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EAN : 9782266331876
312 pages
Pocket (30/03/2023)
3.69/5   65 notes
Résumé :
Il a suffi d'une soirée d'été pour que Rebecca, jeune femme sans histoires, soit prise au piège d'un jeu cruel, implacable. À présent, lorsqu'elle marche dans la rue, elle se retourne tous les trois pas. Rebecca pense que le danger est dans son dos. Pourquoi ne serait-il pas devant elle ou juste à ses côtés ?

Une descente aux enfers intrigante, ironique, corrosive, dans laquelle Christophe Carlier joue avec les codes du roman noir.
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Critiques, Analyses et Avis (29) Voir plus Ajouter une critique
3,69

sur 65 notes
Christophe Carlier renoue avec le polar, genre qui l'avait fait connaître en 2012 avec « L'assassin à la pomme verte », couronné de deux prix :
Prix du Premier roman et Prix des Lecteurs de Notre Temps.

L'auteur ayant des racines en Haute Savoie connaît bien la région et a choisi de camper son intrigue à Annecy. C'est une ville et sa banlieue qui va se retrouver sous les feux de l'actualité au risque de déclencher la psychose parmi les habitants. Une ville qui rend hommage à Rousseau dans le square de l'Evéché.

Deux voix, toutes deux centrées sur une certaine Rebecca , alternent et tissent le portrait de cette fille hypnotique dont le destin est à la merci d'un pervers !

Une masculine, celle d'un individu (sans nom) qui paraît au lecteur bien dangereux, mal intentionné quand il déroule ses journées, ses plans, commente ses méfaits que l'on ne détaillera pas pour garder tout le suspense!

L'autre féminine émane de Violette, recrutée par Rebecca, responsable juridique dans la société DireXon. Ces deux collègues qui travaillent ensemble vont s'apprivoiser. Violette deviendra le bras droit de Rebecca et aussi sa confidente, son interlocutrice privilégiée. C'est par elle que l'on apprend qu'un psychopathe cinglé a pris Rebecca comme cible. Celui-ci l'a croisée un été dans une boîte de nuit à son insu. Rusé, il parvient à collecter des informations sur cette innocente et à remonter jusqu'à elle, donc de Toulon à Annecy!

Christophe Carlier pointe les dangers des réseaux, si Rebecca n'est ni sur Facebook ni Instagram, elle participe à des forums et il a pu ainsi la stalker !

Pourquoi considère-t-il Rebecca comme « une bonne pioche » ?
Pourquoi la traque-t-il ainsi, la prend-t-il en filature, multiplie-t-il ses actes de malveillance , exacerbant sa peur, son angoisse que Violette tente de juguler? Jusqu'où peut aller celui qui veut rivaliser avec Jack l'éventreur ?
D'autant que « revenir à la charge est la clé du plaisir » ! Tout comme faire le guet lui procure « des pics de bonheur ». Rusé, il saura retrouver «  la biche » dans son nouveau logement.

L'auteur sait très vite nous ferrer, distillant au fur et à mesure des myriades d' indices quant à l'obsession de ce bourreau, qui se montre désireux de «  forcer la porte » de sa victime, d'entrer dans son intimité pour la dévaster ». Son but ?«  déclencher un séisme, ébranler sa vie », jouer avec les nerfs de son héroïne.Pénétrant dans ses pensées, on le voit avancer «  comme le lion vers l'antilope », ce qui fait redouter le pire !
L'auteur glisse la définition du pervers vue par lui-même, ce qui fait sourire :
«  le pervers a toutes les caractéristiques de l'animal de compagnie. Il tient chaud à l'élue de son coeur. Se colle contre elle en ronronnant. »

Comment ne pas être inquiétée par la teneur de ses messages menaçants, voire macabres, par le contenu des paquets qu'il envoie à sa cible?
Ses avertissements récurrents, « Je suis revenu »,font monter la tension et atteignent leur climax quand il menace d'une «  visite imminente ».
Quel piège lui réserve-t-il encore, lui qui aime le sensationnalisme ?
le bourreau ne choisit pas au hasard les dates où il sévit ( il choisit le 1er avril, le jour de son anniversaire etc…) .« Le hasard est un auxiliaire irremplaçable. »


Et la police ? Les deux femmes avertissent bien la gendarmerie des agissements de ce persécuteur, déposent une main courante. Mais cet harcèlement récurrent n'est pas pris à sa juste valeur la première fois. Pourtant Violette est inquiète, témoin du malaise exponentiel de Rebecca victime d'insomnie, menant une vie recluse.
L'entretien dure tout juste «  cinq minutes ». Tant qu'il ne s'agit que d'intimidation et pas d'agression ! Il faudra plusieurs déplacements à la gendarmerie pour qu'elles soient écoutées, prises au sérieux.
Seront convoqués, voire arrêtés,des innocents !

