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EAN : 9782365754514
184 pages
Marivole Editions (27/09/2018)
3.89/5   38 notes
Résumé :
Il était une fois... Moi ! Alice ! jeune femme douce et timide dans la trentaine (on ne demande JAMAIS son âge exact à une femme !). Célibataire. 90/60/90 (enfin, à peu près... à la louche quoi ! à la bonne grosse louche !). De loin et sans lunettes, on me dit que je ressemble assez à Émily Blunt… Heureuse propriétaire d’un chien-saucisse et de deux perruches. Je demeure en pleine campagne berrichonne où je tiens le restaurant familial depuis que maman (contrainte e... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (30) Voir plus Ajouter une critique
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Enfin ! J'ai aimé une romance. Et pire encore, je l'ai adoré. Que se passe-t-il ? J'ai dévoré ce roman en à peine deux heures. Je tiens donc à remercier l'auteur pour cette pépite, mais également les éditions Marivole et l'équipe de Babelio qui me l'ont très gentiment envoyé. Ce roman est le roman « bonne humeur » qu'il faut se procurer. Je vous l'assure !
Pour commencer, en fan de cuisine invétérée que je suis, j'ai adoré le contexte de l'histoire. Un restaurant et un food-truck qui se font une guerre de recettes pour finir par tomber amoureux et s'allier l'un à l'autre. Ensuite, j'ai adoré découvrir la région berrichonne par sa gastronomie (bien que les « oeufs aux couilles d'âne » m'ont terriblement fait peur), par sa culture et par ses paysages (et surtout, la découverte de la ville souterraine et de la cave aux champignons). J'ai parcouru ce roman comme on parcourt un livre de recette et un guide touristique. le ton est frais, léger et dynamique. Ça fonctionne tellement bien que même lorsqu'il ne se passe pas grand chose on se laisse transporter. Ce roman a été, selon moi, un « roman-passion » pour l'auteur. Elle aime sa région pour ce qu'elle est, et on le ressent parfaitement. Voilà le type d'écriture qui me parle ! Une écriture sincère qui exprime un véritable sentiment et qui ne cherche pas simplement le côté commercial.
Qu'avait-elle de différent cette romance ? Elle n'était pas lourde. Tout comme en cuisine, l'auteur a préféré saupoudrer son oeuvre de quelques grammes de romance plutôt que d'en déverser des louches et des louches. C'est mesuré (et c'est ce qui fait, trop souvent, défaut aux romances) ! Et cette mesure nous rend les personnages attachants puisque leurs actes paraissent réalistes.
Alice est une femme ordinaire (pas un mannequin d'un mètre quatre-vingt-seize de quarante cinq kilos … J'abuse ? À peine !), qui vit seule avec sa saucisse sur pattes (qui n'a jamais surnommé un teckel de cette façon ?). Elle pourrait être n'importe qui d'entre nous. Et la réussite est là ! On s'identifie sans mal à elle pour finir par devenir elle (un bon roman, pour moi, est un roman qui a la capacité de me donner la vie de son héros, rien que pour quelques heures). Sa vie devient la nôtre. D'autant plus si on aime la cuisine. Georges, ce gros ours, est devenu mon doudou. Comment ne pas s'attacher à lui ? J'adore les personnalités un peu bourrues et mystérieuses comme la sienne. Gabriel, quant à lui, m'a rappelé mon propre homme avec son sens de l'humour un peu particulier. du coup, je ne suis pas objective puisque j'ai forcément été attendri par lui. Mon seul petit bémol viendrait de Max. Cet enfant me semblait peut-être un peu trop avisé pour son âge. C'est le seul personnage qui m'a paru peu crédible. Mais, rien de très grave ! Une beau tableau dans l'ensemble.
Là où l'auteur s'est différencié dans sa romance, c'est sur son parti-pris : mener une enquête pour trouver le corbeau. Et quel bon choix ! Il y avait peu de suspens sur l'identité de ce dernier, mais une belle surprise sur le mobile du crime (je me suis laissée berner par une histoire de mort-aux-rats et de grenier, sans voir le flagrant indice qui dansait sous mes yeux … Cruchette !). En somme : une intrigue finement menée, des personnages attachants, une romance dosée. Un cocktail détonnant ! C'est digne d'un mojito : frais, léger et gouteux. Et comme à la fin d'un mojito, on se dit : j'en veux encore !
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Si vous me lisez régulièrement, vous devez connaître mon amour pour Alice au pays des merveilles et son univers si particulier. Vous ne serez donc pas étonnés si je vous confesse avoir tout de suite été attirée par le titre de ce roman et sa sublime couverture. Bien que l'histoire n'ait rien à voir avec celle de Lewis Carroll comme la lecture du résumé le laisse présager, j'ai passé un très bon moment de lecture avec ce roman qui nous prouve qu'il peut y avoir de la bonne chick lit française.

