre qui donne du courage.
Commenter  J’apprécie         100
Monsieur l'Interrogateur, si vous êtes vraiment ce que je pense, comme vous auriez aimé rencontrer Nails Van Byleveld. Quels romans cet homme doit avoir dans le cercueil de sa mémoire ! Quel paradoxe, quelle joie, on doit éprouver à effilocher l'écheveau de vêtements dont il est habillé ! On en reparlera plus tard.
La liberté, c'est le minotaure en dehors des murs.
Bruno Doucey lit un texte de Breyten Breytenbach, extrait du recueil "La main qui chante" ! Traduit de l'afrikaans par Georges-Marie Lory et paru en octobre 2020.