Hélas, l'assassin joue avec les enquêteurs, comme le chat avec la souris. Il est méticuleux au point de ne laisser aucune trace, habile pour éviter un témoin, ou pour s'éclipser. On devine sa jouissance de ne pas être pris au collet !L'étau se resserra-t-il sur lui ? L'énigme est insoluble jusqu'alors !

Parallèlement Violette, pour tenter de confondre le harceleur, se livre à des investigations nocturnes sur le Web qui la conduisent à des sites interlopes.
Elle, qui veut protéger son amie, va jusqu'à usurper son identité et poster des photos de sa collègue. Cette démarche ne semble pas très judicieuse.

Dans ce roman, l'auteur radiographie avec finesse la relation complexe entre Violette et Rebecca, une complicité qui connaît des hauts et des bas.
De même il brosse le profil à double facette du vautour, qui peut se monter un voisin serviable ! le dénouement sera surprenant, inattendu,  !

Christophe Carlier est friand des envois anonymes qui créent malaise, méfiance : tout le monde s'épie, comme dans « Ressentiments distingués ».
Il épingle la vie dans les bureaux/administrations où la médisance, les commérages sont courants. Rebecca, qui devient « une bête curieuse », fait l'amer constat que « l'on ne peut compter que sur soi dans l'entreprise ».
Les collègues, comme les gendarmes ont tendance à minimiser les faits, à penser qu'elle est parano !


L'écrivain procède au name dropping des journaux de la région, montre le pouvoir de la presse. Il fustige les journaux qui savent faire vendre en dévoilant des scènes « gore », des photos, en donnant « un récit circonstancié ».
Il déplore que les lecteurs préfèrent des drames touchant un grand nombre de victimes ( attentat) au meurtre d'une jeune femme. Mais quand on soupçonne un serial-killer, genre Barbe bleue, on se repaît de détails sordides !

Si par hasard, vous vous prénommez Rebecca, ne l'affichez pas ou changez de prénom ! Vous pourriez faire des cauchemars.

Les révélations et les rebondissements fomentent un suspense vertigineux.
Les actes récurrents du prédateur, mu par une froide mécanique, sont glaçants. L'habileté narrative liée à la progression alternée des deux protagonistes incite à enchaîner les chapitres courts. Ce récit, aux confins de l'horreur, prend parfois des allures de thriller ! le plus ? Un polar où de nombreuses phrases pétillent d'humour et font mouche : «  Toutes les fleurs n'ont pas la chance de se finir dans un décolleté » !

Bien des lecteurs se délecteront à dévorer ce livre « au second degré »
souriant même tout au long des chapitres malgré la gravité du harcèlement.

Christophe Carlier signe un roman efficace, addictif, rythmé, à l'écriture soignée, mettant en scène un monstre machiavélique et sa proie qui ravira tous les amateurs de suspense.
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Un court roman à deux voix qui fait un petit tour du côté d'un personnage assez peu fréquentable : un psychopathe méthodique.
Il y a un petit côté Lemaître dans "robe de marié" dans ce thriller classé "polar" sans vraiment en être un.
L'écriture est ciselée, l'intrigue très addictive, les quelques personnages bien croqués sans trop y passer de temps.
Seule la chute m'a un peu déçue mais pas à cause de sa nature, plutôt de son non-développement.
Bref un bon petit thriller qui mérite sa récompense à conseiller une nuit d'insomnie.
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Après avoir essuyé une déception avec ma dernière lecture ,j'avais un peu peur de mal choisir la prochaine ,heureusement bonne pioche !

J'ai bien choisi fort heureusement !

Cet ouvrage m'a réconcilié directement avec la bonne lecture qu'on apprécie comme il se doit !

Ici l'intrigue est assez simple , mais terriblement efficace!!!

Les chapitres courts , deux points de vues , une véritable régalade , pas de raison de se perdre , ça s'enchaîne rapidement , pas de longueurs on comprend très vite où l'auteur nous emmène , c'est très appréciable!!!

Pour vous en dire plus :

C'est l'histoire de Rebecca une femme très attirante, très solaire…

Elle va croiser un soir une sorte de psychopathe en boîte de nuit dans le sud sans s'en rendre compte ..

Par contre le concernant c'est tout autre chose l'individu va nourrir une obsession carrément malsaine envers la belle …

Pour vous décrire rapidement notre bonhomme , si vous avez vu la série YOU ou lu le livre « Parfaite » de Caroline Kepnes , ce stalker m'apparaît un peu à l'image de Joe Goldberg le libraire en apparence inoffensif mais totalement psychopathe qui pour une femme rencontrée dans la librairie va ne vivre que pour elle l'épier pénétrer progressivement dans son existence & commettre des atrocités, voilà notre homme à peu près …pas similaire mais un profil qui pourrait être comparable…

Et vu que notre Rebecca attire du beau monde , nous avons également à faire à Violette sa collègue la plus proche , qui elle aussi va nourrir une sorte d'obsession à son égard , bon un peu plus soft que le monsieur mais ce sera tout de même malsain de mon point de vue …

L'auteur nous offre le point de vue des deux admirateurs depuis leur rencontre avec la douce jusqu'à la fin de l'histoire, c'est complément addictif ..