Aux commandes, avec sa maman, d'un restaurant familial dans le Berry, Alice est une cuisinière qui, disons-le clairement, s'ennuie que ce soit derrière ses fourneaux ou dans sa vie en général. Il faut dire que sous le joug d'une mère autoritaire qui régente plus ou moins sa vie, Alice a peu de marge de manoeuvre pour exprimer sa propre personnalité. À cela s'ajoutent des problèmes financiers, le chiffre d'affaires du restaurant n'étant pas au beau fixe. Une situation qui n'est pas prête de s'arranger, un food-truck et son beau mais exaspérant propriétaire, Gabriel, venant de s'installer devant sa porte !

Le livre est relativement court (215 pages), l'autrice ne nous noie donc pas sous une avalanche de détails et attaque son récit dès les premières pages. Un bon point puisqu'on se prend d'intérêt immédiatement, ou presque, pour Alice qui se révèle aussi attachante qu'agaçante. Alice, c'est un peu la copine rigolote qui n'est pas contente de sa vie, qui se laisse marcher sur les pieds, mais qu'on a envie d'aider et de réconforter. Et cela est dû en grande partie par le sentiment de proximité que l'autrice a su naturellement créer, on se sent proche de son héroïne alors qu'on vient juste de la rencontrer. On est donc content de la voir évoluer au fur et à mesure de l'intrigue : elle ne devient pas superwoman d'un coup et ses réactions sont parfois contestables, mais elle prend confiance en elle et en ses talents de cuisinière.

Autour de cette héroïne simple et attachante, évolue une galerie de personnages intéressante et plutôt variée, certaines personnes prenant plus d'importance que d'autres. Il y a Constance, la mère d'Alice, qui se montre en début de roman assez acariâtre, mais qui finalement, devrait vous réserver quelques surprises. La relation entre la mère et la fille est faite de non-dits, de moments de complicité ratés, mais elle se révèle plus complexe et touchante qu'aux premiers abords. L'arrivée de Geoffrette et de Max, son fils, apporte une touche non négligeable de douceur dans la vie d'Alice. Si j'ai trouvé la présence de Geoffrette presque superflue, du moins pas assez exploitée, j'ai juste adoré le personnage de Max. Cet enfant est un amour et d'une intelligence de coeur qui le rend très très attachant et amusant. C'est mon personnage coup de coeur ! D'ailleurs, Lump, la chienne d'Alice, partage mon avis puisqu'elle a très vite adopté cet enfant dont la « sagesse » dépasse parfois celle des adultes du roman. Georges, un ami d'Alice et de Constance, est également très attachant, son dévouement à la mère et à la fille étant total.

Mais la personne qui va prendre le plus de place dans la vie d'Alice, à son corps défendant, est le beau Gabriel. En général, les romances me laissent de marbre, mais j'ai beaucoup aimé celle entre les deux personnages, car elle est construite avec intelligence et sans mièvrerie. Gabriel tombe très vite sous le charme de cette cuisinière qui ne semble pas partager ses sentiments comme l'en attestent les éclairs qu'elle lui lance à chaque regard. Vous me direz, pour une cuisinière, cela aurait pu être bon signe… L'autrice a donc eu la bonne idée de nous proposer un personnage féminin qui ne tombe pas tout de suite amoureux du beau gosse de service. Cette réticence à laisser entrer une personne dans sa vie apporte un certain piquant à l'intrigue, Alice pouvant faire preuve d'un sacré caractère quand elle le décide. le pauvre Gabriel en fera d'ailleurs les frais.

