Nous sommes en 1794, au relais de Tue-Loup Maine-et-Loire. La malle poste arrive avec 3 heures de retard au relais de Tue Loup sens le courrier et sans les passagers. Stan, le postillon et l' héros de notre histoire, ne intéresse pas à la malle qui contient les lettres mais à une des passagères appelée Hélène. Il s' aventure sur le lieu de l' attaque et retrouve les faux passeports des passagers.
Que cherchaient à faire les mystérieux passagers?
Stan les retrouvera t'il, sont- ils encore en vie, jusque'où pourra t-il aller pour les aider. Vous le saurez en lisant ce livre!
J’ ai aimé ce livre parce que il nous fait ressentir de la joie, de la peur. Il est intéressant, la grande Hustoire se mêle à notre récit et nous apprend des choses sur le 18 e sciècle. Par ailleurs il n’ est pas trop long mais l’ histoire a un peu de mal à démarrer. Il y a du suspense et c’ est un récit d’ aventure.
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Ce roman mêle brillamment histoire, mystère et romantisme. Pour moi qui raffole de romans historiques, me voilà servie ! La trame est intéressante et le mystère est maintenu jusqu'à la fin.
Je comprends mieux à présent ce qu'est une malle-poste et un "ci-devant", terme qui désignait les anciens nobles pendant la Révolution. Hyacinthe est le personnage que j'ai préféré, car c'est grâce à lui que Stan et Nazaire n'ont pas été guillotinés.
Ce livre captivera autant les adultes que les enfants, car le sujet de la malle-poste est peu commun dans la littérature et tout aussi digne d'intérêt que les événements plus connus de la période révolutionnaire.
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- Ah !... Moi, j'aimerais acheter carrément une des pierres de la Bastille. J'en ferais une borne devant mon auberge et tout le monde saurait que c'est le relais d'un bon républicain.
- Vous avez raison, approuva Rosalie, ça ferait bien...
- Tu as raison ! gronda Pancrace. Tu sais que le tutoiement est obligatoire. Nous sommes tous égaux.
- C'est vrai, se reprit Rosalie en essuyant ses mains dans son tablier à rayures tricolores. C'est la force de l'habitude.
Le citoyen Condorcet a dit que les femmes ne sont pas inférieures. C'est seulement les lois qui les oppriment. Parce que les lois sont faites par des hommes, et à leur propre profit.
Le commandant de la garde nationale a eu une très bonne idée en retenant les convois à Reims. On va enfin, nous aussi, avoir du spectacle ! Du beau sang bien rouge qui gicle sur le pavé ! A qui le tour ?