Nous sommes directement dans leur tête , on alterne, Une fois Violette une fois le psychopathe (il n'a d'ailleurs pas de nom ni prénom…Mais il a l'audace de se comparer à Jack L'éventreur un des plus grands criminels de l'histoire quand même …)

C'est autant délicieux que sombre ,leur obsession est constante , insatiable …

Ce qui est plutôt intéressant , c'est l'évolution de notre stalker qui va faire un beau parcours sans se laisser prendre , il fait preuve d'ingéniosité d'agilité il se fond totalement dans le décors, il harcèle silencieusement et méticuleusement, il agit dans l'ombre durant pratiquement tout le récit il rayonne il excelle il parvient à son but …

La chute n'était pas prévisible pour ma part elle était plutôt originale elle m'a tout de même laissé un peu sur ma faim mais cela laisse le loisir au lecteur de se faire une propre idée sur la suite ..

Personnellement je n'ai pas apprécié le personnage de Rebecca, même si elle est innocente, elle n'a pas demandé à être harcelée de la sorte elle n a rien fait pour séduire ,pour être l'objet de convoitise de ces individus , simplement que je ne l'ai pas trouvée touchante ni attachante ..

Par contre La petite Violette qui ne vit que pour sa relation avec sa collègue qui l'a considère comme une amie , lui est fidèle, accours toujours pour lui apporter un précieux soutien ,va même jusqu'à enquêter pour essayer de chercher qui se dissimule derrière le harceleur, elle ferait littéralement tout pour elle , Ce petit bout de femme solitaire est touchante elle n'a pas la considération qu'elle mérite d'après moi elle est un peu le bouché trou de Rebecca qui va se tourner vers elle juste quand ça ne va pas , la bonne poire de service toujours disponible , docile …

Ce livre était franchement plaisant, addictif, efficace !!!

Je me suis régalée du début jusqu'à la fin !

Avoir ces deux angles différents et pas le point de vue de Rebecca elle même était excellemment construit réellement captivant de suivre nos deux compères qui ont un seul et même point commun qui va rythmer leur quotidien , car Rebecca est leur monde tout tourne toujours autour de ELLE …

L'objet de leur folie , de leur amour , de leur dévouement, leurs sombres désirs leur noirceur …

Une douce folie totalement délectable!!!!