Mais ce qui est le plus intéressant dans le fait qu'Alice ne saute pas dans les bras de son « concurrent » tout de suite, c'est que cela est cohérent avec la situation difficile qu'elle traverse, son restaurant battant de l'aile. Elle va donc essayer de faire taire ses sentiments naissants, chose peu aisée devant la présence rassurante et patiente de Gabriel… Je lis peu de romance et je n'adhère pas à celles en vogue actuellement, alors lire un roman où les personnages ne se sautent pas dessus dès la quatrième page, je dis un gros OUI. L'autrice prend ainsi le temps de développer la relation entre Alice et Gabriel qui commencent d'ailleurs par se vouvoyer, un petit détail que j'ai trouvé plein de charme.

Alice et Gabriel, bien que très différents, sont liés par cet amour commun pour la cuisine, un amour qui, pour la jeune femme, remonte à son enfance. Je n'en dirai pas plus, mais j'ai trouvé la raison qui l'a poussée à se mettre derrière des fourneaux très touchante. La cuisine est donc un art bien représenté dans ce roman que ce soit à travers le contexte de l'intrigue, quelques recettes en fin d'ouvrage, le rappel de termes culinaires (roussir, blanchir…)… Il y a donc de fortes chances que vous ayez envie de vous jeter sur un bon petit plat ou sur des madeleines, spécialité d'Alice, dès la dernière page tournée.

Amour et cuisine, voilà un joli mélange qui va malheureusement se trouver entacher par une sombre histoire de corbeau. Alice reçoit des lettres de menace qui seront suivies par des actes de malveillance allant crescendo. Cette histoire apporte une petite touche de mystère et de suspense fort plaisante d'autant que le mobile du méchant est plutôt cocasse. Mais cet interlude est, pour moi, surtout un moyen pour l'autrice de renforcer les liens entre les différents personnages. Ne vous attendez donc pas à une enquête bien poussée, mais plutôt à un joli élan de solidarité autour d'Alice. Cela ne nous empêche pas de suivre avec plaisir et curiosité le travail de la petite équipe de détectives improvisés. Max, en fan de Sherlock Holmes (je vous ai déjà dit que j'adore ce gamin ? ), semble d'ailleurs prendre l'enquête très à coeur.

Quant à la plume de Maud Brunaud, elle fait partie intégrante du charme du récit. Accessible, mais travaillée et d'une grande fluidité, l'autrice nous prouve que lecture détente ne rime pas forcément avec style plan-plan ou pire, gnangnan. Mais le grand atout de l'autrice est d'avoir su, à travers sa plume, transmettre aux lecteurs tout l'amour qu'elle porte à ses personnages. Émouvants tout en ayant chacun leur caractère, il se dégage de chacun d'entre eux un petit quelque chose qui vous donne envie d'apprendre à les connaître comme s'ils existaient réellement. J'ai également apprécié l'humour très présent grâce, notamment, à Alice dont certaines réparties sont pleines de piquant voire de mordant. Max apporte également une touche d'humour par sa manière déstabilisante d'énoncer des vérités sans beaucoup de tact, mais toujours avec pertinence.

En bref, sont réunis dans ce roman tous les ingrédients que l'on recherche dans une lecture détente : une plume fluide, des situations parfois drôles parfois plus rocambolesques, des personnages attach(i)ants, de l'humour, une touche de suspense, de la romance… Alors si vous avez envie de passer un moment de lecture sympathique, gourmand et entraînant, Alice et tous ses amis vous attendent. Bons plats, madeleines et bonne humeur au menu !
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Alice et sa mère sont restauratrices dans un petit village où tout le monde se connaît. le restaurant n'a pas changé depuis la mort de son père. En effet, Constance, la mère de la jeune femme, ne la laisse pas prendre d'initiatives, que ce soit en décoration ou en cuisine. le chiffre d'affaires n'est pas faramineux, mais l'établissement survit. Jusqu'au jour où un concurrent s'installe en face : un food-truck tenu par un séduisant jeune homme, Gabriel. Au même moment, un corbeau menace Alice pour la pousser à fermer le restaurant…


J'ai passé un très bon moment avec Alice au pays des casseroles. C'est un roman pétillant, rempli d'humour. Je l'ai trouvé très original.