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Bonjour les babeliophiles petit retour sur ma dernière lecture. Et quelle lecture!!!! attention on le commence on le fini. Que va t-il devenir de Rebecca,et de Violette. Rebecca harcelée et Violette qui harcèle à son. tour pour dénicher qui en veut autant à Rebecca. ce livre m'a beaucoup plu car nous avons vécu à des degrés moindre la même chose et cela touchait ma fille. En peu de temps ce n'était plus la même inquiete ne voulait plus aller en Fac,elle est allé déposer plainte la 1ere fois on lui a dit de revnir le le demain car il etait trop tard pour deposer plainte 16h30!!!!ensuite apres le depote de plai te on lui dit de ne rien faire si ce n'est que s'il venait à l'importance elle ou nous le prendre en photo et tel à la police (mais bien sur on fait un selfie aussi) et lui continuait de plus belle du coup j'ai réglé cela à ma manière et depuis notre fille est tranquille. Juste pour dire le pouvoir qu'on ces personnes.
mais franchement livre que je vous conseille mais comme je dis toujours ceci n'est que mon avis personnel
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Un prénom en trop de Christophe Carlier
C'est un roman d'une belle écriture, formé de chapitres courts, mettant en scène trois principaux personnages dont Rebecca dont nous ne connaitrons son histoire, ses relations, son travail, ses sentiments, ses peurs, ses doutes, ses angoisses qu'au travers du récit d'un psychopathe qui la traque et d'une collègue de bureau Violette, subordonnée à Rebecca et qui cherchera par tous les moyens à devenir son amie. Franchement, j'ai eu un peu de mal à entrer dans ce jeu de confidence entre ces deux personnages, ne sachant pas qui manipulait l'un ou l'autre, pour prendre en quelque sorte le pouvoir sur Rebecca. « On ne nait pas tueur on le devient s'inscrit en rouge » en page 4 de couverture. « Il suffit d'une soirée d'été dans une boite de nuit, pour que Rebecca nous dit Christophe Carlier, jeune femme sans histoire, soit le jeu cruel et implacable d'un jeu cruel implacable. Rebecca pense que le danger est dans son dos lorsqu'elle marche dans la rue et se retourne tous les trois pas. Pourquoi ne serait-il pas devant elle ou juste à ses côtés ? Ce jeu dont va être victime Rebecca est celui d'un psychopathe qui est attiré par cette jeune femme, pour lui faire du mal. Harceleur, il mettra en oeuvre tous les moyens et bon nombre d'attentions dont certaines mortifères pour déstabiliser sa victime, allant jusqu'aux meurtres d'autres femmes rencontrées par hasard, qui lui ressemblait de près ou de loin ou seulement avait comme prénom réel ou supposé celui de Rebecca. Lors de cette descente aux enfers de Rebecca une question Rebecca se pose ? Ne serait-elle pas aussi une manipulatrice bien qu'autoritaire et fragile comme on pourra le penser dans les derniers chapitres de ce livre. Sous diverses influences de ses amies mais pas que, et au regard des faits d'harcèlement de menaces à peine voilées de mort Rebecca se rend dans une brigade de Gendarmerie pour déposer une plainte. Sur l'indication du gendarme qui la recevra celle-ci déposera une main courante qui n'engage pas de procédure judiciaire la gendarmerie en l'occurrence, restant libre d'alerter ou non le procureur de la République sur les faits. Alors qu'il est précisé que les faits d'harcèlement, caractérisé par la répétition de propos et de comportement ayant pour conséquence une dégradation de la santé physique et mentale doit faire l'objet d'une plainte. Or, ici le gendarme semble plus intéressé par la plastique de Rebecca que par son dépôt de plainte et tout de suite requalifie sa demande par l'écrit d'une main courante. Toutefois, il faut toujours se méfier des premières impressions. Tout au long de ce roman qui se lit rapidement et ne vous fiez pas à ces 311 pages imprimées, l'on suit via les réflexions du psychopathe et de Violette, les mésaventures de Rebecca, mais aussi de celles de son petit ami qui sera mis en cause, puis de Violette qui elle aussi par le jeu pervers du psychopathe perdra un moment l'estime de Rebecca. Dans ce jeu du chat et des souris, il est dit que le gendarme enquête, tout de même. Parviendra-t-il à élucider cette affaire, protéger Rebecca ? Aura-t-il identifié le psychopathe ? Je vous laisse le découvrir. Ce roman Un prénom en trop de Christophe Carlier est le deuxième Lauréat du Prix de la gendarmerie nationale, qui récompense une oeuvre de fiction dans laquelle la gendarmerie occupe une place cardinale. Autant le premier prix du roman de la Gendarmerie Nationale en 2021, Place aux Immortels de Patrice Quellard donnait une place prépondérante à une histoire mettant à l'honneur la mission d'un militaire de la gendarmerie comme prévôt pendant la première guerre mondiale, autant je reste dubitatif sur cette nomination ou le rôle controversé à mes yeux du gendarme, n'est pas l'élément principal de ce roman. Cela reste malgré tout un livre facile à lire à classer dans les romans policiers. Bien à vous.
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Aujourd'hui, j'entrevois le moyen d'aller beaucoup plus loin. de transformer ma créature en héroïne. Car il suffit d'une mort exemplaire pour qu'une histoire de harcèlement quitte la rubrique des faits divers pour s'afficher à la une des journaux.
Une fille martyrisée du sang sur les draps. trois fois rien Et l'opinion se passionne. Elle réclame un récit circonstancié. Exige des précisions.Se jette sur les photos. La victime devient emblématique. Son prénom vole de lèvres en lèvres. Avec un peu de chance, un producteur en fera le titre d'un film à succès.
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L'équation de gloire tient souvent à peu de chose: il faut accomplir plusieurs fois le même crime.Récidiver. Recommencer. Narguer d'un même geste répétitif, les médias, les forces de l'ordre.
C'est la série, qui rend le tueur intéressant et qui transforme sa victime en personnage.
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Pour entrer dans la vie de Rebecca, je lui ai adressé le titre de trois journaux. La lecture des faits divers inquiète toujours les jolies femmes. Voilà qui illustre les pouvoirs de la presse.
Dans mon esprit, il s'agissait d'une mise en bouche.
[...]

En attendant, elle doit alterner cauchemars et insomnies. Je suis pas du genre à demander une commission, mais l'industrie des somnifères et des tranquillisants me doit beaucoup.
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La lecture des faits divers inquiète toujours les jolies femmes. Voilà qui illustre les pouvoirs de la presse.
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Le matin du 14 février, date que j'avais attendue patiemment, j'ai glissé une rose rouge sous son essuie-glace.
Et d'un doigt, sur le givre du pare-brise, j'ai tracé trois mots tout simples : "je suis revenu".

p.179
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