Alice a du mal à s'affirmer, sa mère a une véritable emprise sur elle. L'arrivée de Gabriel et les méfaits du corbeau vont bouleverser son quotidien bien réglé, mais aussi transformer notre héroïne. Il faut dire qu'elle n'est pas ménagée par les embûches. Ses réactions face à l'adversité sont, parfois, marrantes, parfois, attendrissantes. Elle est très spontanée et j'ai fini par la voir comme une bonne copine.


La recherche de l'identité du corbeau crée un suspense que je ne suis pas habituée à lire dans les livres de Chick-lit. J'ai été très étonnée de ressentir cette tension en moi, comme lors de la lecture d'un polar. En cela, ce roman se démarque vraiment des autres ouvrages de ce genre littéraire...


La suite sur mon blog


http://www.valmyvoyoulit.com/archives/2018/08/30/36667328.html


Lien : http://www.valmyvoyoulit.com..
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Dans un petit village de l'Indre, vivent Alice et sa mère, Constance. La jeune femme est cheffe dans le restaurant qu'elle a hérité de son père, La soupière de Constance. Sa mère, omniprésente, se charge de l'intendance. Les deux femmes ont une routine bien réglée : jour d'ouverture, cuisine, achat de denrées, etc. Leurs clients se composent essentiellement d'habitués du bourg et, parfois, de quelques touristes. le chiffre d'affaire n'est pas au mieux, mais l'établissement continue son bout de chemin… Jusqu'à ce que tout soit chamboulé un beau matin d'avril. Alice et Constance constatent avec horreur qu'un food-truck s'est installé sur la place du marché, à quelques mètres de leur restaurant ! Pour Alice, la guerre est déclarée avec le (charmant) cow-boy qui tente de lui voler ses clients. Au même moment, elle reçoit de mystérieuses lettres de menace. Déstabilisée, elle va vivre des mois compliqués et étonnants. Comment finira cette histoire ? Aura-t-elle la peau du food-truck ? Découvrira-t-elle le corbeau ?

Alice, la trentaine, n'a (quasiment) jamais quitté son village. Elle vit seule dans la maison attenante au restaurant et se consacre à son travail. La soupière de Constance est tout ce qui lui reste de son père, elle y tient énormément. Au quotidien, elle doit cependant composer avec sa mère, qui tient le bar, mais qui impose aussi sa volonté. Ainsi, c'est elle qui défini la carte, les menus, fait les courses, etc. Alice fait uniquement la cuisine, et cela commence à la lasser. Alors, quand Gabriel, le cow-boy, arrive avec son food-truck, cela met un peu d'animation dans leurs vies à toutes les deux.

Gabriel, gentil et discret, va pousser Alice à sortir de sa zone de confort. Habituellement bonne pâte, elle ne remet rien en question et ne s'énerve jamais; elle va désormais piquer des crises et tenter de s'imposer. Elle va affirmer son caractère, ce qui permettra de faire évoluer sa vie et le restaurant avec l'aide de ses proches. Constance, bizarrement, va prendre du recul durant l'agitation. Alors qu'elle est un peu pénible à tout régenter, elle va s'effacer pour le plus grande bonheur d'Alice, mais cela va aussi la questionner.
Nous découvrirons aussi d'autres personnages plus ou moins sympathiques au cours du roman : Georges, le vieil habitué qui fait parti des murs du restaurant; Geoffrette et Max, des proches de Gabriel, mais aussi d'autres habitants du village : le maire, les commerçants, etc.

Le récit nous est conté par Alice. C'est avec légèreté et humour que l'on découvre son quotidien. Avec son caractère piquant de femme-enfant, parfois joie, parfois boudeuse, on s'amuse de ses péripéties et on tente aussi de résoudre le mystère du corbeau. Ce dénouement ne m'a d'ailleurs pas emballée, je ne m'attendais pas à cela. En revanche, le reste de l'histoire est originale, simple et agréable. La plume de l'auteure est plaisante et inclus même quelques illustrations entre les chapitres, ainsi que des recettes de cuisine à la fin. La lecture est délicieuse, on se laisse emporter rapidement dans ce roman.
Lien : http://leslecturesdangelique..
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Très très belle surprise. Très touchée par l'histoire, j'avoue, d'un parce que chaque fois que je lis Maud Brunaud, j'ai la sensation qu'elle écrit comme si elle était dans ma tête, et de deux, parce que cela m'a beaucoup rappelé la rencontre avec Mon Chéry. Donc très émue.

Maud Brunaud est une autrice Berrichone, mais qui mérite un tirage national et je vais vous dire pourquoi. Parce que ses livres sont remplis de petites surprises, c'est vraiment un style à part, quelque chose que vous ne lirez jamais ailleurs. Elle développe son propre style de roman, le « gossip de campagne » et c'est hilarant ! C'est rempli d'anecdotes locales, elle cite Colette ou George Sand, c'est rempli de culture générale et de vocabulaire riche, c'est fluide, très bien écrit. Bref, perso j'adore. Je suis tombé amoureuse il y a 6 ou 7 ans et depuis je me régale. Je guette les sorties avec impatience 🧐

Ses livres sont contemporains, frais, drôles, décalés, chaleureux et gourmands. Je vous conseille, surtout si vous habitez le Berry. Je vous propose de commencer par « Talons aiguilles et chapeau de paille » puis « L'amour est une bulle de savon », puis « Alice au pays des casseroles », à moins que vous ne préfériez les polars… « Face à elle » « Mort'Elle » ou les documentaires « le Berry à l'affiche » « La cuisine auvergnate de Mamie » , « La cuisine limousine », « La cuisine au temps d'Honoré de Balzac », « La cuisine au temps de George Sand ».

Pendant la lecture de ce livre, j'ai aussi beaucoup pensé au cuisinier du Logis Hotel de la Poste chez Cécile (La grande verrière, 71), qui fait un travail admirable chaque jour dans son restaurant, et qui nous as incroyablement régalé lors de notre halte en Morvan.

Si vous lisez ce post en novembre, je vous recommande chaudement de rentrer dans le mois de l'avent avec la douce lecture de « Noel en Berry », un régal pour moi !
Conseil d'amie : n'oubliez pas de manger avant de commencer la lecture du livre
Si le livre vous intéresse, n'hésitez pas à me contacter en MP, j'ai une surprise pour vous !

(La lecture de ce livre a été l'occasion de rappeler à ce même Chéry qu'il ne m'a toujours pas emmené à la Cognette.)

Merci Madame Maud Brunaud ❤❤❤ !

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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Lorsque vous avez éliminé l’impossible, ce qui reste, si improbable soit-il, est nécessairement la vérité. 
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La place du Marché est bondée, comme à son habitude. Les commerçants traditionnels sont là et les promeneurs se réunissent par petits groupes en échangeant des nouvelles de la famille, leur panier à la main. Il fait plutôt beau. [...]
Ce matin, tout est normal... à une exception près. Il y a un intrus ! Là, à deux pas du resto, juste sous mes yeux ! En une seconde, je cerne le problème et imagine avoir la solution en poche... sauf qu'on a pas le droit d'utiliser un bâton de dynamite en plein centre-ville. Dommage, cela m'aurait fait gagner du temps, car le loup est dans la bergerie.
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"Lorsque vous avez éliminé l'impossible, ce qui reste, si impossible soit-il, est nécessairement la vérité." Je ne cesse de ressasser ces mots dans ma petite cervelle de piaf. Ils se mélangent avec ceux du dernier message du corbeau.
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Si vous n'êtes pas capable d'un peu de sorcellerie, ce n'est pas la peine de vous mêler de cuisine.
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Ils continuent d'évoquer les festivités à venir et je m'éloigne un peu de leurs discussions, même si je continue à les noter sans sourciller. J'ai toujours eu une certaine facilité à m'évader tout en donnant l'impression que je suis toujours connectée aux autres. Je pense à tout ce que je voudrais faire si Constance m'en donnait la liberté, au restaurant, aux plats que je réalise, trop souvent, avec automatisme.
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